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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 221 à 224
Je n'aime pas à voir le potager plein d'ombre
Où la fille de ferme, accroupie à l'écart,
Célèbre ses amours avec un vert concombre
Dans un con large et chaud qui gante seize et quart.
Je n'aime pas à voir deux bas en fil d'Écosse
Composer sur mon lit le vêtement complet
De l'impubère enfant, de la très sale gosse
Qui tète encor mon vit pour en tirer du lait.
Je n'aime pas à voir l'époux à la mairie
Qui, dès que son désir reçoit le sceau légal,
Flanque sa pine au con de sa femme chérie
Pour remplir en public le devoir conjugal.
Je n'aime pas à voir la jeune mariée
Dire au jeune mari :" Mon petit Adrien
Sur les lèvres du con, je suis avariée,
Encule-moi plutôt, tu n'attraperas rien."
Li Xiaoxuan est un artiste d'origine chinoise dont je n'ai pu trouvé trace de la biographie ni de l'itinéraire artistique. Tout ce que je sais c'est qu'en 1972, il a illustré la pochette d'un album de Barry Ryan, album intitulé "Sanctus Sanctus Hallelujah" Toute contribution pour apporter des informations complémentaires sur cet artiste sera évidemment la bienvenue !
Bonus vidéo et webcam.
En l'occurrence, il s'agit d'un long plan webcam. Une femme dont on ne voit que le bas-ventre, se filme debout en train de se masturber contre un coin de table en bois. La vidéo dure presque cinq minutes. Elle a un orgasme d'une grande intensité, suivi presque aussitôt d'un second...
Pour visionner la vidéo : Cliquez ICI
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 217 à 220
Je n'aime pas à voir la pauvre maquerelle
Qui, sur le tard, s'éprend d'une de ses putains
Lui baise le derrière et se branle sur elle
Sans émouvoir le con ni raidir les tétins.
Je n'aime pas à voir la souple Marceline
Qui dit à son cousin :" Mon chéri, bandes-tu ?
Viens m'enculer au parc, j'ai pris ma vaseline."
Ce langage est lascif et blesse la vertu.
Je n'aime pas à voir la pucelle qui gueule :
" Je suis trop en chaleur, maman, je vais baiser.
C'est crevant de toujours me branler toute seule
Quand j'ai déjà du poil qui commence à friser."
Je n'aime pas à voir la princesse de Grèce
Qui, menée au bordel par sa fille d'honneur,
Frotte sa bouche obscène au cul de la négresse
Et crie en déchargeant :" C'est là qu'est le bonheur !"
MIROIR : Objet constitué d'une surface polie qui sert à réfléchir la lumière, à produire l'image des personnes et des choses.
Sens abstrait : Ce qui offre à l'esprit l'image, la représentation des personnes, des choses, du monde.
Au Moyen Âge, la prostitution était institutionnalisée et considérée comme un service de salubrité publique. Elle était donc organisée par les représentants de l'ordre public : municipalités, bourgeois et seigneurs... Au XII ème siècle, il n'était pas rare que des bordels soient administrés par des écclésiastiques, certains étaient même propriété de monastères ou de chapitres de chanoines !
Fin des aventures de Mary en terre bordelaise
Avant son départ, Mary ne revit ni Clément Dutertre, ni David Signac. Le premier avait pris l'avion très tôt le matin, David Signac était en congé. Dans le hall de l'hôtel, le Président du Syndicat lui remit au nom des viticulteurs une caisse de six bouteilles de grands crûs. Mary le remercia de son accueil et de l'agrément du séjour.
Il pleuvait sur Bordeaux.
Comme prévu, Jean-Paul est venu la chercher à l'aéroport. Les inévitables questions n'ont pas tardé.
- Tu sais que je commençais à être inquiet ! Ça fait trois jours que j'essaie de te joindre sur ton portable et que je tombe sur le répondeur !
- Je suis désolée, mais ma batterie était vide - ce qui était vrai - et je ne suis pas arrivée à remettre la main sur mon chargeur - ce qui était moins vrai. De toute façon, en cas d'urgence tu pouvais me laisser un message à l'hôtel !
- Le principal c'est que ça se soit bien passé. À propos, il était comment ton collègue de Normandie ?
- Insignifiant ! Un mec vraiment sans intérêt...
© Michel Koppera , décembre 2015
FIN
"in vino veritas", chapitre 7
Samedi, sixième jour
Au-dessus du bassin
d'Arcachon, la lumière était apaisante et le soleil d'automne caressant. Allongée sur le sable, en maillot deux pièces, Mary se gorgeait de soleil. Elle avait exprimé le souhait de rester seule.
Son animosité envers Clément Dutertre avait déteint sur David qu'elle soupçonnait sous ses airs aimables d'être aussi méprisable et misogyne que son compère. Aussi passa-t-elle la journée au
milieu de familles endimanchées, d'ados joueurs de beach-volley et de couples de retraités anglais. À midi, elle déjeuna d'un sandwich et d'une bouteille d'eau. Dans l'après-midi, elle marcha sur
la plage, à la lisière des vagues, comme elle le faisait quand elle était gamine. Pour la première fois de la semaine, elle regrettait l'absence de son mari tant elle aurait aimé partager avec
lui ces instants en toute innocence.
- Demain, se dit-elle tout bas, je le retrouverai demain.
Ils lui avaient donné rendez-vous à dix-neuf heures précises sur une esplanade face à la mer. Dans le ciel, venus du large, s'étaient lentement amoncelés des nuages de plus en plus épais et sombres annonciateurs de pluie et de vent.
- Le dîner est prévu au restaurant du casino, leur dit David. Si après le dîner vous désirez tenter votre chance au jeu, je vous rappelle qu'une tenue correcte est exigée.
Mary avait tout prévu : le matin même, dans son sac, elle avait mis une robe noire, une paire d'escarpins et, sans doute par
dépit, une paire de bas résille, un porte-jarretelles et un ensemble soutien-gorge string d'une belle indécence. Tout en enfilant sa tenue de soirée frivole dans les toilettes d'un bar, elle
pensa à la vanité de ses illusions.
Ils dînèrent donc au restaurant du casino d'Arcachon, édifice imposant aux allures de château de conte de fées. Pendant tout le repas, elle s'efforça de garder fière allure. Elle n'eut pas à se donner du mal car les deux hommes la traitèrent comme quantité négligeable. Ensuite, ils descendirent dans la salle de jeux bruissante du tintamarre des machines à sous, féerie de lumières multicolores qui clignotaient de tous leurs feux et des pluies des jetons tombant en dans les gouttières métalliques. Les deux hommes se dirigèrent vers les jeux de poker, Maryvonne s'essaya aux machines à sous plus basiques : elle glissait un billet dans la machine, appuyait sur la touche play. Pas de prise de tête ! Elle commença par perdre puis, au bout d'une heure elle se mit à gagner... Vers minuit, en quittant le casino, elle avait amassé une petite cagnotte de plus de trois cents euros qui eut le don de mettre les deux hommes bredouilles d'humeur ironique.
- Ça reste du gagne-petit ! lâcha méchamment Clément Dutertre. Moi, un soir, au casino de Deauville, je me suis fait plus de trois mille euros au black-jack.
Mais Mary s'en fichait, ils ne l'intéressaient plus. Dans la voiture alors qu'à l'avant les deux hommes se racontaient leurs exploits aux jeux de hasard, Maryvonne ne tarda pas à s'endormir.
Quand elle se réveilla en
sursaut, le moteur ne tournait plus, les phares étaient éteints et l'habitacle plongé dans le noir. De toute évidence, la Mercedes n'avait pas été arrêtée en ville mais en rase campagne. Une fois
ses yeux habitués à l'obscurité, elle finit par discerner des arbres tout proches, comme si la voiture était garée dans un chemin forestier. Sur la banquette arrière, elle n'était plus seule mais
encadrée des deux hommes qu'elle reconnut à leur odeur. Ils avaient déjà glissé leurs mains sous sa robe : alors que celui de gauche lui pelotait les seins, celui de droite caressait sa chatte
brune et poilue que contenait à peine son string en dentelle noire.
- Cette nuit, tu vas toucher le jackpot ! dit David en lui écartant les cuisses.
Heureusement que la voiture était une spacieuse berline qui leur laissait une grande liberté de mouvement. Une fois les sièges avant repoussés au maximum, l'espace arrière devint un agréable terrain de jeux permettant de passer sans gêne de la position assise à la position couchée ou à celle plus lubrique de chienne en chaleur. La bite de David était certes plus modeste que le mandrin de Clément, mais elle n'en était pas moins savoureuse. Mary ne se lassait pas de la sucer tandis qu'à genoux derrière elle, Clément lui labourait le vagin avec la constance d'un robot. Quand ils furent tous les trois entièrement nus - Maryvonne conservant néanmoins ses bas et son porte-jarretelles - ils alternèrent les rôles, chacun se faisant sucer, baisant ou enculant à son tour.
- Si vous voulez, vous pouvez me prendre tous les deux en même temps, leur souffla Mary alors qu'ils changeaient une énième fois de position.
Comment n'y avaient -ils pas pensé plus tôt ! C'était si évident ! Alors, Clément s'assit sur la banquette arrière, Mary enjamba son corps massif et vint prendre place face à lui, ses seins toute contre son torse velu. Elle n'eut qu'à saisir la grosse queue de Clément et se la glisser dans la chatte. Quand elle fut bien saillie, elle se cambra au maximum pour ouvrir ses fesses. David prit position pour la couvrir comme le ferait un étalon pour sa jument, sa queue raide tendue en avant, tête d'ogive pointée sur l'anus de Mary. Par précaution, il lui enduisit la rondelle de salive mais ce n'était pas utile, elle était si mouillée et dilatée qu'elle aurait pu se faire sodomiser par un âne. La bite de David s'enfonça en elle. Maintenant qu'elle était comblée, aux portes du bonheur, elle se laissa aller contre le ventre de Clément et blottit sa tête dans le creux de son cou.
- Allez-y, baisez-moi, enculez-moi... C'est la dernière fois, demain il sera trop tard...
à suivre...
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 213 à 216
Je n'aime pas les mœurs des îles Philippines
Où l'on voit en public, sur le seuil des maisons
Des filles s'enfiler avec de fausses pines
Dès qu'elles ont vidé les couilles des garçons.
Je n'aime pas qu'Iris, quand sa motte est coiffée
Considère son cul dans une glace à main,
Poudre ses cuisses d'ange, ouvre sa chair de fée
Puis s'avive l'anus au crayon de carmin.
Je n'aime pas qu'Iris, de ses tétons en poire
Se fasse un autre con pour mon vit plus nerveux.
Le foutre qui jaillit et qu'elle voudrait boire
Se perd sur son visage et dans ses purs cheveux.
Je n'aime pas à voir le garçon sur la fille
Donner des coups de cul et danser le galop
Aux applaudissements de toute la famille
Qui dit :" Ça vient, putain ! Fais-la jouir, salop !"
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