Envoi d'une lectrice qui souhaite rester anonyme. Moments de solitude devant le miroir, elle se photographie. C'est spontané, sans orgueil ni provocation. C'est émouvant, c'est tout simplement beau.
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Envoi d'une lectrice qui souhaite rester anonyme. Moments de solitude devant le miroir, elle se photographie. C'est spontané, sans orgueil ni provocation. C'est émouvant, c'est tout simplement beau.
Vendredi 29 janvier, j'étais à Angoulême pour le 43 ème Festival International de la Bande Dessinée. Je vous entretiendrai dans des articles ultérieurs de mes découvertes, mais pour l'instant il est urgent que je vous invite à aller sur place, au Musée d'Angoulême voir l'exposition Interduck. C'est le résultat des travaux d'un collectif d'artistes qui détournent des classiques de l'art (peintures, sculptures, affiches.. ) à la gloire du canard et plus précisément de Donald Duck. L'exposition est prévue pour durer jusqu'au 15 mars 2016. À ne manquer sous aucun prétexte, c'est absolument génial !
Pour vous mettre l'eau à la bouche voici quelques exemples parmi tant d'autres, où vous reconnaîtrez au passage, "Mademoiselle Murphy" de Boucher, "La jeune fille à la perle", "l'origine du monde" de Courbet, La Joconde, le Che...
Pour en savoir plus : www.duckomenta.com
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 177 à 180
Je n'aime pas à voir la nièce consentante
Qui, douce, et toute nue, et la main sur les yeux
Darde sa langue au cul de son énorme tante
Et pleurniche :" Maman, j'aime encor mieux les vieux."
Je n'aime pas à voir un vit solide et large
Enculer une Agnès immonde, qui s'en fout,
Et qui crie :" Eh ! Maman ! Faut-il que je décharge ? "
Et se tord le derrière avec un rire fou.
Je n'aime pas à coucher dans l'herbe à la campagne
Avec une bergère aux tétons chauds et droits
Qui s'empoigne les poils, prend sa main pour un pagne
Mais qui laisse mon vit passer entre les doigts.
Je n'aime pas à voir la jolie Argentine
Qui trousse la nounou, lui promet un louis,
Caresse le téton, fait bander la tétine
Et se la plante au sexe en criant :" Je jouis !"
Petite BD en trois planches où Giovanna Casotto se met en scène dans une petite aventure de modèle pour un peintre... Je vous laisse savourer et... traduire.
Aujourd'hui, je vous propose deux tableaux de Stu Mead ayant comme point commun de tourner la mort en dérision. La mort étant ici représentée par le cimetière. Le cimetière devient dans ces deux tableaux un lieu de vie. mais pas n'importe quelle vie, pas une petite existence routinière mais un espace de liberté où s'épanouit une sexualité sans tabous, telle que l'homosexualité des deux gamines ou l'urolagnie joyeuse avec un zombie. Le tableau avec les deux gamines n'a pas de titre, le second s'appelle tout simplement "Zombie"
"Crissie et Monsieur K", chapitre 35 b
Je tourne discrètement la tête vers Miguel. Lui aussi a un regard en coin vers moi, à la fois amusé et profond. A peine arrivés ici, j'ai été troublée par son charisme et sa puissance. J'ai toujours été attirée par les hommes qui ont de la présence, du poids. J'avoue qu'il m'attire. Je me demande s'il baise ses modèles. Je ne sais pas si c'est déontologiquement correct, mais je suis tellement naïve parfois. Ça doit quand même fausser la donne. Mais je dois bien avouer que j'en ai très envie. Ces deux hommes près de moi me donnent des envies folles de me faire baiser par eux. Toutes ces pensées me fulgurent l'esprit pendant que Monsieur K délivre mon sexe de ses doigts glissants et visqueux. Il me donne un léger baiser, me caresse lentement, avec insistance, jusqu'à la raie des fesses. Je me cambre. Je tremble presque. Il me glisse à l'oreille, en regardant l'artiste qui maintenant nous dévisage. " Ça te dirait de tâter de la grosse queue de Miguel, petite salope. Tu lui plais beaucoup et je suis sûr qu'il n'attend qu'un signe !"
Je me contente de gémir et Monsieur K en sait assez. Il sourit généreusement à Miguel, qui s'approche, me soulève comme une plume. Il nous emmène dans la cuisine et me dépose délicatement sur la table en m'allongeant sur le dos. Monsieur K se place derrière moi et Miguel devant. Il me regarde. Va chercher quelque chose dans un tiroir. Revient se placer devant moi et ouvre son pantalon. Une queue énorme et raide en sort comme un diable de sa boîte. Monsieur K, derrière moi, me touche sans cesse : il prend ma tête dans ses mains, puis me caresse les cheveux, le front, les joues, les lèvres. Il s'attarde longuement sur mes lèvres. A l'autre bout, Miguel, de ses grandes mains, me caresse d'autres lèvres. Le désir monte encore, je me sens pute, salope, salace, je ne demande qu'à me faire bourrer. Comme s'ils le devinaient, les deux hommes me prennent en même temps, Miguel s'enfonçant violemment en moi, et Monsieur K forçant ma bouche. Les deux engins, puissants, me forent en cadence et je ne sais plus où je suis. Je ne peux pas parler mais je crie quand même, d'ailleurs je ne crie pas, je gueule, et je me mets à gigoter comme un diable sans pouvoir me contenir davantage alors que, presque en même temps, les deux hommes déchargent, bruyamment eux aussi.
Un silence apaisé s'installe. Monsieur K pose sa tête sur ma poitrine et Miguel sur mon ventre. Je leur caresse la tête. Je me sens si bien...
" Crissie et Monsieur K.", chapitre 35 a
– Venez, je vais vous montrer quelque chose !
Miguel Ibanez Saura me tend un peignoir de satin et nous le suivons dans un long couloir. Puis, il ouvre une porte et nous pénétrons dans une vaste salle inondée de lumière. Le sol de marbre est nu, avec au centre un grand canapé de velours rouge en ellipse, avec un dossier central, comme on en voit dans les musées. La pièce rectangulaire n’a aucune fenêtre. Du sol au plafond, des tableaux hyperréalistes sont accrochés aux murs. Sur deux d’entre eux, rien que des sexes féminins, en gros plan, format paysage. Miguel en explique le concept à Monsieur K.
- C’est ma vision de l’humanité. Toutes les toiles ont la même dimension, 180 X 90. L’expo comptera vingt-et-un tableaux, comme le nombre de siècles après Jésus-Christ….
- Comment trouves-tu tes modèles ? Ça ne doit pas être évident…
- Détrompe-toi, je n’ai que l’embarras du choix ! L’anonymat est garanti, et ça les excite de s’exhiber ainsi. Parmi ces femmes, bien sûr il y a des putains, mais aussi des femmes au foyer, des actrices plus ou moins célèbres. Il y a même la vulve de l’épouse d’un ministre.
Il y en a effectivement pour tous les goûts : chattes presque juvéniles aux lèvres serrées, chattes grasses échevelées, chattes au clitoris clouté d’un piercing, chattes renfrognées ou comme souriantes…
Les deux murs en vis-à-vis sont couverts de toiles de la même taille, en format portrait, représentant des sexes masculins, constituant une extraordinaire collection de bites plus vraies que nature : bites au repos ou en érection, bites à grosses couilles, bites métisses ou noires, bites agrémentées d’un anneau au gland, bites au méat luisant de désir… Parmi elles, je reconnais aussitôt, tout là haut, la bite familière de Monsieur K, bien raide, prête à l’emploi.
À ce spectacle, mes mamelons durcissent, jusqu’à devenir presque douloureux. L’envie de baiser me noue l’estomac.
Je sens les doigts chauds de Monsieur K qui s’affairent entre mes cuisses. Il fait tourner les mollettes de la combinaison secrète du cadenas. Je guette le petit déclic de l’ouverture… Je suis déjà trempée.
Rappel des articles précédents :
Storynet : divines matures # 2
Storynet : divines matures # 3
Les voici maintenant avec un compagnon de jeux amoureux. Peu nous importe qu'il soit leur mari, leur amant ou même une rencontre de passage, l'essentiel est qu'elles se montrent, sans pudeur et majestueuses, gourmandes de plaisir et de bonheur...
Pierre Louÿs, "Pybrac", quatrains 173 à 176
Je n'aime pas à voir le docteur en percale
La matrone qui soigne une fille d'amour
Et gaiement la condamne à la douche buccale
C'est-à-dire à sucer vingt-cinq hommes par jour.
Je n'aime pas à voir la jeune chevrière
Qui présente au bouc noir son petit cul tout nu
Mais se fourre le vit du bouc dans le derrière
De peur d'avoir un fils ruminant et cornu.
Je n'aime pas à voir le cocher de remise
Qui sur le quai désert enfile sa jument
Puis essuie à l'écart son vit dans sa chemise
Et regarde le con qui bâille encor fumant.
Je n'aime pas qu'au bal, par déveine ou par niche,
Quand je flanque mon pied au cul d'une beauté
Mon petit soulier droit reste dans sa moniche
Et me laisse perplexe et boitant d'un côté.
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