Vendredi 18 décembre 2015 5 18 /12 /Déc /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 30 b

crissie30b-1J'ai un moment de panique. Je n'étais pas prévenue. Je crois que je vais hurler : on pourrait me faire n'importe quoi, me tuer, je suis totalement impuissante, livrée. Tout cela ne me traverse l'esprit que quelques fractions de seconde. Et puis je reprends mes esprits : Monsieur K tient à moi et jamais il ne me ferait de mal. Les hommes présents dans la pièce parlent bas. Je ne sais pas combien ils sont : trois? quatre?

Ils s'approchent. On me met debout. On me délie les mains. On glisse mes doigts vers deux braguettes ouvertes : on me fait prendre une queue dans la main gauche, une paire de couilles dans la main droite. Quelqu'un caresse mes seins. Quelqu'un s'approche de ma bouche, je sens un souffle. Une voix familière dit : "Non, la bouche, oui, mais pas pour embrasser". Le souffle s'écarte, et la voix familière se tait. Je suis rassurée, Monsieur K n'est pas loin. Les deux hommes que je caresse ont la peau douce et me demandent en litanie de continuer à les tripoter. Je m'exécute avec docilité.

On me saisit par la taille et on me met précautionneusement à genoux. J'ai peur de tomber, mes chevilles sont toujours entravées. Mais on prend soin de mon équilibre. Les deux hommes se sont mis à genoux aussi et m'ordonnent de ne pas arrêter.

Je sens à nouveau un corps devant moi, qui me surplombe, j'entends la boucle d'une ceinture, le zip d'une fermeture éclair, une odeur de latex, et je sens une bite de bonne taille forcer mes lèvres.

Quelqu'un dit : "Allez, petite salope, montre-nous si tu suces bien..."

crissie30b-2

 

 

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Jeudi 17 décembre 2015 4 17 /12 /Déc /2015 08:00

" Crissie et Monsieur K.", chapitre 30 a

crissie30a-2Tes doigts s’attardent dans ma bouche, j’y retrouve, mêlées à celle de ta peau, les saveurs si particulières de ma mouillure et de ton sperme. Cependant, inexorablement, ta queue se rabougrit et finit par me quitter, laissant une grande béance au creux de mon ventre insatiable. Et puis, c’est au tour de tes doigts d’abandonner mes lèvres. Je t’entends t’affairer. Tu passes des liens à mes poignets et chevilles, sans doute utilises-tu ta cravate et ta ceinture de cuir noir. Me voilà bientôt entravée des quatre membres, couchée à plat ventre, écartelée. Tu ne dis plus rien, ton silence m’inquiète. Qu’est-ce que tu manigances ?

Après de longues minutes vides, lourdes d’inquiétude, on frappe à la porte, quatre coups discrets mais impatients. Je t’entends marcher, tourner la clef dans la serrure et ouvrir. Venu du couloir, un courant d’air frais caresse mes fesses nues, il apporte avec lui l’odeur corporelle des inconnus avec lesquels tu échanges quelques mots à voix basse. J’ai beau dresser l’oreille, j’ai peine à suivre le fil de votre brève conversation. Je ne saisis que des bribes de phrases :

 

- Elle est à vous… Elle s’appelle Crissie… Quatre cents, comme convenu ? Prenez votre temps… Oui, ça vous pouvez, mais pas trop… 

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Mercredi 16 décembre 2015 3 16 /12 /Déc /2015 08:00

"La grande librairie" est une émission littéraire d'une heure diffusée chaque jeudi en public et en direct sur France 5. L'émission qui date de septembre 2008 est présentée par François Busnel.

Chaque semaine, l'émission accueille quatre auteurs pour parler de leur nouveau livre. Certaines émissions exceptionnelles sont consacrées à un auteur en particulier (à l'occasion d'une rétrospective, d'une disparition ou d'une date anniversaire...)

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Mardi 15 décembre 2015 2 15 /12 /Déc /2015 09:00

Elle est mariée et bien en chair. Avec sa petite bite, son mari cocu n'arrive pas à la satisfaire. Elle cherche des hommes bien membrés pour la baiser et la sodomiser (sans la présence de son mari). Région PACA (Marseille, Arles, Hyères). Avec son mari cocu et heureux de la voir ainsi exposée à vos regards, ils attendent vos commentaires

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Mardi 15 décembre 2015 2 15 /12 /Déc /2015 08:30

Pierre Louÿs, "Pybrac" quatrains 153 à 156

Je n'aime pas à voir cette Sapho mascule

Qui, dans sa chambre, habille une fille en garçon

Lui baisse la culotte et froidement l'encule

Avec un godemiché plus gros qu'un saucisson.

pybrac153

Je n'aime pas à voir la fille du concierge

Qui me dit à quinze ans sur mon petit palier :

"Emmenez-moi chez vous pour voir si je suis vierge."

Et qui n'a plus un seul pucelage à souiller.

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Je n'aime pas à voir la brave blanchisseuse

Qui me dit en montrant sa fille aux yeux baissés :

" Pour saloper un lit elle est bonne baiseuse

Mais pour laver les draps elle n'est pas forte assez."

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Je n'aime pas à voir la gosse qui murmure :

"Je marche par la fente et par le petit trou."

Quand la putain d'enfant n'est pas encore mûre

Et n'a pas un seul poil... je n'ose vous dire où.

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Lundi 14 décembre 2015 1 14 /12 /Déc /2015 08:00

Face au coût trop élevé d'un logement, une étudiante allemande a trouvé une solution : elle a décidé de vivre dans les trains. En effet, un abonnement ferroviaire lui revient à 340 euros par mois, alors que pour un loyer, elle devrait débourser au minimum 400 euros. Même si ce n'est pas commode pour faire sa toilette, elle dit qu'elle arrive à "lire, écrire, réviser ses cours et à rencontrer tout le temps des gens sympas". (info parue dans Der Spiegel)

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 12 décembre 2015 6 12 /12 /Déc /2015 08:00

stu-mead-tabous-view

Le tableau de 2005 a pour titre "View" terme générique dont le sens va de "vue" en tant que scène, spectacle à "examen", voire "avis, opinion". On constate que chacune des acceptions du mot pourrait donner sens au tableau.

Encore une fois, c'est l'ambiguïté du comportement des protagonistes qui pose question. On peut légitimement penser que l'homme assis dans le fauteuil est le père de la gamine. Quoique... Et la gamine qui, culotte baissée, lui présente son cul, dans quel but? Pour une inspection hygiénique ? Une quête d'approbation ? Et pourquoi tourne-t-elle la tête derrière elle, on a l'impression qu'elle demande quelque chose... Ces tableaux sont terribles et très dérangeants car ils remuent beaucoup de choses enfouies dans notre inconscient collectif

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 11 décembre 2015 5 11 /12 /Déc /2015 08:30

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 29 b

crissie29b-1Des flots d'idées plus cochonnes et plus inventives les unes que les autres te traversent l’esprit, j'en suis certaine. Tu ôtes ta main de mon coeur, non sans avoir au préalable pincé durement une aréole en érection. Aïe ! Je recule instinctivement. Tu ne bouges pas mais tu tournes la tête : tu sembles chercher quelque chose. J'ai joui mais j'aime sentir encore ta queue plantée en moi, immobile et souveraine.

Tu attrapes précautionneusement le traversin, en ôtes maladroitement la taie, difficile de faire quelque chose dans cette position,  et me demandes de fermer les yeux. J'obéis. Je sens ton souffle. Je perçois des frôlements.

Tu dis : "Croise les bras derrière ta tête. J'obéis. J'entends du tissu qui se déchire.

Tu ceins mes poignets, fort, aïe, tu serres, tu serres. Je gémis.

Tu dis : "Tais-toi!". Tu répètes, tout doucement, à mon oreille : "Tais-toi, Crissie!". J'obéis.

Tu ajoutes : "Garde les yeux fermés. Ne bouge pas." Je sens un tissu me bander les yeux.

Tu dis alors : "Je suis planté en toi Crissie : tu ne peux bouger les mains et tu es dans le noir : je te possède et tu es livrée toute à moi : écoute, écoute les sensations seulement avec tes oreilles et avec ta peau.

Ces simples paroles m'électrisent. Mon con se remet à palpiter, et je suis sûre que tu sens à cet instant les spasmes qui t'enserrent la queue parce que tu pousses un gémissement bref. J'écoute. Les sensations d'attente et d'émotions sont décuplées les yeux bandés.

 

Tu m'ordonnes d'entrouvrir la bouche et y glisses lentement un index...

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 10 décembre 2015 4 10 /12 /Déc /2015 08:30

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 29 a

crissie29a

Et puis, nous roulons sur le lit épuisé d’étreintes. Je concentre toute mon attention sur mon vagin qui s’ouvre, s’élargit, se creuse afin que ta queue raide et massive, coiffée de sperme chaud, s’y enfonce au plus profond, que ton pubis prenne appui sur mon clitoris, le presse, le masse puissamment. Allongée sur le dos, je m’abandonne au poids de ton corps qui m’écrase, à ta main qui me pétrit le sein gauche comme si tu cherchais à saisir mon cœur. Mes jambes repliées sur tes fesses nues t’attirent en moi, crissie29a-2mes mains te tiennent fermement par les hanches. Je ne suis plus qu’un sexe-ventouse qui aspire, engloutit et dévore sa proie vivante. Je cherche ton regard ; je veux y lire les traces de ta jouissance, comme tu vas y lire la montée de la mienne. L’orgasme fulgurant explose dans mon ventre juste au moment où je vois danser dans tes yeux clairs la petite flamme cruelle de la perversité… et je dois avouer que ce n’est pas pour me déplaire.

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 9 décembre 2015 3 09 /12 /Déc /2015 08:00

Pierre Louÿs,"Pybrac" Quatrains 149 à 152

Je n'aime pas à voir au bal, ce vestiaire

Où, sous l'œil complaisant de sa bonne qui rit,

Ma danseuse reçoit mon vit dans le derrière

Et se branle et dit :" Va ! " mais sans pousser un cri.

pybrac149

Je n'aime pas la mère offrant sa fille  morte

(quatorze ans, quatre poils, pucelle et cætera)

Disant :" Amusez-vous, mais fermez bien la porte

Et pinez-la partout, tant que ça vous plaira."

pybrac150

Je n'aime pas, Judith, celle pour qui tu mouilles

Ces vaches de Lesbos qui n'ont pas de taureaux

Prennent tous les tétons pour des paires de couilles

Et les godemichés pour des godelureaux.

pybrac151

Je n'aime pas à voir la dame qui décharge

Aussitôt que mon vit la touche aux poils du cul

Le flot qui sort du trou la rend encor plus large.

J'aime trop son mari pour le faire cocu.

pybrac152

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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