Lundi 28 décembre 2015
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"Crissie et Monsieur K.", chapitre 31 b
Je pompe toujours la queue qu'on m'a imposée, mes deux mains malaxent toujours deux hommes, je sens que
quelqu'un se met à me caresser les fesses... ils sont quatre ! Je suis le jouet de quatre mecs !
La queue se presse dans ma bouche, de plus en plus fort, de plus en plus rapide.
Elle s'agite, se propulse. L'homme jouit, bruyamment.
Se retire doucement et conclut : "Tu te défends pas mal, tu
sais."
Ça se précipite un peu. On s'éloigne de mes mains. On me lève, on ôte les liens de
mes pieds, mais on remet celui de mes mains.
Quelqu'un bouge une chaise. On m'assoit sur quelqu'un : je sens contre mes
fesses un sexe nu qui commence à durcir.
"- Tu veux qu'on la prenne à deux Josué, ou chacun son tour
?..."
"- Vas-y Vincent... Moi je veux la prendre debout contre le mur... J'adore cette
position ! Et fluette comme elle est, je vais pouvoir la défoncer à mort tranquille... Je le sens bien..."
Mais moi ce que je sens bien c'est le sexe sur lequel je suis assise, qui se
frotte contre ma vulve et entre, ahhh, fort, régulièrement, et qui n'en finit pas de rentrer. Ça fait un peu mal mais c'est bon. L'homme me fait coulisser sur lui, pendant que je sens la présence
toute proche d'un autre que ça doit exciter copieusement. Bruits, gémissements, odeurs de foutre : je me sens dans un lupanar, jouet partagé. Je suis empalée de plus en plus fort. J'ai
l'impression d'être un bilboquet. Le cri du premier fuse en même temps que le sperme du deuxième m'éclabousse les seins...
J'ai à peine le temps de me ressaisir. On me porte à bout de bras... Le type a
l'air fort, baraqué. Il me plaque contre le mur. Je suis embrochée par une queue d'une grosseur inouïe : ça me coupe la respiration, mais m'excite sans mesure. "T'es un peu serrée pour moi ma
jolie, mais ça m'éclate encore plus". Il se presse contre moi, je sens sa sueur de santal. Je suis de plus en plus comprimée et les frottements réguliers, puissants, contre mon clito, finissent
par avoir raison de ma faible résistance. Je jouis, et dans la foulée le forniqueur explose. "Mais c'est que ça lui plaît on dirait..." Le mec me maintient quelques instants, puis me
dépose. J'entends la fin d'une phrase : "...oui mais
il a dit pas trop..." Je devine que Monsieur K est parti. Qu'est-ce que ces quatre hommes veulent faire de plus?...
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