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Samedi 24 novembre 2007 6 24 /11 /Nov /2007 16:36

Donc, dernière page provisoire de l'album de Maximilien Bémol. On termine par la vision magique du ventre de Karpena, chapitre 13, page 233 :
     " De ses doigts tremblants, il lui ôta sa culotte, et il fut enfin aux portes du temple. Maximilien sentit qu'il était en train de vivre une sorte d'apothéose, que sa quête arrivait à son terme. Certes, il avait aimé plus que de raison la chatte de Teresa, mais cette fois, il touchait au divin. Que dire ? Il y avait des poils partout, mais ce n'était  pas le chaos. Le bas-ventre velu de Karpena n'était qu'abondance et harmonie : poils lisses et raides du pubis, poils un peu frisés aux abords de la vulve, poils épais et moussus de la raie culière, poils courts au creux des reins, poils bouclés sur la peau tendre en haut des cuisses...
    Mais le paradis était encore au-delà. "
 

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Jeudi 22 novembre 2007 4 22 /11 /Nov /2007 18:20

Chapitre 7, page 74. Dans lesecret de leur intimité, Teresa se présente devant Maximilien.
      " Alors, d'un geste solennel, Teresa dénoua la ceinture de son peignoir qu'elle ouvrit en grand, dévoilant d'un coup l'impudeur lascive de son corps presque nu. Elle était en bas noirs et porte-jarretelles de dentelle blanche. Elle portait aussi un soutien-gorge pigeonnant qui soulevait ses mamelons aux aréoles d'un brun soutenu, et surtout une culotte, blanche elle aussi, moulante à l'extrême, beaucoup trop étroite pour cacher sa pilosité charbonnière."

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Mercredi 21 novembre 2007 3 21 /11 /Nov /2007 16:02

Chapitre 4, page 66, Maximilien Bémol se trouve pour la première fois dans un sex-shop, et voilà ce qu'il voit :
        "Derrière la caisse, il y avait un grand poster épinglé au mur. En relief, en trois dimensions, un truc à se fatiguer la rétine. D'une main lasse, le caissier lui tendit une paire de lunettes : un verre bleu, l'autre rouge. Atttention les yeux ! Comme par miracle, tout rentrait dans l'ordre, le brouillard prenait forme. Un mètre sur deux. Une femme blonde à la poitrine qui s'avançait dans le vide et menaçait de s'effondrer sur la tête du caissier. Les lèvres aspirantes, le ventre rond et surtout le sexe béant, au fond de l'entonnoir des cuisses écartées. la femme s'ouvrait la vulve avec les doigts et, à travers les lunettes, c'était comme si elle appelait Maximilien pour lui offrir une tranche de ses lèvres vaginales à sucer. Le clitoris pâle ressemblait à un petit os déboîté qui cherchait à percer sous la chair."

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Mardi 20 novembre 2007 2 20 /11 /Nov /2007 17:39

Chapitre 11, page 174, suite de l'exposé de Charles
     " Il parla surtout du ventre d'une Indienne qui négociait ses charmes à Udaïpur, au débarcadère d'un palace posé sur le lac Pichola.
     - Ah, Maximilien, si tu l'avais connue, elle t'aurait converti à l'hindouisme et aujourd'hui, tu ne mangerais plus ni viande, ni oeufs... Rien que des lentilles au yaourt ou du chutney à la mangue... Tout ça pour le plus beau ventre du monde. Le Dekan magique... Imagine un peu, Maximilien, des poils longs et souples comme des algues, très noirs, si noirs que tu crois que tu as perdu la ve, et innombrables comme des brins de vermicelle... Devant, derrière, partout ! Et la vulve,Maximilien, je ne te dis pas : un coquillage des mers chaudes, une vulve luisante comme une porcelaine...
      Rien que d'y penser, les yeux fermés, Maximilien contracta une érection décisive et sans rémission."

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Lundi 19 novembre 2007 1 19 /11 /Nov /2007 11:11

Toujours chapitre 11, aux pages 180-181. Maximilien se retrouve aux côtés d'une compagne de passage:
    " Maximilien avait glissé sa culotte de coton jusqu'à ses pieds pour libérer ses jambes. Longues cuisses douces, glabe émouvant du mollet. Sa main retrouva sans peine le chemin de sa touffe drue, balancée au rythme de ses reins... Ses doigts à elle ont rampé sur le ventre de Maximilien, à sa rencontre. Petites touches délcates, professionnelles... Sables mouvants du désir. Penché au-dessus d'elle, juste avant d'y coller ses lèvres, il aperçut la grande étoile brune au ciel sans nuage de ses fesses. Elle se cabra davantage, des deux mains ouvrant son ventre pour l'accueillir tout entier. Les yeux clos, elle souriait. Elle était maintenant à genoux, dans l'attente. Temps suspendu... "

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Dimanche 18 novembre 2007 7 18 /11 /Nov /2007 18:40

Chapitre 11, page 184 : 
        " De retour dans le pot-au-noir de la chambre 417, Maximilien trouva refuge contre les seins d'une femme infidèle, épouse d'un marin sans escale. Elle était blonde intégrale, de la tête à la touffe, en salopette bleue, recroquevillée dans un fauteuil, à se sucer le pouce en jouant les gamines trentenaires, à siroter des ballons de muscadet tiède..." 

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Samedi 17 novembre 2007 6 17 /11 /Nov /2007 09:08

Chapitre 7, page 95, Teresa exhibe son ventre velu devant Maximilien.
     " Se laissant aller dans les profondeurs du fauteuil, Teresa projeta son ventre en avant, comme un don. Elle lui montra son sexe, d'abord moulé dans son voile de dentelle, puis seulemnt habillé de sa merveilleuse fourrure anthracite. Elle avait parfumé sa touffe d'une goutte de patchouli et fardé de rouge les grandes lèvres de sa vulve pour en souligner l'abondance charnue. Ecartelée en grenouille sur le fauteuil, elle écarta des deux mains les épaisses crêpelures de sa noire toison, révélant les chairs nacrées de sa vulve. Devant le sexe en gloire de Maximilien, elle se livra à une voluptueuse danse du ventre, lui montra dans le détail les spasmes secrets de son vagin, vagues de désir qui lui dilataient l'anus et, sous les yeux fascinés et respectueux de son amant, sa vulve s'ouvrait et se fermait comme une bouche d'enfant qui aurait voulu parler. Par de petits caresses circulaires au plus haut de sa fente, elle parvint aussi à obtenir une érection durablede son clitoris qu'elle avait bien développé et sensible. l'envie d'y porter la bouche et la langue en devenait presque inupportable."

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Vendredi 16 novembre 2007 5 16 /11 /Nov /2007 17:32

Chapitre premier, page 16 : Maximilien Bémol se trouve avec Bénédicte Flamand, la jeune fille qui lui est promise. Ils sont tous les deux seuls, dans la chambre de Maximilien.
    " Alors, il glissa ses doigts dans la culotte de Bénédicte et commença à lui masser la fente. Elle se mit à onduler du bassin en cadence, à se tortiller de façon un peu ridicule en répétant "Oui !...Oui !". Il voulut voir ça de plus près : elle souleva les hanches pour faire glisser la culotte jusqu'à ses pieds. Désormais , elle était couchée la jupe retroussée sur la taille, le ventre nu, sans défense, offert, ouvert. En un seul regard, Maximilien vit la vulve éclaboussée de mouillure, les nymphes dépliées, le clitoris comme un grain de riz, la touffe blonde et clairsemée, aux poils si rares et si fins qu'on voyait la peau à travers..."
    

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Jeudi 15 novembre 2007 4 15 /11 /Nov /2007 18:04

Chapitre 3, page 51 , Maximlien vient de coiffer pour la première fois la touffe de Teresa :
     " Madame Dos Santos parut fort satisfaite de sa nouvelle coiffure pubienne. Emue aux larmes, elle ne se lassait pas de l'admirer dans le miroir. Son ventre avait perdu de sa sauvagerie animale ; les mèches égalisées et les boucles presque sages l'avaient domestiqué.(...) Elle passait ses doigts intimidés à travers les boucles noires, pareille  une mère jouant  avec les cheveux de son premier enfant."
  

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Mercredi 14 novembre 2007 3 14 /11 /Nov /2007 14:20

Voici maintenant la rencontre de Maximilien Bémol avec la Maréchale, chapitre 13, page 221 :
    " La Maréchale était vautrée dans un canapé de cuir rouge sang ; ses gros seins grumeleux en érection débordaient de sa nuisette retroussée haut sur son ventre échevelé. La toison de la Maréchale avait quelque chose de monstrueux. C'était une formidable masse de poils d'un brun foncé, avec quelques nuances plus claires aux abords de la vulve. Cette masse sombre lui recouvrait entièrement le bas de l'abdomen ; le nombril lui-même était pris dans cette savane obscure. Le pelage se répandait aussi entre les cuisses et comblait généreusement le sillon fessier, ébauchant même, au creux de ses reins, une sorte de second triangle pubien, peut-être encore plus obscène que le premier."  

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