Lundi 21 janvier 2008
1
21
/01
/Jan
/2008 08:37
Vers 1740, parurent "Les mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir", ouvrage signé d'un certain
John Cleland qui raconte les aventures amoureuses d'une jeune femme, courtisane au royaune d'Angleterre. L'auteur écrivit le texte en prison où il était incarcéré pour dettes. À la
parution en 1747, il fut poursuivi pour atteinte aux bonnes moeurs. Devant le tribunal, il allégua sa pauvreté comme excuse. Tant et si bien que le président du tribunal lui alloua une pension
annuelle de 100 Livres Sterling. ( Les Anglais ont vraiment un sens de l'humour qui nous étonnera toujours !) Voici donc un court extrait des mémoires de Fanny Hill, tiré d'une réédition
française parue en 1980 chez Albin Michel dans la collection Les Classiques interdits, avec une préface de Jacques Suffel.
" Le grenadier posa sans
cérémonie ses larges mains sur les effroyables mamelles, ou plutôt sur les longues et pesantes calebasses de la mère Brown. Après les avoir patinées quelques instants avec autant d'ardeur
que si elles en avaient valu la peine, il la jeta brusquement à la renverse et couvrit de ses cotillons sa face bourgeonnée par le brandy. Tandis que le drôle se débraillait, mes yeux eurent le
loisir de faire la revue des plus énormes choses qu'il soit possible de voir et qu'il n'est pas aisé de définir. Qu'on se représente une paire de cuisses courtes et grosses, d'un volume
inconcevable, terminées en haut par une horrible échancrure, hérissée d'un buisson épais de crin noir et blanc, on n'en aura qu'une idée imparfairte. [...] Au-dessous se profilait la
délicieuse région du ventre de Polly, terminée par une section à peine perceptible qui semblait fuir par modestie et se cachait entre deux cuisses potelées et charnues ; une riche fourrure de
zibeline la recouvrait..."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
-
0
Lundi 14 janvier 2008
1
14
/01
/Jan
/2008 16:33
Dernière nouvelle du recueil, Annie Grosses-Loches présente une jeune mère de famille dotée, comme son nom l'indique d'une très grosse poitrine.
Elle partage pendant quelque temps la vie du narrateur qui en brosse un portrait à la fois ironique et tendre.
" Annie avait le con tellement
large qu'elle ne sentait presque rien quand elle baisait. Elle avait toujours été comme ça, même avant d'avoir Juju. Elle s'était résignée à
se faire fister, mais elle trouvait ça plutôt dégradant. Avec une petite noix de vaseline, je lui mettais la main entière dans le vagin et je lui caressais le col de l'utérus. Parfois, elle
arrivait à jouir. "
" Quand elle était bien disposée, Annie acceptait une branlette espagnole.
- Si tu y tiens ! disait-elle un sein dans chaque main. je ne vois vraiment pas ce que tu y trouves de si excitant.
- Ca te gêne ? Tu sais, tu n'es pas obligée..
- Je sais. Tu le faisais avec ta femme ?
- Jamais ! Elle n'était pas assez libérée pour ça.
- vas-y, prends ton temps. Quandtu sentiras que ça vient, préviens-moi pour que tu me jouisses dans la bouche."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Lundi 14 janvier 2008
1
14
/01
/Jan
/2008 08:17
Gisèle est institutrice dans une petite ville de province. À plus de 35 ans, elle est encore célibataire et sous l'emprise d'une mère possessive. Dans la
nouvelle, elle se décide enfin à rencontrer un homme : ce sera le patron du garage qui a réparé sa voiture en panne. Si l'homme pense dans un premier temps qu'il a touché le
jackpot, on verra à la fin de cette histoire que tomber entre les griffes de Gisèle peut être fatal. Dans le passage qui suit, elle évoque son inittiation à l'art de la masturbation
:
" À vingt-deux ans, Gisèle perdit enfin sa virginité à
l'aide d'une petite courgette du jardin, encore chaude du soleil d'août. Ensuite, au fil des années, elle avait tout essayé : les bananes, les carottes, les courgettes encore mais de plus en plus
grosses, les concombres, les aubergines - très agréable, les aubergines !- et même les épis de maïs et les pieds de poireau, surtout la varité appelée "monstrueux de Carentan" ! Mais aussi, en
cas d'urgence, les petites bouteilles de Coca, les flacons de shampoing, les goulots de bouteilles de vin, enfin tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une
bite..."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Dimanche 13 janvier 2008
7
13
/01
/Jan
/2008 18:50
Le narrateur reçoit la visite inopinée de Fabienne, une jeune femme un peu perdue. Tard dans la nuit, elle lui raconte la mésaventure qui lui est
arrivée quelques mois plus tôt, une nuit, sur une route isolée du Maroc où des compagnons de voyage l'avaient laissée entre les griffes de policiers véreux afin d'échapper à une forte
amende. Elle raconte alors comment elle s'était retrouvée en compagnie des policiers dans le fourgon de police :
" C'est le chef qui est passé le premier, celui qui avait le plus de
barrettes à son uniforme. Lui, c'était pas vraiment un problème. Pas bavard, le type, mais plutôt beau mec : la quarantaine cheveux noirs, moustache, torse musculeuux, bien bâti, avec des mains
aux doigts secs mais légers. Une belle bite avec ça ! Moi, j'ai rien contre les mecs circoncis. Au contraire, ça peut éviter de mauvaises surprises. Il a fait son truc dans les règles, avec calme
et méthode. Je l'ai sucé, il m'a baisée, point barre ! Rien que du classique. Ah si, j'allais oublier : il m'a léché la chatte, un peu, juste avant de me la mettre au fond. Peut-être qu'il avait
peur que je ne sois pas mouillée, ce en quoi il se trompait complètement : j'étais déjà trempée. Il m'a prise sur la banquette, en me tenant fermement les hanches pour bien s'enfoncer. Je n'ai
pas senti grand-chose, comme d'habitude : je suis trop large, et puis, j'étais tellement excitée que j'avais le vagin tout huileux. Pour jouir, il a ressorti son engin et m'a balancé son sperme
sur le nombril. Ca a fait comme une petite mare blanche et visqueuse sur mon ventre."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Samedi 12 janvier 2008
6
12
/01
/Jan
/2008 09:43
Jane est une jeune femme étrange, mariée trop jeune et sans amour véritable, qui cherche sa voie. Elle croit pouvoir se réaliser par le
travail et l'ascension sociale. Dans ce but, elle entreprend des études de philosophie qui l'amènent à faire la rencontre avec son "maître à penser", un certain Auguste qui l'initie certes à la
philosophie, mais aussi à la "philosophie dans le boudoir" du divin marquis de Sade. Ils passent aux travaux pratiques :
" Qu'elle était grosse la bite d'Auguste ! Si grosse qu'elle lui emplissait la bouche. mais rien n'était plus délicieux
que de masser ses couilles poilues, de fourrager dans le buisson de son entrefesse. Pendant ce temps, il lui lapait la fente, lui fouillait la chatte de sa langue experte, lui caressait
l'intérieur de ses cuisses avec sa barbe épaisse. Plus tard, il la faisait s'agenouiller au bord du lit :
" Ecartez le derrière, un peu plus, afin que chaque secousse de la tête de mon vit touche au trou de votre cul...Oui, c'est cela ! Allons, préparez-vous madame : ouvrez ce cul sublime à mon
ardeur impure..." Car, c'était à cela qu'elle s'initiait, à la jouissance par le cul. Les premières fois, Auguste usa de beaucoup de pommade et de diplomatie. Jane en grimaçait de douleur,
mais jamais elle ne renonça. Il la tenait fermement par les hanches, labourant la béance obscure de ses muqueuses huilées, grognant, ahanant et soufflant fort, comme un bûcheron au
labeur."
encore un superbe dessin de Hugdebert, décidément le meilleur du genre
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Jeudi 10 janvier 2008
4
10
/01
/Jan
/2008 18:24
Dans cette nouvelle, le narrateur est un salarié d'une multinationale du BTP envoyé en mission dans l'archipel des Comores, sur l'île d'Anjouan. Arrivé seul,
sa femme devant le rejoindre plus tard, il ne tarde pas à succomber à la tentation et prend pour maîtresse, une jeune femme noire nommée Inchati. Avec elle, il découvre tout un univers de
sensualité inconnue, mais pas sans danger comme il le découvrira à ses dépends mais trop tard.
" Nue, Inchati avait la
beauté d'une statue : des épaules frêles et délicates, des seins en poire aux larges aréoles avec des tétons grenus, un ventre plat, une chute de reins très cambrée, un fessier haut perché
et arrogant, des jambes fines et musculeuses, un bas-ventre intégralement épilé, une peau douce et chaude comme du velours... [...]
Je la baisais dans toutes les positions, sans jamais me lasser du spectacle de ma queue blanche plantée au coeur de son sexe de femme noire. Mais mon
plaisir favori, c'était de l'enculer. Et tout en regardant ma bite plantée entre ses fesses ouvertes, je lui parlais à voix basse
:
- Tu la sens bien, ma grosse queue dans ton cul ? Remue tes fesses, Inchati, n'arrête pas de remuer tes fesses !"
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Mercredi 9 janvier 2008
3
09
/01
/Jan
/2008 14:34
Après de longues années de silence, le narrateur retrouve un camarade d'université à l'occasion du mariage de ce dernier. Or, il devient vite évident que ce mariage est pour le moins étrange. Et
voilà les deux amis en train de baiser ensemble la belle-mère du nouveau marié.
" Solange a allongé François sur le dos, à même le tapis de laine du Cachemire, puis agenouillée au-dessus de lui, elle s'est empalée sur sa
bite, me présentant le trou de son cul dilaté.
- Vas-y, me souffla François. Son cul est une vraie merveille, crois-moi !
- Oui, encule-moi, mon petit Michel, a ajouté Solange en se cambrant davantage pour déposer une noix de pommade lubrifiante sur son anus entrouvert.
J'ai posé la tête de ma bite entre ses fesses écartées, et elle est entrée toute seule, sans aucune résistance ; d'abord la tête pourpre du gland, puis
la colonne, centimètre par centimètre, jusqu'à la racine... Et, tout contre ma bite, je sentais celle de François, bite jumelle, juste séparée de la mienne par deux fines enveloppes de chair
saturée de désir. Le cul de Solange était effectivement une merveille, onctueux, aussi confortable qu'un vagin, à peine plus étroit, mais plus chaud...
Une fois bien calés, on a commencé à limer Solange, en alternance, comme une mécanique à deux pistons parfaitement huilés."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Mardi 8 janvier 2008
2
08
/01
/Jan
/2008 16:21
Le narrateur qui est parti faire sa vie de l'autre côté de l'Atlantique, apprend la mort de son oncle Robert. Il se rend aux obsèques et y retrouve une
lointaine cousine. Il se trouve qu'il doit partager avec elle un héritage bien insolite. Evidemment, leurs retrouvailles iront plus loin que prévu....
" Je m'assis à ses côtés et posai la main directement entre ses cuisses qu'elle écarta complaisamment. C'était bien ce que je pensais : elle était
quasiment nue là-dessous, avec juste un string mauve qui lui cachait à peine la touffe. Les poils de sa chatte étaient longs et soyeux. Florence était déjà trempée de désir. (...)
Avec les moyens du bord, ma bite, ma bouche et mes doigts, je me suis employé à lui procurer les plaisirs qu'elle me réclamait. Je ne sais si c'était
l'évocation de nos vacances passées, les effets de la cassette vidéo, ou plus simplement un manque de luxure au quotidien, mais Florence en voulait. Elle commença par me gratifier d'une bonne
pipe, comme pour me prouver qu'elle n'avait rien perdu de ses talents d'adolescente. Je retrouvai de lointaines sensations. Mais, depuis, Florence était devenue une femme mûre, avide de sexe plus
hard, sans ménagement. Alors, elle se laissa lécher la chatte et le cul, se prêta volontiers aux jeux de doigts dans le vagin et l'anus, se fit baiser et enculer sans réticence. Elle avait les
hanches généreuses, les tétons tojours aussi pointus, les seins lourds et la vulve huileuse. Elle m'encourageait des fesses et de la voix :
- Vas-y Michel, mets-la bien au fond, que je sente que ta bite me remplisse le con ! Oui, comme ça, plus vite ! Non, ne t'en va pas, pas
encore..."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Lundi 7 janvier 2008
1
07
/01
/Jan
/2008 09:50
Le narrateur qui est employé au tri postal rencontre fortuitement une de ses anciennes professeurs dans un bar de nuit. La femme l'invite à passer le
lendemain après-midi prendre le thé chez elle. Elle est veuve... L'alcool aidant, la visite de courtoisie tourne vite à la partie de cul :
" La croupe en l'air, madame Cabard agitait les bras et chechait de nouveau à saisir ma queue. Elle m'a empoigné avec autorité et attiré vers son cul Elle n'a pas eu besoin de lubrifier
la collerette déjà visqueuse : j'ai tout enfoncé d'un coup, jusqu'à ce que l'anneau de sa chair dilatée vienne toucher mes couilles. Dans son intestin, la chaleur était intense. J'en ai
totalement oublié que j'étais en train d'enculer une femme laide et ivre morte. En ces instants, elle n'était plus qu'un cul avec ma queue plantée en plein milieu, une vulve où je glissais
quatre doigts pour baratter la sève de son désir. madame Cabard rugissait avec force, contractait violemment ses sphincters sur ma bite de marbre...
Lorsque je lui ai tout lâché dans le boyau, elle a continué à s'agiter en attendant de toucher elle aussi au sommet de son plaisir."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
1
Dimanche 6 janvier 2008
7
06
/01
/Jan
/2008 10:57
Dans cette nouvelle, le narrateur, cadre dans une grande entreprise, est envoyé en mission de remplacement dans une sucursale de province, en plein hiver.
C'est la galère, jusqu'au dernier jour où bloqué par la neige, il ne peut reprendre la route de la ville. Il est amené à dormir chez une vieille fille célibataire au fessier rebondi qui va se
révéler une amante insatiable :
" Me reprenantt en main, elle m'entraîna par la bite vers sa chambre discrètement éclairée par une petite lampe de chevet qui laissait plus deviner qu'elle ne
dévoilait les tendresses du lit.
En deux mouvements, elle a quitté sa robe de chambre et relevé des deux mains sa chemise de nuit bien au-dessus de sa taille. Elle a tourné deux ou trois fois
sur elle-même, dévoilant tantôt son ventre rond, ses cuisses grasses, sa touffe drue, tantôt sa croupe rebondie où les deux globes laiteux de ses fesses étaient séparés par un sillon profond
et sombre qui se perdait dans les méandres de sa chair... Par devant, par derrière ? À votre convenance !
J'ai choisi l'envers du décor et, comme je la poussais doucement vers le lit, elle s'est laissé lentement basculer vers l'avant. Le buste sur les draps,
jambes écartées, elle est restée comme suspendue, le cul en l'air, à m'offrir la fascination de sa croupe de matronne."
illustration de Peter Fendi, le grand spécialiste des femmes callipyges.
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Derniers Commentaires