Le printemps s'est fait attendre, mais enfin le soleil et la chaleur sont de retour avec leur cortège d'insectes et autres petites bestioles plus ou moins redoutables.
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Le printemps s'est fait attendre, mais enfin le soleil et la chaleur sont de retour avec leur cortège d'insectes et autres petites bestioles plus ou moins redoutables.
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 241 à 244
Je n'aime pas à voir dans un bal de familles,
Que l'hôtesse dispose une chambre d'ami
Et des lits de repos au gré des jeunes filles
Pour sucer leurs danseurs ou se faire mimi.
Je n'aime pas à voir que par économie
Un garçon qui pourrait payer une putain
Donne à sa jeune sœur des goûts de sodomie
Et soit toujours planté dans son gros intestin.
Je n'aime pas à voir quand je joue une aubade
La dame de mon cœur apparaître au balcon,
Toute nue à minuit avec une tribade
Qui porte un godmiché bandant sur l'os du con.
Je n'aime pas à voir la fille qui décharge
Qui s'agite et qui crie en se gorgeant la chair
Avec une aubergine extravagamment large,
Les cuisses sur le ventre et les deux pieds en l'air.
"Lépouse vicieuse", le titre de l'ouvrage est en lui-même tout un programme ! Le roman de Ellen-Luisa est paru vers 1935. Ellen Luisa écrivait également sous le pseudonyme de Lucy Kissing (pas mal non plus !)
L'ouvrage est aujourd'hui quasiment introuvable donc cher. Je ne peux vous en donner un extrait mais néanmoins je ne résiste pas au plaisir de vous en montrer la couverture. Tout y est : le fétichisme des bas à jarretière, la jupe retroussée bien haut sur les cuisses nues, la main polissonne posée entre les cuisses, prête à remonter plus haut, la coiffure un peu ébouriffée de la femme libérée, et bien sûr, le regard et le sourire nécessairement "vicieux" de l'épouse.
"Les pouvoirs extraordinaires du corps humain" est une émission à caractère "scientifique" présentée par Michel Cymes et Adriana Karembeu sur France 2 depuis novembre 2012.
Comme son intitulé l'indique le principe de l'émission est de faire découvrir aux téléspectateurs, via des expériences et des témoignages, les pouvoirs insoupçonnés du corps humain, tant au niveau de ses capacités physiques qu'intellectuelles.
Pour finir : Une vidéo sur les surprenantes capacités anales d'une internaute
Du 13 avril au 5 septembre 2016, le Musée Guimet consacre une exposition au photographe japonais Araki Nobuyoshi. Né en 1940, Araki est surtout connu comme photographe du Kinbaku, le bondage traditionnel japonais.
Pour sa biographie et un aperçu de son œuvre, reportez-vous à l'article de Wikipédia : Araki Nobuyoshi
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 237 à 240
Je n'aime pas à voir la malheureuse arpète
Qui ne peut plus s'asseoir et pleure à l'atelier :
" Ils me font tous l'amour par le trou que je pète.
J'en fais caca partout, jusque dans mon soulier."
Je n'aime pas à voir au con d'une danseuse
Le sperme du coiffeur qui vient de la farder.
S'il me fallait la foutre encor toute poisseuse
Pas un poil de son cul ne me ferait bander.
Je n'aime pas à voir que dans les "Dames seules"
Deux filles de quinze ans allant en pension
Frottent leurs petits culs sur leurs petites gueules
Et se fassent minette avant la station.
Je n'aime pas à voir quand j'achète un cantique
La vendeuse passer la langue entre ses dents
Faire un signe de l'œil vers l'arrière-boutique
Et me sucer le vit sitôt qu'elle est dedans.
Il y a peu, je vous avais présenté des tableaux d'un artiste d'origine chinoise nommé Li Xiaoxuan dont la biographie était un grand mystère. L'énigme est loin d'être résolue ! Sur le site d'un certain Li Xiaoxuan, j'ai découvert ces trois nus, mais rien ne permet d'affirmer qu'il s'agit du même artiste, car les dates ne semblent pas concorder et le nom être assez répandu ! Je m'en remets à votre sagacité pour apporter des réponses à mon ignorance.
Rappel de l'article précédent : Li Xiaoxuan
Il ne fait pas beau, les traditionnels défilés du 1er mai ne sont plus que l'ombre de ce qu'ils étaient ! Alors pourquoi ne pas en profiter pour aller au musée, histoire de ne pas mourir idiot ?
Le bonheur est dans la lecture. En attendant les beaux jours... et la venue d'un printemps qui se fait trop désirer !
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 233 à 236
Je n'aime pas à voir dans un bal triste et piètre
La jeune fille en bleu baiser sur le balcon
Et prendre ingénument des rideaux de fenêtre
Pour essuyer la pine et se torcher le con.
Je n'aime pas à voir deux jeunes lycéennes
Écrire bouche à bouche un volume de vers
Intitulé : "Les Poils Pleureurs des Lesbiennes
Ou l'Art de regarder les Vulves à l'envers."
Je n'aime pas à voir la fille au con hirsute
Qui s'expose en levrette et se branle dessous,
En criant : "Ha ! Ça vient ! Lèche mon cul ! Je jute !"
Au vieux miché qui lèche et qui donne cent sous.
Je n'aime pas à voir la petite gamine
Qui dit au vieux pinceur : " Espèce de poussah !
Si vous voulez mon cul pour vous laver la pine
Faudrait le demander plus poliment que ça."
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