Lundi 14 décembre 2015 1 14 /12 /Déc /2015 08:00

Face au coût trop élevé d'un logement, une étudiante allemande a trouvé une solution : elle a décidé de vivre dans les trains. En effet, un abonnement ferroviaire lui revient à 340 euros par mois, alors que pour un loyer, elle devrait débourser au minimum 400 euros. Même si ce n'est pas commode pour faire sa toilette, elle dit qu'elle arrive à "lire, écrire, réviser ses cours et à rencontrer tout le temps des gens sympas". (info parue dans Der Spiegel)

semaine13

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 12 décembre 2015 6 12 /12 /Déc /2015 08:00

stu-mead-tabous-view

Le tableau de 2005 a pour titre "View" terme générique dont le sens va de "vue" en tant que scène, spectacle à "examen", voire "avis, opinion". On constate que chacune des acceptions du mot pourrait donner sens au tableau.

Encore une fois, c'est l'ambiguïté du comportement des protagonistes qui pose question. On peut légitimement penser que l'homme assis dans le fauteuil est le père de la gamine. Quoique... Et la gamine qui, culotte baissée, lui présente son cul, dans quel but? Pour une inspection hygiénique ? Une quête d'approbation ? Et pourquoi tourne-t-elle la tête derrière elle, on a l'impression qu'elle demande quelque chose... Ces tableaux sont terribles et très dérangeants car ils remuent beaucoup de choses enfouies dans notre inconscient collectif

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 11 décembre 2015 5 11 /12 /Déc /2015 08:30

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 29 b

crissie29b-1Des flots d'idées plus cochonnes et plus inventives les unes que les autres te traversent l’esprit, j'en suis certaine. Tu ôtes ta main de mon coeur, non sans avoir au préalable pincé durement une aréole en érection. Aïe ! Je recule instinctivement. Tu ne bouges pas mais tu tournes la tête : tu sembles chercher quelque chose. J'ai joui mais j'aime sentir encore ta queue plantée en moi, immobile et souveraine.

Tu attrapes précautionneusement le traversin, en ôtes maladroitement la taie, difficile de faire quelque chose dans cette position,  et me demandes de fermer les yeux. J'obéis. Je sens ton souffle. Je perçois des frôlements.

Tu dis : "Croise les bras derrière ta tête. J'obéis. J'entends du tissu qui se déchire.

Tu ceins mes poignets, fort, aïe, tu serres, tu serres. Je gémis.

Tu dis : "Tais-toi!". Tu répètes, tout doucement, à mon oreille : "Tais-toi, Crissie!". J'obéis.

Tu ajoutes : "Garde les yeux fermés. Ne bouge pas." Je sens un tissu me bander les yeux.

Tu dis alors : "Je suis planté en toi Crissie : tu ne peux bouger les mains et tu es dans le noir : je te possède et tu es livrée toute à moi : écoute, écoute les sensations seulement avec tes oreilles et avec ta peau.

Ces simples paroles m'électrisent. Mon con se remet à palpiter, et je suis sûre que tu sens à cet instant les spasmes qui t'enserrent la queue parce que tu pousses un gémissement bref. J'écoute. Les sensations d'attente et d'émotions sont décuplées les yeux bandés.

 

Tu m'ordonnes d'entrouvrir la bouche et y glisses lentement un index...

crissie29b-2

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 10 décembre 2015 4 10 /12 /Déc /2015 08:30

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 29 a

crissie29a

Et puis, nous roulons sur le lit épuisé d’étreintes. Je concentre toute mon attention sur mon vagin qui s’ouvre, s’élargit, se creuse afin que ta queue raide et massive, coiffée de sperme chaud, s’y enfonce au plus profond, que ton pubis prenne appui sur mon clitoris, le presse, le masse puissamment. Allongée sur le dos, je m’abandonne au poids de ton corps qui m’écrase, à ta main qui me pétrit le sein gauche comme si tu cherchais à saisir mon cœur. Mes jambes repliées sur tes fesses nues t’attirent en moi, crissie29a-2mes mains te tiennent fermement par les hanches. Je ne suis plus qu’un sexe-ventouse qui aspire, engloutit et dévore sa proie vivante. Je cherche ton regard ; je veux y lire les traces de ta jouissance, comme tu vas y lire la montée de la mienne. L’orgasme fulgurant explose dans mon ventre juste au moment où je vois danser dans tes yeux clairs la petite flamme cruelle de la perversité… et je dois avouer que ce n’est pas pour me déplaire.

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 9 décembre 2015 3 09 /12 /Déc /2015 08:00

Pierre Louÿs,"Pybrac" Quatrains 149 à 152

Je n'aime pas à voir au bal, ce vestiaire

Où, sous l'œil complaisant de sa bonne qui rit,

Ma danseuse reçoit mon vit dans le derrière

Et se branle et dit :" Va ! " mais sans pousser un cri.

pybrac149

Je n'aime pas la mère offrant sa fille  morte

(quatorze ans, quatre poils, pucelle et cætera)

Disant :" Amusez-vous, mais fermez bien la porte

Et pinez-la partout, tant que ça vous plaira."

pybrac150

Je n'aime pas, Judith, celle pour qui tu mouilles

Ces vaches de Lesbos qui n'ont pas de taureaux

Prennent tous les tétons pour des paires de couilles

Et les godemichés pour des godelureaux.

pybrac151

Je n'aime pas à voir la dame qui décharge

Aussitôt que mon vit la touche aux poils du cul

Le flot qui sort du trou la rend encor plus large.

J'aime trop son mari pour le faire cocu.

pybrac152

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Mardi 8 décembre 2015 2 08 /12 /Déc /2015 08:00

Une des plus vieilles émissions de la télévision publique. STADE 2 a en effet vu le jour en décembre 1975 ( 40 ans déjà !!!). Diffusée tous les dimanches en fin d'après-midi sur France 2. L'émission aborde tous les sports, avec résultats, commentaires, reportages et bien sûr images fortes !

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Lundi 7 décembre 2015 1 07 /12 /Déc /2015 08:30

Et si on parlait des élections ? Régionales ? Non, pas du tout ! Imaginons qu'à l'issue de la COP 21 on demande aux animaux de s'exprimer librement sur leur environnement. Par exemple, si on demandait aux loutres de voter pour désigner leur aliment préféré : elles auraient le choix entre les crevettes (schrimp) ou les harengs (herring)

semaine12

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Samedi 5 décembre 2015 6 05 /12 /Déc /2015 09:00

stu-mead-tabous-breakfast

Le tableau est intitulé tout simplement "Breakfast"

Breakfast pour la gamine qui sirote sa tasse de thé avec une apparente complète indifférence, breakfast aussi pour la femme qui lui lèche le cul ! (sont-elles parentes ? Sa mère ? Une tante ? ou n'est-elle qu'en pension chez ce couple de bourgeois très conventionnels ?). Le comique de la scène réside évidemment dans le geste réprobateur de l'homme en costume qui semble choqué par le comportement de la gamine allongée sur la table (on peut supposer qu'elle est en train de boire dans sa tasse !) plus que par les pratiques incestueuses ou pédophiles de son épouse !

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 4 décembre 2015 5 04 /12 /Déc /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 28 b

crissie28b-3Tu as chaud et tes joues sont roses. Tu sembles presque apaisée et c’est un aspect de toi que je ne connais pas. Après nos ébats, moite et alanguie, tu t’installes sur le dos, mets tes bras derrière la tête et me regardes du coin de l’œil. Tu as la majesté malicieuse ou perverse, c’est selon, de certaines odalisques. J’ai envie de sortir du seul monde sexuel qui nous enserre depuis que je te connais, j’ai envie de partager avec toi mon amour de l’art, de la peinture. Après tout, c’est devant un tableau que nous nous sommes rencontrés ; nous n’avons jamais évoqué cet amour-là, que probablement nous partageons.

Pour l’heure, c’est une autre discipline que je brûle à nouveau d’exercer en regardant tes jambes que tu ouvres lentement en grand écart en me regardant au plus profond des yeux.

Tu dis : « Baise-moi encore, joue, fais-moi mal, possède-moi… Possède-moi ! »

Tes mots réactivent mon désir. Je me sens insatiable de toi. Te regardant Crissie je comprends toutes les démesures exercées par les passionnés d’un autre être, tous les crimes pour faire sien l’autre, le déchirer, l’absorber. Oui, je me sens devenir cannibale. J’ai envie de faire mien tout ton être, jusqu’à la plus infime parcelle, jusqu’à la moindre fibrille. Si tu mourais Crissie, comme dans ce livre, Les os de ma bien-aimée, je te mangerais toute, jusqu’au dernier ligament, pour garder en moi tout ton corps…

Mais ces pensées hautement philosophiques ne me traversent que le temps d’un éclair double, en même temps que celui qui monte et grossit ma queue, la durcit comme une batte de base-ball.crissie28b-2

De me voir ainsi te dominer comme un satyre triomphant te fait de l’effet et tu en rajoutes, te caressant les seins et le sexe avec une insistance théâtrale et une vulgarité inhabituelle (tu passes la langue sur tes lèvres, image que je te sais trouver ridicule dans les films X ) :  tu en fais des tonnes et il faut que tu arrêtes sinon je vais te gicler direct sur le visage…

Mais je me freine encore un peu, je rapproche tes seins menus  pour frotter ma verge presque douloureuse d’attendre dans le sillon qui les sépare, je te demande : « où ? ». Alors tu prends ma queue très vite et l’enfonce en toi avec une force inouïe, en même temps que j’éjacule, juste en même temps.

Tu éclates de rire, me poses sur toi avec douceur et m’entoures de tes bras.

 

 

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 3 décembre 2015 4 03 /12 /Déc /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." chapitre 28 a

crissie28a-2Pour ce premier soir, nous n’allons pas chez moi mais prenons en toute hâte une chambre dans un petit hôtel tout proche. L’établissement est plutôt mal famé, fréquenté essentiellement par des couples adultérins et des putains occasionnelles qui y amènent leur clientèle.

 

Comme l’immeuble est vétuste et mal insonorisé, les bruits des ébats amoureux des couples de passage traversent les cloisons si bien qu’on a l’impression de participer malgré nous à une partouze permanente. Les sommiers grincent, les femmes gémissent de plaisir – ou font semblant - pendant que les hommes les travaillent avec le souffle rauque et puissant de bûcherons canadiens, les robinets chantent faux… Mais on s’en contrefiche ; au contraire, tout ces échos nous excitent, entretiennent notre désir, le nourrissent. Ton corps nu en étoile sur le lit s’ouvre avec ardeur. On se caresse, on s’embrasse, on se lèche, on se suce, on baise, je t’encule et t’éclabousse de sperme. Dans la chambre voisine, une femme supplie son amant d’un jour de lui défoncer la chatte, tandis qu’à l’étage au-dessus on a l’impression qu’ils sont en train de mettre le lit en pièces. Ça te met en joie, c’est la première fois que je te vois rire… 

crissie28a-1

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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