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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Un dessin de Tom Poulton. Dans quelle urne glisser son bulletin ? la question mérite réflexion....
Compte-tenu de la féminité du personnage, je m'attendais, sans doute naïvement, à trouver une multitude de détournements des aventures de Bécassine. Erreur ! Mes recherches ont été le plus souvent infructueuses et les rares pastiches disponibles sur le net restent très sages... Je lance donc un appel, pas désespéré quand même, à toutes les bonnes volontés pour enrichir cette maigre galerie. ( je sais par ailleurs qu'il existe un album parodique intitulé "Le petit monde de Pétassine", paru en 1992, mais je ne l'ai jamais eu en ma possession et ne peux donc vous en parler davantage.)
Traci LORDS ( Traci Elizabeth LORDS) de son vrai nom Nora Louise KUZMA, est née en 1968 dans l'Ohio. Elle fut l'une des plus grandes stars du porno au début des années 80, jusqu'à ce que le FBI découvre en 1986 qu'elle était mineure dans la totalité de ses films ( à l'exception du dernier ). Le scandale mit un terme prématuré à sa carrière.
Age nubile. les deux lèvres du con relevées pour voir le creux virginal des parties génitales en action...
Ah ! Elle s'écoute.
ZOOM n° 110 (1ère partie ) 1984
Numéro spécial David Hamilton
Photo de couverture réalisée par le « maître » en personne ! ( extraite de l’album « Hommage à la peinture » qui devait paraître fin septembre 1984)
Petite histoire cruelle en 4 images signée BOUCQ.
Trois photographies de Rebecca BLAKE extraites de l’album « Forbidden Dreams » ( rêves interdits). C’est flou, il y a du grain, c’est un peu glauque, ça se veut un peu provocant, bref c’est l’univers de Rebecca Blake !
Une image plus troublante composée par deux artistes new-yorkais : Yuri Neyman et Marina Levikova. Commentaire accompagnant cette image : « Anne et la sauterelle. Un dessin, pour la réalisation des maquillages et des costumes, réalisé par Marina Levikova. »
Jean FERRO : deux autoportraits. Originaire de Los Angeles, Jean Ferro a débuté sa carrière de photographe dans les années 70 et est devenue depuis une des figures majeures de la photo au féminin. Où l’on voit sur la seconde image que Jean avait des jambes et un cul magnifiques !
Stars d’Hollywood photographiées par George HURRELL ( 1904-1992 )
Dorothy LAMOUR ( Miss New Orleans à 17 ans, chanteuse du Big Band d’Herby Kay, elle débuta en 1930 dans le cinéma sous le pseudo de Dorothy Lambour.)
Jean HARLOW en 1934
Hedy LAMARR en 1938
Le saviez-vous ? # 34
« Aux temps bibliques, Sarah, la nouvelle épouse de Tobie, avait déjà été sept fois veuve à cause de maléfices qu’elle attribuait au démon Asmodé. Pour éviter de subir le sort de ses prédécesseurs, Tobie pria trois jours et trois nuits avant de s’approcher de sa femme. Beaucoup de coutumes nuptiales s’inspirèrent de ce récit biblique.
Aussi, à l’époque de Saint Louis, des couples achetaient-ils à l’évêque l’autorisation de consommer de suite leur mariage, sans attendre le délai des trois jours de Tobie. On a même prétendu que la basilique Saint-Pierre de Rome fut édifiée grâce aux amendes infligées aux prostituées et aux achats d’innombrables dispenses, dont celle d’attendre les trois jours de Tobie avant les premiers rapprochements conjugaux. » (source : « La femme révélée », La Table Ronde, 1969)
Michael CONNELY, Darling Lilly ( Seuil Policiers, 2003)
Le polar mêle prostitution sur le net (via un site d’escort girls) et haute technologie (informatique moléculaire)… L’ensemble est assez palpitant, bien construit, même si on n’y croit qu’à moitié..
Chapitre 12, page 108.
- Allez, viens t’asseoir
Elle gagna le canapé et lui fit signe de s’asseoir à côté d’elle. Il s’exécuta.(…)
- Ce que tu vois te plaît ? demanda-t-elle.
Il était à peu près certain que c’était la fille de la photo affichée sur le web, mais ne pouvait en être sûr à cent pour cent dans la mesure où il ne l’avait pas regardée aussi longtemps et souvent que celle de Lilly. Robin était pieds nus et portait un débardeur bleu clair et un short en velours rouge si haut remonté sur les fesses qu’un maillot de bain eût été plus pudique. Elle n’avait pas de soutien-gorge et ses seins – avec implants, sans doute – étaient énormes. Grosses comme les biscuits ronds que vendent les girl-scouts aux fêtes de charité, ses aréoles se dessinaient très clairement sous son T-shirt. Cheveux blonds avec raie au milieu dégringolant en cascades de bouclettes de part et d’autre de son visage. Pas de maquillage visible.
- Oui, j’aime bien, répondit-il.
Chapitre 35, pages 307-308
Nicole lui passa les bras autour du cou, l’attira contre elle et l’embrassa. IL la fit tourner sur elle-même, la poussa doucement vers le lit et l’y assit. Puis il s’agenouilla devant elle, lui écarta les genoux et s’avança. Et s’avança encore, ils s’embrassèrent à nouveau. Plus longuement et plus fort cette fois. Il eut l’impression qu’une éternité s’était écoulée depuis que ses lèvres avaient senti le contour des siennes.
Il posa les mains sur ses hanches et l’attira vers lui. Sans douceur. Bientôt elle lui prit la nuque d’une main et commença à lui déboutonner sa chemise de l’autre. Tous deux se débattirent avec les vêtements de l’autre jusqu’au moment où ils se séparèrent pour se déshabiller tout seuls. Sans en rien dire ils savaient bien que ça irait plus vite.
Ils accélèrent l’allure. Il ôta sa chemise, elle fit la grimace en découvrant les bleus qu’il avait à la poitrine et au flanc. Elle se pencha en avant et l’embrassa aux deux endroits. Et lorsqu’ils furent nus l’un et l’autre, ils s’étendirent sur le lit en une étreinte pleine de désir et de tendresse nostalgique. Il comprit qu’elle n’avait pas cessé de lui manquer – son intelligence et la texture émotionnelle de leurs relations surtout, mais aussi son corps. Il n’avait qu’une envie : la toucher et goûter.
Il enfouit son visage entre ses seins et lentement descendit plus bas, son nez sur sa peau, ses dents bientôt serrées sur l’anneau d’or qu’elle avait au nombril, à le mordiller doucement. Plus bas encore. Elle avait rejeté la tête en arrière, gorge exposée, vulnérable. Les yeux fermés, elle comprimait les lèvres du dos de la main, la phalange d’un doigt entre les dents.
Lorsque l’un et l’autre furent prêts, il se redressa contre elle, lui prit la main et la posa sur son sexe pour qu’elle le guide. Ils procédaient toujours ainsi, c’était leur routine. Elle bougeait lentement, lentement elle le prit en elle, ses jambes remontant le long de ses flancs pour se refermer dans son dos. Il ouvrit les yeux pour regarder son visage…
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