Jeudi 22 novembre 2007
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Chapitre 7, page 74. Dans lesecret de leur intimité, Teresa se présente devant Maximilien.
" Alors,
d'un geste solennel, Teresa dénoua la ceinture de son peignoir qu'elle ouvrit en grand, dévoilant d'un coup l'impudeur lascive de son corps presque nu. Elle était en bas noirs et
porte-jarretelles de dentelle blanche. Elle portait aussi un soutien-gorge pigeonnant qui soulevait ses mamelons aux aréoles d'un brun soutenu, et surtout une culotte, blanche elle aussi,
moulante à l'extrême, beaucoup trop étroite pour cacher sa pilosité charbonnière."
Par michel koppera
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Mercredi 21 novembre 2007
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Chapitre 4, page 66, Maximilien Bémol se trouve pour la première fois dans un sex-shop, et voilà ce qu'il voit :
"Derrière la caisse, il y avait un grand poster épinglé au mur. En relief, en trois dimensions, un truc à se fatiguer la
rétine. D'une main lasse, le caissier lui tendit une paire de lunettes : un verre bleu, l'autre rouge. Atttention les yeux ! Comme par miracle, tout rentrait dans l'ordre, le brouillard
prenait forme. Un mètre sur deux. Une femme blonde à la poitrine qui s'avançait dans le vide et menaçait de s'effondrer sur la tête du caissier. Les lèvres aspirantes, le ventre rond et surtout
le sexe béant, au fond de l'entonnoir des cuisses écartées. la femme s'ouvrait la vulve avec les doigts et, à travers les lunettes, c'était comme si elle appelait Maximilien pour lui offrir
une tranche de ses lèvres vaginales à sucer. Le clitoris pâle ressemblait à un petit os déboîté qui cherchait à percer sous la chair."
Par michel koppera
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Mardi 20 novembre 2007
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Chapitre 11, page 174, suite de l'exposé de Charles
" Il parla surtout du ventre d'une Indienne qui négociait ses charmes à Udaïpur, au débarcadère d'un palace posé sur le lac
Pichola.
- Ah, Maximilien, si tu l'avais connue, elle t'aurait converti à l'hindouisme et aujourd'hui, tu ne mangerais plus ni viande, ni oeufs... Rien que des lentilles au yaourt
ou du chutney à la mangue... Tout ça pour le plus beau ventre du monde. Le Dekan magique... Imagine un peu, Maximilien, des poils longs et souples comme des algues, très noirs, si noirs que tu
crois que tu as perdu la ve, et innombrables comme des brins de vermicelle... Devant, derrière, partout ! Et la vulve,Maximilien, je ne te dis pas : un coquillage des mers chaudes, une vulve
luisante comme une porcelaine...
Rien que d'y penser, les yeux fermés, Maximilien contracta une érection décisive et sans rémission."
Par michel koppera
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Lundi 19 novembre 2007
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Toujours chapitre 11, aux pages 180-181. Maximilien se retrouve aux côtés d'une compagne de passage:
" Maximilien avait glissé sa culotte de coton jusqu'à ses pieds pour libérer ses jambes. Longues cuisses douces, glabe émouvant du mollet. Sa
main retrouva sans peine le chemin de sa touffe drue, balancée au rythme de ses reins... Ses doigts à elle ont rampé sur le ventre de Maximilien, à sa rencontre. Petites touches délcates,
professionnelles... Sables mouvants du désir. Penché au-dessus d'elle, juste avant d'y coller ses lèvres, il aperçut la grande étoile brune au ciel sans nuage de ses fesses. Elle se cabra
davantage, des deux mains ouvrant son ventre pour l'accueillir tout entier. Les yeux clos, elle souriait. Elle était maintenant à genoux, dans l'attente. Temps suspendu... "
Par michel koppera
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Dimanche 18 novembre 2007
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Chapitre 11, page 184 :
" De retour dans le pot-au-noir de la chambre 417, Maximilien trouva refuge contre les seins d'une femme infidèle,
épouse d'un marin sans escale. Elle était blonde intégrale, de la tête à la touffe, en salopette bleue, recroquevillée dans un fauteuil, à se sucer le pouce en jouant les gamines trentenaires,
à siroter des ballons de muscadet tiède..."
Par michel koppera
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Samedi 17 novembre 2007
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Chapitre 7, page 95, Teresa exhibe son ventre velu devant Maximilien.
" Se laissant aller dans les profondeurs du fauteuil, Teresa projeta son ventre en avant, comme un don. Elle lui montra son sexe, d'abord moulé dans son voile de
dentelle, puis seulemnt habillé de sa merveilleuse fourrure anthracite. Elle avait parfumé sa touffe d'une goutte de patchouli et fardé de rouge les grandes lèvres de sa vulve pour en souligner
l'abondance charnue. Ecartelée en grenouille sur le fauteuil, elle écarta des deux mains les épaisses crêpelures de sa noire toison, révélant les chairs nacrées de sa vulve. Devant le sexe en
gloire de Maximilien, elle se livra à une voluptueuse danse du ventre, lui montra dans le détail les spasmes secrets de son vagin, vagues de désir qui lui dilataient l'anus et, sous les yeux
fascinés et respectueux de son amant, sa vulve s'ouvrait et se fermait comme une bouche d'enfant qui aurait voulu parler. Par de petits caresses circulaires au plus haut de sa fente, elle parvint
aussi à obtenir une érection durablede son clitoris qu'elle avait bien développé et sensible. l'envie d'y porter la bouche et la langue en devenait presque inupportable."
Par michel koppera
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Vendredi 16 novembre 2007
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/2007 17:32
Chapitre premier, page 16 : Maximilien Bémol se trouve avec Bénédicte Flamand, la jeune fille qui lui est promise. Ils sont tous les deux seuls, dans la
chambre de Maximilien.
" Alors, il glissa ses doigts dans la culotte de Bénédicte et commença à lui masser la fente. Elle se mit à onduler du bassin en cadence, à se tortiller de façon un
peu ridicule en répétant "Oui !...Oui !". Il voulut voir ça de plus près : elle souleva les hanches pour faire glisser la culotte jusqu'à ses pieds. Désormais , elle était couchée la jupe
retroussée sur la taille, le ventre nu, sans défense, offert, ouvert. En un seul regard, Maximilien vit la vulve éclaboussée de mouillure, les nymphes dépliées, le clitoris comme un grain de
riz, la touffe blonde et clairsemée, aux poils si rares et si fins qu'on voyait la peau à travers..."
Par michel koppera
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Jeudi 15 novembre 2007
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/2007 18:04
Chapitre 3, page 51 , Maximlien vient de coiffer pour la première fois la touffe de Teresa :
" Madame Dos Santos parut fort satisfaite de sa nouvelle coiffure pubienne. Emue aux larmes, elle ne se lassait pas de l'admirer dans le miroir. Son ventre avait perdu de
sa sauvagerie animale ; les mèches égalisées et les boucles presque sages l'avaient domestiqué.(...) Elle passait ses doigts intimidés à travers les boucles noires, pareille une mère
jouant avec les cheveux de son premier enfant."
Par michel koppera
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Mercredi 14 novembre 2007
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Voici maintenant la rencontre de Maximilien Bémol avec la Maréchale, chapitre 13, page 221 :
" La Maréchale était vautrée dans un canapé de cuir rouge sang ; ses gros seins grumeleux en érection débordaient de sa nuisette retroussée haut sur son ventre échevelé. La
toison de la Maréchale avait quelque chose de monstrueux. C'était une formidable masse de poils d'un brun foncé, avec quelques nuances plus claires aux abords de la vulve. Cette masse sombre
lui recouvrait entièrement le bas de l'abdomen ; le nombril lui-même était pris dans cette savane obscure. Le pelage se répandait aussi entre les cuisses et comblait généreusement le sillon
fessier, ébauchant même, au creux de ses reins, une sorte de second triangle pubien, peut-être encore plus obscène que le premier."
Par michel koppera
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Mardi 13 novembre 2007
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Chapitre 11, page 173 :
" Charles, la main sur une bouteille de tequila, improvisa une conférence publique sur les poils pubiens des cinq continents. Comme il avait passé de longues
années d'adolescence en Afrique de l'est; il commença par les pubis des femmes noires, semblables à de petits paillassons, avec des poils vrillés sur eux-mêmes, durs comme des grains de poivre
noir..."
Par michel koppera
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