Mardi 24 mai 2011
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Chez les Bushmen Kung, l'activité sexuelle est considérée comme aussi importante que la nourriture tant du point de vue de
la survie que du plaisir. Il est impératif que l'acte sexuel fournisse un orgasme à la femme. Si un homme a joui avant sa partenaire, il est tenu de continuer de s'occuper d'elle jusqu'à ce
qu'elle soit satisfaite. On considère que si une fillette grandit sans sexualité, elle va devenir folle, se mettre à brouter l'herbe et mourir. La masturbation est énormément pratiquée - bien que
le sexe oral ne le soit pas.
( in, Le secret des femmes, de Elisa Brune et Yves Ferroul, Editions Odile Jacob, 2010 )
Par michel koppera
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Vendredi 13 mai 2011
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/2011 18:26
Dans l’antiquité romaine, lors des Bacchanales (fêtes en l’honneur du dieu Bacchus) qui se déroulaient la nuit au mois de
février, les femmes enivrées du vin et vêtues de manière à laisser voir leurs charmes les plus secrets, se dépouillaient de tout sentiment de pudeur, et pêle-mêle se livraient avec les hommes aux
plus infâmes prostitutions, aux accouplements les plus monstrueux, aux meurtres, aux empoisonnements, aux plus cruelles violences…
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Jeudi 5 mai 2011
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/2011 12:19
Dans l’antiquité romaine, pour préparer la future mariée, les Paratiltrices étaient de petits enfants qui nettoyaient
toutes les ouvertures, les oreilles, l’anus et la vulve. Quant aux Picatrices, c’était de jeunes filles uniquement chargées de peigner tous les cheveux que la nature a répandus que le
corps pour éviter les croisements qui nuisent aux introductions (Mirabeau)
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Dimanche 27 mars 2011
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/2011 15:19
Depuis Hippocrate ( IVème siècle av J.C) jusqu’au début du XXème siècle, le massage des parties génitales fut préconisé dans le
traitement de l’hystérie. Ce massage manuel pratiqué par les médecins était monnaie courante dans la médecine occidentale. Les médecins de famille l’ont dispensé jusqu’en 1920.
Les Hawaïens vénéraient les organes sexuels et leur accordaient des soins particuliers dès le plus jeune âge. Du lait maternel
était pressé dans le vagin des petites filles tandis que leur clitoris était allongé et étiré au moyen de stimulations orales.
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Mercredi 16 mars 2011
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/2011 09:25
Mirabeau rapporte que dans l’Antiquité, à Samos (île grecque de la mer Egée) les maisons publiques étaient appelées le
parterre de la nature. Les hommes et les femmes s’y abandonnaient pêle-mêle à tous les genres de libertinage… Dans d’autres lieux, les vieilles mettaient encore à profit les restes de leur
lubricité. Elles étaient tellement impudiques qu’on les comparait à des animaux dont elles avaient l’odeur, l’ardeur, la lascivité des boucs.
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Vendredi 25 février 2011
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/2011 17:45
Mirabeau prétendait que tous les pâtres des Pyrénées étaient bestiaires (comprendre zoophiles) et qu’une de leurs plus
exquises jouissances était de se servir des narines d’un jeune veau qui leur léchait en même temps les testicules.
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Samedi 12 février 2011
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/2011 10:10
À Ponape, dans le Pacifique Sud, l’art du cunnilingus atteint des sommets artistiques : les hommes y aiment à
glisser un petit poisson vivant dans le vagin de leur amante, afin de l’aspirer doucement au dehors avec leur bouche. ( in Le secret des femmes, éditions
Odile Jacob, 2010 )
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Jeudi 3 février 2011
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/2011 07:34
En 1559, dans un ouvrage intitulé « De re anatomica », Matteo Colomb, maître d’anatomie à l’université de
Padoue, fit part au monde, descriptions à l’appui, de sa découverte qu’il nomma l’ « amor veneris » et qui trouva plus tard son appellation définitive d’après le mot grec
kleitoris ( ou petite aspérité). Matteo Colomb soutenait que cet organe était le siège unique de la jouissance et de l’amour pour les femmes. Cette affirmation lui valut d’échapper
d’extrême justesse au bûcher de l’Inquisition.
Ce n’est qu’en 1998 que l’urologue australienne Helen O’Connel a découvert la vraie nature du clitoris. Le petit bouton n’est
que la partie visible de l’organe qui se prolonge et forme une sorte de pénis intérieur long d’une dizaine de centimètres.
deux vignettes de Hugdebert qui sait si bien représenter le corps et la jouissance des
femmes
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Vendredi 28 janvier 2011
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/2011 17:54
Les Basiliens et les Carpocrates (IV et Vème siècles ap J.C ) prétendaient que nous naissions dans l’état de nature innocente,
tel qu’Adam au moment de la création, et que par conséquent ils devaient imiter sa nudité. Ils détestaient le mariage, soutenaient que l’union conjugale n’aurait jamais eu lieu sur la terre sans
le péché. Ils pratiquaient leur dogme dans un superbe temple souterrain, chauffé par des poêles, dans lequel ils entraient tout nus, hommes et femmes. Là, dès que le chef de la secte avait
prononcé les paroles de la Génèse, "Croissez et multipliez", tout leur était permis jusqu’aux unions que nous nommons adultère et inceste. Tranchelin renouvela cette secte au
XIIème siècle. Il prêchait ouvertement que la fornication et l’adultère étaient des actions méritoires. Les plus fameux de ces sectaires furent appelés les Turlupins en Savoie. (
Source : Mirabeau, Erotika Biblion )
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Lundi 17 janvier 2011
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/2011 06:52
Jusqu’au XVème siècle, le mot « connil » désignait le lapin mais aussi le sexe de la femme (d’où
cunnilingus et con ou connin.) C’est pour lever cette ambiguïté que lui a été peu à peu substitué, sans doute dès le XIVème siècle, le terme de
« lapin ».
Par michel koppera
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