Vendredi 3 juin 2016 5 03 /06 /Juin /2016 08:00

Deux jours plus tard, alors qu’elle est accroupie en train de se livrer à ses ablutions du soir, Hélène me dit :

adultere8- Aujourd’hui, j’ai parlé à Dominique. Elle m’a dit qu’elle attendait toujours ta réponse au sujet de l’album pour enfants. Il va falloir que tu te décides. D’ailleurs, je l’ai invitée à dîner avec nous vendredi, vous pourrez en discuter… C’est quoi cette marque rouge sur ton épaule ?

- Ça ?  Oh, rien ! Hier, je me suis cogné à la portière de la voiture…

Elle me regarde, hausse les épaules en souriant.

- Mon pauvre chéri, toujours aussi maladroit… Tout de même, fais attention à lui ! dit-elle en posant une main protectrice sur mon sexe au repos. Ne va pas me l’estropier, j’y tiens !

 

Ce vendredi, Dominique est arrivée avec un bouquet d’œillets et une petite aquarelle de bord de mer pour Hélène. Guillaume a reçu un album d’images. Moi, rien du tout. Elle porte une jupe et des bottes en daim, couleur sang. Dans la vingtaine de centimètres qui séparent le bas de sa jupe et le haut de ses bottes, j’aperçois ses genoux gainés d’un voile de tissu sombre. Bas ou collants ? Je gamberge ferme. Mais elle garde ses distances, affectant de privilégier son amitié naissante avec Hélène. Avec moi, elle parle sur un ton détaché, sans aucune émotion apparente. Au salon, elle prend place dans le fauteuil le plus éloigné du mien, mais ses jambes croisées sont au centre de mon champ de vision. Je ne peux pas y échapper.

Dominique a habilement amené la conversation sur ses problèmes de logement. Elle évoque son désir d’acheter une maison à rénover ou de trouver une location à l’année, mais aussi sa méconnaissance de la région, son inexpérience voire sa naïveté devant les boniments des agents immobiliers. Ce qu’il lui faudrait, c’est quelqu’un qui la guide dans ses recherches, qui la mette en garde contre les arnaqueurs… Seule, elle est une proie idéale, le pigeon rêvé.adultere7

- Moi, je ne te serais pas d’un grand secours, je ne suis pas plus douée que toi pour les affaires, lui dit Hélène. Pour ça, je fais confiance à Michel. Peut-être qu’il pourrait t’aider… Si Môssieur veut bien s’en donner la peine !

Elles rient de ma mine renfrognée.

- Pourquoi pas ! ai-je bougonné. Mais je ne garantis rien…

- Pour lui arracher une promesse, c’est toute une histoire ! conclut Hélène.

Alors qu’Hélène s’est absentée quelques minutes pour aller surveiller son four dans la cuisine et que les enfants se gavent de biscuits à apéro et de cartoons, Dominique relève un peu sa jupe sanguine au-dessus du genou et écarte largement les cuisses. Des bas ! Et, tout au fond, à la rencontre de la chair nue de ses cuisses, pas de culotte ! Rien que son sexe dont je distingue nettement la fente plus sombre… C’est ça mon cadeau.

à suivre...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 2 juin 2016 4 02 /06 /Juin /2016 08:00

Dès le mardi suivant, je retourne au château. Les enfants sont à l’école, Hélène au boulot. Dominique ne se donne même pas la peine de feindre la surprise. On ne s’embarrasse pas de politesses, ni de faux-semblants. Un quart d’heure plus tard, on est tous les deux à poil sur le lit, à se dévorer mutuellement.

adultere5-1Dominique a la peau d’une étonnante douceur, lisse et veloutée. Mais rien à voir avec une peau de bébé, au contraire. Chez elle, la texture en est ferme, musculeuse. Comme je l’avais constaté sur ses dessins, elle n’est pas très poilue : elle n’a qu’une petite touffe de poils châtain clair, plutôt clairsemés, si bien que rien ne cache sa fente. L’entrefesses est glabre et lisse. Ses seins aussi sont menus, avec de petits tétons semblables à deux raisins de Corinthe dont ils ont la couleur et la consistance. Comme elle souhaite ôter ses lunettes, je lui demande de les garder. Je ne saurais dire pourquoi, mais je sens qu’il est nécessaire qu’elle les porte jusqu’au bout.

Dominique baise comme une forcenée, à grands cris. Pour une femme qui a eu un enfant, elle a le con plutôt étroit. Je ne peux m’empêcher de le comparer à celui d’Hélène, large et profond comme un vestibule, alors que dans le réduit de Dominique, ma bite est serrée, palpée, pressée de toutes parts. Elle m’encourage du ventre et de la voix :

- Vas-y, baise-moi ! N’aie pas peur de me faire mal, de me défoncer, j’aime ça ! Mon dieu, que c’est bon ! Ça fait plus de six mois que je n’ai pas baisé. Donne-moi ma dose !

Elle me chevauche, à califourchon sur mon ventre. Elle veut que je lui morde les tétons. Pas mordiller comme un chiot, mordre carrément. Ça la fait jouir. À chaque orgasme, ce n’est pas l’habituelle inondation de mouillure mais son vagin est agité de violentes contractions, une forte rougeur lui monte sur le buste, entre la base du cou et les seins, une plaque écarlate aux bords indistincts. Elle crie, griffe, grimace. Un rictus de plaisir fige sa bouche ouverte.adultere5

Moi, je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’y comprends rien : je sens que ma bite n’a jamais été aussi dure, mais en même temps que je n’arriverai pas à jouir en elle. Ça pourrait durer des heures. D’ailleurs, elle commence à manifester des signes d’impatience.

- Allez, viens, s’il te plaît. Lâche ton foutre ! Je veux le sentir couler dans mon ventre.

Mais rien n’y fait. Alors on continue, encore et encore. Je ne débande pas.

- Qu’est-ce que tu veux ? demande-t-elle enfin immobile, presque sereine.

- Peut-être tout balancer sur tes lunettes…

Me voilà donc, à genoux sur le lit, à me branler au-dessus de son visage myope. Ce n’est pas long à venir : mon sperme éclabousse les verres des lunettes… C’est tellement bon que j’en ai les jambes qui tremblent.

Sous la douche, c’est elle qui me savonne la bite et le cul. Elle se colle contre moi.

- Il faut qu’on se revoie. On a beaucoup de choses à faire ensemble.

- Ça ne va pas être facile : il y a les enfants, et surtout Hélène.

 

- Ta femme ! Ce n’est pas un problème, je m’en charge. Laisse-moi faire. Tu bandes encore ! Le père de Nicolas, il baisait comme un lapin : vite fait, mal fait. Pince-moi le bout des seins !

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 1 juin 2016 3 01 /06 /Juin /2016 08:00

Je n’y pense plus. Enfin, pas vraiment. Disons que cela ne fait pas partie de mes projets immédiats. Au bout d’un mois, c’est la mère de Nicolas qui revient à la charge. Elle a rencontré Hélène devant le portail de la maternelle, elles ont échangé des politesses de mamans, puis parlé, sympathisé. Elle nous a invités à dîner.

adultere3- Tu sais qu’elle élève son fils toute seule, me raconte Hélène. Elle s’appelle Dominique. Avant, ils étaient aux Antilles. Elle m’a dit que le père de Nicolas était navigateur, le genre de gars qui n’est jamais là… On ne dirait pas qu’elle a quarante-deux ans. Qu’est-ce que tu en penses ?

- Ce que je pense de quoi ?

- De son âge. Ça lui fait dix ans de plus que nous. À côté d’elle, je me sens comme une gamine.

- Voyons, quand on a un mari, un petit garçon de quatre ans et un corps comme le tien, on n’est plus une gamine !

- Je dois prendre ça comme un compliment ?

- À ton avis ?

Hélène ne répond pas, se colle contre moi, me couvre de baisers humides. Elle est toute chaude.

 

Samedi, fin de soirée. Les enfants jouent dans la chambre de Nicolas, Dominique et Hélène papotent devant l’évier. Elles se tutoient. La blonde et la brune me tournent le dos et me paraissent de même taille, à quelques millimètres près. Hélène est en robe, Dominique en jean. Je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur ses fesses : il n’y a pas à dire, elle a un beau cul. La voilà qui vient vers moi, un carton à dessins sous le bras. Moi aussi, j’ai droit au tu :

- Tiens, en attendant qu’on ait fini de faire la vaisselle, tu pourrais jeter un œil sur mon projet. Je t’ai préparé un petit résumé de l’histoire et aussi quelques dessins… Regarde bien, tu me diras après ce que tu en penses.

L’histoire est celle d’un enfant de huit ans, seul habitant d’un minuscule archipel de trois îles. Il y vit heureux jusqu’au jour où des pirates le capturent et l’emmènent avec eux. Le chef des pirates se prend d’amitié pour le gamin, l’initie à la navigation et à la vie. Quand il comprend que l’enfant n’est pas à sa place dans cette communauté d’hommes sans foi ni loi, il le remet aux bons soins d’un commandant de navire marchand. L’enfant est alors élevé comme son petit-fils par la mère du commandant. Plus tard, à l’âge adulte, le héros devient skipper, grand navigateur engagé dans les courses autour du monde en solitaire. En fait, il cherche à retrouver l’archipel de son enfance. En vain.

adultere2 L’histoire est intéressante. Dominique a déjà réalisé une bonne dizaine de gouaches : portraits de l’enfant, paysages des îles natales, marines… Il y a à la fois de la technique et de la sensibilité. Je suis sous le charme. Et puis, après les gouaches, je tombe sur une série de cinq dessins au crayon, cinq autoportraits. Pas de doute, c’est bien elle. Tout y est : les lunettes, la coupe de cheveux, le grain de beauté sur la pommette gauche… Et le reste, ce que je n’ai encore jamais vu : ses seins, ses cuisses, son ventre, son sexe… Car elle s’est dessinée nue dans des poses très obscènes et d’un réalisme cru.

- Ça te plaît ? me demande-t-elle en reprenant le carton à dessins.

- Je dois reconnaître que l’histoire est belle… Les illustrations aussi.

Elle me sourit.

Hélène est ravie que j’accepte de travailler avec Dominique.

- Tu sais, elle a besoin de retrouver confiance en elle, me dit-elle dans la voiture alors que nous reprenons le chemin de la ville. Quand elle m’a raconté le scénario et m’a montré les dessins, j’étais sûre que ça allait te plaire.

- Tu dis que tu as vu les dessins !

- Oui… J’ai trouvé les couleurs superbes. Ça fait rêver, non ?

- Sans aucun doute…

De toute évidence, Hélène n’a pas vu exactement la même chose que moi, mais je n’en dis pas un mot.

à suivre...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 31 mai 2016 2 31 /05 /Mai /2016 08:00

Voici le  début d"une nouvelle inspirée de faits réels que j'ai écrite il y a maintenant plus de 20 ans. Il était prévu que ce texte fasse partie d'un recueil de nouvelles qui, suite au décès brutal de mon éditeur, n'a jamais vu le jour.

L’adultère

 

- Maman ! Maman ! Tiens, c’est Nicolas qui m’a donné…

Guillaume lui tend une enveloppe blanche : une invitation à un anniversaire pour l’après-midi du mercredi.

- Mercredi ! s’exclame Hélène. Mais c’est après-demain ! Moi, j’ai rendez-vous chez le gynéco. J’ai eu assez de mal à le décrocher, pas question de le reporter ! Demande à papa !

Elle pose l’enveloppe devant moi, sur la table : « Nicolas va avoir quatre ans. Il t’invite à fêter ça avec ses copains et copines, mercredi prochain à partir de 15 heures, au château de l’Oliverie. » Il y a aussi un plan pour la route à suivre, un numéro de téléphone et, dans un coin, un petit dessin original à l’aquarelle, pas mal du tout.

- Tu l’aimes bien Nicolas ?

- C’est mon copain…

- C’est quoi son nom de famille ? demande Hélène en reprenant l’invitation. Desmonts ! Connais pas. Michel, s’il te plaît, tu t’occupes de tout pour mercredi ?

 

adultere0Donc, le surlendemain, je dépose Guillaume dans la cour du château de l’Oliverie. Sur place, il y a déjà une demi-douzaine de gamins, tous camarades de l’école maternelle. La mère de Nicolas accueille les nouveaux arrivants. C’est une femme blonde à lunettes, d’une quarantaine d’années. Pas du tout mon genre ! Comme je promène un regard admiratif sur l’architecture Renaissance du château, elle me déclare :

- Au risque de beaucoup vous décevoir, je ne suis pas la propriétaire des lieux. En réalité, le château a été réaménagé en gîtes ruraux. J’en loue un, en attendant de trouver une maison. Nous venons d’arriver dans la région. Si vous connaissez une bonne affaire, prévenez-moi.

Pendant que les gosses se goinfrent de sucreries, de cris et de chansons, elle m’invite à boire une coupe de champagne. Dans la pièce principale, je remarque un chevalet, une table à dessin, des boîtes et des tubes de peinture posés à même le sol, une palette chargée de couleurs, des cartons à dessins contre le mur…

- L’aquarelle sur l’invitation, c’est de vous ?

- Oui. Ça vous a plu ?

- Beaucoup. C’est votre métier ?

- Disons que j’essaie d’en vivre. Vous avez déjà écrit des histoires pour enfants ?

- Jamais ! Même pas essayé. Il paraît que je suis trop négatif, mes histoires se terminent toujours mal… Pour les enfants, je suis désespérant.

Elle réfléchit, me regarde de ses yeux verts et remet un peu de champagne dans ma coupe.

- Ça vous dirait de tenter l’expérience ? J’ai depuis longtemps un scénario en tête et quelques dessins déjà prêts… Mais je ne suis pas douée pour l’écriture. J’ai lu tous vos livres et j’ai pensé à vous…

- À moi ! Je ne sais pas… Il faut que j’y réfléchisse…

- Prenez votre temps, rien ne presse. Mais si ça vous intéresse, revenez me voir… Vous connaissez le chemin maintenant !

 

Le soir même, dans notre chambre close, alors que d’une main paresseuse je caresse la touffe d’Hélène, je lui parle de cette proposition. Elle est plutôt du genre enthousiaste.

- Tu devrais essayer, ça te changerait un peu. Ce serait aussi un beau cadeau pour Guillaume.

 

adultereCe que j’aime chez Hélène, c’est son sens des réalités. Avec elle, toute action n’a de sens que si elle a une utilité. Elle ne comprend rien à la gratuité. Comme ce soir, alors que je lui caresse la touffe : à quoi ça sert de l’exciter, de la faire mouiller, si c’est pour s’endormir sans avoir baisé ? Alors, elle repousse les draps au pied du lit, m’empoigne la bite et commence à m’astiquer. C’est l’heure du devoir conjugal.

à suivre...

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Lundi 30 mai 2016 1 30 /05 /Mai /2016 09:30

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 265 à 268

Je n'aime pas qu'au bal une vierge articule :

" Si vous ne comprenez que les points sur les i,

Flirtons au parc. Demandez-moi si l'on m'encule

Si vous avez la pine bien raide, allez-y."

pybrac265

Je n'aime pas à voir la famille ouvrière

Où sur le même pieu trois sœurs et leur maman

Reçoivent quatre vits dans le trou du derrière

Quadruple inceste à poil et non sans mouvement.

pybrac266

Je n'aime pas à voir chez une couturière

L'arpète de treize ans qui dit à l'atelier :

" Avec un dans la bouche et deux dans le derrière,

Il ne m'en faut pas plus pour me faire mouiller."

pybrac267

Je n'aime pas à voir la jeune fille infâme

Qui dit :" Oh ! moi, j'enfile et j'encule maman

Elle me sert de tante, elle me sert de femme

Et quand sa langue bande, elle me sert d'amant.

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Dimanche 29 mai 2016 7 29 /05 /Mai /2016 08:00

Des idées de cadeau pour la fête des mères ! Evidemment, les enfants peuvent toujours offrir des fleurs, un collier de nouilles, une sculpture en pâte à sel ou un joli poème écrit sur une feuille façon parchemin... Tout cela est à prendre au second degré, comme de bien entendu !

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Vendredi 27 mai 2016 5 27 /05 /Mai /2016 08:00

Sébatien Japrisot : "L'été meurtrier", Editions Denoël, 1979

Evidemment, beaucoup d'entre vous se souviennent du film adapté du roman en 1983 par Jean Becker avec Isabelle Adjani et Alain Souchon dans les rôles principaux. Pour ceux qui n'auraient pas vu le film, commencez par la lecture du roman, un polar haletant de la première à la dernière page. Alors, je ne vous raconte rien de l'intrigue. 

japrisot

Page 217, chapitre "La sentence" : Elle (Eliane) rend visite à son ancienne institutrice, Mademoiselle Dieu, qu'elle surnomme Calamité

japrisot1" Nous étions sur le divan du salon, au rez-de-chaussée, quand l'idée m'est venue. Elle m'avait ôté ma robe et ma culotte et fait mourir pour de vrai, alors qu'avec elle, je ne meurs partiquement jamais, j'invente. Moi, je ne lui en fais pas le quart, ça ne me vient pas, mais je la touche à peine qu'elle est déjà partie. Ce que j'aime, c'est la regarder quand elle meurt. Elle ne crie pas, elle gémit comme si elle avait mal, mais elle a un visage qui change, c'est incroyable, elle est belle de plus en plus jusqu'à ce qu'elle retombe comme si elle n'avait plus de nerfs. Et chaque fois, quand elle ouvre les yeux, personne ne devinera jamais ce qu'elle dit :" Mon Dieu, que j'ai honte !" Je vous jure c'est un cas. En plus, elle a de tout petits pieds de Chinoise - du 35, je ne suis pas sûre - et quand elle part, tous ses orteils se crispent, se crispent, et on n'a plus du tout envie de rire, c'est quelque chose qui n'a pas de nom. Désespéré, ce n'est pas tout à fait ça. Désespéré, affamé, sans défense, et ce qui veut dire que les choses ne peuvent pas durer toujours. Le tout en un seul mot. Moi, je peux donner la réponse : ses saletés d'orteils. "

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Mercredi 25 mai 2016 3 25 /05 /Mai /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 261 à 264

Je n'aime pas, au bal, la jeune fille étrange

Qui murmure :" Enculez ma gousse, on vous attend.

Votre foutre lui donne un petit goût d'orange

Au trou du cul. Faut-il qu'on vous en dise tant ? "

pybrac261

Je n'aime pas à voir qu'un jeune homme se vautre

Sur ses deux sœurs et prenne un plaisir toujours neuf

À foutre l'une et l'autre en cul l'une sur l'autre

Sitôt qu'elles se font un peu soixante-neuf.

pybrac262

Je n'aime pas à voir la lycéenne exclue

Répondre au prfesseur en passant devant lui :

" Je ne me branle pas, monsieur, je me pollue.

Je vais recommencer dehors, mais j'ai joui."

pybrac263

Je n'aime pas à voir cette rue de virgule

Où chambres, mastroquets, trottoirs, bordels, balcons

Sont exclusivement aux filles qu'on encule

Et qui font de leurs culs des espèces de cons.

pybrac264

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 24 mai 2016 2 24 /05 /Mai /2016 08:00

Le printemps est là. C'est le moment de se remettre au jardin !

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printemps2

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 23 mai 2016 1 23 /05 /Mai /2016 08:00

torpedo

"Torpedo 1936" est une série BD espagnole dont le premier volume est paru en 1982. Le scénario est signé Abuli et les dessins Bernet. Le personnage principal de cette série qui comptera 15 volumes est un mafieux cynique nommé Lucas Torelli, alias Torpedo. "Tic-tac", l'histoire complète que je vous propose est extraite du volume 4 intitulé "Chaud devant !" paru en 1990 sous le label Comics USA (l'album compte en tout 4 histoires)

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