Vendredi 17 juin 2016 5 17 /06 /Juin /2016 08:00

Selon un rapport du HCE (Haut Conseil à l'Égalité entre les hommes et les femmes) 84 % des filles françaises âgées de 13 ans ne savent pas à quoi ressemble leur sexe.

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83 % des filles et 68 % des garçons des classes de 3ème et 4ème ignorent tout de la fonction du clitoris !

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Jeudi 16 juin 2016 4 16 /06 /Juin /2016 08:00

C'est la pleine saison des cerises ! Personnellement, la variété que je préfère, ce sont les reverchon à la chair ferme, délicatement sucrée et très goûtue. Et vous ?

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Mercredi 15 juin 2016 3 15 /06 /Juin /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 273 à 276

Je n'aime pas qu'un vit monstrueux, large et rude,

Un vit ivre de viol s'engouffre tout entier,

D'un seul coup, dans le saint trou d'une prude

Qui depuis vingt-sept ans n'a pas d'autre métier.

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Je n'aime pas la couche ample et familiale

Où trois filles se font enculer à la fois

Par leurs frères, devant leur maman qui chiale

Se masturbe et s'encule avec ses propres doigts.

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Je n'aime pas la jeune Anglaise un peu tribade

Qui dit, montrant ses sœurs, sa tante et sa maman :

" Leur coup de langue est bon, mais leur foutre est si fade

Que je préfère la pine de mon amant."

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Je n'aime pas à voir, puissamment enculée,

La fille florentine, à poil, creusant les reins,

Ses  deux fesses, couleur chair de Sienne brûlée

Et l'anus cramoisi dans le cul noir de crins.

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Mardi 14 juin 2016 2 14 /06 /Juin /2016 08:00

Jorge Amado est l'un de mes auteurs préférés. J'ai récemment lu "Les pâtres de la nuit", roman daté de 1970 et paru aux éditions Stock (nouveau cabinet cosmopolite) en 1982. Comme souvent, le cadre du roman est la ville de Salvador de Bahia. 

Page 169, cet adage des vieux marins du port de Salvador de Bahia : "Il n'est pas possible à un seul homme de coucher avec toutes les femmes du monde mais il faut essayer d'y parvenir."

Je reprends, et cette fois avec illustrations

" Il n'est pas possible à un seul homme de coucher avec toutes les femmes du monde...

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... mais il faut essayer d'y parvenir."

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Mercredi 8 juin 2016 3 08 /06 /Juin /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 269 à 272

Je n'aime pas qu'une âme innocente se joue

Du bouton qu'elle doit à la bonté de Dieu,

Se branle, des dix doigts, se déflore, se troue

Et pisse soudain le sang. Vraiment, c'est odieux.

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Je n'aime pas qu'Yvonne, à l'affût d'une farce,

Publie au jour le jour ce que fut sa maman :

" Ma mère mise à nu par une enfant de garce."

Et pourtant, c'est un fort bon titre de roman.

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Je n'aime pas ce 12 en chiffres majuscules

Sur ce bordel d'Alger où la bonne me dit :

" Vingt-deux putains. Ti prends la belle et ti l'encules.

Toutes nikoniko dans le cul, mon pitit."

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Je n'aime pas qu'au bal une vierge indiscrète

Toute rouge à l'écart murmure à son danseur :

" Jamais je ne me laisse enculer qu'en levrette,

La posture où jamais tu n'encules ta sœur."

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Lundi 6 juin 2016 1 06 /06 /Juin /2016 08:00

adultere14Ce soir, Hélène et moi, dans notre chambre, nous sommes assis face à face sur le tapis de laine. Nos jambes et nos cuisses se chevauchent et nos têtes sont front contre front. Les regards ne quittent pas le ventre de l’autre, nos ventres nus. Hélène, sans visage, avec ses cheveux noirs comme un masque. Elle ressemble à un portrait de Félix Labisse. Un tee-shirt blanc lui couvre le haut du corps, mais elle est nue sous la taille. Les courbes de ses hanches évoquent les veuves lubriques de Clovis Trouille.

Je suis face à Hélène, habillé moi aussi d’un tee-shirt blanc. Je ne sens d’elle que la pesanteur de son front et la chaleur de sa peau dans nos jambes mêlées, cuisses largement ouvertes. Nous nous branlons. Elle a le sexe touffu, noir, épais. Sa vulve est comme un fruit. Elle s’excite parfois de l’index, souvent des quatre doigts réunis. La peau de sa main a des reflets d’huile. Je me branle de la main droite, doucement. J’ai l’impression que ma bite ne cesse de grandir, de gonfler. Je vais jouir. Hélène écarte sa main et mon sperme blanc jaillit et se répand sur la chair nue et humide de sa vulve béante… A-t-elle joui elle aussi ?

- Merci pour les œillets ! me souffle Hélène alors que nous sommes sous la douche.

L’eau qui ruisselle sur ses cheveux noirs coule entre ses seins lourds.

- Et avec Dominique, ça se passe bien ?

Je sens mon cœur qui bat trop vite.

- À quel sujet ?

-  Et bien, sa recherche de maison et votre projet d’album.adultere15

Je respire profondément.

- Tout en est panne. Ce n’est pas sérieux, je crois que je vais laisser tomber.

Hélène m’enlace de ses bras tendres. L’eau chaude nous enveloppe. Je sens son ventre amoureux qui vibre contre le mien.

- Tu as sans doute raison. Tu sais, j’ai lu qu’il existait des crèmes spéciales pour la sodomie, dit-elle en me caressant les fesses. Avec ça, il paraît que la pénétration est sans douleur et qu’on peut même y prendre plaisir. Je vais en commander un tube… On dit que les hommes aiment ça… Toi aussi, mon chéri ?    

FIN    

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Samedi 4 juin 2016 6 04 /06 /Juin /2016 08:00

Avec la petite voiture de Rouge-Gorge, nous parcourons la région, décrivant des cercles concentriques de plus en plus éloignés de la ville. Nous sommes sensés être à la recherche d’une maison ancienne à restaurer, mais je doute qu’elle ait ne serait-ce qu’un embryon de capital pour se lancer dans une aventure immobilière.

adultere11Aux feux rouges et aux stops, elle me montre ses seins et me supplie de lui pincer les mamelons. On va de notaire en notaire. On demande à visiter. Le plus souvent, un clerc nous accompagne pour la visite, mais parfois, pour les maisons les plus délabrées, celles qu’ils n’espèrent même plus vendre un jour, on nous donne une adresse, un plan et on nous confie la clef.

On baise dans des greniers aux planchers vermoulus, des granges encombrées de machines rouillées, des cuisines aux carrelages couverts de gravats… Les fenêtres n’ont plus de rideaux, quelquefois plus de vitres. Le vent s’infiltre partout. C’est le décor habituel de nos accouplements. Rouge-Gorge – elle rigole que je l’appelle ainsi – s’accoude à une fenêtre et soulève sa jupe. Elle ne porte que des bas. Pas question de s’allonger, il faut baiser debout, alors, le plus simple, c’est que je la prenne par derrière. C’est comme ça que j’ai emprunté le chemin de son petit trou et que je l’ai enculée. Presque naturellement. Pour moi, c’est une grande nouveauté. En effet, sous prétexte d’une hémorroïde douloureuse, Hélène s’est toujours dérobée à mes manœuvres sodomites. Pourtant, malgré mon excitation, je ne parviens toujours pas à éjaculer dans le ventre de Rouge-Gorge. Elle s’en désole.

- Pourquoi tu ne m’aimes pas ? gémit-elle pendant que ma bite va et vient entre ses fesses distendues… Je jouis, mais toi, tu ne m’aimes pas !

Je ne réponds rien. C’est vrai que je ne l’aime pas : je ne fais que bander pour son cul, mais mon désir est rigide et endurant.adultere12

Il y a pourtant des instants inoubliables, aussi sublimes que cruels. Comme ce dernier après-midi de novembre, jour de tempête, où nous visitons une maison à Granville. La villa est accrochée au sommet d’une falaise abrupte qui surplombe la mer blanche d’écume. D’énormes vagues viennent se fracasser contre la falaise et, à chaque fois, un choc sourd ébranle la maison. À l’intérieur, les boiseries sont rongées par l’humidité, les huisseries mangées par la rouille, les papiers peints en lambeaux…

Mais, dans la salle de séjour qui s’ouvre sur la mer en furie, les propriétaires ont laissé un canapé hors d’âge dont le cuir des coussins est avachi et les accoudoirs éventrés. Rouge-Gorge s’y laisse tomber et m’entraîne dans sa chute. Malgré le froid humide, nous voilà bientôt nus. On commence par se lécher, tête bêche, à grand renfort de salive. Puis Rouge-Gorge s’assoit sur le canapé. Les mains passées sous les cuisses pour se soulever le bassin, elle me présente sa fente et son cul, aussi luisants et gourmands l’un que l’autre.

Je commence par l’enculer. Je regarde la tête de ma bite forcer doucement le diaphragme de son anus. Les bords s’écartent, je m’enfonce puis, brusquement, la petite bouche de son cul referme ses lèvres humides sur le gland qu’elle vient d’avaler. Je n’ai plus qu’à pousser jusqu’au fond, jusqu’à ce que les poils de mon pubis viennent se frotter contre sa vulve aux chairs tourmentées. Je lui pistonne le rectum. C’est brûlant. Le choc sourd des vagues sur la falaise fait écho à celui de ma bite au fond de son cul… Tant et si bien que Rouge-Gorge a un premier orgasme, puissant et sonore. Me saisissant par les fesses, elle m’attire violemment au plus profond de ses entrailles. Elle rugit. Son sphincter anal se contracte à m’en étrangler la bite…

Plus tard, je la lui mets dans le con. Elle s’ouvre des deux mains pour me dégager le passage et s’aérer le clito. Je la pénètre. Elle est beaucoup plus mouillée que d’habitude. Ses jambes repliées sur mes hanches impriment le rythme de mes coups de queue, le même que celui de la houle qui martèle la falaise. De petits points roses éclosent sur la peau de son buste, puis soudain, tout vire au grenat, de la base du cou au bout des seins… Elle jouit encore. Je sens ma bite comme enduite d’un liquide chaud et abondant. Quand je la ressors, je vois que le gland est couvert de sang : les règles de Rouge-Gorge viennent d’arriver. Ça me rend fou de désir. J’y remets aussitôt la bite pour patauger dans la mixture de sang et de cyprine… En un rien de temps, je sens que ça vient. Je me retire, le gland fumant à l’entrée, sa tête visqueuse calée entre les lèvres charnues du con et je lâche mes bordées de sperme en plein dans le suintement de ses règles. Le blanc et le rouge ne se mélangent pas. Ça coule entre ses fesses, poisse le trou de son cul et tombe, goutte à goutte, sur le cuir craquelé du canapé… On se nettoie comme on peut avec des mouchoirs en papier, sans se regarder, sans se parler.

adultere10Pour le retour, elle me confie le volant. La main gauche glissée entre les cuisses, elle s’endort en suçant son pouce. Arrivé en ville, j’arrête chez un fleuriste pour acheter un bouquet. Quand je reviens, elle est réveillée et me regarde d’un air stupéfait.

- C’est pour Hélène ? demande-t-elle d’un ton acide.

- Non, voyons, c’est pour toi.

Elle s’empare du bouquet et le balance sur la banquette arrière.

 

- Je déteste les œillets ! Ça pue ! ricane-t-elle.

à suivre...

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Vendredi 3 juin 2016 5 03 /06 /Juin /2016 08:00

Deux jours plus tard, alors qu’elle est accroupie en train de se livrer à ses ablutions du soir, Hélène me dit :

adultere8- Aujourd’hui, j’ai parlé à Dominique. Elle m’a dit qu’elle attendait toujours ta réponse au sujet de l’album pour enfants. Il va falloir que tu te décides. D’ailleurs, je l’ai invitée à dîner avec nous vendredi, vous pourrez en discuter… C’est quoi cette marque rouge sur ton épaule ?

- Ça ?  Oh, rien ! Hier, je me suis cogné à la portière de la voiture…

Elle me regarde, hausse les épaules en souriant.

- Mon pauvre chéri, toujours aussi maladroit… Tout de même, fais attention à lui ! dit-elle en posant une main protectrice sur mon sexe au repos. Ne va pas me l’estropier, j’y tiens !

 

Ce vendredi, Dominique est arrivée avec un bouquet d’œillets et une petite aquarelle de bord de mer pour Hélène. Guillaume a reçu un album d’images. Moi, rien du tout. Elle porte une jupe et des bottes en daim, couleur sang. Dans la vingtaine de centimètres qui séparent le bas de sa jupe et le haut de ses bottes, j’aperçois ses genoux gainés d’un voile de tissu sombre. Bas ou collants ? Je gamberge ferme. Mais elle garde ses distances, affectant de privilégier son amitié naissante avec Hélène. Avec moi, elle parle sur un ton détaché, sans aucune émotion apparente. Au salon, elle prend place dans le fauteuil le plus éloigné du mien, mais ses jambes croisées sont au centre de mon champ de vision. Je ne peux pas y échapper.

Dominique a habilement amené la conversation sur ses problèmes de logement. Elle évoque son désir d’acheter une maison à rénover ou de trouver une location à l’année, mais aussi sa méconnaissance de la région, son inexpérience voire sa naïveté devant les boniments des agents immobiliers. Ce qu’il lui faudrait, c’est quelqu’un qui la guide dans ses recherches, qui la mette en garde contre les arnaqueurs… Seule, elle est une proie idéale, le pigeon rêvé.adultere7

- Moi, je ne te serais pas d’un grand secours, je ne suis pas plus douée que toi pour les affaires, lui dit Hélène. Pour ça, je fais confiance à Michel. Peut-être qu’il pourrait t’aider… Si Môssieur veut bien s’en donner la peine !

Elles rient de ma mine renfrognée.

- Pourquoi pas ! ai-je bougonné. Mais je ne garantis rien…

- Pour lui arracher une promesse, c’est toute une histoire ! conclut Hélène.

Alors qu’Hélène s’est absentée quelques minutes pour aller surveiller son four dans la cuisine et que les enfants se gavent de biscuits à apéro et de cartoons, Dominique relève un peu sa jupe sanguine au-dessus du genou et écarte largement les cuisses. Des bas ! Et, tout au fond, à la rencontre de la chair nue de ses cuisses, pas de culotte ! Rien que son sexe dont je distingue nettement la fente plus sombre… C’est ça mon cadeau.

à suivre...

 

 

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Jeudi 2 juin 2016 4 02 /06 /Juin /2016 08:00

Dès le mardi suivant, je retourne au château. Les enfants sont à l’école, Hélène au boulot. Dominique ne se donne même pas la peine de feindre la surprise. On ne s’embarrasse pas de politesses, ni de faux-semblants. Un quart d’heure plus tard, on est tous les deux à poil sur le lit, à se dévorer mutuellement.

adultere5-1Dominique a la peau d’une étonnante douceur, lisse et veloutée. Mais rien à voir avec une peau de bébé, au contraire. Chez elle, la texture en est ferme, musculeuse. Comme je l’avais constaté sur ses dessins, elle n’est pas très poilue : elle n’a qu’une petite touffe de poils châtain clair, plutôt clairsemés, si bien que rien ne cache sa fente. L’entrefesses est glabre et lisse. Ses seins aussi sont menus, avec de petits tétons semblables à deux raisins de Corinthe dont ils ont la couleur et la consistance. Comme elle souhaite ôter ses lunettes, je lui demande de les garder. Je ne saurais dire pourquoi, mais je sens qu’il est nécessaire qu’elle les porte jusqu’au bout.

Dominique baise comme une forcenée, à grands cris. Pour une femme qui a eu un enfant, elle a le con plutôt étroit. Je ne peux m’empêcher de le comparer à celui d’Hélène, large et profond comme un vestibule, alors que dans le réduit de Dominique, ma bite est serrée, palpée, pressée de toutes parts. Elle m’encourage du ventre et de la voix :

- Vas-y, baise-moi ! N’aie pas peur de me faire mal, de me défoncer, j’aime ça ! Mon dieu, que c’est bon ! Ça fait plus de six mois que je n’ai pas baisé. Donne-moi ma dose !

Elle me chevauche, à califourchon sur mon ventre. Elle veut que je lui morde les tétons. Pas mordiller comme un chiot, mordre carrément. Ça la fait jouir. À chaque orgasme, ce n’est pas l’habituelle inondation de mouillure mais son vagin est agité de violentes contractions, une forte rougeur lui monte sur le buste, entre la base du cou et les seins, une plaque écarlate aux bords indistincts. Elle crie, griffe, grimace. Un rictus de plaisir fige sa bouche ouverte.adultere5

Moi, je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’y comprends rien : je sens que ma bite n’a jamais été aussi dure, mais en même temps que je n’arriverai pas à jouir en elle. Ça pourrait durer des heures. D’ailleurs, elle commence à manifester des signes d’impatience.

- Allez, viens, s’il te plaît. Lâche ton foutre ! Je veux le sentir couler dans mon ventre.

Mais rien n’y fait. Alors on continue, encore et encore. Je ne débande pas.

- Qu’est-ce que tu veux ? demande-t-elle enfin immobile, presque sereine.

- Peut-être tout balancer sur tes lunettes…

Me voilà donc, à genoux sur le lit, à me branler au-dessus de son visage myope. Ce n’est pas long à venir : mon sperme éclabousse les verres des lunettes… C’est tellement bon que j’en ai les jambes qui tremblent.

Sous la douche, c’est elle qui me savonne la bite et le cul. Elle se colle contre moi.

- Il faut qu’on se revoie. On a beaucoup de choses à faire ensemble.

- Ça ne va pas être facile : il y a les enfants, et surtout Hélène.

 

- Ta femme ! Ce n’est pas un problème, je m’en charge. Laisse-moi faire. Tu bandes encore ! Le père de Nicolas, il baisait comme un lapin : vite fait, mal fait. Pince-moi le bout des seins !

à suivre...

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Mercredi 1 juin 2016 3 01 /06 /Juin /2016 08:00

Je n’y pense plus. Enfin, pas vraiment. Disons que cela ne fait pas partie de mes projets immédiats. Au bout d’un mois, c’est la mère de Nicolas qui revient à la charge. Elle a rencontré Hélène devant le portail de la maternelle, elles ont échangé des politesses de mamans, puis parlé, sympathisé. Elle nous a invités à dîner.

adultere3- Tu sais qu’elle élève son fils toute seule, me raconte Hélène. Elle s’appelle Dominique. Avant, ils étaient aux Antilles. Elle m’a dit que le père de Nicolas était navigateur, le genre de gars qui n’est jamais là… On ne dirait pas qu’elle a quarante-deux ans. Qu’est-ce que tu en penses ?

- Ce que je pense de quoi ?

- De son âge. Ça lui fait dix ans de plus que nous. À côté d’elle, je me sens comme une gamine.

- Voyons, quand on a un mari, un petit garçon de quatre ans et un corps comme le tien, on n’est plus une gamine !

- Je dois prendre ça comme un compliment ?

- À ton avis ?

Hélène ne répond pas, se colle contre moi, me couvre de baisers humides. Elle est toute chaude.

 

Samedi, fin de soirée. Les enfants jouent dans la chambre de Nicolas, Dominique et Hélène papotent devant l’évier. Elles se tutoient. La blonde et la brune me tournent le dos et me paraissent de même taille, à quelques millimètres près. Hélène est en robe, Dominique en jean. Je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur ses fesses : il n’y a pas à dire, elle a un beau cul. La voilà qui vient vers moi, un carton à dessins sous le bras. Moi aussi, j’ai droit au tu :

- Tiens, en attendant qu’on ait fini de faire la vaisselle, tu pourrais jeter un œil sur mon projet. Je t’ai préparé un petit résumé de l’histoire et aussi quelques dessins… Regarde bien, tu me diras après ce que tu en penses.

L’histoire est celle d’un enfant de huit ans, seul habitant d’un minuscule archipel de trois îles. Il y vit heureux jusqu’au jour où des pirates le capturent et l’emmènent avec eux. Le chef des pirates se prend d’amitié pour le gamin, l’initie à la navigation et à la vie. Quand il comprend que l’enfant n’est pas à sa place dans cette communauté d’hommes sans foi ni loi, il le remet aux bons soins d’un commandant de navire marchand. L’enfant est alors élevé comme son petit-fils par la mère du commandant. Plus tard, à l’âge adulte, le héros devient skipper, grand navigateur engagé dans les courses autour du monde en solitaire. En fait, il cherche à retrouver l’archipel de son enfance. En vain.

adultere2 L’histoire est intéressante. Dominique a déjà réalisé une bonne dizaine de gouaches : portraits de l’enfant, paysages des îles natales, marines… Il y a à la fois de la technique et de la sensibilité. Je suis sous le charme. Et puis, après les gouaches, je tombe sur une série de cinq dessins au crayon, cinq autoportraits. Pas de doute, c’est bien elle. Tout y est : les lunettes, la coupe de cheveux, le grain de beauté sur la pommette gauche… Et le reste, ce que je n’ai encore jamais vu : ses seins, ses cuisses, son ventre, son sexe… Car elle s’est dessinée nue dans des poses très obscènes et d’un réalisme cru.

- Ça te plaît ? me demande-t-elle en reprenant le carton à dessins.

- Je dois reconnaître que l’histoire est belle… Les illustrations aussi.

Elle me sourit.

Hélène est ravie que j’accepte de travailler avec Dominique.

- Tu sais, elle a besoin de retrouver confiance en elle, me dit-elle dans la voiture alors que nous reprenons le chemin de la ville. Quand elle m’a raconté le scénario et m’a montré les dessins, j’étais sûre que ça allait te plaire.

- Tu dis que tu as vu les dessins !

- Oui… J’ai trouvé les couleurs superbes. Ça fait rêver, non ?

- Sans aucun doute…

De toute évidence, Hélène n’a pas vu exactement la même chose que moi, mais je n’en dis pas un mot.

à suivre...

 

 

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