Lundi 4 avril 2016 1 04 /04 /Avr /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 213 à 216

Je n'aime pas les mœurs des îles Philippines

Où l'on voit en public, sur le seuil des maisons

Des filles s'enfiler avec de fausses pines

Dès qu'elles ont vidé les couilles des garçons.

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Je n'aime pas qu'Iris, quand sa motte est coiffée

Considère son cul dans une glace à main,

Poudre ses cuisses d'ange, ouvre sa chair de fée

Puis s'avive l'anus au crayon de carmin.

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Je n'aime pas qu'Iris, de ses tétons en poire

Se fasse un autre con pour mon vit plus nerveux. 

Le foutre qui jaillit et qu'elle voudrait boire

Se perd sur son visage et dans ses purs cheveux.

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Je n'aime pas à voir le garçon sur la fille

Donner des coups de cul et danser le galop

Aux applaudissements de toute la famille

Qui dit :" Ça vient, putain ! Fais-la jouir, salop !"

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Samedi 2 avril 2016 6 02 /04 /Avr /2016 08:00

Le bonheur est dans la salle de bain... tous les bonheurs

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Vendredi 1 avril 2016 5 01 /04 /Avr /2016 08:00

"In vino veritas", chapitre 6

Vendredi, cinquième jour

vino15Après les événements de la veille, Mary se réveilla d'humeur joyeuse, comme libérée d'un poids. L'euphorie s'évanouit au "bonjour" machinal que lui adressa Clément Dutertre quand elle le rejoignit dans le hall de l'hôtel. Elle avait pourtant mis sa plus belle robe, celle qui lui moulait avantageusement les seins et les fesses, mais c'est à peine s'il lui jeta un regard. Ils devaient passer la journée dans les vignobles de Saint Émilion et de Pomerol dont les noms devaient pendant des années résonner comme un tocsin aux oreilles de Maryvonne.

 

Elle demeura hermétique aux charmes médiévaux du village de Saint Émilion, à ses rues pavées arpentées par des hordes de touristes en extase, à ses vignes au cœur de la cité closes de murets de pierres sèches, à ses caves, à ses coteaux... Seule importait l'indifférence de Clément Dutertre, l'ostensible distance qu'il prit soin de maintenir entre leurs deux corps, comme s'il craignait une contagion. À Pomerol, elle espéra trouver dans la dégustation d'un verre de Château La Conseillante, vin médecin s'il en est, un remède à son désespoir, dégustation qui n'eut comme effet que de lui donner un abominable mal de tête et d'exaspérer  le glacial dédain de Clément Dutertre. Elle pria David de hâter leur retour à Bordeaux. Elle s'enferma dans sa chambre où elle tenta vainement de se masturber pour apaiser sa détresse. Car, en dépit de sa cruelle désillusion, tout au long de cette malheureuse journée, son sexe n'avait jamais cessé d'être excité, ses mamelons dressés, son vagin huileux, son clitoris en érection, son anus en émoi...

à suivre...vino14

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Jeudi 31 mars 2016 4 31 /03 /Mars /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 209 à 212

Je n'aime pas à voir le potache qui passe

Une photographie obscène de sa sœur

Pour faire brusquement bander toute la classe

Et (quand il est surpris) bander le professeur.

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Je n'aime pas à voir dans les rocs de Sallanches

La Savoyarde en rut qui se trousse debout

Montre sa vulve noire entre deux cuisses blanches

Et soupire "Merci" chaque fois qu'on la fout.

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Je n'aime pas à voir une obscène pucelle

Qu'on déflore aux deux trous et morceau par morceau

Et qui veut qu'on la foute un coup sous chaque aisselle

Pour n'avoir plus un poil qui reste encor puceau.

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Je n'aime pas à voir un vieux garçon morose

Prendre dans un bordel la bonne de son choix,

Qui se laisse enculer et fait feuille de rose

Dix-sept heures par jour pour trente francs par mois.

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Mercredi 30 mars 2016 3 30 /03 /Mars /2016 08:00

5 courtes vidéos "amateur" regroupées sous le titre "En regardant une vidéo porno..."

Les deux premières de la série sont assez similiaires. Dans les deux cas, gros plan fixe sur le ventre d'une femme (la première mature, la seconde beaucoup plus jeune). Toutes les deux se masturbent tout en visionnant un film X dont on ignore tout des images. On ne le sait qu'à l'écoute de la bande-son qui mêle les soupirs de plaisir de la branleuse et ceux des "acteurs" en action sur l'écran.

Vidéo n° 1 : cliquez ICI

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video n° 2 : cliquez ICI

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Les trois vidéos suivantes sont de bonnes illustrations de la "mise en abyme". On regarde quelqu'un en train de regarder une vidéo porno. Et de ce fait, ce qu'on est en train de regarder devient aussi une vidéo porno... etc

Vidéo n° 3 : Belle simultanéité des éjaculations

Cliquez ICI

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Vidéo n° 4 : Intercation. Par le jeu des webcams, on assiste à un véritable échange des orgasmes

Cliquez ICI

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Vidéo n° 5 : Belle surprise à la fin d'un long plan séquence qui n'est pas sans rappeler celui de "La maman et la putain" de Jean Eustache

Cliquez ICI

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Mardi 29 mars 2016 2 29 /03 /Mars /2016 08:00

"In vino veritas", chapitre 5

Jeudi, quatrième jour.

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Le programme de la journée était des plus succincts : quartier libre. Mary en profita pour paresser au lit, s'éterniser dans la salle de bains, traîner dans la chambre en petite tenue. Quand elle descendit pour le petit déjeuner, elle espérait bien éviter de croiser Clément Dutertre. À la réception, on lui annonça qu'il avait déjà quitté l'hôtel. Ce fut donc seule qu'elle visita la ville, qu'elle fit le tour du monument des Girondins et en admira les fontaines, qu'elle arpenta sur toute sa longueur la rue Sainte Catherine aux boutiques innombrables, qu'elle fit l'emplette dans une pâtisserie d'une boîte de cannelés, qu'elle regarda les petits arcs-en-ciel dans les brumes au-dessus du miroir d'eau sur les quais, qu'elle dégusta une coupe glacée en terrasse, qu'elle marcha au hasard jusqu'à l'absurde... Trois heures de liberté et d'ennui.

Alors qu'elle montait les marches du Grand Théâtre, elle se sentit saisie par le bras.

- Vous me cherchiez, me voilà. On y va, c'est moi qui invite !

- Où ça ?

- Au bordel !

vino12Elle se laissa faire, c'était si agréable de n'avoir à décider de rien. Quand ils se retrouvèrent devant l'hôtel de l'Allée de Tourny, elle pensa que ce ne serait qu'un transit. Ils traversèrent le hall de réception, prirent l'ascenseur. Second étage, le tapis rouge d'un long couloir, arrêt devant la porte 209.

- Après vous ! dit-il en la poussant à l'intérieur.

La chambre 209 était semblable à la 317, avec le même lit extra-large, mais avec en plus l'odeur du mâle.

- Déshabille-toi !

Mary ôta ses chaussures et sa robe. Elle fut tentée de conserver son soutien-gorge et sa petite culotte, mais d'un simple regard il lui en fit passer l'envie.

- Maintenant, viens me sucer !

Il se tenait debout au pied du lit. Elle s'approcha, tiraillée entre la haine et le désir. Car elle le détestait comme au premier jour, peut-être même davantage, mais il y avait désormais le désir qui lui tenaillait le ventre, cette sale envie de jouissance et de soumission.  Arrivée tout contre lui, elle posa une main sur sa braguette et en frotta lascivement la bosse.

- Oui, c'est ça, fais-moi bander !

Sous le tissu du pantalon de coton, elle sentait se gonfler sa bite. Mary s'agenouilla, défit la ceinture, déboutonna la braguette et abaissa le pantalon le long des cuisses musculeuses et velues. L'érection déformait le boxer où elle pressa sa bouche pour un baiser de dévotion. Alors, tel un diable bondissant de sa boîte, la grosse queue se dressa devant elle, divinement dure. Elle promena sa langue sur toute la longueur de la hampe, goba le gland décalotté et entreprit de lui tailler une pipe. La bite de Clément lui emplissait la bouche jusqu'à la luette.

- Suce-moi bien, sale putain...

Alors qu'il avait la bite ventousée par la bouche de Mary, Clément déboutonna sa chemise et la jeta sur le lit. Il lui prit la main et la posa sur son torse velu. Le contact de sa paume sur l'épaisse pilosité électrisa Mary qui en oublia toute décence. Elle s'imagina déjà couchée contre lui, ses seins reposant sur le molleton soyeux de son torse. Elle redoubla d'ardeur pour lui pomper la queue.

- Tu aimes ça, hein, salope !

Oui, elle aimait ça qu'il la traite de salope et de putain. Elle était prête à se mettre à quatre pattes comme une chienne, à lui renifler et lécher l'arrière-train, à s'accroupir devant lui pour pisser, à jouer les prostituées bon marché, elle était prête à tout pour qu'il lui mette son énorme bite dans la chatte et qu'il la fasse jouir comme jamais.

Il lui fit tout ça et plus encore. Il la laissa se vautrer sur son ventre en miaulant de bonheur, il lui lécha le clito et lui lapa le cul à grands coups de langue, il la souleva comme une poupée et la laissa retomber sur sa queue dressée qui s'enfonça d'un seul coup dans sa chatte béante. Elle se sentit guenon accouplée avec son gorille à dos argenté. Elle eut un premier orgasme qui souleva des vagues mouillées au plus profond de son vagin marécageux.

Quand elle eut repris son souffle, il la souleva de nouveau aussi légère qu'une plume dans ses mains de bûcheron canadien. En sortant du vagin, la bite toujours tendue à l'extrême et luisante de mouillure fit comme un bruit de succion d'une grande obscénité. Il la bascula sur le lit, la mit à quatre pattes, la croupe relevée, les fesses grand ouvertes et à genoux derrière elle il présenta la tête de sa bite à la porte de son anus.

- Ouvre ton cul, je vais te la mettre !vino13

Maryvonne redoutait une grande douleur à la mesure du membre de l'intrus, mais il n'en fut rien. Têtue, la queue de Clément l'enculait lentement. C'était comme si elle chiait à l'envers un énorme étron. Quand il fut entré en entier, ses couilles velues battant contre sa vulve détrempée, il lui posa sa large main sur le bas des reins et lui parla d'une voix terriblement calme.

- Tu es ma chienne docile avec ma queue plantée entre tes fesses. Dès le premier jour, j'ai su qui tu étais, tu respirais le femelle en chaleur. Remue ton cul tout doucement. Tu sens comme elle est chaude et vivante ?

- Oui, elle est trop bonne !

- Tu es prête à faire tout ce que je te demanderai ?

- Oui

- Alors je vais te remplir le cul de foutre et après quand j'aurai ressorti ma queue, tu vas me la lécher...

Il en fut ainsi et plus encore. Dans la salle de bains, il lui pissa sur les seins et la chatte avant de la contraindre à de nouvelles abjections anales. Mary s'étonna de n'en éprouver aucun dégoût, elle y trouva même un certain agrément.

Au coucher du soleil, il y eut une courte pause où elle se laissa aller à se pelotonner contre Clément, les doigts jouant dans les poils de son torse. Chatte, elle en aurait ronronné de bien-être. Mais ce ne fut qu'un entracte, car dès qu'il eut repris vigueur, il lui força de nouveau l'anus, avec des mots orduriers. Il la fit asseoir sur son ventre, face à lui, la bite plantée verticalement dans le cul. Tout en lui parlant, il malaxait ses gros seins.

- Regarde-moi. Je t'interdis de baisser les yeux sinon je te pince les tétons, et je pense que tu n'aimerais pas ça. Passe ta langue sur les lèvres de traînée.. Avec une bouche pareille, t'as dû en sucer des bites et en avaler du foutre ! Ça te plairait qu'après je te la remette dans la chatte ?

- Oui... mais ça me plaît aussi comme ça.

- T'es mariée ?

- Oui

- Alors, tu peux pas savoir à quel point c'est encore meilleur de t'enculer ! Branle-toi. J'aime voir tes doigts fourrager dans ta touffe. Je veux sentir ta jouissance me palper la queue, que ce soit tellement fort que j'aie l'impression que tu as une bouche secrète quelque part dans le gros intestin, une bouche aspirante uniquement conçue pour sucer les glands...

 

Très tard dans la nuit, Mary regagna sa chambre. Sur son portable, elle avait cinq appels manqués de Jean-Paul et deux messages qu'elle se refusa à lire.

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 27 mars 2016 7 27 /03 /Mars /2016 08:00

Retour aux fondamentaux du blog, à savoir les mini-galeries thématiques. Donc, ouverture ce jour d'une nouvelle série sur le thème : "Le bonheur est...

On commence par un lieu à forte charge érotique : LA GRANGE ! dont je vous rappelle la définition : " Bâtiment d'une exploitation agricole où sont entreposées les récoltes de paille, de foin..." Avec la pénombre, c'est surtout le foin qui, par son odeur et sa chaleur naturelle, constitue la principale composante érogène du lieu... comme en témoignent les images qui suivent.

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Samedi 26 mars 2016 6 26 /03 /Mars /2016 08:00

La vidéo est pour le moins étonnante. La jeune femme est devant sa webcam, de toute évidence en train de s'exhiber devant des internautes. Il y a un fort contraste entre sa jeunesse, la beauté de son corps (elle a une poitrine absolument sublime) et son sexe d'une incroyable élastcité où elle enfonce sa main toute entière pour se masturber avec passion... Ces quelques minutes quraient pu aussi figurer dans la catégorie "storynet" comme représentative de la fonction érotique d'Internet.

La contre-plongée ajoute encore à la sensualité de la scène en mettant au premier plan sa main fouillant son sexe.

durée de la vidéo : 1 m 37 secondes 

Pour voir la vidéo, cliquez ICI

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Par michel koppera - Publié dans : videos et webcam - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 25 mars 2016 5 25 /03 /Mars /2016 08:00

Suite des aventures de Mary en Bordelais, aujourd'hui elle nous emmène dans une balade à travers le Haut-Médoc...

"in vino veritas", chapitre 4

Mercredi, troisième jour.

vino10La météo était toujours au beau fixe. Les kilomètres défilaient au milieu des vignobles où les vendanges battaient leur plein, milliers de petites mains et de sécateurs affairés. Dès la sortie de l'agglomération bordelaise, Clément Dutertre avait retroussé la jupe de Mary.

- C'est bien, avait-il dit d'un air détaché, on verra ça plus tard...

Plus tard ? Ce ne fut pas au monumental Château Beychevelle où ils firent leur première halte en milieu de matinée, histoire de déguster un fond de verre de Haut-Médoc grand crû classé. On ne leur prêta guère attention  :  l'heure était aux vendanges, pas aux mondanités !

Plus tard ? Ce ne fut pas à l'heure du déjeuner dans un petit restaurant de Pauillac, face à la Gironde qui charriait inlassablement ses eaux couleur de boue...

Plus tard ? Ce ne fut ni au pied, ni au sommet de phare de Cordouan où ils arrivèrent dans l'après-midi pour une visite guidée...

Plus tard ? Ce fut sur le pont de la vedette qui les ramenait à la terre ferme où les attendait David. Le crépuscule approchait, les rares passagers s'étaient rassemblés dans la cabine. Accoudés au bastingage d'une coursive déserte, Mary et Clément contemplaient l'océan. Il vint se placer derrière elle et souleva sa jupe pour découvrir ses fesses nues.

- Ne bouge pas ! lui dit-il. Espèce de petite salope qui ne porte même pas de culotte.

Elle entendit le zip d'une fermeture Éclair et quelques instants plus tard, il la prenait debout, par derrière. À l'image de ses mains, sa bite lui parut énorme, puissante et autoritaire. Elle lui emplissait tellement le vagin que Mary en éprouva une sensation de plénitude. Méthodiquement, il entama un mouvement de va-et-vient dans sa chatte gluante. D'instinct, à chaque coup de boutoir, elle se cambrait un peu de sorte qu'il la pénétrait plus profondément, qu'elle sentait contre ses fesses la caresse de ses poils pubiens. Curieuse, elle glissa une main entre ses cuisses pour lui palper les couilles et tenter d'estimer du bout des doigts le calibre du pilon qui lui pistonnait le vagin. Il lui parut si gros, si trapu, qu'elle en mouilla davantage.vino8

- Branle-toi, souffla-t-il, en attendant que je décharge dans ta chatte !

De l'index et du majeur réunis, elle s'empressa de s'astiquer le clitoris. Elle aussi voulait en finir. Mais elle n'en eut pas le temps ; les jambes un peu fléchies, il bloqua sa queue démesurée au fond du vagin de Mary, la tête du gland logée sous le col de l'utérus, et lui lâcha tout dans la matrice. Elle sentit son ventre devenir une sorte de marécage visqueux où ondulaient les civelles et les tritons du désir. Quand il se retira, d'épais sanglots de sperme chaud coulèrent le long des cuisses de Mary qui laissa la brise du soleil couchant les sécher sur sa peau.

Pendant presque tout le trajet du retour vers Bordeaux, Mary dormit allongée sur la banquette arrière de la Mercedes. Devant, David et Clément parlaient encore foot, mais aussi pêche au bar et bagnoles. Le ventre englué de sperme, Mary dormait d'un sommeil sans rêve.

 

Tard dans la nuit, son mari essaya de lui téléphoner, mais elle ne répondit pas.

à suivre...

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 24 mars 2016 4 24 /03 /Mars /2016 08:00

C'est au tour de J-Y-P d'apporter sa contribution aux fantasmes d'A-C

A-C-JYP

Pour ceux qui auraient des difficultés à lire les textes des bulles

-Le mec du dessous : Chaud devant

-Le mec du dessus : Chaud derrière aussi

- la fille : J'en ai vraiment plein le cul de ces mecs

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Fantasmes et écriture
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