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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le Roman de Violette est paru sous le manteau en 1882 à Bruxelles sous le libellé suivant : " Le roman de Violette, chez Antonio de Boa-Vista, Lisboa,
1870." La paternité de ce roman libertin est obscure : attirbué successivement à Alexandre Dumas père, à Théophile Gautier, Alexandre Dumas fils ou à Maupassant, il semble qu'une certaine
dame Mauriac de Boissiron en soit l'auteur, même si cette identité ne soit sans doute qu'un pseudonyme.
L'ouvrage fut réédité en 1976 par EURODIF dans la collection Aphrodite Classique, n° 17. C'est de cette rééédition qu'est extrait le passage que je vous propose ( pages 184-185): Scène de
masturbation avec godemiché gicleur des plus perfectionnés pour l'époque :
" Florence se sentit prise
de vertige ; elle remplit le bijou d'ivoire d'un lait nouveau, se renversa en face du lit sur la chaise longue, écarta ses lèvres, et caressant son clitoris d'une main, elle appuya de l'autre
main le gland du godemiché contre la membrane de l'hymen. Mais bientôt, elle s'aperçut que dans cette position, elle perdait une partie de ses forces : elle en chercha donc une autre. Elle
rapprocha deux oreillers de la causeuse, s'appuya doucement dessus, se réservant d'appuyer quand elle serait sûre de trouver dans le plaisir un auxilliaire contre la douleur ; puis, elle commença
de chatouiller de la main droite, tandis que de la main gauche, elle empêchait le bijou de vaciller, soit en avant, soit en arrière, avec une science admirable qui lui venait de l'habitude ; elle
harmonisa les mouvements des reins avec la progression du plaisir, appuyant peu à peu, laissant toujours la douleur en arrière de la jouissance, puis sentant le plaisir arriver, elle s'abandonna
à toute sa pesanteur, poussa un cri, mais n'en appuya que plus fort, poussa un second cri, lâcha le ressort, se sentit envahir par un flot d'amour, poussa un troisième cri, mais de plaisir, mais
de bonheur, et donnant avec la main un mouvement de va-et-vient au bijou royal, elle acheva de jouir en se renversant en arrière en se tordant comme une couleuvre."
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