Mercredi 9 janvier 2008
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/2008 14:34
Après de longues années de silence, le narrateur retrouve un camarade d'université à l'occasion du mariage de ce dernier. Or, il devient vite évident que ce mariage est pour le moins étrange. Et
voilà les deux amis en train de baiser ensemble la belle-mère du nouveau marié.
" Solange a allongé François sur le dos, à même le tapis de laine du Cachemire, puis agenouillée au-dessus de lui, elle s'est empalée sur sa
bite, me présentant le trou de son cul dilaté.
- Vas-y, me souffla François. Son cul est une vraie merveille, crois-moi !
- Oui, encule-moi, mon petit Michel, a ajouté Solange en se cambrant davantage pour déposer une noix de pommade lubrifiante sur son anus entrouvert.
J'ai posé la tête de ma bite entre ses fesses écartées, et elle est entrée toute seule, sans aucune résistance ; d'abord la tête pourpre du gland, puis
la colonne, centimètre par centimètre, jusqu'à la racine... Et, tout contre ma bite, je sentais celle de François, bite jumelle, juste séparée de la mienne par deux fines enveloppes de chair
saturée de désir. Le cul de Solange était effectivement une merveille, onctueux, aussi confortable qu'un vagin, à peine plus étroit, mais plus chaud...
Une fois bien calés, on a commencé à limer Solange, en alternance, comme une mécanique à deux pistons parfaitement huilés."
Par michel koppera
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Mardi 8 janvier 2008
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/2008 16:21
Le narrateur qui est parti faire sa vie de l'autre côté de l'Atlantique, apprend la mort de son oncle Robert. Il se rend aux obsèques et y retrouve une
lointaine cousine. Il se trouve qu'il doit partager avec elle un héritage bien insolite. Evidemment, leurs retrouvailles iront plus loin que prévu....
" Je m'assis à ses côtés et posai la main directement entre ses cuisses qu'elle écarta complaisamment. C'était bien ce que je pensais : elle était
quasiment nue là-dessous, avec juste un string mauve qui lui cachait à peine la touffe. Les poils de sa chatte étaient longs et soyeux. Florence était déjà trempée de désir. (...)
Avec les moyens du bord, ma bite, ma bouche et mes doigts, je me suis employé à lui procurer les plaisirs qu'elle me réclamait. Je ne sais si c'était
l'évocation de nos vacances passées, les effets de la cassette vidéo, ou plus simplement un manque de luxure au quotidien, mais Florence en voulait. Elle commença par me gratifier d'une bonne
pipe, comme pour me prouver qu'elle n'avait rien perdu de ses talents d'adolescente. Je retrouvai de lointaines sensations. Mais, depuis, Florence était devenue une femme mûre, avide de sexe plus
hard, sans ménagement. Alors, elle se laissa lécher la chatte et le cul, se prêta volontiers aux jeux de doigts dans le vagin et l'anus, se fit baiser et enculer sans réticence. Elle avait les
hanches généreuses, les tétons tojours aussi pointus, les seins lourds et la vulve huileuse. Elle m'encourageait des fesses et de la voix :
- Vas-y Michel, mets-la bien au fond, que je sente que ta bite me remplisse le con ! Oui, comme ça, plus vite ! Non, ne t'en va pas, pas
encore..."
Par michel koppera
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Lundi 7 janvier 2008
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/2008 09:50
Le narrateur qui est employé au tri postal rencontre fortuitement une de ses anciennes professeurs dans un bar de nuit. La femme l'invite à passer le
lendemain après-midi prendre le thé chez elle. Elle est veuve... L'alcool aidant, la visite de courtoisie tourne vite à la partie de cul :
" La croupe en l'air, madame Cabard agitait les bras et chechait de nouveau à saisir ma queue. Elle m'a empoigné avec autorité et attiré vers son cul Elle n'a pas eu besoin de lubrifier
la collerette déjà visqueuse : j'ai tout enfoncé d'un coup, jusqu'à ce que l'anneau de sa chair dilatée vienne toucher mes couilles. Dans son intestin, la chaleur était intense. J'en ai
totalement oublié que j'étais en train d'enculer une femme laide et ivre morte. En ces instants, elle n'était plus qu'un cul avec ma queue plantée en plein milieu, une vulve où je glissais
quatre doigts pour baratter la sève de son désir. madame Cabard rugissait avec force, contractait violemment ses sphincters sur ma bite de marbre...
Lorsque je lui ai tout lâché dans le boyau, elle a continué à s'agiter en attendant de toucher elle aussi au sommet de son plaisir."
Par michel koppera
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Dimanche 6 janvier 2008
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/2008 10:57
Dans cette nouvelle, le narrateur, cadre dans une grande entreprise, est envoyé en mission de remplacement dans une sucursale de province, en plein hiver.
C'est la galère, jusqu'au dernier jour où bloqué par la neige, il ne peut reprendre la route de la ville. Il est amené à dormir chez une vieille fille célibataire au fessier rebondi qui va se
révéler une amante insatiable :
" Me reprenantt en main, elle m'entraîna par la bite vers sa chambre discrètement éclairée par une petite lampe de chevet qui laissait plus deviner qu'elle ne
dévoilait les tendresses du lit.
En deux mouvements, elle a quitté sa robe de chambre et relevé des deux mains sa chemise de nuit bien au-dessus de sa taille. Elle a tourné deux ou trois fois
sur elle-même, dévoilant tantôt son ventre rond, ses cuisses grasses, sa touffe drue, tantôt sa croupe rebondie où les deux globes laiteux de ses fesses étaient séparés par un sillon profond
et sombre qui se perdait dans les méandres de sa chair... Par devant, par derrière ? À votre convenance !
J'ai choisi l'envers du décor et, comme je la poussais doucement vers le lit, elle s'est laissé lentement basculer vers l'avant. Le buste sur les draps,
jambes écartées, elle est restée comme suspendue, le cul en l'air, à m'offrir la fascination de sa croupe de matronne."
illustration de Peter Fendi, le grand spécialiste des femmes callipyges.
Par michel koppera
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Samedi 5 janvier 2008
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/2008 11:19
Dans cette nouvelle, le narrateur est un jeune professeur de mathématiques qui est le souffre-douleur de sa directrice. Grâce à une lotion à l'androstérone,
il parvient à la séduire, du moins attribue-t-il son succès à ce produit miracle.
" Madame Rougerie reposa le téléphone et d'un coup de reins m'engloutit tout entier. j'eaus l'impression de m'enfoncer au coeur d'un essaim de méduses chaudes,
perpétuellement agitées de spasmes langoureux. C'était doux et visqueux.
Nous étions chevillés l'un à l'autre. moi debout, elle allongée perpendiculairement qui me retenait dans l'étau de ses cuisses. je lui caressais les seins et le
cou. De temps à autre, je passais une main impertinente sous ses fesses pour lui exciter l'anus qu'elle avait fort dilaté et trempé. Elle continuait inlassablement de se branler le clitoris tout
en serrant les dents pour contenir ses gémissements de plaisir.
Elle jouit une première fois, souffle bloqué, corps tendu.
- Attendez, souffla-t-elle en s'écartant pour fouiller dans la pile de papiers au coin du bureau.
Elle s'empara d'un formulaire officiel et, tout en me branlant de la main gauche, elle commença à rédiger :
Appréciation
générale : professeur qui a fait ses preuves professionnelles. Consciencieux et efficace, M. Legoff donne entière satisfaction. Note proposée : 30 sur 40
- Signez, s'il vous plaît ! dit-elle en glissant la feuille vers moi.
Par michel koppera
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Vendredi 4 janvier 2008
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/2008 09:57
Troisième nouvelle du recueil, "Coeur croisé" raconte l'initiation d'un adolescent aux jeux de l'amour. Cet apprentissage se fait en compagnie d'une
jeune fille d'un an sa cadette. Plus jeune certes, mais plus délurée. Dans l'extrait qui va suivre, elle initie le narrateur à la pratique du 69.
" Quelques contorsions plus tard, je n'avais plus devant les yeux que les globes de ses fesses blanches, réunies par un sombre vallon. On a coutune de dire que les premières fois
sont inoubliables, et on a raisn. Plus, ce sont les fondations mêmes de notre mémoire. Comment ne pas se souvenir de la saveur si particulière de son fruit exotique, juteux et tendre ? Comme
l'impression de plonger à pleine bouche dans la pulpe intarissable d'une mangue dénoyautée, d'une papaye égrenée... Plus rien d'autre n'existait. Rien, sauf ces sensations inconnues, au bas de
mon ventre, où je me devinais palpé, caressé, léché, absorbé... Chaleur intense de ses lèvres en fourreau et frémissement de ses cheveux déployés sur mes cuisses et mon ventre nus. Malgré
ses quatorze ans, elle engloutit sans hésiter toute ma jouissance qui s'écoula dans sa bouche juvénile."
j'ai perdu le nom de cet illustrateur. Si quelqu'un le
connaît, merci de me l'indiquer.
Par michel koppera
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Jeudi 3 janvier 2008
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/2008 10:01
Seconde nouvelle du recueil, "la bibliothèque rose" met en scène un couple et leur femme de ménage. Dans l'extrait qui va suivre, le mari regarde
par une sorte de guichet dérobé les deux femmes en train de se caresser.
" La femme de ménage esquissa une vague résistance, mais Valérie avait déjà pris possession de son ventre moite. Ses doigts caressants fouillaient dans le sombre buisson.
La femme de ménage poussa un gémissement, ses jambes fléchirent. Elle avait fermé les yeux.
Valérie lui saisit la main et la guida jusqu'au centre brûlant de son désir.
Elles en tremblaient toutes les deux. Valérie l'entraîna sur la moquette épaisse, posant ses lèvres sur sa bouche, sur ses seins lourds, entre ses cuisses ouvertes. De l'autre
côté, je jouissais sans discontinuer, flot après flot.
Maintenant intégralement nues, elles s'embrassaient ave passion, jambes nouées, sexe contre sexe, vulve à vulve, ventousées l'une à l'autre, mêlant leur fièvre et leurs
halètements..."
dessin de Hugdebert, un des maîtres du genre
Par michel koppera
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Mercredi 2 janvier 2008
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/2008 13:59
Pour commencer l'année, je vais vous présenter quelques extraits choisis des nouvelles qui constituent le recueil "Body Gym" paru en août
2007 aux éditions Le Cercle. Chaque extrait des 13 nouvelles de l'ouvrage sera accompagné d'une illustration (dessin ou photo). Je m'excuse par
avance auprès des illustrateurs dont j'utiliserai les dessins sans référernce à leur auteur ( références perdues ).
Voici donc le premier extrait, issu de la nouvelle 'Body Gym" qui a donné son nom au recueil.
" Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait ça en plein jour. J'en ai profité pour me gaver les yeux de sa chatte. Je l'ai regardée partout, écartant les lèvres pour voir à l'intérieur,
comme si je voulais la pénétrer avec un périscope, jusqu'au fond. J'y ai mis les doigts, j'y ai enfoncé la langue, mêlant ma salive aux sécrétions visqueuses qui coulaient de sa vulve
empourprée. ma bouche glissait aussi entre ses fesses où je lapais sa vallée culière sur toute sa longueur, du périnée au bas des reins, pointant un bout de langue curieux dans le trou
de son cul dilaté."
Par michel koppera
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Samedi 24 novembre 2007
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/2007 16:36
Donc, dernière page provisoire de l'album de Maximilien Bémol. On termine par la vision magique du ventre de Karpena, chapitre 13, page 233 :
" De ses doigts tremblants, il lui ôta sa culotte, et il fut enfin aux portes du temple. Maximilien sentit qu'il était en train de
vivre une sorte d'apothéose, que sa quête arrivait à son terme. Certes, il avait aimé plus que de raison la chatte de Teresa, mais cette fois, il touchait au divin. Que dire ? Il y avait des
poils partout, mais ce n'était pas le chaos. Le bas-ventre velu de Karpena n'était qu'abondance et harmonie : poils lisses et raides du pubis, poils un peu frisés aux abords de la vulve,
poils épais et moussus de la raie culière, poils courts au creux des reins, poils bouclés sur la peau tendre en haut des cuisses...
Mais le paradis était encore au-delà. "
Par michel koppera
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Jeudi 22 novembre 2007
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Chapitre 7, page 74. Dans lesecret de leur intimité, Teresa se présente devant Maximilien.
" Alors,
d'un geste solennel, Teresa dénoua la ceinture de son peignoir qu'elle ouvrit en grand, dévoilant d'un coup l'impudeur lascive de son corps presque nu. Elle était en bas noirs et
porte-jarretelles de dentelle blanche. Elle portait aussi un soutien-gorge pigeonnant qui soulevait ses mamelons aux aréoles d'un brun soutenu, et surtout une culotte, blanche elle aussi,
moulante à l'extrême, beaucoup trop étroite pour cacher sa pilosité charbonnière."
Par michel koppera
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