Mardi 8 décembre 2015 2 08 /12 /Déc /2015 08:00

Une des plus vieilles émissions de la télévision publique. STADE 2 a en effet vu le jour en décembre 1975 ( 40 ans déjà !!!). Diffusée tous les dimanches en fin d'après-midi sur France 2. L'émission aborde tous les sports, avec résultats, commentaires, reportages et bien sûr images fortes !

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Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 7 décembre 2015 1 07 /12 /Déc /2015 08:30

Et si on parlait des élections ? Régionales ? Non, pas du tout ! Imaginons qu'à l'issue de la COP 21 on demande aux animaux de s'exprimer librement sur leur environnement. Par exemple, si on demandait aux loutres de voter pour désigner leur aliment préféré : elles auraient le choix entre les crevettes (schrimp) ou les harengs (herring)

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Samedi 5 décembre 2015 6 05 /12 /Déc /2015 09:00

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Le tableau est intitulé tout simplement "Breakfast"

Breakfast pour la gamine qui sirote sa tasse de thé avec une apparente complète indifférence, breakfast aussi pour la femme qui lui lèche le cul ! (sont-elles parentes ? Sa mère ? Une tante ? ou n'est-elle qu'en pension chez ce couple de bourgeois très conventionnels ?). Le comique de la scène réside évidemment dans le geste réprobateur de l'homme en costume qui semble choqué par le comportement de la gamine allongée sur la table (on peut supposer qu'elle est en train de boire dans sa tasse !) plus que par les pratiques incestueuses ou pédophiles de son épouse !

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 4 décembre 2015 5 04 /12 /Déc /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 28 b

crissie28b-3Tu as chaud et tes joues sont roses. Tu sembles presque apaisée et c’est un aspect de toi que je ne connais pas. Après nos ébats, moite et alanguie, tu t’installes sur le dos, mets tes bras derrière la tête et me regardes du coin de l’œil. Tu as la majesté malicieuse ou perverse, c’est selon, de certaines odalisques. J’ai envie de sortir du seul monde sexuel qui nous enserre depuis que je te connais, j’ai envie de partager avec toi mon amour de l’art, de la peinture. Après tout, c’est devant un tableau que nous nous sommes rencontrés ; nous n’avons jamais évoqué cet amour-là, que probablement nous partageons.

Pour l’heure, c’est une autre discipline que je brûle à nouveau d’exercer en regardant tes jambes que tu ouvres lentement en grand écart en me regardant au plus profond des yeux.

Tu dis : « Baise-moi encore, joue, fais-moi mal, possède-moi… Possède-moi ! »

Tes mots réactivent mon désir. Je me sens insatiable de toi. Te regardant Crissie je comprends toutes les démesures exercées par les passionnés d’un autre être, tous les crimes pour faire sien l’autre, le déchirer, l’absorber. Oui, je me sens devenir cannibale. J’ai envie de faire mien tout ton être, jusqu’à la plus infime parcelle, jusqu’à la moindre fibrille. Si tu mourais Crissie, comme dans ce livre, Les os de ma bien-aimée, je te mangerais toute, jusqu’au dernier ligament, pour garder en moi tout ton corps…

Mais ces pensées hautement philosophiques ne me traversent que le temps d’un éclair double, en même temps que celui qui monte et grossit ma queue, la durcit comme une batte de base-ball.crissie28b-2

De me voir ainsi te dominer comme un satyre triomphant te fait de l’effet et tu en rajoutes, te caressant les seins et le sexe avec une insistance théâtrale et une vulgarité inhabituelle (tu passes la langue sur tes lèvres, image que je te sais trouver ridicule dans les films X ) :  tu en fais des tonnes et il faut que tu arrêtes sinon je vais te gicler direct sur le visage…

Mais je me freine encore un peu, je rapproche tes seins menus  pour frotter ma verge presque douloureuse d’attendre dans le sillon qui les sépare, je te demande : « où ? ». Alors tu prends ma queue très vite et l’enfonce en toi avec une force inouïe, en même temps que j’éjacule, juste en même temps.

Tu éclates de rire, me poses sur toi avec douceur et m’entoures de tes bras.

 

 

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 3 décembre 2015 4 03 /12 /Déc /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." chapitre 28 a

crissie28a-2Pour ce premier soir, nous n’allons pas chez moi mais prenons en toute hâte une chambre dans un petit hôtel tout proche. L’établissement est plutôt mal famé, fréquenté essentiellement par des couples adultérins et des putains occasionnelles qui y amènent leur clientèle.

 

Comme l’immeuble est vétuste et mal insonorisé, les bruits des ébats amoureux des couples de passage traversent les cloisons si bien qu’on a l’impression de participer malgré nous à une partouze permanente. Les sommiers grincent, les femmes gémissent de plaisir – ou font semblant - pendant que les hommes les travaillent avec le souffle rauque et puissant de bûcherons canadiens, les robinets chantent faux… Mais on s’en contrefiche ; au contraire, tout ces échos nous excitent, entretiennent notre désir, le nourrissent. Ton corps nu en étoile sur le lit s’ouvre avec ardeur. On se caresse, on s’embrasse, on se lèche, on se suce, on baise, je t’encule et t’éclabousse de sperme. Dans la chambre voisine, une femme supplie son amant d’un jour de lui défoncer la chatte, tandis qu’à l’étage au-dessus on a l’impression qu’ils sont en train de mettre le lit en pièces. Ça te met en joie, c’est la première fois que je te vois rire… 

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 30 novembre 2015 1 30 /11 /Nov /2015 09:00

ESPARBEC, "Les Biscuitières"

Editions la Musardine, (2014) collection "Lectures amoureuses" n° 185

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Dans "Les Biscuitières", roman pornographique de 358 pages, on retrouve l'univers familier d'Esparbec : un lieu clos, comme coupé du monde extérieur (ici, une fabrique de biscuits dans l'Angleterre des années 50) où se retrouve une micro-société très hiérarchisée (contremaîtres, ouvrières, comptable, secrétaire de direction, infirmière...) Les relations humaines basées sur le rapport de force engendrent le chantage à l'emploi, l'oppression sexuelle, l'humiliation... Le récit est mené à la première personne (en l'occurrence par la jeune Charlotte tout juste embauchée dans la biscuiterie et qui va découvrir au fil des chapitres toutes les dépravations du personnel de l'usine). Tous les fantasmes sont déclinés : voyeurisme, sado-masochisme, pipi-caca, fornication et sodomie, avec beaucoup de scènes d'amours lesbiennes. En conclusion, un bon Esparbec bien construit et bandant à souhait !

Je vous ai choisi un passage lesbien où la jeune Charlotte est dans le bureau de Mélanie, la secrétaire dont elle est l'assistante. Elles viennent de déjeuner, sont un peu ivres et feuillettent ensemble un album d'images pornographiques

Pages 192 à 195.

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" - Nous allons encore regarder les vilains livres, tu veux bien ? Ensuite, je nous ferai un café très fort pour nous dessoûler !

Sa main avait pris un de mes petits seins. Elle le pinçait. J'adorais la légère souffrance que cela me causait. Elle me renversa sur le canapé, me fit écarter les cuisses, me glissa un coussin de plus sous les reins, me replia un genou. Je tenais le livre à bout de bras pour qu'elle puisse le voir et me masturber en même temps.

biscuit7- Tu vas tourner les pages lentement, et moi, je t'expliquerai ce qu'elles font, ces sales lesbiennes...

Elle commençait à perdre la tête, et son affolement sexuel se communiquait à moi. Elle m'ouvrit largement le con et me toucha l'intérieur avec tous ses doigts.

- Oh, la petite salope qui mouille en regardant des images cochonnes ! Si son père pouvait la voir ! Et son oncle Jeremy, donc !

Elle me releva une jambe à la verticale pour avoir accès à mes deux orifices. Elle me  passait le doigt entre les lèvres du sexe, puis, une fois qu'il était bien mouillé, elle me l'enfilait dans l'anus. Je devenais folle, la honte me consumait. Le livre inutile tomba de mes mains.

- Relève tes jambes, tiens-les avec tes mains. Je vais te lécher. On t'a déjà léchée ? Je lui fis signe que non. Tu vas voir comme je vais bien te sucer ton petit bouton...

Elle m'envoya un coup de langue. Je fis un véritable bond. Cela m'avait traversé tout le ventre d'une sorte de secousse fiévreuse. Au second coup de langue, je ne pus m'empêcher de crier. Enfin, elle me lécha toute la fente, en appuyant bien, en me mouillant de salive tiède. Sa langue m'ouvrait, me fouillait, je croyais mourir de plaisir.

- Il est si petit, ton con, si mignon... On dirait un abricot qu'une guêpe vient de fendre !

Elle m'éloignait un peu pour regarder mon sexe qu'elle ouvrait au bout des doigts. Puis elle recommençait à me l'embrasser, à me le sucer.biscuit5

- J'avais le même que toi, à ton âge, sauf que j'étais brune et déjà très poilue... Tiens, je vais te le mordre !

Elle y enfonça les dents avec douceur. Elle me darda en même temps sa langue dans le vagin. Mais chaque fois que je touchais au plaisir, elle s'arrêtait et me regardait d'un air moqueur en léchant sa grosse bouche humide toute barbouillée de rouge. Elle posait sa main sur ma poitrine, aplatissant mon petit sein.

- Comme ton coeur bat ! Tu sens comme il bat ? Cela te plaît, hein, d'être cochonne ? Soyons-le encore plus. N'as-tu pas envie de regarder le mien, je sais que tu l'as déjà vu, sous la table, mais c'était en cachette. Regarde, je vais te le montrer...

Elle releva un genou et écarta la cuisse pour me montrer son sexe. Les lèvres, toutes gonflées, me parurent beaucoup plus grosses que la fois où elle avait renversé ses épingles.

- Il te plaît, mon gros con de salope ? gloussa-t-elle.

Deux fines languettes roses couvertes de bave épaisse pointaient entre les grandes lèvres écartées.

- Viens me lécher la moule, chérie... N'aie pas peur, elle ne va pas te mordre. On va se lécher la moule toutes les deux en même temps. Tu vas voir comme c'est bon. On le fera tous les jours, tous les jours, sans arrêt...

biscuit4Sa voix était devenue rauque. Elle me prit la main et me força à lui toucher le con. Elle se l'ouvrit pour que j'y fasse entrer mes doigts. Son clitoris se présenta de lui-même à mes attouchements.

Elle m'enseigna la caresse qu'elle voulait que je lui fisse ; je devais la fouiller brutalement, lui froisser les nymphes, lui aplatir le clitoris, le lui pincer entre les ongles.

Nous jouâmes ainsi un long moment : elle était assise sur le canapé, en face de moi qui étais accroupie par terre, elle relevait ses genoux repliés, comme une grenouille, et moi, je fouillais dans la large crevasse humide que cette posture faisait bâiller au-dessus de son anus.

- Tripote, tripote bien... enfonce tes jolis doigts dans les trous... tu verras... je t'apprendrai tout ce qu'on peut se faire, entre femmes...

Elle haletait ; soudain, elle poussa un râle étrange, c'était une voix caverneuse qui montait du fond de son ventre et qui exprimait une émotion bestiale, une angoisse terrifiante : elle m'attira contre elle, me faisant remonter entre ses cuisses. Elle me prit par les fesses et me fit frotter mon sexe au sien. Pour mieux me coller à elle, elle m'avait enfoncé un doigt dans le cul. En même temps, elle me léchait les seins. Nous n'en pouvions plus, l'une comme l'autre. Son clitoris glissait entre les lèvres de ma vulve ; il était dur, élastique, j'avais l'impression qu'un gros bec mou me picorait. Elle se branlait dans mon con tout en me branlant : c'était prodigieux. Le plaisir s'échangeait directement entre nos deux sexes comme des baisers entre deux bouches. Je crus que j'allais m'évanouir. J'entendais, très loin, ses râles, ses vociférations. Une bouche poilue m'aspirait le moelle des os.

La crise nous surprit en même temps."

biscuit2

 

 

 

 

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Samedi 28 novembre 2015 6 28 /11 /Nov /2015 08:30

Pierre Louÿs, "Pybrac".  Quatrains 145 à 148

Je n'aime pas à voir la fillette annamite

Qu'on loue au jour le jour pour un petit écu

Mais qui n'est que dressée au plaisir sodomite

Et ne gagne son pain que par le trou du cul.

pybrac145

Je n'aime pas à voir le potache indocile

Lequel, sachant très bien que ce n'est permis,

Couche à poil tous les soirs avec sa sœur Lucile

Et dès qu'elle est enceinte, accuse ses amis.

pybrac146

Je n'aime pas à voir la blonde ingénue

Qui me laisse palper sa vulve dans un coin

Manie avec plaisir ma verge toute nue

La branle dans ses poils et me dit : "Pas plus loin."

pybrac147

Je n'aime pas qu'un vit sorte d'un con trop large

Défonce horriblement le trou du cul voisin,

Lorsque la fille hurle :" Au satyre ! Il décharge !

Il me crève ! Il m'encule ! Au meurtre ! À l'assassin !"

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Vendredi 27 novembre 2015 5 27 /11 /Nov /2015 08:00

Datant de 1975, "Auto moto" est comme son nomp l'indique une émission consacrée aux nouveautés de l'automobile et de la moto. Elle est diffusée sur TF1 le dimanche matin entre 10 et 11 heures.

Les principales rubriques : présentation et essais de nouveaux modèles (le plus souvent haut de gamme), innovations mécaniques...

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Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 25 novembre 2015 3 25 /11 /Nov /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 27 b

crissie27b-2Tu m'as vu immédiatement. Tu regardais fixement dans la direction où tu m'avais vu partir. Ton visage est devenu inquiet et interrogatif. Tu te demandais si je venais te dire que tout était fini ou si j'allais à nouveau te prendre par la main et par le sexe pour t'emmener avec moi. Ces quelques secondes ont dû te paraître une éternité. Je me suis approché de toi et j'ai simplement dit : "On s'en va". Tu as voulu dire quelque chose mais tu as juste dit un sanglot. Et dans un borborygme sans souffle ce mot : "merci", qui m'a bouleversé. Je n'ai pas lutté, je t'ai prise dans mes bras en répétant sans cesse que tu étais une petite conne, au rythme où je te berçais. J'ai senti en même temps une envie irrépressible de reprendre possession de ton corps, de ton âme, de m'enfouir en toi et de te baiser à mort.

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 24 novembre 2015 2 24 /11 /Nov /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 27 a

crissie27a-2

J’ai passé les deux semaines suivantes chez moi, en huis clos, à lire et relire ton carnet rouge. Une fois surmonté le malaise initial du voyeur involontaire, la lecture m’a emporté dans l’univers baroque, onirique, à la fois paradisiaque et infernal, de tes deux dernières années. La première des découvertes fut ton écriture manuscrite, faite de boucles et de déliés presque moelleux, mais parfois aussi de finales tranchantes et acérées comme des coups de scalpel dans la chair trop tendre des mots.

crissie27a-FEMME TIROIRS morski-bigLe contenu était à l’image de ton écriture, mélange d’innocentes anecdotes à l’eau de rose et de scènes d’une violence exacerbée. Le texte se présentait comme le journal de bord d’une aventurière en quête d’identité. Au récit, tu avais ajouté des images où alternaient paysages bucoliques, portraits hamiltoniens et scènes extrêmes de bondage, de pénétrations multiples ou de femmes violentées. Tu racontais tout cela dans les moindres détails, avec méthode et détachement. On aurait dit des rapports d’autopsie, sans aucun pathos.

J’ai relu ce carnet plusieurs fois afin de m’en imprégner. Parfois, la lecture de certaines scènes me procurait une érection quasiment spontanée, alors que d’autres tout aussi obscènes me privaient de toute émotion.

 

Cependant, je n’avais pas oublié tes derniers mots : «  Toutes les semaines, à cette même heure, à cet endroit où tout chavire, je t’attendrai. »… C’est ainsi que deux semaines après notre dernière rencontre, à l’heure dite, je suis allé au rendez-vous. Tu étais là, immobile et fière dans le flot des passants.

Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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