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Mercredi 30 janvier 2008 3 30 /01 /Jan /2008 17:27

Dans mon dernier article consacré à Restif de la Bretonne, j'évoquais les fantasmes incestueux de Restif à l'égard de sa fille Agnès. Avec ses "Lettres incestueuses", Nathalie More ( évidemment un pseudo, tant il est patent que cet ouvrage a été écrit pas un homme ) s'en donne si l'on peut dire à cul ou à con joie! Les deux soeurs se masturbent mutuellement, le gendre baise sa belle-mère et sa belle-soeur à peine âgée de 14ans, etc. 
Je n'ai rien pu trouver sur l'identité réelle de l'auteur, ni même sur la date de publication. de l'ouvrage. De toute évidence, c'est assez récent ( les lettres sont datées du 3 juillet 1929 au 30 juin 1930 pour la dernière ). Les aventures ont lieu soit à Venise, Londres, mais surtout sur les bords de la Loire dans une belle propriété bourgeois appelée la Bellaupré. ( si vous avez des informations concernant l'identté véritable de cet auteur, faites m'en part ) 
Dans l'extrait que je vous propose, Didier, le cadet de la famille âgé de 13 ans, se fait initier aux arcanes de la masturbtion féminine par une servante créole nommée Carlotta. La scène est décrite par la grande soeur de Didier qui les surprend dans la salle de bains en pleine activité :
     
N-More.jpg " Carlotta s'assit sur le rebord de la baignoire, retroussa sa vaste jupe bariolée. Elle avait le cul nu là-dessous. Entre ses cuisses sombres qu'elle avait écartées, j'aperçus la fente rose et humide de son con. Mouillant son index de sa salive et écartant les boucles brunes de sa toison, elle ferma les yeux et se mit à se masturber avec ferveur.
     - Qu'est-ce que tu fais, s'étonna mon frère qui était sorti de son bain et la contemplait avec intérêt.
     Elle lui sourit brièvement sans s'interrompre pour autant.
     - Je me branle, tu le vois bien. regarde moi si tu veux. mais ne vas surtout pas le répéter ! Je branle ma chatte comme j'ai branlé ta petite queue.
     - Et ça te fait le même plaisir ? interrogea mon frère.
     - Le même, assura Carlotta d'une voix haletante. regarde, petit chéri, regarde mon doigt aller dans ma fente... Tu vois ce bouton qui pointe là ?
     - Je vois, dit Didier en s'agenouillant pour mieux observer entre les cuisses écartelées de la Martiniquaise. Cela s'appelle un clitoris, nest-ce pas ?
     - Tu es savant, petit homme, sourit nerveusement Carlotta. Un jour, quand tu seras plus grand, je te le laisserai toucher. Regarde bien comme il faut faire, regarde bien !
     Entre son piuce et son index, elle masturbait son bourgeon de chair, son regard commençait à se révulser. Alors, j'ai honte de le dire, mon Isabelle, je retroussai moi-même ma jupe, écartai l'élastique de mon slip et, debout, me mis à me masturber, sans plus pouvoir me retenir !"
  
   

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 29 janvier 2008 2 29 /01 /Jan /2008 16:48

     Restif de la Bretonne (1734-1806) détestait Sade. Cette haine qui l'a poussé à donner pour titre à son ouvrage le plus obscèene " l'Anti-Justine"  cache difficilement la jalousie qu'il éprouvait à l'égard du divin Marquis. En outre, cet ouvrage révèle au grand jour les fantasmes incestueux de Restif, qui n'avait pas supporté le mariage en 1781 de sa fille Agnès avec un certain Augé qui fut d'ailleurs condamné à mort et excécuté pour avoir tenté d'assassiner sa belle-mère, ex-femme de Restif. Le livre fut écrit en 1797, alors que Restif n'était plus qu'un vieillard solitaire. Sns doute espérait-il par ces écrits d'une absolue lubricité réveiller des désirs éteints. Voici un extrait du chapitre intitulé " De l'enculo-conillerie"
restif-1.jpg " Hé bien, reprit Traitdamour, je vais vous donner un plaisir que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-là non plus. Je tiens cette pratique de l'Abbé Chouanche, ancien Genovesain, qui m'a souvent enculé avant que j'eusse de la barbe au menton et du poil au vit... Un jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la petite Culfrayé, la cadette, jolie comme un coeur, et non encore vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la mère, et la fille devait en recevoir autant. l'Abbé la fit s'appuyer un coude sur une commode ; il se mit derrière elle, et l'encula. J'étais devant, et il me la fit enconner. Nous limions ; nos deux vits se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de façon que nous croyions le sentir. Choanche la faisait tantôt pousser du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait l'agrément de la réenculer, quand elle foutait du cul sur lui. Je presque déconnais alors, puis je réenconnais. Ce joli jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne déchargeait pas : il se réservait pour mon cul. En conséquence, il fit mettre la jolie Culfrayé sur le dos ; je l'enconnai l'abbé m'encula et nous déchargeâmes tous trois..."
restif.jpg


encore deux illustrations de Hugdebert, décidément le plus proche de l'esprit du libertinage, façon 18ème siècle.

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Samedi 26 janvier 2008 6 26 /01 /Jan /2008 10:39

Plus connus que les 11000 verges, les Mémoires d'un jeune Don Juan furent publiés sous le manteau en 1913. Même si Apollinaire n'en a jamais revendiqué ou publiquement reconnu la paternité, quleques années après sa mort l'ouvrage lui sera atrtribué officiellement ( en 1924). On retrouve dans ce petit récit d'une centaine de pages tous les fantasmes et oripeaux de l'univers érotique d'Apollinaire : société cosmopolite, à fortes composantes slaves et germaniques, aventures loufoques, femmes plantureuses, fascination pour le sexe féminin, en particulier les pilosités pubiennes et les vulves généreuses. En voici un échantillon : 
  apollinaire-2.jpg    " Madame Muller verrouilla la porte. Je l'empoignai à la motte et je la trouvai enflée, le clitoris était dur. Je la mis en chemise et la lui soulevai très haut. À son aspect, on eût dit une femme maigre. Il n'en était rien. Elle était très bien en chair, les poils étaient noirs et lui montaient jusqu'au nombril. Alors, je la mis nue et m'étonnai de la fermeté de ses tétons qui n'étaient pas très gros et dont les tétins étaient entourés de légers poils bruns.
    En lui soulevant les tétons, je vis qu'au dessous elle avait aussi des poils très courts, fins et noirs. Ses aisselles étaient de même couvretes d'un buisson de poils aussi épais que chez les hommes.
En la regardant, je m'émerveillai de son cul, dont les fesses très relevées se serraient l'une contre l'autre. Sur l'échine, elle avait de même des poils légers et noirs qui montaient jusqu'en haut du dos. Cette riche toison me fit encore plus bander. (...) Nous étions placés de telle sorte que nous nous voyions tout entiers dans la glace. Je la menai vers le lit où elle s'assit en disant :
    - Je sais que vous voulez me voir tout entière.
     Elle souleva les jambes et montra son con poilu jusqu'au cul. J'y mis aussitôt ma langue et m'y attardai. "
 

Comme pour l'article précédent, la photo est tirée du "Journal intime illustré d'Alfred de Montel"

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Jeudi 24 janvier 2008 4 24 /01 /Jan /2008 13:37

En 1907, Guillaume Apollinaire signa un petit ouvrage érotique ayant pour titre "Les onze mille verges". Moins connu que les "Mémoires d'un jeune Don Juan", le texte n'en est pas moins joyeusement paillard. Longtemps ignoré de la bibliographie du poète, il fut tiré de l'oubli par Jean-Jacques Pauvert  en 1973 et publié dans la collection "J'ai lu" dès 1978. Voici trois extraits où transparaît la fascination d'Apollinaire pour les "cons bien touffus" :
  apollinaire.jpg        "  Dans la cabine, ils se mirent tous les quatre à poil. Mariette fut la première nue. Mony ne l'avait jamais vue ainsi, mais il reconnut ses grosses cuisses rondes et la forêt de poils qui ombrageait son con rebondi. Ses tétons bandaient autant que les vits de Mony et de Cornaboeux."
        " Ensuite l'Espagnole releva ses jupes jusqu'au nombril et les agrafa de façon à ce qu'elle restât ainsi découverte jusqu'à l'ornière ombilicale. Ses longues jambes étaient gainées de bas de soie rouge qui montaient aux trois-quarts de ses cuisses. Là, ils étaient attachés au corset par les jarretelles dorées auxquelles venaient se nouer les soies qui retenaient au loup de velours noir plaqué sur les fesses de façon à masquer le trou du cul. Le con était caché par une toison d'un bleu noir qui frisottait."
       " La kellnerine, beau specimen d'Allemande deBrunswick, était lourde de croupe : on eût dit une robuste cavale luxembourgeoise lâchée parmi les étalons... Des poils bonds très clairs lui pendaient jusqu'au milieu des cuisses. Cette tignasse couvrait complètement une motte rebondie. Cette femme respirait une santé robuste et tous les soldats sentirent leurs membres virils se mettre d'eux-mêmes au port d'armes." 

La photographie anonyme qui illustre l'extrait est extraite du "Journal intime illustré d'Alfred de Montel", recueil de poèmes érotiques et de photos licencieuses de la Belle Epoque edité par le Club du Livre Secret en mars 1882. ( Des petits trésors d'érotisme à l'ancienne."  
 

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Mercredi 23 janvier 2008 3 23 /01 /Jan /2008 16:20

En 1720, Pierre Rabeau ( aujourd'hui tombé dans l'oubli ) publiait les "Confesssions d'un cagot." Petit ouvrage érotico-porno sans autre ambition que de divertir. En voici deux extraits :
m--moires-d-un-cagot.jpg " Sans la moindre gêne, Louison enjamba le rebord de la baignoire sans plus faire attention à moi que si j'avais été un chien. Dans ce geste, la fourrure sombre de son ventre s'ouvrit sur la chair rose de son sexe. Jamais je n'en avais tant vu.[...]
J'étais allongé sur le corps de la Muller pour mieux la "gamahucher" entre les fesses et ma verge se trouvait à hauteur de son épaule. Soudain, d'un léger mouvement, elle la happa dans son aisselle humide où les poils blonds étaient plus abondants qu'au pubis je ne sais par quel mystère. Tout en se lassant lécher, elle s'arrangea pour frotter doucement mon gland exacerbé dans le repli de sa chair. J'eus une éjaculation fabuleuse, et mon sperme lui inonda le dessous de bras." 

N.B. N'oubliez pas que je complète chaque jour l'album insolite porno.

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Mardi 22 janvier 2008 2 22 /01 /Jan /2008 17:14

Si Sexus est le plus connu des ouvrages d'Henry Miller, Tropique du Capricorne est à mes yeux le plus érotique de ses livres. Paru en France aux Editions du Chêne en 1946, c'est un vrai chef d'oeuvre. Je crois que sa lecture ne peut laisser indifférent, ni homme ni femme : toutes les situations décrites sont ancrées dans le quotidien. Chacun peut se reconnaître ou s'identifier à un des protagonistes de ces aventures sexuelles. Comme dans la scène suivante où le narrateur ( Henry Miller lui-même ?) se trouve en présence d'une femme, une certaine Madame Costello, qui prétend ne pouvoir avoir de rapports amoureux car elle est trop étroite. Voici donc le narrateur à l'ouvrage :

38815_Vin_111704_094_581lo.jpg " Peu à peu, très doucement, sans rien brusquer, ma main remonta le long de sa jambe pendant que je continuais à lui parler d'une voix basse et calmante. Quand mes doigts atteignirent la fente entre ses jambes, et séparèrent les petites lèvres, elle était aussi moite qu'une lavette à vaisselle. Je la massai doucement, élargissant de plus en plus l'ouverture et lui racontant toujours ma petite histoire télépathique sur les femmes qui se trompent parfois sur leur vraie nature, sur la façon dont il arrive qu'elles se croient trop étroites quand elles sont en fait très normales ; et plus je faisais durer le plaisir, plus le fruit devenait juteux et plus elle s'ouvrait. J'avais déjà introduit quatre doigts, qu'il y avait place encore pour d'autres si j'avais voulu. Elle avait un con énorme et qui avait été dûment ramoné, je pouvais sentir cela. Je la regardai pour voir si elle fermait toujours les yeux. Elle avait la bouche ouverte et haletait un peu, mais elle gardait les yeux obstinément clos comme si elle prétendait en elle-même que tout cela n'était qu'un rêve."     

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Lundi 21 janvier 2008 1 21 /01 /Jan /2008 08:37

Vers 1740, parurent "Les mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir", ouvrage signé d'un certain John Cleland qui raconte les aventures amoureuses d'une jeune femme, courtisane au royaune d'Angleterre. L'auteur écrivit le texte en prison où il était incarcéré pour dettes. À la parution en 1747, il fut poursuivi pour atteinte aux bonnes moeurs. Devant le tribunal, il allégua sa pauvreté comme excuse. Tant et si bien que le président du tribunal lui alloua une pension annuelle de 100 Livres Sterling. ( Les Anglais ont vraiment un sens de l'humour qui nous étonnera toujours !) Voici donc un court extrait des mémoires de Fanny Hill, tiré d'une réédition française parue en 1980 chez Albin Michel dans la collection Les Classiques interdits, avec une préface de Jacques Suffel.

art_erotique_07_0607_eros_11.jpg " Le grenadier posa sans cérémonie ses larges mains sur les effroyables mamelles, ou plutôt sur les longues et pesantes calebasses de la mère Brown. Après les avoir patinées quelques instants avec autant d'ardeur que si elles en avaient valu la peine, il la jeta brusquement à la renverse et couvrit de ses cotillons sa face bourgeonnée par le brandy. Tandis que le drôle se débraillait, mes yeux eurent le loisir de faire la revue des plus énormes choses qu'il soit possible de voir et qu'il n'est pas aisé de définir. Qu'on se représente une paire de cuisses courtes et grosses, d'un volume inconcevable, terminées en haut par une horrible échancrure, hérissée d'un buisson épais de crin noir et blanc, on n'en aura qu'une idée imparfairte.  [...] Au-dessous se profilait la délicieuse région du ventre de Polly, terminée par une section à peine perceptible qui semblait fuir par modestie et se cachait entre deux cuisses potelées et charnues ; une riche fourrure de zibeline la recouvrait..."  

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Lundi 14 janvier 2008 1 14 /01 /Jan /2008 16:33

Dernière nouvelle du recueil, Annie Grosses-Loches présente une jeune mère de famille dotée, comme son nom l'indique d'une très grosse poitrine. Elle partage pendant quelque temps la vie du narrateur qui en brosse un portrait à la fois ironique et tendre.
" Annie avait le con tellement large qu'elle ne sentait presque rien quand elle baisait. Elle avait toujours été comme ça, même avant d'avoir Juju. Elle s'était résignée à se faire fister, mais elle trouvait ça plutôt dégradant. Avec une petite noix de vaseline, je lui mettais la main entière dans le vagin et je lui caressais le col de l'utérus. Parfois, elle arrivait à jouir. "
annie-grosses-loches-1.jpg
" Quand elle était bien disposée, Annie acceptait une branlette espagnole.
- Si tu y tiens ! disait-elle un sein dans chaque main. je ne vois vraiment pas ce que tu y trouves de si excitant.
- Ca te gêne ? Tu sais, tu n'es pas obligée..
- Je sais. Tu le faisais avec ta femme ?
- Jamais ! Elle n'était pas assez libérée pour ça.
- vas-y, prends ton temps. Quandtu sentiras que ça vient, préviens-moi pour que tu me jouisses dans la bouche." annie-grosses-loches-2.jpg

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Lundi 14 janvier 2008 1 14 /01 /Jan /2008 08:17

Gisèle est institutrice dans une petite ville de province. À plus de 35 ans, elle est encore célibataire et sous l'emprise d'une mère possessive. Dans la nouvelle, elle se décide enfin à rencontrer un homme : ce sera le patron du garage qui a réparé sa voiture en panne. Si l'homme pense dans un premier temps qu'il a touché le jackpot, on verra à la fin de cette histoire que tomber entre les griffes de Gisèle peut être fatal. Dans le passage qui suit, elle évoque son inittiation à l'art de la masturbation :
ma--tresse-1.jpg " À vingt-deux ans, Gisèle perdit enfin sa virginité à l'aide d'une petite courgette du jardin, encore chaude du soleil d'août. Ensuite, au fil des années, elle avait tout essayé : les bananes, les carottes, les courgettes encore mais de plus en plus grosses, les concombres, les aubergines - très agréable, les aubergines !- et même les épis de maïs et les pieds de poireau, surtout la varité appelée "monstrueux de Carentan" ! Mais aussi, en cas d'urgence, les petites bouteilles de Coca, les flacons de shampoing, les goulots de bouteilles de vin, enfin tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une bite..."   ma--tresse-2.jpg ma--tresse-3.jpg

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Dimanche 13 janvier 2008 7 13 /01 /Jan /2008 18:50

Le narrateur reçoit la visite inopinée de Fabienne, une jeune femme un peu perdue. Tard dans la nuit, elle lui raconte la mésaventure qui lui est arrivée quelques mois plus tôt, une nuit, sur une route isolée du Maroc où  des compagnons de voyage l'avaient laissée entre les griffes de policiers véreux afin d'échapper à une forte amende. Elle raconte alors comment elle s'était retrouvée en compagnie des policiers dans le fourgon de police :
visiteuse-du-soir.jpg " C'est le chef qui est passé le premier, celui qui avait le plus de barrettes à son uniforme. Lui, c'était pas vraiment un problème. Pas bavard, le type, mais plutôt beau mec : la quarantaine cheveux noirs, moustache, torse musculeuux, bien bâti, avec des mains aux doigts secs mais légers. Une belle bite avec ça ! Moi, j'ai rien contre les mecs circoncis. Au contraire, ça peut éviter de mauvaises surprises. Il a fait son truc dans les règles, avec calme et méthode. Je l'ai sucé, il m'a baisée, point barre ! Rien que du classique. Ah si, j'allais oublier : il m'a léché la chatte, un peu, juste avant de me la mettre au fond. Peut-être qu'il avait peur que je ne sois pas mouillée, ce en quoi il se trompait complètement : j'étais déjà trempée. Il m'a prise sur la banquette, en me tenant fermement les hanches pour bien s'enfoncer. Je n'ai pas senti grand-chose, comme d'habitude : je suis trop large, et puis, j'étais tellement excitée que j'avais le vagin tout huileux. Pour jouir, il a ressorti son engin et m'a balancé son sperme sur le nombril. Ca a fait comme une petite mare blanche et visqueuse sur mon ventre."
visiteuse-du-soir-2.jpg

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