inédits

Mercredi 30 août 2017 3 30 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 8

8 ) Le reste de la bande se resserre autour de moi. J’appréhende ce qui m’attend. Je ss-9suis toujours en levrette la croupe offerte. Je me souviens de plusieurs mains me palpant violemment les fesses et les seins, une grosse queue noire forçant ma bouche pour y déverser un torrent de foutre alors que derrière moi les queues se succédaient pour inonder mon cul et ma chatte. Puis ils se calment, je commence à espérer que c’est fini car je suis épuisée. Je réalise que je me suis trompée quand je sens plusieurs doigts s’enfoncer dans mon anus. Le foutre que je viens de recevoir lui rend la tâche facile. La pression est de plus en plus forte. Je comprends rapidement que le monstre qui est derrière moi essaye de me fister….

- Non, Non, Arrête tu vas me déchirer !

Mes protestations n’y font rien. Je ne peux que subir et me laisser faire. Plus tôt cela sera terminé, mieux je serai.

-Salope, écarte bien tes grosses fesses de bourge et pousse pour ouvrir ton cul, tu auras moins mal !

Je m’exécute, attrape mes fesses et les ouvre au maximum. Je ne peux le croire mais je sens mes sphincters s’ouvrir sous la pression de l’intrus. Sa main glisse toute entière en moi jusqu’au poignet. Plusieurs spasmes partis de mon ventre secouent mon corps, ma tête tourne, je me sens partir……

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 Nous rentrons sur Paris. Je rentre sans culotte ni soutien-gorge car les garçons me les ont confisqués pour les ajouter à leur trophées. Tous mes orifices, mes seins, mes fesses sont encore souillés de leur foutre car je n’ai pu me doucher avant de partir.

Michel très calmement me demande :

- Comment te sens-tu ? C’était bon ?

- Je suis épuisée, mon corps me fait mal, mais j’ai aimé.

- Et toi ? As-tu aimé bien que tu n’aies pas vu grand-chose ?

- Oui j’ai beaucoup aimé. En fait ils m’ont laissé rentrer quand Rachid a commencé à te déshabiller.

- Tu veux les revoir ?

- Oui peut-être…..

FIN

© Lida, juillet 2017

PS : Nous ne pratiquons Michel et moi que le sexe protégé, c’est-à-dire avec des préservatifs, malheureusement, et c’est ce qui s’est passé lors de cette aventure même si j’aurais bien aimé sentir le foutre chaud de mes amants dans mon ventre comme dans l’histoire.

PS : Je recevrai vos commentaires avec grand plaisir !

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Lundi 28 août 2017 1 28 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 7

7 ) Il écarte très fort mes fesses jusqu´à me faire mal. Ses deux pouces s’enfoncent ss-8profondément dans mon anus puis s’écartent pour l’ouvrir d’avantage. Le bout de son énorme queue vient se poser dans le creux ….Ommmm que c’est bon, j’anticipais ce moment avec impatience. Je sens la pression de son gland sur mon sphincter s’accroître. Il est gros, il est très gros. Je ne sais pas comment je vais faire pour le recevoir car je ne me suis jamais faite enculer par quelque chose d’aussi monstrueux. Michel me suggère toujours de « pousser » quand il force ma rosette. Je suis son conseil et pousse au maximum pour aider Fadi à enfoncer son pieu dans mon cul sans me faire déchirer. Je le sens rentrer millimètres par millimètres. Il me fait mal mais c’est bon….

- Haiii, vas-y doucement, tu me fais mal…

- Ton cul est vierge ou quoi ? Ton mec t’encule de temps en temps ?

- Oui mais tu es très gros. Je n’ai jamais pénétrée par une queue aussi grosse que la tienne.

Il se retire doucement. Rachid s’approche de nous et lui tend un tube.

- Fous-lui ça dans le cul, cela t’aidera.

Fadi vide une grosse giclée de lubrifiant dans mon anus et le fait pénétrer avec ses longs doigts tout en me gardant ouverte. Il revient à la charge et force son pieu dans mon cul mais cette fois il le pousse jusqu’à ce que je sente ses couilles buter contre mes fesses. Fadi est arrivé à ses fins et a pris possession de ce que j’avais de plus intime, mon anus. Il s’arrête un moment comme pour savourer sa victoire. Je suis sa chienne et il veut maintenant me saillir pour me faire sentir qu’il est le maître.

Toujours enfoncé en moi, Fadi monte sur le bord du matelas et se relève sur ses jambes, se retire un peu et commence son va et vient. Son rythme s’accélère. C’est bon !!!! Sa queue ressort complètement de mon cul qui reste béant et ouvert. Je cambre mes fesses vers lui pour lui faire comprendre que j’attends autre chose….

- Fadi, encule moi fort, donne-moi ta grosse queue.

- Tu en veux salope, la voilà…

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Sa queue réinvestit brutalement mon anus. Maintenant il se déchaîne et me monte comme un jockey les pieds dans les étriers. Je sens mon plaisir monter du fond de mon ventre à chaque à chacun de ses coups de boutoir. Il s’excite lui aussi. Je perds le contrôle quand un massif orgasme explose en moi. Fadi se cambre et je sens ses giclées de foutre chaud inonder mon boyau.

Fadi se retire de ma rondelle dilatée laissant s’échapper un ruisseau de foutre qui coule le long de mes cuisses.

Rachid s’approche.

-Allez les mecs, elle est à vous !

      à suivre...

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Vendredi 25 août 2017 5 25 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 6

ss-7-16 ) Abdul, un beau noir d’une vingtaine d’années tout nu s’approche et s’allonge sous moi et positionne son visage sous mes seins pendant qu’il commence à palper doucement avec ses doigts très longs. C’est très agréable, et j’en redemande en cambrant ma poitrine et en soupirant. Ses caresses deviennent un peu plus fermes. Il empoigne maintenant mes mamelles et commence à les allonger en les tirant vers le bas. J’ai un peu mal mais je veux vivre l’expérience. Ses lèvres commencent à sucer mon téton droit et à le mordiller, il aspire toute l’extrémité de mon sein dans sa bouche. Jusqu’où va-t-il aller ? Il suce tellement fort que mon mamelon me brûle. Il me malaxe les mamelles et les tire vers le bas et les laisse rebondir vers le haut.

Karim m’enfonce sa queue dans la bouche.

Rashid s’agenouille derrière moi, il me donne plusieurs claques sur les fesses avant de les écarter brutalement. Il promène maintenant le bout de sa bitte épaisse dans la raie de mon cul puis descend doucement jusqu’aux poils de ma chatte. Ses doigts caressent mon anus. Hum !!! C’est intenable tellement c’est bon. Je cambre mes fesses vers lui pour lui faire comprendre que je suis prête à le recevoir. Sa queue vient buter sur les lèvres de ma chatte, je cambre un peu plus mon derrière pour qu’il m’enfile, Je gémis de plaisir. Il est énorme et me fait un peu mal mais je dois le supporter. Rien ne l’arrête maintenant, il me pénètre de toute sa longueur jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes cuisses. Il commence à me saillir avec de longs va et vient, il se retire complètement pour laisser ma chatte béante. Il me force à nouveau. Ses doigts écartent mes fesses et s’intéressent à mon anus.

- Non pas ça, tu es trop gros.

Il ressort de ma chatte pour me décharger plusieurs giclées de foutre bien épais entre les fesses. Je sens son foutre ruisseler le long de mes cuisses et sur mes bas. Ses doigts étale son jus dans ma raie et en lubrifie mon anus. Que me réserve-t-il ?

- Fadi, viens là, fais lui péter la rondelle avec ta grosse teub.

Fadi, un beau lascar basané sort du groupe s’approche de nous en souriant. Il ne bande pas encore mais sa queue qui n’est que demi dure me fait peur.

-Toi, t’es comme toutes les salopes de bourgeoises mal baisées qui passent ici, tu viens pour notre teub. Avoue que c’est vrai, avoue que ton mec ne sait pas te baiser. Dis-moi que tu as besoin de grosses queues dans ton gros cul de salope.

Fadi me donne plusieurs claques sur les fesses.

- Oui Fadi, mon mari ne sait pas me sauter. J’ai besoin de grosses queues dans mon gros cul de salope…

- Avoue que ton mec et toi, vous êtes venus pour cela, pour que tu te fasses monter par tous mes copains.ss-7-2

Nouvelle fessée, il me fait mal. Même si c’est vrai, je ne peux quand même pas l’admettre… Mais si c’est cela qu’il veut entendre, autant le lui avouer, cela le calmera peut-être.

- C’était une idée de mon mari. Il voulait me voir prendre par plusieurs arabes.

- Et toi tu étais d’accord ?

- Oui, cela m’excitait.

Je vois que notre conversation l’excite. Sa queue est maintenant bien bandée et cela me fait peur de savoir que dans un moment cet énorme engin va forcer mon cul.

Fadi s’agenouille derrière moi. Ses mains écartent brutalement mes fesses meurtries et ses doigts commencent l’exploration de ma raie. C’est bon. Je ne peux m’empêcher de gémir et cambrer mes fesses pour lui faire comprendre que c’est bon….

- Regardez les mecs, c’est une vraie chienne en chaleur !!!!!

Il force plusieurs doigts dans ma chatte puis remonte vers mon anus qu’il pénètre sans douceur. Il ressort et crache plusieurs fois sur ma rondelle. Ses doigts reviennent à la charge et me fouillent profondément avant de se retirer en me laissant grande ouverte. Je sens qu’il s’excite.

- Tu veux ma grosse teub alors ouvre-toi bien.

 

à suivre...

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Mercredi 23 août 2017 3 23 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 5

5) Me déshabiller devant eux est moins difficile que je ne l’avais imaginé. Cela m’excite d’ailleurs !

Je fais glisser la fermeture et ma jupe descend toute seule à mes pieds. Je ne peux m’empêcher de couvrir mon pubis avec ma main tellement je me sens vulnérable.

ss-6- Tourne et penche-toi encore qu’on voie ton cul, Ecarte tes jambes.

J’obtempère et je sens la ficelle de mon string creuser entre les lèvres de ma chatte et mes fesses. Je sens la dizaine de paire d’yeux qui étudient mon anatomie, s’imaginant déjà prêts à me forcer.

- T’as de belles fesses, écarte-les bien avec tes mains que les mecs se rincent l’œil.

Je me rappelle l’avoir fait ce matin pour Michel.

J’ai la chatte en feu et je sens ma mouille imprégner mon slip et passer sur le côté, elle va couler le long de mes jambes et les mecs vont le voir…

- Retire ton slip et donne-le moi, pour que je l’ajoute à nos trophées de chasse.

Je m’exécute et descends le petit morceau de dentelle le long de mes jambes et le tends à Rachid qui plonge son nez dedans.

- Les copains, cela sent la chatte de bourge en chaleur, et elle mouille en plus, sa culotte en est trempée. Penche-toi encore salope et montre-moi ton cul.

- Regardez, elle a la chatte touffue mais elle n’a pas de poils au cul.

Il pose une main sur mes fesses et avec l’autre promène ses doigts dans ma raie, titille mon anus avant de descendre jusqu’à ma chatte où il plonge plusieurs doigts découvrant l’indéniable évidence que j’ai la chatte en feu.

- Les mecs on va s’amuser, elle est complètement trempée. Elle veut de la queue. Encore une qui a besoin d’être saillie comme une vraie chienne en chaleur.

Tu garderas tes bas et ton porte-jarretelles, cela te donne l’air d’une vraie pute.

Les autres machos commencent à ouvrir leurs pantalons et sortir leurs queues. Ils se masturbent en me regardant en ayant l’air de me dire :

- Tu vas voir salope, je vais te mettre ça dans le cul !ss-6-1

Rachid me fait asseoir sur le bord du matelas crasseux et descend son pantalon. Je comprends pourquoi il est le chef du gang à la taille de la queue qu’il me présente. Sa queue marron foncé, épaisse et longue est complètement rasée y compris ses très grosses couilles qui pendent très bas.

- Suce ma queue, salope !

Je m’exécute et prends l’énorme membre entre mes lèvres en titillant le bout avec ma langue. Cela ne lui suffit visiblement pas car il prend ma tête et force sa queue au fond de ma gorge. J’étouffe. Il retire sa queue pour me laisser reprendre mon souffle et replonge à nouveau dans ma gorge. Il se retire et me fait sucer ses couilles. C’est bon…

- Mets-toi à quatre pattes sur le matelas comme une chienne en chaleur que tu es. On va te saillir par tous les trous… Abdul, c’est l’heure de la traite, tu vas probablement pouvoir lui tirer du lait…Karim tu lui fais une gorge profonde…Pendant ce temps là, je vais la dépuceler. Tu vas voir, ça va être autre chose que la petite queue blanche de ton mec.

 

à suivre...

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Lundi 21 août 2017 1 21 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 4

ss-54 ) À partir de ce moment, tout se passe très vite. Plusieurs mecs parlant en arabe s’excitent autour de moi. Des mains pelotent déjà mes fesses sous la minijupe. On me pousse dans le fond du hall vers la porte du sous-sol. Nous descendons des escaliers puis suivre un long couloir sombre jusqu’à la porte ouverte d’une cave. C’est là que cela va se passer. La pièce très sombre n’est éclairée que par une seule ampoule. Cela sent un mélange de moisi et de sueur. Mes yeux s’habituent à la pénombre, je distingue le visage de plusieurs arabes et noirs autour de moi. Visiblement tout a été minutieusement préparé. Ils savaient qu’ils allaient nous intercepter en redescendant. Un matelas crasseux est jeté sur le sol. Un fil tendu en travers de la pièce supporte un assortiment de culottes et soutien-gorge. Je ne suis visiblement pas la première à être passée ici. Cela me rassure un peu. La porte se referme. Je me retourne pour chercher le visage de Michel mais je ne le vois pas. Je panique.

- Fumiers, où est Michel. Je veux qu’il soit là.

- T’inquiète pas, il va venir.

Je me retrouve seule avec une dizaine d’hommes en rut. Plusieurs palpent déjà leur paquet à travers leur pantalon en me dévisageant pour me faire comprendre qu’ils me réservent quelque chose…

L’arabe qui m’avait tapé à l’œil à l’entrée et semble être le chef du gang s’approche de moi.

- Mon nom est Rachid. C’est quoi ton nom ?

Je reste muette pour feindre un peu de résistance.

- Bon, ça ne fait rien, on va t’appeler Salope alors… Tu sais que tu es bien branlée et que tu as un beau cul. Si tu fais ce qu’on te dit, on ne te fera pas de mal et tu auras du plaisir. Tu sais que toutes les bourges qu’on baise ici reviennent toutes pour en avoir plus.

Rachid s’approche et palpe mes seins au travers de mon corsage.ss-5-2

- Dis donc, t’as des gros nibards, montre-nous les, enlève le haut.

- Non pas ça.

Je proteste pour la forme car je préfère enlever moi-même mon chemisier plutôt que de les laisser le faire. Je m’exécute et révèle le clivage de ma poitrine à la vue de ces mâles. J’ai beaucoup de mal à dissimuler mon excitation. Je sens mes tétons durcir et la mouille ruisseler de ma chatte humectant mon slip.

Rachid promène ses mains sur mon soutien-gorge. Ommmm que C’est bon ! Il plonge maintenant ses doigts dans mes bonnets pour en extraire mes seins et les laisser pendre hors de mon soutien. J’aimerais tant que Michel puisse me voir ainsi…

Rachid reprend :

- Regardez les gars, de vraies mamelles de bourge salope comme on les aime. Abdul, toi qui kiffe les gros nibards de bourges tu vas pouvoir te régaler et lui faire la traite… Retire ton haut et ton soutien maintenant…. Voilà superbe ! Donne-le-moi

Il jette mon soutien-gorge aux gars qui commencent à siffler et lancer des cris de fauves. Celui qui l’attrape met son nez dedans pour le sentir puis le descend  sur sa braguette et se masturbe avec.

- Penche-toi bien vers eux pour leur montrer tes mamelles. Tiens-les et suce-les…

Je me redresse, Rachid en profite pour me pincer très fort les tétons, m’arrachant un cri de douleur.

- Tu aimes salope. Maintenant, tu retires ta jupe. Tu sais que tu es fringuée comme une vraie pute…

      à suivre...

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Vendredi 18 août 2017 5 18 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 3

ss-43 ) - Nous allons faire semblant de monter rendre visite à quelqu’un de l’immeuble pour tâter le terrain et tester la réaction des gars. Es-tu d’accord ?

Nous descendons de la voiture, tous les visages se tournent vers nous et surtout sur moi…. Mes jambes commencent à trembler, je me sens particulièrement vulnérable. Michel me donne la main et me guide vers les premières marches extérieures en haut desquels campe notre comité d’accueil.

Les gars s’écartent et nous laissent passer. Michel se dirige vers les boites à lettres qui sont presque toutes éventrées et fait semblant de vérifier un nom d’occupant. Nous commençons à gravir les premières marches. Les gars commencent à siffler. Je réalise qu’ils ont pleine vue sur mes fesses que ma minijupe ne cache guère. Ils commencent à s’agiter sérieusement. Nous continuons à gravir les escaliers jusqu’au premier palier. Nous entendons d’en bas.

- Jolie ta meuf, beau cul !

- Les gars, on va se la faire celle-là ?

- Ma Chérie, je crois que cette fois tu vas passer à la casserole si tu en as toujours envie bien sûr. Tu peux encore changer d’avis et je n'aurais qu'à appeler les flics pour qu’ils viennent nous libérer et nous frayer un chemin.

Mes jambes commencent à faiblir et mon excitation initiale est devenue une horrible peur.

Nous avons maintenant le choix. Faire une sortie en force et dans ce cas je reste sur ma faim ou me faire violer par la bande de chiens qui nous attendent en bas (ce dont je rêve depuis de nombreuses années).

 Michel me serre contre lui et me pince un téton.

- Il est dur !

Sa main descend entre mes jambes jusqu’à ma chatte qu’il tâte au travers de mon slip.

- Tu mouilles salope, tu en as envie alors…. Alors allons-y…

- D’accord mais tu dois rester à mes côtés car ils me font peur.

- OK promis, on redescend.ss-4-1

Mon cœur bat la chamade. Michel me tient la main comme pour m’encourager. Je sais qu’il a très envie de me voir prise par plusieurs hommes et surtout des arabes.

Les escaliers me paraissent trop courts cette fois.

Notre comité d’accueil nous attend maintenant au niveau des boites à lettres et nous barre le passage.

D’où nous nous trouvons maintenant, les lascars regardent sous ma jupe et je ne peux rien faire pour cacher mon intimité. Ils ont pleine vue entre mes cuisses.

Nous atteignons la dernière marche mais ils ne s’écartent toujours pas.

Le chef du gang, un arabe pas vilain d’ailleurs nous interpelle.

- T’as une belle meuf. Les mecs et moi on veut la baiser. Tu nous la prêtes ?

Michel prétend ne pas être d’accord et proteste.

- Non mais vous déconnez les mecs. Elle est trop bien pour vous…

- De toute façon, t’as pas le choix : on va pas te laisser sortir d’ici sans qu'on se la fasse. T’es venu pour la faire baiser par nos grosses teubs, t’es pas le premier…

La négociation tourne court. Michel est visiblement prêt à faire des concessions et ne veut surtout pas faire échouer notre plan.

- OK les gars, mais à la condition que vous ne lui fassiez pas de mal, que vous mettiez des capotes et que je puisse rester à côté d’elle pour voir ce que vous lui faites.

      à suivre...

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Mercredi 16 août 2017 3 16 /08 /Août /2017 08:00

"Symphonie en sous-sol", chapitre 2

ss-32 ) Nous profitons d’être de passage dans la capitale pendant les vacances d’été pour essayer de mettre notre fantasme à exécution après en avoir longuement discuté et malgré les risques dont nous sommes bien conscients. L’histoire qui suit est très proche de ce qui s’est passé lors de cette aventure qui restera dans nos mémoires à tout jamais.

Michel, mon mari a veillé à me sélectionner lui-même une tenue très pute afin d’exciter les mecs.

Il m’a préparé sur le lit un minuscule slip ficelle noir, des bas et porte-jarretelles noirs, un soutien-gorge noir très ouvert révélant mes mamelons, une minijupe très mini à raz de la chatte mettant mes fesses en valeur, Un corsage blanc très transparent.

Je sors de la salle de bain ainsi affublée et me présente à Michel. Son sifflement m’en dit long….

- Tourne-toi et penche-toi en écartant tes jambes.

- Tu es un vieux cochon !

Je m’exécute.

- Superbe, tu es magnifique, tu vas les rendre complètement fous. Tu ferais même bander un pédé. Si tu es prête alors on y va !

Nous prenons la voiture et sortons de Paris. Nous sommes sur le périphérique en direction de l’Est et sortons par la bretelle de Rosny sous Bois.

Un quart d’heure plus tard nous conduisons entre les barres d’immeubles de cette banlieue si réputée. Nous tournons un moment pour repérer un endroit propice à ce que nous venons chercher.

Plusieurs lascars arabes et africains désœuvrés semblent monter la garde devant une cage d’escalier.

Michel me demande si cela me convient.

- Oui cela me va, de toute façon on verra bien !

Nous nous stationnons à proximité.

 

à suivre...ss-3-1

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Lundi 14 août 2017 1 14 /08 /Août /2017 08:00

En janvier 2015, j'avais mis en ligne un texte de Lida intitulé "Le soutien-gorge rouge" "Le soutien-gorge rouge" suivi le lendemain de quelques photos coquines de la narratrice Lida .

Lida a récidivé en m'adresant une longue nouvelle où elle met en scène ses fantasmes qui mêlent réalité et désirs. J'ai appelé cette nouvelle "Symphonie en sous-sol", accompagnée d'images parfois intimes de Lida. Elle attend vos commentaires qui, elle l'espère, seront nombreux.

Symphonie en sous-sol, chapitre 1

ss1 ) Comment suis-je arrivée ici ? Me voici dans la pénombre d’une cave crasseuse d’un HLM de banlieue prise par un étalon arabe qui force son énorme queue dans mon anus endolori et cela devant un groupe d’une dizaine d’hommes en rut qui attendent leur tour la queue à la main en se branlant. Il y a dans l’air une odeur mélangée d’humidité et de foutre dont je suis toute souillée des cheveux aux fesses….Mes seins meurtris d’avoir été pincés et sucés par les mains et bouches de mes agresseurs sont terriblement sensibles. Mes trous me font mal à chacun de leur va et vient….

Je suis Lida, asiatique, bourgeoise mature et salope d’après Michel mon mari.

Je vous donne quelques détails pour vous mettre en appétit…

Mes mamelles généreuses, naturelles, un peu pendantes et ramollies, ornées de gros mamelons et tétons marron adorent être malmenées et sont très sensibles.

Ma chatte garnie d’une abondante toison noire laisse cependant deviner mes épaisses lèvres marron. Ecartez mes fesses assez généreuses et vous y découvrirez la rosette de mon cul totalement dépourvu de poils (naturel).

Nous partageons, Michel et moi, depuis de nombreuses années tous nos fantasmes même les plus inavouables. L’un de nos scénarios favoris est que je me fasse sauter par plusieurs arabes en sa présence dans la cave d’un immeuble d’une cité chaude de la banlieue. Et voilà ce qui est arrivé…

 

à suivre...ss-1-lida


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Mercredi 26 juillet 2017 3 26 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 6

6. Cette première expérience fut suivie de quelques autres, au gré des envies et des humeurs d’Anne. Chaque semaine était désormais ponctuée de deux ou trois exhibitions qui nous avaient définitivement mis à l’abri du besoin et des menaces des huissiers. Le bouche-à-oreille et Internet faisaient merveille si bien que l’agenda d’Anne était bien rempli.

decouvert20-1En hiver, Anne a été contactée par un couple qui souhaitait s’offrir un cadeau d’anniversaire très particulier. Le rendez-vous fut fixé pour le samedi soir au domicile du couple, dans un bel appartement situé au dernier étage d’un immeuble qui offrait une vue imprenable sur la ville. Tout respirait l’aisance bourgeoise. Le mari, un beau quinquagénaire un peu grisonnant, avait l’assurance d’un chef d’entreprise. Son épouse, sans doute du même âge, en tailleur strict et cheveux blonds impeccablement permanentés, affichait un air hautain. Ils prirent place côte à côte dans un profond canapé de cuir, laissant à Anne un vaste espace couvert d’épais tapis d’orient et de coussins où elle put s’offrir en spectacle. Alors que couchée sur le dos, les cuisses ouvertes, Anne leur montrait sa vulve et son anus, l’épouse jusque-là impassible lui demanda :

- Dites-moi, mademoiselle, serait-il possible que mon mari vous fasse l’amour ? Si oui, quel serait votre prix ?

Anne prit le temps de la réflexion.

- Il faudra doubler la mise…

- Marché conclu ! répondit l’autre sans hésiter. Allez-y, mon cher, elle est à vous !

Sans tarder, le mari rejoignit Anne sur les tapis où elle le déshabilla intégralement, le caressa, le branla, le suça, se l’enfila…

 Moi qui comme d’habitude me tenais en  retrait, j’observais la scène de loin. Tout d’abord, je concentrai mon attention sur les deux baiseurs dans la lumière, mais regardant par hasard l’épouse assise dans le canapé, je vis avec surprise qu’elle avait la main droite glissée sous la jupe de son tailleur, tandis que de la main gauche, elle se caressait les seins qu’elle avait sortis de son corsage de soie. Je l’observai plus attentivement ; l’agitation de sa main droite sous le tissu était sans ambiguïté : elle était en train de se branler. Je m’approchai du canapé. Elle dut deviner ma présence derrière elle et se retourna vers moi.

decouvert20-2

- Ah ! Vous êtes là ! dit-elle sans retirer sa main. Je vous avais oublié. Vous êtes quoi exactement pour elle ? Son garde du corps ? Son mac ?

- C’est ma femme.

Son regard se posa sur la bosse qui déformait mon pantalon.

- Alors, comme ça, vous aussi vous êtes candauliste ?

- Quoi ? Que voulez-vous dire ?

- Renseignez-vous, mon ami ! Désolé de vous abandonner, mais je veux profiter de mon cadeau !

Ce disant, elle reporta toute son attention sur le spectacle et reprit sa masturbation avec le plus grand sérieux. Le mari baiseur se donnait à la tâche, Anne y mettait du sien et ne faisait pas semblant.

Tant et si bien qu’ils jouirent tous les trois, chacun leur tour. Ce fut d’abord Anne qui ne retint plus ses halètements, se mit à agripper son fouteur par les fesses afin de l’attirer contre elle, au plus profond d’elle, et dont les orteils s’épanouirent brusquement en bouquet… Son amant la suivit de peu en grognant et en serrant les fesses. Quant à son épouse sur le canapé, elle accéléra progressivement le rythme de ses caresses sous sa jupe, se pinça les tétons et lorsque l’orgasme la saisit, elle referma brusquement les cuisses en poussant de petits glapissements aigus. Je fus le seul à ne pas trouver le chemin de l’extase ; il faut dire que les paroles de la femme m’avaient troublé.

Plus tard, avec Anne, nous avons cherché en vain le mot candaulisme dans le Petit Larousse. Le Petit Robert était tout aussi muet sur la question. Finalement ce fut Anne qui lança les recherches sur le Net. En quelques clics nous avions tout compris. Nous nous sommes regardés et embrassés très tendrement.

- Bienvenue au club ! m’a dit Anne en s’emparant de ma queue raide. Tiens, il y a même des vidéos ! On les regarde ?

 © Michel Koppera, août 2014

 

 

 

 

 

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Lundi 24 juillet 2017 1 24 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 5

5. Dès lors, Anne et moi avons commencé à baiser beaucoup plus souvent. Non seulement nous n’avions plus de soucis d’argent, mais les souvenirs de ses rendez-vous érotiques nourrissaient nos fantasmes et entretenaient une sorte de fringale sexuelle dont nous n’étions jamais repus. Pendant que je la baisais ou l’enculais, on parlait de ses exhibitions, de ce que nous avions ressenti chacun de notre côté, de nos nouveaux désirs et de nos rêves partagés. Anne m’avoua que, dès le premier rendez-vous, elle avait  éprouvé du plaisir à montrer son sexe à un autre homme en ma présence. L’idée que j’assistais à la scène avait suffi à la faire mouiller et l’avait amenée à l’orgasme.

decouvert10-0Quelques semaines plus tard, nous avons eu l’occasion de franchir un nouveau cap. Cela se passa un dimanche après-midi dans une demeure bourgeoise des beaux quartiers. La garde-robe d’Anne s’était enrichie de sous-vêtements très sexy, comme des corsets de soie, des soutien-gorge à balconnet ou des petites culottes en dentelle fendues en leur milieu… Cette fois-là, l’homme était beaucoup plus jeune qu’à l’ordinaire – pas plus de la trentaine – et aussi plus séduisant. Il nous reçut très cordialement dans le salon meublé de grands canapés en cuir profonds et confortables. Anne était très en forme : elle avait les tétons très durs et la vulve luisante de mouillure. Les yeux dans ceux du client médusé, elle avait déjà joui en se caressant le clitoris entre le majeur et l’index…Comme il semblait paralysé par l’émotion, Anne prit l’initiative :

- Si vous en avez envie, vous pouvez me baiser.

Ses mots m’électrisèrent la bite que j’avais déjà sortie de mon pantalon.

- C’est que je n’ai pas prévu de préservatifs, bredouilla le jeune homme, très gêné.

- Moi, j’en ai apporté… Jacques, s’il te plaît, va les chercher dans mon sac à main.

Effectivement, il y en avait une boîte entière. Comme je revenais vers Anne en lui tendant un sachet, elle me regarda en souriant.

- Tu sais que ce serait sympa si c’était toi qui le lui enfilais… S’il te plaît, mon chéri…decouvert10-copie-1

L’autre, un peu surpris, avait déjà ouvert son pantalon et sorti sa queue. Cependant, il était tellement excité que ce petit changement de programme ne suffit pas à le faire débander. Je me suis donc agenouillé devant lui, j’ai fini de le débarrasser de son pantalon et de son boxer. Il avait une belle bite, bien droite, avec un gland couleur prune, gonflée de sang. La tige était vibrante et chaude. Les doigts dans la fente, Anne me regardait faire. Une fois la queue habillée de latex, elle s’est approchée.

- Jacques, je te laisse le plaisir et l’honneur de me la mettre dans la chatte.

Elle s’est présentée à califourchon au-dessus du ventre de son amant d’un jour. Je tenais sa queue à la verticale, tendue vers le ciel de son con. Alors, très lentement, Anne a plié les genoux et son sexe béant est doucement descendu à la rencontre de son baiseur. La tête du gland s’est logée entre les grandes lèvres huileuses, puis a disparu dans le ventre d’Anne. J’ai lâché la queue maintenant bien enfoncée dans sa caverne. Mais je suis resté là, à genoux derrière eux, à  regarder le membre raide du jeune homme aller et venir entre les fesses de ma compagne. C’était un spectacle fascinant, d’une grande beauté et pour tout dire divin. Dans mon esprit revenaient sans cesse les mêmes pensées : « Je suis en train de regarder ma femme baiser avec un autre homme ; je suis en train de regarder la bite d’un inconnu qui pénètre le vagin de ma femme ; je suis en train de regarder ma femme se donner à un autre homme… »

Quand elle fut bien ramonée, Anne m’a parlé :

- Tu vois bien tout, mon amour ? Tu vois comme je suis excitée ?

decouvert10-1Et quand elle se taisait, c’était pour embrasser l’autre à pleine bouche. je n’avais pas besoin de me branler pour être au bord de l’extase. D’ailleurs, je ne résistai pas longtemps, ma queue fut saisie de soubresauts et mon foutre est monté d’un seul coup, s’élançant en lourdes giclées à l’assaut de l’entrefesses d’Anne. Ce chaud arrosage ne fit que décupler leur ardeur. En quelques vigoureux coups de cul, Anne amena l’autre à l’orgasme : je vis la peau de ses couilles se rétracter, sa queue se cabrer et, en gémissant, il se répandit dans le préservatif. Anne aussi jouit en remuant frénétiquement du cul et en proférant des phrases d’une grande lubricité.

Pour cette prestation, elle refusa le supplément que voulait lui donner le client plus que satisfait.

- Tout le plaisir était pour moi, dit-elle. Enfin, je veux dire pour nous…

 

J’ai apprécié l’ambiguïté du « nous » à sa juste valeur.  

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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