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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 197 à 200
Je n'aime pas à voir que la mode se perde
D'introduire le vit aux filles par le con.
À force de les foutre en cul jusqu'à la merde
Elles n'ont plus qu'un trou. De quoi sert le second ?
Je n'aime pas à voir à l'heure où l'on se couche
La putain qui m'aborde avec des yeux ardents
Et sans me dire un mot, fourre un doigt dans sa bouche
Pour m'offrir de pisser mon foutre là-dedans.
Je n'aime pas à voir que Margot s'accroupisse
Devant une façade, ouvre son cul tout nu
Vise le soupirail de la cuisine, et pisse
Sur l'entremets glacé d'un honnête inconnu.
Je n'aime pas à voir la bouche obscène et large
D'Iris qui suce au parc le vit d'un bourricot
"Pour savoir si c'est bon quand un âne décharge"
Et qui trouve à son foutre un parfum d'abricot.
Takeda, un blogueur averti, m'a envoyé une série de photos extraites du numéro 21 du magazine ERO (Swedish sexmagazine) paru sans doute à la fin des années 1970. On y découvre une Catherine Ringer toute jeune mais déjà hyper sensuelle et pleine d'énergie. Au nom de tous les amoureux et admirateurs de la future chanteuse des Rita Mitsouko, que Takeda soit ici publiquement remercié de cette archive pornographique...
Caty propose cette petite suite de cinq "trilogues" pour mettre des mots sur la photo d'A-C (ne faites pas attention aux fautes d'orthographe, c'est écrit dans le "feu de l'action" ! )
A-C avec qui j'ai des projets d'écriture m'a adressé cette photographie. Elle attend des lecteurs et lectrices du blog qu'ils/elles proposent de compléter librement les bulles des protagonistes de cette chaude séance de triolisme... Dont acte ! À vos claviers !
Dans le premier article que j'avais consacré à l'œuvre de Giovanna Casotto, j'avais insisté sur le fait que le passage par la photographie (essentiellement l'auto-portrait) constituait une étape importante dans la mise en image de son propre corps. Je vous propose aujourd'hui une série de 10 images, 5 dessins et 5 photos alternées, pour mieux comprendre cette démarche artisitique.
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 193 à 196
Je n'aime pas à voir deux gousses en famille
Dont l'une fait la femme et l'autre le mari
Adopter une enfant comme leur propre fille
Pour leur lécher le cul, la bouche et le nombril.
Je n'aime pas à voir pendant sa nuit de noce
Un jeune époux trousser la pucelle, et jaunir
En trouvant sur le ventre, autour des poils en brosse
Trois gros vits tatoués près du mot :" Souvenir."
Je n'aime pas à voir la jeune chevrière
Qui se trousse à genoux au milieu du troupeau
S'ouvre au bouc qui vient la saillir par-derrière
Et qui rit quand les poils lui chatouillent la peau.
Je n'aime pas à voir la mère trop bonnasse
Montrer à ses enfants le con qui les cracha
Et les entendre dire :" Oh ! La sale connasse !
Faut pas compter sur nous pour te bouffer le chat."
Né à Paris en 1806 et décédé dans la même ville en 1870, Eugène Lepoittevin ( de son vrai nom Eugène Modeste Edmond Poldevin) a produit deux œuvres parallèles, l'une officielle, l'autre plus secrète.
Son œuvre officielle est celle d'un peintre de marines et de scènes de genre, souvent situées en Normandie. En 1849, il obtient même le titre de Peintre officiel de la Marine.
Scène familiale en bord de mer
Pêcheur halant un bateau à terre, Port en Bessin (Calvados)
La Lettre
Mais il construit aussi une abondante et collection de caricatures et d'illustrations érotiques. Les titres de ses recueils d'estampes et de lithographies sont sans ambiguïté : Diableries érotiques, Charges et décharges diaboliques (recueil posthume paru en 1907), L'Enfer en goguette ou encore Diabolico foutromanie !
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