Vendredi 22 janvier 2016 5 22 /01 /Jan /2016 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 34 a

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crissie34-a2J’adore regarder Miguel travailler. Je ne sais pas comment il fait pour rester de marbre devant tant de sensualité et de beauté. Il est assis à même le sol, face aux cuisses ouvertes de Crissie, à portée de main de son sexe cadenassé. Et pourtant, son trait ne tremble pas, sans la moindre émotion visible, son regard va et vient entre le carnet de croquis et son modèle. Crissie finit par se laisser aller avec complaisance et bientôt, aux éclats de l’or et du platine, se mêlent les scintillements de sa mouillure intime.

Pendant tout ce temps, Miguel nous parle de ses projets immédiats, une série de toiles monumentales, hyperréalistes, de sexes féminins en gros plan. Il a déjà  prévu d’y faire figurer le ventre de Crissie en bonne place.

- Vous vous rendez compte, votre vulve exposée à Londres, New-York et Tokyo ! Par contre pour Dubaï, ce sera plus dur… Quant à Islamabad, il ne faut même pas y songer !

Miguel esquisse un sourire que je lui connais bien, celui qu’il a quand il lui vient une idée. Je ne me trompe pas.

 

- Vous savez ce qu’on va faire ? En ce moment, sur les Ramblas, c’est la pleine saison des statues vivantes. La nuit, tout est permis, de l’académique au plus loufoque. Je vous propose une sorte de happening sex. Crissie, je vais vous métamorphoser en statue d’albâtre antique qu’on appellera « La fiancée d’Houdini » Avec votre sexe verrouillé, je suis sûr que vous allez provoquer un buzz pas possible… Dès demain matin, votre image sera sur les pages web du monde entier… Un truc planétaire !  

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 21 janvier 2016 4 21 /01 /Jan /2016 08:00

Cela faisait plus d'un an que je ne m'étais amusé à détourner une pub. Comme d'habitude, d'abord l'image originale, puis sa version détournée...

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pub-axa - Copie

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 20 janvier 2016 3 20 /01 /Jan /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac", Quatrains 169 à 172

Je n'aime pas à voir la mère complaisante

Qui mouille à pleine bouche un vit américain

Pour l'entrer dans l'anus que sa gosse présente

Et qui s'écrie : "Il bande ! Ah ! Le petit coquin !"

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Je n'aime pas à voir la vierge au doigt lubrique

Qui, les deux pieds en l'air, masturbe sur le lit

Son pucelage en rut, gonflé, couleur de brique,

Et décharge en baisant le roman qu'elle lit.

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Je n'aime pas à voir le puceau du Parnasse

Qui prend une pierreuse en guise de houri,

L'entraîne sous un pont, lui lèche la connasse

Et trouve que l'amour sent le poisson pourri.

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Je n'aime pas à voir trois petites gamines

M'offrir leurs pauvres culs doublement effondrés,

Élargis par les doigts, défoncés par les pines

Et dire en chœur :" Monsieur ! ...Tout ce que vous voudrez."

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Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 19 janvier 2016 2 19 /01 /Jan /2016 08:00

Le tableau illustre parfaitement un des thèmes favoris de Stu Mead, à savoir le contraste. Contraste entre le décor somptueux des lieux (l'escalier, le tapis, les plafonds ouvragés à moulures, les baies vitrées de château) et la grande trivialité de la scène du premier plan ; contraste entre les peaux mates et métissées des 3 jeunes hommes bodybuildés et la peau très blanche et la blondeur des 3 jeunes filles ; contraste entre le très gros calibre des membres virils et l'étroitesse des bouches feminines... 

Le tableau qui n'a pas de titre est d'une construction très classique : les trois jeunes filles agenouillées (plus précisément leurs bouches) sont au centre du tableau, les corps des 3 hommes à la tête penchée et la courbe de l'escalier (qui notons-le semble ne monter nulle part si ce n'est au ciel - le septième ?) donnent l'impression d'envelopper les corps des jeunes femmes qui se trouvent à la convergence du pied de l'escalier et de l'axe des bites avidement sucées !

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 18 janvier 2016 1 18 /01 /Jan /2016 08:00

Après avoir exposé sur le divan leur corps plus ou moins dénudé Storynet : divines matures , puis dans la deuxième galerie nous avoir montré leurs seins lourds Storynet : divines matures # 2 , voici maintenant leur cul, leur fessier généreux...

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Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 16 janvier 2016 6 16 /01 /Jan /2016 08:30

Dans cette mini galerie, Giovanna Casotto nous montre son cul, et il faut reconnaître que l'envers vaut l'endroit !

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 15 janvier 2016 5 15 /01 /Jan /2016 08:30

Pavel est tchèque. Il m'a envoyé ces deux photos en me demandant de les publier sur mon blog. Il se met en scène aux côtés de modèles amateurs d'une grande beauté plastique. Sur le selfie devant le miroir, la jeune femme se prénomme Fotcce. 

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Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 14 janvier 2016 4 14 /01 /Jan /2016 08:00

"Crissie et Monsieur K.",  chapitre 33 b

crissie33b-2Je me déshabille lentement, avec un peu de timidité. L'homme qui nous a accueillis est impressionnant par sa stature et  son regard. L'atelier est un véritable capharnaüm : on se croirait presque dans l'atelier de Francis Bacon. Hormis les toiles, qui remplissent la pièce, posés en paquets contre les murs ou qui jonchent le sol, toutes sortes d'objets hétéroclites et incongrus font des tas ici ou là : bidons vides et pinceaux desséchés, mais aussi chaussures dépareillées, livres en lambeaux, panneaux routiers, parapluies écorchés. Seul l'endroit  où l'homme me fait signe d'avancer est dégagé et propre. Il y a une sorte de chaise en paille à accoudoirs où on me demande de m'asseoir, et un chevalet sur lequel repose une toile vierge.

Je m'assois, raide comme un piquet. L'homme s'approche et me place. Il me tourne légèrement vers  la gauche, soulève ma jambe avec délicatesse et la pose sur l'accoudoir. Mes jambes sont écartées. Je rougis violemment. L'homme feint de ne pas s'en apercevoir. Il va chercher un carnet à croquis dans un tiroir encombré et vient se placer près de moi. Il me tourne autour. Il s'assoit à même le sol, en contrebas, comme s'il voulait avoir mon visage dans la perspective de mes jambes. Il dit  : "Je vais faire différents croquis ... essayez de ne pas bouger avant que je vous le demande". Je ne bouge pas, figée dans une  posture  inconvenante. Les minutes passent. J'ai des fourmis dans les jambes. Il me libère enfin de ma position inconfortable, pour m'en faire prendre une autre qui le devient tout autant.

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 13 janvier 2016 3 13 /01 /Jan /2016 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 33 a

crissie33a-1C’est en glissant ma main sous ta jupe que l’idée m’est venue. Avant de regagner l’appartement, nous sommes passés chez un joaillier spécialisé dans les bijoux indiscrets qui a procédé à la « cérémonie des anneaux ». Nous les avons choisis en or afin de remplacer les anciens en argent. Quant au cadenas, nous avons craqué pour un modèle en platine avec combinaison secrète à quatre chiffres dont je suis désormais le seul dépositaire.

Au petit clic de la fermeture, tu as été parcourue d’un frisson : était-ce de volupté ou d’effroi ? Peut-être les deux…

Cette nuit-là, pour la première fois, nous avons dormi ensemble, côté à côte, dans mon grand lit. Nous n’avons pas baisé.

Pendant les jours qui ont suivi, nous n’avons quasiment pas quitté notre lit. Entre deux intermèdes sans cadenas, nous avons passé quelques films où nous avons cru apercevoir, comme dans un miroir, les reflets de notre relation amoureuse. Tu as choisi  de revoir Portier de nuit de Liliana Cavani et les Comtes immoraux de Walérian Borowczyk, puis nous avons poursuivi avec l’intégrale d’Almodovar. Le soir, avant de nous endormir, je te lisais un chapitre d’Histoire d’O.

Une semaine a passé. Le coup de téléphone que j’attendais est enfin arrivé.

- Demain matin, Crissie, on prend la route pour Barcelone, t’ai-je annoncé après avoir raccroché.

- Une interview ? Une expo à ne pas manquer ?

- On verra sur place…

On file sur l’autoroute écrasée de chaleur estivale. Nous doublons à toute allure des convois de semi-remorques dont les chauffeurs lorgnent sans vergogne sur tes cuisses à demi nues. Il t’arrive même de retrousser ta jupe de coton sur ton ventre, d’écarter les jambes et de leur montrer, le temps d’un dépassement, ton sexe cadenassé qui étincelle au soleil. Nous sommes remerciés par des salves d’avertisseurs et d’appels de phares. Nul doute que le modèle de  notre voiture et les numéros de sa plaque d’immatriculation sont guettés dans les rétroviseurs…crissie33a-2

Dès notre arrivée à Barcelone, nous nous rendons directement, Carrer de Bergara, à l’atelier de Miguel Ibanez Saura qui nous attend.

Il me salue avec chaleur, te fait la bise et t’observe avec insistance.

 

- Alors, comme ça, c’est vous Crissie ? Monsieur K. m’a beaucoup parlé de vous et je vois qu’il n’a pas menti, vous êtes superbe… Si ça ne vous dérange pas, on va se mettre au travail dès maintenant… Déshabillez-vous.  

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 12 janvier 2016 2 12 /01 /Jan /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac", quatrains 165 à 168

Je n'aime pas à voir deux filles concubines

Se gousser sur leur lit pour la septième fois

Et dire : " Pourquoi donc sucerais-je des pines ?

Ton foutre seul me plaît. C'est lui seul que je bois."

pybrac165 

Je n'aime pas qu'un veuf dise à sa jeune bonne :

" Sucez-moi bien la queue et vous aurez deux sous."

Chacun voit bien qu'il la trousse et même qu'il l'enconne

Mais s'en faire téter, c'est trop. Qu'en dites-vous ?

 pybrac166

Je n'aime pas à voir qu'une gamine en verve

Se chatouille l'anus et dise à sa maman :

" Dieu m'a donné deux trous c'est pour que je m'en serve !

L'un pour mon enculeur l'autre pour mon amant."

pybrac167 

Je n'aime pas à voir le satyre farouche

Qui fesse une trottin près d'un sentier désert,

L'enfile par le con, par le cul, par la bouche

Puis lui taille un vagin dans l'aisselle, et s'en sert.

pybrac168

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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