Mardi 12 avril 2016 2 12 /04 /Avr /2016 08:00

Li Xiaoxuan est un artiste d'origine chinoise dont je n'ai pu trouvé trace de la biographie ni de l'itinéraire artistique. Tout ce que je sais c'est qu'en 1972, il a illustré la pochette d'un album de Barry Ryan, album intitulé "Sanctus Sanctus Hallelujah" Toute contribution pour apporter des informations complémentaires sur cet artiste sera évidemment la bienvenue !

li Barry Ryan Sanctus Front

li-xiaoxuan3

li-xiaoxuan2

li-xiaoxuan1

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 11 avril 2016 1 11 /04 /Avr /2016 08:00

Bonus vidéo et webcam. 

En l'occurrence, il s'agit d'un long plan webcam. Une femme dont on ne voit que le bas-ventre, se filme  debout en train de se masturber contre un coin de table en bois. La vidéo dure presque cinq minutes. Elle a un orgasme d'une grande intensité, suivi presque aussitôt d'un second...

 Pour visionner la vidéo : Cliquez ICI

video-table

Par michel koppera - Publié dans : videos et webcam - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 9 avril 2016 6 09 /04 /Avr /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 217 à 220

Je n'aime pas à voir la pauvre maquerelle

Qui, sur le tard, s'éprend d'une de ses putains

Lui baise le derrière et se branle sur elle

Sans émouvoir le con ni raidir les tétins.

pybrac217

Je n'aime pas à voir la souple Marceline

Qui dit à son cousin :" Mon chéri, bandes-tu ?

Viens m'enculer au parc, j'ai pris ma vaseline."

Ce langage est lascif et blesse la vertu.

pybrac218

Je n'aime pas à voir la pucelle qui gueule :

" Je suis trop en chaleur, maman, je vais baiser.

C'est crevant de toujours me branler toute seule

Quand j'ai déjà du poil qui commence à friser."

pybrac219

Je n'aime pas à voir la princesse de Grèce

Qui, menée au bordel par sa fille d'honneur,

Frotte sa bouche obscène au cul de la négresse

Et crie en déchargeant :" C'est là qu'est le bonheur !"

pybrac220

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 8 avril 2016 5 08 /04 /Avr /2016 08:00

MIROIR : Objet constitué d'une surface polie qui sert à réfléchir la lumière, à produire l'image des personnes et des choses.

Sens abstrait : Ce qui offre à l'esprit l'image, la représentation des personnes, des choses, du monde.

cpl-miroir2

cpl-miroir1

cpl-miroir3

cpl-miroir5

cpl-miroir8

cpl-miroir4

cpl-miroir6

cpl-miroir9

cpl-miroir7

cpl-miroir10

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 7 avril 2016 4 07 /04 /Avr /2016 08:00

Au Moyen Âge, la prostitution était institutionnalisée et considérée comme un service de salubrité publique. Elle était donc organisée par les représentants de l'ordre public : municipalités, bourgeois et seigneurs... Au XII ème siècle, il n'était pas rare que des bordels soient administrés par des écclésiastiques, certains étaient même propriété de monastères ou de chapitres de chanoines !

bordel-moine

bordel-moine1

bordel-moine2

bordel-moine3

bordel-moine4

bordel-moine5

bordel-moine6

bordel-moine7

bordel-moine8

Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 6 avril 2016 3 06 /04 /Avr /2016 08:00

Fin des aventures de Mary en terre bordelaise

 

vino-finDimanche, dernier jour

Avant son départ, Mary ne revit ni Clément Dutertre, ni David Signac. Le premier avait pris l'avion très tôt le matin, David Signac était en congé. Dans le hall de l'hôtel, le Président du Syndicat lui remit au nom des viticulteurs une caisse de six bouteilles de grands crûs. Mary le remercia de son accueil et de l'agrément du séjour.

Il pleuvait sur Bordeaux.

Comme prévu, Jean-Paul est venu la chercher à l'aéroport. Les inévitables questions n'ont pas tardé.

- Tu sais que je commençais à être inquiet ! Ça fait trois jours que j'essaie de te joindre sur ton portable et que je tombe sur le répondeur !

- Je suis désolée, mais ma batterie était vide - ce qui était vrai - et je ne suis pas arrivée à remettre la main sur mon chargeur - ce qui était moins vrai. De toute façon, en cas d'urgence tu pouvais me laisser un message à l'hôtel !

- Le principal c'est que ça se soit bien passé. À propos, il était comment ton collègue de Normandie ?

- Insignifiant ! Un mec vraiment sans intérêt...

 

© Michel Koppera , décembre 2015

FIN

 

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Mardi 5 avril 2016 2 05 /04 /Avr /2016 08:00

"in vino veritas", chapitre 7

Samedi, sixième jour

vino19Au-dessus du bassin d'Arcachon, la lumière était apaisante et le soleil d'automne caressant. Allongée sur le sable, en maillot deux pièces, Mary se gorgeait de soleil. Elle avait exprimé le souhait de rester seule. Son animosité envers Clément Dutertre avait déteint sur David qu'elle soupçonnait sous ses airs aimables d'être aussi méprisable et misogyne que son compère. Aussi passa-t-elle la journée au milieu de familles endimanchées, d'ados joueurs de beach-volley et de couples de retraités anglais. À midi, elle déjeuna d'un sandwich et d'une bouteille d'eau. Dans l'après-midi, elle marcha sur la plage, à la lisière des vagues, comme elle le faisait quand elle était gamine. Pour la première fois de la semaine, elle regrettait l'absence de son mari tant elle aurait aimé partager avec lui ces instants en toute innocence.

- Demain, se dit-elle tout bas, je le retrouverai demain.

Ils lui avaient donné rendez-vous à dix-neuf heures précises sur une esplanade face à la mer. Dans le ciel, venus du large, s'étaient lentement amoncelés des nuages de plus en plus épais et sombres annonciateurs de pluie et de vent.

- Le dîner est prévu au restaurant du casino, leur dit David. Si après le dîner vous désirez tenter votre chance au jeu, je vous rappelle qu'une tenue correcte est exigée.

Mary avait tout prévu : le matin même, dans son sac, elle avait mis une robe noire, une paire d'escarpins et, sans doute par dépit, une paire de bas résille, un porte-jarretelles et un ensemble soutien-gorge string d'une belle indécence. Tout en enfilant sa tenue de soirée frivole dans les toilettes d'un bar, elle pensa à la vanité de ses illusions.vino17

Ils dînèrent donc au restaurant du casino d'Arcachon, édifice imposant aux allures de château de conte de fées. Pendant tout le repas, elle s'efforça de garder fière allure. Elle n'eut pas à se donner du mal car les deux hommes la traitèrent comme quantité négligeable. Ensuite, ils descendirent dans la salle de jeux bruissante du tintamarre des machines à sous, féerie de lumières multicolores qui clignotaient de tous leurs feux et des pluies des jetons tombant en dans les gouttières métalliques. Les deux hommes se dirigèrent vers les jeux de poker, Maryvonne s'essaya aux machines à sous plus basiques : elle glissait un billet dans la machine, appuyait sur la touche play. Pas de prise de tête ! Elle commença par perdre puis, au bout d'une heure elle se mit à gagner... Vers minuit, en quittant le casino, elle avait amassé une petite cagnotte de plus de trois cents euros qui eut le don de mettre les deux hommes bredouilles d'humeur ironique.

- Ça reste du gagne-petit ! lâcha méchamment Clément Dutertre. Moi, un soir, au casino de Deauville, je me suis fait plus de trois mille euros au black-jack.

Mais Mary s'en fichait, ils ne l'intéressaient plus. Dans la voiture alors qu'à l'avant les deux hommes se racontaient leurs exploits aux jeux de hasard, Maryvonne ne tarda pas à s'endormir.

vino18Quand elle se réveilla en sursaut, le moteur ne tournait plus, les phares étaient éteints et l'habitacle plongé dans le noir. De toute évidence, la Mercedes n'avait pas été arrêtée en ville mais en rase campagne. Une fois ses yeux habitués à l'obscurité, elle finit par discerner des arbres tout proches, comme si la voiture était garée dans un chemin forestier. Sur la banquette arrière, elle n'était plus seule mais encadrée des deux hommes qu'elle reconnut à leur odeur. Ils avaient déjà glissé leurs mains sous sa robe : alors que celui de gauche lui pelotait les seins, celui de droite caressait sa chatte brune et poilue que contenait à peine son string en dentelle noire.

- Cette nuit, tu vas toucher le jackpot ! dit David en lui écartant les cuisses.

Heureusement que la voiture était une spacieuse berline qui leur laissait une grande liberté de mouvement. Une fois les sièges avant repoussés au maximum, l'espace arrière devint un agréable terrain de jeux permettant de passer sans gêne de la position assise à la position couchée ou à celle plus lubrique de chienne en chaleur. La bite de David était certes plus modeste que le mandrin de Clément, mais elle n'en était pas moins savoureuse. Mary ne se lassait pas de la sucer tandis qu'à genoux derrière elle, Clément lui labourait le vagin avec la constance d'un robot. Quand ils furent tous les trois entièrement nus - Maryvonne conservant néanmoins ses bas et son porte-jarretelles -  ils alternèrent les rôles, chacun se faisant sucer, baisant ou enculant à son tour.

- Si vous voulez, vous pouvez me prendre tous les deux en même temps, leur souffla Mary alors qu'ils changeaient une énième fois de position.

Comment n'y avaient -ils pas pensé plus tôt ! C'était si évident ! Alors, Clément s'assit sur la banquette arrière, Mary enjamba son corps massif et vint prendre place  face à lui, ses seins toute contre son torse velu. Elle n'eut qu'à saisir la grosse queue de Clément et se la glisser dans la chatte. Quand elle fut bien saillie, elle se cambra au maximum pour ouvrir ses fesses. David prit position pour la couvrir comme le ferait un étalon pour sa jument, sa queue raide tendue en avant, tête d'ogive pointée sur l'anus de Mary. Par précaution, il lui enduisit la rondelle de salive mais ce n'était pas utile, elle était si mouillée et dilatée qu'elle aurait pu se faire sodomiser par un âne. La bite de David s'enfonça en elle. Maintenant qu'elle était comblée, aux portes du bonheur, elle se laissa aller contre le ventre de Clément et blottit sa tête dans le creux de son cou.

- Allez-y, baisez-moi, enculez-moi... C'est la dernière fois, demain il sera trop tard...

à suivre...

vino16

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Lundi 4 avril 2016 1 04 /04 /Avr /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 213 à 216

Je n'aime pas les mœurs des îles Philippines

Où l'on voit en public, sur le seuil des maisons

Des filles s'enfiler avec de fausses pines

Dès qu'elles ont vidé les couilles des garçons.

pybrac213

Je n'aime pas qu'Iris, quand sa motte est coiffée

Considère son cul dans une glace à main,

Poudre ses cuisses d'ange, ouvre sa chair de fée

Puis s'avive l'anus au crayon de carmin.

pybrac214

Je n'aime pas qu'Iris, de ses tétons en poire

Se fasse un autre con pour mon vit plus nerveux. 

Le foutre qui jaillit et qu'elle voudrait boire

Se perd sur son visage et dans ses purs cheveux.

pybrac215

Je n'aime pas à voir le garçon sur la fille

Donner des coups de cul et danser le galop

Aux applaudissements de toute la famille

Qui dit :" Ça vient, putain ! Fais-la jouir, salop !"

pybrac216

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 2 avril 2016 6 02 /04 /Avr /2016 08:00

Le bonheur est dans la salle de bain... tous les bonheurs

sdb1

sdb2

sdb3

sdb4

sdb5

sdb6

sdb7

sdb8

sdb9

sdb10

sdb11

sdb12

sdb13

sdb14

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 1 avril 2016 5 01 /04 /Avr /2016 08:00

"In vino veritas", chapitre 6

Vendredi, cinquième jour

vino15Après les événements de la veille, Mary se réveilla d'humeur joyeuse, comme libérée d'un poids. L'euphorie s'évanouit au "bonjour" machinal que lui adressa Clément Dutertre quand elle le rejoignit dans le hall de l'hôtel. Elle avait pourtant mis sa plus belle robe, celle qui lui moulait avantageusement les seins et les fesses, mais c'est à peine s'il lui jeta un regard. Ils devaient passer la journée dans les vignobles de Saint Émilion et de Pomerol dont les noms devaient pendant des années résonner comme un tocsin aux oreilles de Maryvonne.

 

Elle demeura hermétique aux charmes médiévaux du village de Saint Émilion, à ses rues pavées arpentées par des hordes de touristes en extase, à ses vignes au cœur de la cité closes de murets de pierres sèches, à ses caves, à ses coteaux... Seule importait l'indifférence de Clément Dutertre, l'ostensible distance qu'il prit soin de maintenir entre leurs deux corps, comme s'il craignait une contagion. À Pomerol, elle espéra trouver dans la dégustation d'un verre de Château La Conseillante, vin médecin s'il en est, un remède à son désespoir, dégustation qui n'eut comme effet que de lui donner un abominable mal de tête et d'exaspérer  le glacial dédain de Clément Dutertre. Elle pria David de hâter leur retour à Bordeaux. Elle s'enferma dans sa chambre où elle tenta vainement de se masturber pour apaiser sa détresse. Car, en dépit de sa cruelle désillusion, tout au long de cette malheureuse journée, son sexe n'avait jamais cessé d'être excité, ses mamelons dressés, son vagin huileux, son clitoris en érection, son anus en émoi...

à suivre...vino14

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Août 2025
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 31
             
<< < > >>

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés