Samedi 5 janvier 2008
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Dans cette nouvelle, le narrateur est un jeune professeur de mathématiques qui est le souffre-douleur de sa directrice. Grâce à une lotion à l'androstérone,
il parvient à la séduire, du moins attribue-t-il son succès à ce produit miracle.
" Madame Rougerie reposa le téléphone et d'un coup de reins m'engloutit tout entier. j'eaus l'impression de m'enfoncer au coeur d'un essaim de méduses chaudes,
perpétuellement agitées de spasmes langoureux. C'était doux et visqueux.
Nous étions chevillés l'un à l'autre. moi debout, elle allongée perpendiculairement qui me retenait dans l'étau de ses cuisses. je lui caressais les seins et le
cou. De temps à autre, je passais une main impertinente sous ses fesses pour lui exciter l'anus qu'elle avait fort dilaté et trempé. Elle continuait inlassablement de se branler le clitoris tout
en serrant les dents pour contenir ses gémissements de plaisir.
Elle jouit une première fois, souffle bloqué, corps tendu.
- Attendez, souffla-t-elle en s'écartant pour fouiller dans la pile de papiers au coin du bureau.
Elle s'empara d'un formulaire officiel et, tout en me branlant de la main gauche, elle commença à rédiger :
Appréciation
générale : professeur qui a fait ses preuves professionnelles. Consciencieux et efficace, M. Legoff donne entière satisfaction. Note proposée : 30 sur 40
- Signez, s'il vous plaît ! dit-elle en glissant la feuille vers moi.
Par michel koppera
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Vendredi 4 janvier 2008
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/2008 09:57
Troisième nouvelle du recueil, "Coeur croisé" raconte l'initiation d'un adolescent aux jeux de l'amour. Cet apprentissage se fait en compagnie d'une
jeune fille d'un an sa cadette. Plus jeune certes, mais plus délurée. Dans l'extrait qui va suivre, elle initie le narrateur à la pratique du 69.
" Quelques contorsions plus tard, je n'avais plus devant les yeux que les globes de ses fesses blanches, réunies par un sombre vallon. On a coutune de dire que les premières fois
sont inoubliables, et on a raisn. Plus, ce sont les fondations mêmes de notre mémoire. Comment ne pas se souvenir de la saveur si particulière de son fruit exotique, juteux et tendre ? Comme
l'impression de plonger à pleine bouche dans la pulpe intarissable d'une mangue dénoyautée, d'une papaye égrenée... Plus rien d'autre n'existait. Rien, sauf ces sensations inconnues, au bas de
mon ventre, où je me devinais palpé, caressé, léché, absorbé... Chaleur intense de ses lèvres en fourreau et frémissement de ses cheveux déployés sur mes cuisses et mon ventre nus. Malgré
ses quatorze ans, elle engloutit sans hésiter toute ma jouissance qui s'écoula dans sa bouche juvénile."
j'ai perdu le nom de cet illustrateur. Si quelqu'un le
connaît, merci de me l'indiquer.
Par michel koppera
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Jeudi 3 janvier 2008
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/2008 10:01
Seconde nouvelle du recueil, "la bibliothèque rose" met en scène un couple et leur femme de ménage. Dans l'extrait qui va suivre, le mari regarde
par une sorte de guichet dérobé les deux femmes en train de se caresser.
" La femme de ménage esquissa une vague résistance, mais Valérie avait déjà pris possession de son ventre moite. Ses doigts caressants fouillaient dans le sombre buisson.
La femme de ménage poussa un gémissement, ses jambes fléchirent. Elle avait fermé les yeux.
Valérie lui saisit la main et la guida jusqu'au centre brûlant de son désir.
Elles en tremblaient toutes les deux. Valérie l'entraîna sur la moquette épaisse, posant ses lèvres sur sa bouche, sur ses seins lourds, entre ses cuisses ouvertes. De l'autre
côté, je jouissais sans discontinuer, flot après flot.
Maintenant intégralement nues, elles s'embrassaient ave passion, jambes nouées, sexe contre sexe, vulve à vulve, ventousées l'une à l'autre, mêlant leur fièvre et leurs
halètements..."
dessin de Hugdebert, un des maîtres du genre
Par michel koppera
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Mercredi 2 janvier 2008
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/2008 13:59
Pour commencer l'année, je vais vous présenter quelques extraits choisis des nouvelles qui constituent le recueil "Body Gym" paru en août
2007 aux éditions Le Cercle. Chaque extrait des 13 nouvelles de l'ouvrage sera accompagné d'une illustration (dessin ou photo). Je m'excuse par
avance auprès des illustrateurs dont j'utiliserai les dessins sans référernce à leur auteur ( références perdues ).
Voici donc le premier extrait, issu de la nouvelle 'Body Gym" qui a donné son nom au recueil.
" Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait ça en plein jour. J'en ai profité pour me gaver les yeux de sa chatte. Je l'ai regardée partout, écartant les lèvres pour voir à l'intérieur,
comme si je voulais la pénétrer avec un périscope, jusqu'au fond. J'y ai mis les doigts, j'y ai enfoncé la langue, mêlant ma salive aux sécrétions visqueuses qui coulaient de sa vulve
empourprée. ma bouche glissait aussi entre ses fesses où je lapais sa vallée culière sur toute sa longueur, du périnée au bas des reins, pointant un bout de langue curieux dans le trou
de son cul dilaté."
Par michel koppera
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Samedi 24 novembre 2007
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/2007 16:36
Donc, dernière page provisoire de l'album de Maximilien Bémol. On termine par la vision magique du ventre de Karpena, chapitre 13, page 233 :
" De ses doigts tremblants, il lui ôta sa culotte, et il fut enfin aux portes du temple. Maximilien sentit qu'il était en train de
vivre une sorte d'apothéose, que sa quête arrivait à son terme. Certes, il avait aimé plus que de raison la chatte de Teresa, mais cette fois, il touchait au divin. Que dire ? Il y avait des
poils partout, mais ce n'était pas le chaos. Le bas-ventre velu de Karpena n'était qu'abondance et harmonie : poils lisses et raides du pubis, poils un peu frisés aux abords de la vulve,
poils épais et moussus de la raie culière, poils courts au creux des reins, poils bouclés sur la peau tendre en haut des cuisses...
Mais le paradis était encore au-delà. "
Par michel koppera
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Jeudi 22 novembre 2007
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/2007 18:20
Chapitre 7, page 74. Dans lesecret de leur intimité, Teresa se présente devant Maximilien.
" Alors,
d'un geste solennel, Teresa dénoua la ceinture de son peignoir qu'elle ouvrit en grand, dévoilant d'un coup l'impudeur lascive de son corps presque nu. Elle était en bas noirs et
porte-jarretelles de dentelle blanche. Elle portait aussi un soutien-gorge pigeonnant qui soulevait ses mamelons aux aréoles d'un brun soutenu, et surtout une culotte, blanche elle aussi,
moulante à l'extrême, beaucoup trop étroite pour cacher sa pilosité charbonnière."
Par michel koppera
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Mercredi 21 novembre 2007
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/2007 16:02
Chapitre 4, page 66, Maximilien Bémol se trouve pour la première fois dans un sex-shop, et voilà ce qu'il voit :
"Derrière la caisse, il y avait un grand poster épinglé au mur. En relief, en trois dimensions, un truc à se fatiguer la
rétine. D'une main lasse, le caissier lui tendit une paire de lunettes : un verre bleu, l'autre rouge. Atttention les yeux ! Comme par miracle, tout rentrait dans l'ordre, le brouillard
prenait forme. Un mètre sur deux. Une femme blonde à la poitrine qui s'avançait dans le vide et menaçait de s'effondrer sur la tête du caissier. Les lèvres aspirantes, le ventre rond et surtout
le sexe béant, au fond de l'entonnoir des cuisses écartées. la femme s'ouvrait la vulve avec les doigts et, à travers les lunettes, c'était comme si elle appelait Maximilien pour lui offrir
une tranche de ses lèvres vaginales à sucer. Le clitoris pâle ressemblait à un petit os déboîté qui cherchait à percer sous la chair."
Par michel koppera
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Mardi 20 novembre 2007
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/2007 17:39
Chapitre 11, page 174, suite de l'exposé de Charles
" Il parla surtout du ventre d'une Indienne qui négociait ses charmes à Udaïpur, au débarcadère d'un palace posé sur le lac
Pichola.
- Ah, Maximilien, si tu l'avais connue, elle t'aurait converti à l'hindouisme et aujourd'hui, tu ne mangerais plus ni viande, ni oeufs... Rien que des lentilles au yaourt
ou du chutney à la mangue... Tout ça pour le plus beau ventre du monde. Le Dekan magique... Imagine un peu, Maximilien, des poils longs et souples comme des algues, très noirs, si noirs que tu
crois que tu as perdu la ve, et innombrables comme des brins de vermicelle... Devant, derrière, partout ! Et la vulve,Maximilien, je ne te dis pas : un coquillage des mers chaudes, une vulve
luisante comme une porcelaine...
Rien que d'y penser, les yeux fermés, Maximilien contracta une érection décisive et sans rémission."
Par michel koppera
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Lundi 19 novembre 2007
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/2007 11:11
Toujours chapitre 11, aux pages 180-181. Maximilien se retrouve aux côtés d'une compagne de passage:
" Maximilien avait glissé sa culotte de coton jusqu'à ses pieds pour libérer ses jambes. Longues cuisses douces, glabe émouvant du mollet. Sa
main retrouva sans peine le chemin de sa touffe drue, balancée au rythme de ses reins... Ses doigts à elle ont rampé sur le ventre de Maximilien, à sa rencontre. Petites touches délcates,
professionnelles... Sables mouvants du désir. Penché au-dessus d'elle, juste avant d'y coller ses lèvres, il aperçut la grande étoile brune au ciel sans nuage de ses fesses. Elle se cabra
davantage, des deux mains ouvrant son ventre pour l'accueillir tout entier. Les yeux clos, elle souriait. Elle était maintenant à genoux, dans l'attente. Temps suspendu... "
Par michel koppera
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Dimanche 18 novembre 2007
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/2007 18:40
Chapitre 11, page 184 :
" De retour dans le pot-au-noir de la chambre 417, Maximilien trouva refuge contre les seins d'une femme infidèle,
épouse d'un marin sans escale. Elle était blonde intégrale, de la tête à la touffe, en salopette bleue, recroquevillée dans un fauteuil, à se sucer le pouce en jouant les gamines trentenaires,
à siroter des ballons de muscadet tiède..."
Par michel koppera
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