Mercredi 23 mars 2016 3 23 /03 /Mars /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 205 à 208

Je n'aime pas à voir la gourmande Christine

Sucer le con d'Eva que le foutre inondait,

Laper comme une enfant qui lèche une tartine

Et lui prêter sa bouche en guise de bidet.

pybrac205

Je n'aime pas à voir deux filles du même âge

Tête-bêche au milieu de leur lit virginal

Lécher leurs petits cons encore sans plumage

En avalant des vits par l'orifice anal.

pybrac206

Je n'aime pas à voir une célèbre grue

Entrouvrir son derrière au-dessus du balcon

Et pisser un torrent d'urine dans la rue

Devant quinze gamins qui lui zyeutent le con.

pybrac207

Je n'aime pas à voir la gosse qui babille

Dit qu'elle n'a pas de poils, qu'elle fait tout, tout, tout,

Mais ne peut pas sucer sans qu'elle dégobille

Et que pour l'enculer, faut bien mouiller le trou.

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Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 22 mars 2016 2 22 /03 /Mars /2016 08:00

"in vino veritas", chapitre 3

dessins de Alex Varenne

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Mardi, deuxième jour.

vino7Le soleil était à peine levé qu'il faisait déjà chaud. La journée s'annonçait si belle que Mary sortit en robe à fleurs. Sur le parking de l'hôtel, David Signac et Clément Dutertre étaient en grande discussion mais dès qu'ils la virent arriver, leur conversation cessa.

- En voiture pour le Château Yquem ! annonça le chauffeur. Si tout va bien, nous y serons dans moins d'une heure.

C'était sans compter sur les habituels bouchons de la rocade bordelaise. Sur la banquette arrière, assis le plus loin possible l'un de l'autre, Mary et son collègue normand n'échangèrent ni un mot, ni un regard. Heureusement que David - c'est lui qui avait demandé qu'il l'appellent par son prénom - n'était pas avare d'informations et d'anecdotes sur la région et le vignoble en particulier. Arrivés sur place, ils furent intégrés à un groupe de touristes chinois. La visite du domaine commença par une balade au cœur des vignes, puis on les fit entrer dans une petite salle de cinéma où on leur projeta un documentaire de plus de trente minutes sur l'historique du Château Yquem, la pourriture noble, les vendanges tardives grain par grain et la vinification. Mary et Clément Dutertre avaient pris place dans le fond de la salle, à l'écart du groupe de Chinois dont la traductrice parlait vraiment trop fort.

 Mais du film, Mary ne devait se souvenir que des premières minutes car, à peine la salle plongée dans l'obscurité et la projection commencée, la puissante main de Clément Dutertre se posa brutalement sur son genou dénudé et la força à ouvrir les cuisses. Surprise par la soudaineté de l'attaque, il ne lui vint même pas à l'esprit de crier ou de tenter de le repousser. Elle n'en eut pas le temps. Déjà, semblables aux pattes d'une tarentule velue, les doigts grimpaient entre ses cuisses et atteignaient sa petite culotte. D'autorité, de sa large paluche, il lui empauma le bas-ventre et resta comme ça de longues minutes, sans bouger, attendant que la chaleur de sa main se répande sous la culotte. Les yeux rivés sur l'écran, incapable d'un mouvement, Mary ne voyait plus rien, n'entendait plus rien, comme tétanisée. Puis, alors qu'elle ne l'espérait plus, la main reprit vie, écarta le voile de tissu et caressa sa touffe. Un doigt curieux se glissa dans le sillon de sa vulve ruisselante et se posa sur son clitoris. Alors, Mary ferma les yeux et écouta la danse silencieuse du doigt qui branlait son clitoris, écartait ses lèvres pulpeuses et la pénétrait profondément, excitant avec adresse le coussinet grumeleux à l'entrée de son vagin, siège secret de sa lubricité. C'était aussi bon qu'une bite. Elle jouit en serrant les dents et inonda la main de Clément.vino6

Plus tard, pendant la dégustation, alors que l'œnologue maison expliquait aux visiteurs la richesse des arômes et des saveurs du  Sauternes, Clément Dutertre se pencha vers Mary et lui glissa à l'oreille.

- Demain, pour la découverte du Médoc, vous ne mettrez pas de culotte.

Elle faillit en avaler de travers mais déjà il lui avait tourné le dos et, le verre à la main, se dirigeait à pas lents vers le buffet.

 

Le retour vers Bordeaux se fit dans l'indifférence. À l'arrière, Mary regardait défiler le paysage, pendant qu'à l'avant, David et Clément parlaient football.  À l'hôtel, elle dîna seule.  Tard dans la soirée, elle parla un peu au téléphone avec Jean-Paul. Elle tenta en vain de lui décrire la longueur en bouche d'une gorgée de Château Yquem, alors qu'en réalité elle ne se souvenait que de la longueur en vagin du doigt baiseur de Clément Dutertre.

à suivre...

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Lundi 21 mars 2016 1 21 /03 /Mars /2016 08:00

Encore une série de Caty qui fait dans la version anglophone, ce qui paraît une évidence avec un sandwich aussi savoureux !

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Samedi 19 mars 2016 6 19 /03 /Mars /2016 08:00

Suite des aventures de Mary en terre bordelaise...

"In vino veritas", chapitre 2

Lundi, premier jour.

Le matin du départ, Mary vérifia une dernière fois le contenu de sa valise. Après avoir consulté la météo qui annonçait une semaine de très beau temps sur le sud-ouest, elle remplaça ses pull-overs et ses pantalons par des robes de cotonnade légère et des débardeurs. Au dernier moment, sans bien savoir pourquoi, elle y ajouta furtivement un maillot de bain deux pièces, plusieurs paires de bas et deux porte-jarretelles en dentelle.

vino3Dans l'avion, elle relut une énième fois le programme de la semaine. Maintenant qu'elle était partie, sans raison valable ni possibilité de faire demi-tour, elle sentait monter en elle une réelle excitation tempérée par la très légère angoisse que lui procurait la solitude.

À l'aéroport de Mérignac, elle fut prise en charge par un chauffeur de grosse berline allemande qui l'emmena jusqu'à l'hôtel, Allée de Tourny, tout près de la Place des Quinconces. Un groom en livrée la précéda jusqu'au troisième étage, chambre 317. Tout en escamotant son pourboire, il lui rappela qu'elle était attendue dans la salle restaurant pour le dîner à partir de 20h 30. La chambre était spacieuse, le lit très large. Mary se dit qu'on pouvait y dormir confortablement à trois, sans se gêner... En attendant le dîner, elle prit une douche dans la vaste salle de bains au sol et aux murs carrelés de marbre, se regarda nue dans le grand miroir mural, se soupesa les seins à deux mains, se dit qu'elle aurait peut-être dû tailler l'épais buisson noir qui fleurissait en haut de ses cuisses, se trouva finalement plutôt belle, s'allongea sur le lit, alluma la télé, se caressa la chatte en toute innocence tout en regardant un documentaire sur le Grand Nord, se demanda comment elle allait s'habiller pour le dîner, puis s'endormit...

Au restaurant, elle fit la connaissance du Président du Syndicat, un petit homme jovial au charme compassé, venu accompagné de son épouse blonde décolorée. On lui présenta aussi Monsieur David Signac qui ferait office chauffeur-guide. C'était un homme d'une quarantaine d'années, plutôt stylé, aimable et attentionné, qui la mit immédiatement à l'aise. Ce n'était pas le cas du dernier convive !

- Je vous présente Monsieur Clément Dutertre, votre collègue de Normandie.

Mary le regarda et au premier coup d'œil il lui fut antipathique. Elle ne parvenait pas à se le représenter responsable du rayon Vins dans une grande surface. Le front bas, le regard gris et froid, la voix sombre, taillé comme un rugbyman, il avait plutôt l'allure d'un bûcheron ou d'un boucher. Oui, c'était cela : un boucher ! Sans doute à cause de ses mains, deux battoirs aux phalanges velues, des mains puissantes d'étrangleur. Tout en l'observant plus attentivement, Mary se remémora "Le Boucher", un film de Chabrol où Jean Yanne interprétait un boucher meurtrier. Elle fut parcourue d'un frisson. Cela n'enleva rien à la convivialité du dîner : les mets étaient raffinés et la conversation roulait sans encombre sur le mode policé, entre gens de bonne compagnie. À l'arrivée du plateau de fromages, Mary sentit sous la table, un pied se frotter au sien. La sagesse lui commandait de refuser l'avance, elle n'en fit rien. Encouragé, le pied indécent remonta lentement le long de son mollet, de la cheville à la saignée du genou et redescendit tout aussi lentement. Le petit jeu dura jusqu'au tiramisu. Elle chercha à lire sur le visage des convives à qui appartenait ce pied audacieux. Peine perdue ! Elle se laissa gagner par la langueur de la caresse. Puis, le pied baladeur se retira aussi mystérieusement qu'il s'était approché dans les coulisses de la nappe blanche.

De retour dans la solitude de la chambre 317, Mary se branla avec énergie, pressée soulager sa vulve toute moite de désir.

à suivre...

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Vendredi 18 mars 2016 5 18 /03 /Mars /2016 08:00

Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 201 à 204

Je n'aime pas à voir que la princesse Z...

Toute nue et très grise au milieu d'un souper

Se fourre dans la vulve un os de gigot tiède

Et foute avec ce vit nouveau, pour s'occuper.

pybrac201

Je n'aime pas à voir la môme ridicule

Qui va dire en pleurant aux commissariats :

" Depuis que j'ai neuf ans mon grand-père m'encule !"

Et pour si peu de mal nous fait tant d'arias.

pybrac202

Je n'aime pas à voir la mère sans prudence

Qui fait coucher Yvonne avec son frère aîné

Puis rentre en entendant gémir le lit qui danse

Et les trouve la pine au con, et l'air gêné.

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Je n'aime pas à voir la vierge qui se trousse,

Debout devant la glace, une brosse à la main,

Brosse jusqu'au nombril sa longue toison rousse

Et se fourre le manche à fond dans le chemin.

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Jeudi 17 mars 2016 4 17 /03 /Mars /2016 08:00

Caty poursuit sans relâche sa recherche des mots justes...

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Mercredi 16 mars 2016 3 16 /03 /Mars /2016 08:00

Il y a quelques mois, j'ai écrit cette nouvelle à l'attention de Mary et Jean-Paul qui souhaitaient dans un même texte célébrer leur amour du bon vin et du sexe... 

In vino veritas

Pour Mary et Jean-Paul

 

vino1- Mary, le patron veut que tu passes à son bureau !

- Mais pourquoi ?

- Je n'en sais rien, il a juste dit qu'il désirait te parler, ce soir, à la débauche...

L'annonce de cette convocation inattendue lui gâcha l'après-midi. Depuis toujours Mary détestait le cérémonial des entretiens avec la hiérarchie : trop de politesse exagérée, de phrases convenues, de sous-entendus et de silences encore plus dérangeants que les mots. Heureusement, à cette période de l'année, les clients ne se bousculaient pas au rayon vins de l'hypermarché, si bien que Mary passa le plus clair de son temps dans les réserves à faire du rangement dans les stocks et à vérifier des bordereaux de livraison.

- Bonsoir madame, je vous attendais... Asseyez-vous !

Le ton était enjoué, presque familier. Mary était néanmoins sur ses gardes. Le directeur ouvrit un dossier posé sur son bureau et en sortit une feuille qu'il relut avec attention.

- Je vous explique : comme vous le savez, notre enseigne compte parmi les plus grands distributeurs de vins de Bordeaux en grande surface. Aussi, cette année, le Syndicat Interprofessionnel des Vins du Bordelais a décidé de récompenser les deux magasins les plus performants de notre groupe : le premier implanté en Normandie, à Caen pour être précis, et le nôtre... J'ai donc le plaisir de vous annoncer que je vous ai désignée pour recevoir cette distinction en notre nom à tous... Concrètement, vous êtes invitée à un séjour d'une semaine tous frais payés dans le Bordelais. Ce séjour comprend le billet d'avion, les frais de transport et d'hébergement sur place, des visites de grands domaines et dégustations, la découverte de la région... Votre voyage est programmé pour la fin septembre et votre pied à terre sera un grand hôtel du centre de Bordeaux. Qu'est-ce que vous en pensez ?

- J'en suis flattée, Monsieur le Directeur... Juste une question : ce séjour est-il prévu pour une ou deux personnes ?

- Sur le document qui m'a été communiqué, il n'est pas envisagé que vous soyez accompagnée. Voilà, je crois vous avoir tout dit. Vous passerez à la comptabilité pour retirer votre billet d'avion. Je n'ai plus qu'à vous souhaiter un bon séjour au bord de l'Atlantique et d'y représenter dignement notre entreprise et évidemment la Bourgogne...

 

Le soir même, de retour à la maison, Mary annonça la nouvelle à Jean-Paul, son mari, qui la félicita chaleureusement et ne put s'empêcher de la taquiner.

- Seule en terre inconnue ! Tu ne crains pas de faire de mauvaises rencontres ?

- Qu'est-ce que tu veux qu'il m'arrive ! Ce n'est pas à cinquante ans passés que je vais commencer à avoir peur !

- Je ne te parle pas d'avoir peur ! Je pensais que tu pourrais croiser un homme séduisant, beau parleur et bien membré...vino2

- Ne dis pas de bêtises !

- N'empêche, pense à emporter de la lingerie dans ta valise, on ne sait jamais.

Dans la chaleur du lit, Jean-Paul revint à la charge. Il était en train de caresser les gros seins de Mary. Elle lui tournait le dos et sentait contre ses fesses sa bite déjà dure. Il lui parla tout bas à l'oreille.

- Peut-être qu'il te caresserait mieux que moi, qu'il te ferait découvrir de nouvelles sensations, qu'il t'apprendrait des trucs bien cochons...

Mary ne répondit rien. Elle se contenta de se cambrer un peu, de façon à accentuer la pression de la queue de Jean-Paul plaquée contre la raie de ses fesses. Il lui sembla qu'il bandait de plus en plus fort. Elle écarta légèrement les cuisses et, presque naturellement, la bite familière de Jean-Paul se faufila dans la brèche entrouverte et s'enfonça d'une seule poussée dans sa fente humide et grasse. Elle s'étonna d'être si mouillée. Pendant que la queue de son mari lui pistonnait le ventre, elle ferma les yeux et imagina que c'était un inconnu qui la baisait, qui lui pelotait les seins, qui lui arrachait des soupirs et l'amenait à l'orgasme. Cette nuit-là, Mary ne fit pas longue à jouir...

à suivre...

 

 

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Mardi 15 mars 2016 2 15 /03 /Mars /2016 08:00

Pour ceux qui auraient raté le commentaire de karibou velu, voici sa contribution aux fantasmes d'A-C

A-C Caribou-velu

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Lundi 14 mars 2016 1 14 /03 /Mars /2016 08:00

Après les pronostics footballistiques, deux nouvelles contributions de Jean-François aux fantasmes triolistes d'A-C : il les a intitulés "coprolalie" et "philo" !

legende-coprolalie

legende-philo

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 13 mars 2016 7 13 /03 /Mars /2016 08:00

Une fois n'est pas coutume, je vous propose de visionner une vidéo très troublante dont le titre en allemand est "Geiler Chat mit Muslimhure", qu'on pourrait traduire mot à mot par "Superbe chat avec une salope musulmane", ce qui paraît réducteur et vraiment irrespectueux. Le film est muet, il s'agit d'un long plan-séquence de 6 minutes devant une webcam. La vidéo se divise en deux parties égales : dans la première partie, la jeune femme est en plan presque fixe, filmée en train de chatter devant son ordi. On ne voit que son visage aux yeux soulignés au khôl et aux lèvres très maquillées, la chevelure enveloppée d'un foulard, et vêtue d'une nuisette blanche en dentelle ultra lègère qui dévoile plus que de raison sa magnifique poitrine... Puis, vient la seconde partie : le champ s'élargit, elle montre d'abord ses seins qu'elle caresse lascivement puis son corps entièrement nu et sublime... Un gode rouge apparaît comme par magie entre ses mains... Je vous laisse découvrir la suite...

Pour visionner la vidéo : cliquez ici

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Par michel koppera - Publié dans : videos et webcam - Communauté : Arts érotiques
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