Petite BD en trois planches où Giovanna Casotto se met en scène dans une petite aventure de modèle pour un peintre... Je vous laisse savourer et... traduire.
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Petite BD en trois planches où Giovanna Casotto se met en scène dans une petite aventure de modèle pour un peintre... Je vous laisse savourer et... traduire.
Aujourd'hui, je vous propose deux tableaux de Stu Mead ayant comme point commun de tourner la mort en dérision. La mort étant ici représentée par le cimetière. Le cimetière devient dans ces deux tableaux un lieu de vie. mais pas n'importe quelle vie, pas une petite existence routinière mais un espace de liberté où s'épanouit une sexualité sans tabous, telle que l'homosexualité des deux gamines ou l'urolagnie joyeuse avec un zombie. Le tableau avec les deux gamines n'a pas de titre, le second s'appelle tout simplement "Zombie"
"Crissie et Monsieur K", chapitre 35 b
Je tourne discrètement la tête vers Miguel. Lui aussi a un regard en coin vers moi, à la fois amusé et
profond. A peine arrivés ici, j'ai été troublée par son charisme et sa puissance. J'ai toujours été attirée par les hommes qui ont de la présence, du poids. J'avoue qu'il m'attire. Je me
demande s'il baise ses modèles. Je ne sais pas si c'est déontologiquement correct, mais je suis tellement naïve parfois. Ça doit quand même fausser la donne. Mais je dois bien avouer que j'en ai
très envie. Ces deux hommes près de moi me donnent des envies folles de me faire baiser par eux. Toutes ces pensées me fulgurent l'esprit pendant que Monsieur K délivre mon sexe de ses
doigts glissants et visqueux. Il me donne un léger baiser, me caresse lentement, avec insistance, jusqu'à la raie des fesses. Je me cambre. Je tremble presque. Il me glisse à l'oreille, en
regardant l'artiste qui maintenant nous dévisage. " Ça te dirait de tâter de la grosse queue de Miguel, petite salope. Tu lui plais beaucoup et je suis sûr qu'il n'attend qu'un signe
!"
Je me contente de gémir et Monsieur K en sait assez. Il sourit généreusement à Miguel, qui s'approche, me soulève comme une plume. Il nous emmène dans la cuisine et me dépose délicatement sur la table en m'allongeant sur le dos. Monsieur K se place derrière moi et Miguel devant. Il me regarde. Va chercher quelque chose dans un tiroir. Revient se placer devant moi et ouvre son pantalon. Une queue énorme et raide en sort comme un diable de sa boîte. Monsieur K, derrière moi, me touche sans cesse : il prend ma tête dans ses mains, puis me caresse les cheveux, le front, les joues, les lèvres. Il s'attarde longuement sur mes lèvres. A l'autre bout, Miguel, de ses grandes mains, me caresse d'autres lèvres. Le désir monte encore, je me sens pute, salope, salace, je ne demande qu'à me faire bourrer. Comme s'ils le devinaient, les deux hommes me prennent en même temps, Miguel s'enfonçant violemment en moi, et Monsieur K forçant ma bouche. Les deux engins, puissants, me forent en cadence et je ne sais plus où je suis. Je ne peux pas parler mais je crie quand même, d'ailleurs je ne crie pas, je gueule, et je me mets à gigoter comme un diable sans pouvoir me contenir davantage alors que, presque en même temps, les deux hommes déchargent, bruyamment eux aussi.
Un silence apaisé s'installe. Monsieur K pose sa tête sur ma poitrine et Miguel sur mon ventre. Je leur caresse la tête. Je me sens si bien...
" Crissie et Monsieur K.", chapitre 35 a
– Venez, je vais vous montrer quelque chose !
Miguel Ibanez Saura me tend un peignoir de satin et nous le suivons dans un long couloir. Puis, il ouvre une porte et nous pénétrons dans une vaste salle inondée de lumière. Le sol de marbre est nu, avec au centre un grand canapé de velours rouge en ellipse, avec un dossier central, comme on en voit dans les musées. La pièce rectangulaire n’a aucune fenêtre. Du sol au plafond, des tableaux hyperréalistes sont accrochés aux murs. Sur deux d’entre eux, rien que des sexes féminins, en gros plan, format paysage. Miguel en explique le concept à Monsieur K.
- C’est ma vision de l’humanité. Toutes les toiles ont la même dimension, 180 X 90. L’expo comptera vingt-et-un tableaux, comme le nombre de siècles après Jésus-Christ….
- Comment trouves-tu tes modèles ? Ça ne doit pas être évident…
- Détrompe-toi, je n’ai que l’embarras du choix ! L’anonymat est garanti, et ça les excite de s’exhiber ainsi. Parmi ces femmes, bien sûr il y a des putains, mais aussi des femmes au foyer, des actrices plus ou moins célèbres. Il y a même la vulve de l’épouse d’un ministre.
Il y en a effectivement pour tous les goûts : chattes presque juvéniles aux lèvres serrées, chattes grasses échevelées, chattes au clitoris clouté d’un piercing, chattes renfrognées ou comme souriantes…
Les deux
murs en vis-à-vis sont couverts de toiles de la même taille, en format portrait, représentant des sexes masculins, constituant une extraordinaire collection de bites plus vraies que nature :
bites au repos ou en érection, bites à grosses couilles, bites métisses ou noires, bites agrémentées d’un anneau au gland, bites au méat luisant de désir… Parmi elles, je reconnais aussitôt, tout
là haut, la bite familière de Monsieur K, bien raide, prête à l’emploi.
À ce spectacle, mes mamelons durcissent, jusqu’à devenir presque douloureux. L’envie de baiser me noue l’estomac.
Je sens les doigts chauds de Monsieur K qui s’affairent entre mes cuisses. Il fait tourner les mollettes de la combinaison secrète du cadenas. Je guette le petit déclic de l’ouverture… Je suis déjà trempée.
Rappel des articles précédents :
Storynet : divines matures # 2
Storynet : divines matures # 3
Les voici maintenant avec un compagnon de jeux amoureux. Peu nous importe qu'il soit leur mari, leur amant ou même une rencontre de passage, l'essentiel est qu'elles se montrent, sans pudeur et majestueuses, gourmandes de plaisir et de bonheur...
Pierre Louÿs, "Pybrac", quatrains 173 à 176
Je n'aime pas à voir le docteur en percale
La matrone qui soigne une fille d'amour
Et gaiement la condamne à la douche buccale
C'est-à-dire à sucer vingt-cinq hommes par jour.
Je n'aime pas à voir la jeune chevrière
Qui présente au bouc noir son petit cul tout nu
Mais se fourre le vit du bouc dans le derrière
De peur d'avoir un fils ruminant et cornu.
Je n'aime pas à voir le cocher de remise
Qui sur le quai désert enfile sa jument
Puis essuie à l'écart son vit dans sa chemise
Et regarde le con qui bâille encor fumant.
Je n'aime pas qu'au bal, par déveine ou par niche,
Quand je flanque mon pied au cul d'une beauté
Mon petit soulier droit reste dans sa moniche
Et me laisse perplexe et boitant d'un côté.
Un lecteur anonyme m'a adressé pour publication des photos très intimes de sa compagne prénommée Sandra (photo prises à l'hôtel ou au bureau) Il y a ajouté un selfie de son propre sexe en érection et impatient de passer à l'action.
Lu dans la presse : " Il y a environ cent millions d'années, pour séduire les femelles certains dinosaures (tyranosaures et théropodes du Crétacé, entre 145 et 66 millions d'années) creusaient des trous avec leurs pattes et démontraient ainsi leur aptitude à faire un nid. Des traces fossiles de ces "nids primitifs" ont été découvertes au Colarado sur des sites fréquentés autrefois par ces dinosaures."
"Crissie et Monsieur K.", chapitre 34 b
Crissie sourit. Je suis sûr que l'idée ne lui déplaît pas d'être exhibée, cachée immobile derrière un
maquillage, idole incarnée offerte aux regards des adorateurs anonymes. Tout à l'excitation de son projet de la nuit à venir, Miguel n'en perd pas la main et multiplie les dessins. Je suis en
admiration devant son savoir-faire, et je dois avouer que je suis fier de Crissie, de sa beauté, et de cette bonne volonté évidente et souple qu'elle met maintenant à être croquée dans des
positions émouvantes. Scintillement des bijoux et luisance des muqueuses, Miguel trace le trait avec élégance, c'est enlevé, nerveux, il semble en pleine envolée lyrique, il est
littéralement habité. Son modèle l'inspire, c'est évident, et ça me réjouit comme si c'était moi qui l'avais créé.
Crissie pousse soudain un petit cri de douleur. Contracture ! Miguel l'autorise à souffler quelques minutes. Ma belle statue vivante se détend, se masse longuement la cheville, puis se lève, fait quelques pas en maudissant son manque de résistance, se tourne vers moi et me sourit. Elle se met alors à battre des mains comme une gamine en disant : "J'ai hâte d'être à ce soir..." puis regagne, studieuse, son siège de pose.
Miguel fait une autre longue série. Puis s'arrête. "J'ai ce qu'il me faut pour l'instant, affirme-t-il. Assez travaillé pour aujourd'hui !"
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