Une nouvelle galerie de 9 photos de belles matures. Cette fois, elles nous montrent avant tout leurs seins (mais pas que...). Je vous laisse à cette douce et langoureuse contemplation de leur plénitude....
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Une nouvelle galerie de 9 photos de belles matures. Cette fois, elles nous montrent avant tout leurs seins (mais pas que...). Je vous laisse à cette douce et langoureuse contemplation de leur plénitude....
"Crissie et Monsieur K.", chapitre 32 b
Monsieur K m'embrasse et je suis tellement émue que j'ai envie de pleurer : c'est un baiser plein de ferveur et
de protection. Je me sens apaisée après la tempête qui vient de déferler sur moi, après ce deuxième round où tous les quatre, en même temps, se sont branlés sur mon corps et mon
visage, me bousculant pas mal, avec l'émulation dangereuse des membres dans un groupe. J'ai toujours un peu peur du border line. Mais non, une fois leur coup tiré, je les ai entendus,
très gentlemen, me remercier et dire que c'était super. Je n'ai pu m'empêcher de sourire. Ensuite il y a eu un grand silence.
Alors de retrouver Monsieur K et de le sentir si proche me bouleverse.
Monsieur K m'embrasse longuement et je réponds à son baiser ; je n'ai pas envie que ça s'arrête : je voudrais me fondre dans sa bouche. Sa langue est douce, pleine et lancinante, et je me sens tendrement défaillir.
"Crissie et Monsieur K.", chapitre 32 a
Je ne me suis pas absenté très longtemps, juste l’espace d’une cigarette et d’une conversation de comptoir avec
le réceptionniste, mais quand je regagne notre chambre du troisième étage, je trouve la porte grande ouverte. Il n’y a plus que toi, attachée nue sur le lit, les yeux bandés. Ton corps est maculé
de traînées de sperme en train de sécher. Tu en as collé dans les cheveux, cartonné sur les seins… Ton nombril est devenu une petite fontaine débordante de foutre et ta fente en est engluée
jusque dans la raie des fesses. Le quatuor infernal s’est éclipsé. Je te libère de tes entraves, j’ôte ton bandeau. Malgré la pénombre de la chambre, tu clignes des yeux comme si tu regardais le
soleil en face. Je te prends dans mes bras et t’emporte dans la salle de bain pour te déposer sous la douche. C’est moi-même qui te lave avec soin, de la tête aux pieds. Tu t’abandonnes à mes
mains savonneuses. Je te sèche et te rhabille comme une enfant. On ne se parle pas. Quand c’est terminé, que tu as repris ton sac à main et qu’on est devant la porte de la chambre, prêts à
partir, je te saisis par les épaules. On est face à face, on se regarde. Puis je t’embrasse comme si c’était notre premier vrai baiser…
Rappel du premier article : Giovanna CASOTTO, # 1
Après avoir pris connaissance des méthodes de travail de Giovanna Casotto, voici une deuxième série de dessins où Giovanna se caresse, ou pour parle plus trivialement, se branle !
Pierre Louÿs "Pybrac", quatrains 161 à 164
Je n'aime pas à voir dans un pissoir humide
La gamine qui suce un gros patron boucher
Boit le foutre, dégueule, et dit d'un air timide :
" M'sieu ! Donnez-moi dix sous pour aller me coucher !"
Je n'aime pas à voir des filles de gougnottes
Qui montrent leurs petits derrières vicieux
Et disent :" Oui ! Mais oui ! Nous sommes des fiottes !
Nos moniches pour nous. Nos culs pour les messieurs."
Je n'aime pas la fille au pur profil de sainte
La vierge au con bardé par un gros pantalon
Qui soupire :" Papa ! Maman ! Je suis enceinte !"
Et qui pisse une gosse au milieu du salon.
Je n'aime pas à voir le lycéen coupable
Qui va montrer sa pine à la bonne d'enfants
Laquelle entre en chaleur et baise sur la table
Et crie :" Ah ! Jouis pas ! Monsieur ! Je vous défends !"
Elles posent à domicile, sur le canapé ou un fauteuil du salon, devant leur conjoint ou leur amant. Elles sont sans doute mères, parfois grand-mères, mais elles n'en restent pas moins femmes. Alors, au regard de l'objectif, elles offrent leurs seins lourds, elles écartent les cuisses et nous montrent leur sexe. Elles sont indéniablement belles...
À l'occasion du réveillon de la Saint Sylvestre, c'est le moment où jamais de se montrer dans ses plus beaux atours. Si vous manquiez d'idée, voici quelques lingeries affriolantes...
"Crissie et Monsieur K.", chapitre 31 b
Je pompe toujours la queue qu'on m'a imposée, mes deux mains malaxent toujours deux hommes, je sens que
quelqu'un se met à me caresser les fesses... ils sont quatre ! Je suis le jouet de quatre mecs !
La queue se presse dans ma bouche, de plus en plus fort, de plus en plus rapide. Elle s'agite, se propulse. L'homme jouit, bruyamment.
Se retire doucement et conclut : "Tu te défends pas mal, tu sais."
Ça se précipite un peu. On s'éloigne de mes mains. On me lève, on ôte les liens de mes pieds, mais on remet celui de mes mains.
Quelqu'un bouge une chaise. On m'assoit sur quelqu'un : je sens contre mes fesses un sexe nu qui commence à durcir.
"- Tu veux qu'on la prenne à deux Josué, ou chacun son tour ?..."
"- Vas-y Vincent... Moi je veux la prendre debout contre le mur... J'adore cette position ! Et fluette comme elle est, je vais pouvoir la défoncer à mort tranquille... Je le sens bien..."
Mais moi ce que je sens bien c'est le sexe sur lequel je suis assise, qui se frotte contre ma vulve et entre, ahhh, fort, régulièrement, et qui n'en finit pas de rentrer. Ça fait un peu mal mais c'est bon. L'homme me fait coulisser sur lui, pendant que je sens la présence toute proche d'un autre que ça doit exciter copieusement. Bruits, gémissements, odeurs de foutre : je me sens dans un lupanar, jouet partagé. Je suis empalée de plus en plus fort. J'ai l'impression d'être un bilboquet. Le cri du premier fuse en même temps que le sperme du deuxième m'éclabousse les seins...
J'ai à peine le temps de me ressaisir. On me porte à bout de bras... Le type a l'air fort, baraqué. Il me plaque contre le mur. Je suis embrochée par une queue d'une grosseur inouïe : ça me coupe la respiration, mais m'excite sans mesure. "T'es un peu serrée pour moi ma jolie, mais ça m'éclate encore plus". Il se presse contre moi, je sens sa sueur de santal. Je suis de plus en plus comprimée et les frottements réguliers, puissants, contre mon clito, finissent par avoir raison de ma faible résistance. Je jouis, et dans la foulée le forniqueur explose. "Mais c'est que ça lui plaît on dirait..." Le mec me maintient quelques instants, puis me dépose. J'entends la fin d'une phrase : "...oui mais il a dit pas trop..." Je devine que Monsieur K est parti. Qu'est-ce que ces quatre hommes veulent faire de plus?...
"Crissie et Monsieur K.", chapitre 31 a
Je reste près de la porte où je garde un œil sur ce qui se passe dans la chambre. C’est mon ami Mathias qui
s’est chargé du recrutement des quatre compères. Pour ce genre de mission, je peux lui faire confiance, il déniche toujours les perles rares. Ce sont en l’occurrence un quatuor de gaillards dans
la force de l’âge. Celui qui paraît le plus jeune s’appelle Josué : c’est un noir musculeux de partout, avec une membrure de satyre. Ses trois comparses donnent l’impression d’avoir la
trentaine bien tassée. Il y a Samir, un bel arabe circoncis, Vincent un blond aux bras couverts de tatouages et un certain Miguel, aux cheveux de jais et au regard ombrageux… Ils s’affairent
autour de toi comme des araignées sur une proie vivante prise dans leur toile…
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