L'occasion de rendre hommage à l'admirable travail au quotidien des professeurs de musique dont le dévouement, la compétence et l'abnégation forcent le respect !
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
L'occasion de rendre hommage à l'admirable travail au quotidien des professeurs de musique dont le dévouement, la compétence et l'abnégation forcent le respect !
J'adore cette image, visiblement tirée d'une BD dont je ne suis pas sûr à 100% de l'origine. Je la trouve terriblement sensuelle et j'aimerais lui concacrer un article. L'un(e) d'entre vous en connaîtrait-il, avec certitude et références, l'auteur(e) ? D'avance merci !
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 277 à 280
Je n'aime pas la môme aux fleurs, si pâle si mince,
Qui sourit :" Sucer, m'sieur ? Avaler le siphon ?
Voulez-vous m'enculer dans le pissoir, mon prince ?
J'ai pas de poils. Cent sous, et la queue au fond."
Je n'aime pas à voir la mariée en tulle
Qui dit : "Je suis pucelle et je ne sais pas où.
On me retourne à poil, tout le monde m'encule,
Mais j'en connais plus d'un qui se trompe de trou."
Je m'aime pas qu'Esther, dans une sombre allée,
Dise : "Oh non, pas de flirt ! Je suis trop en chaleur !
Jamais je ne me branle avant d'être enculée
En levrette et faut pas qu'on se trompe de fleur."
Je n'aime pas à voir la duchesse douairière
Qui s'éveille à midi sans autre vêtement
Qu'un long godmiché dans le trou de derrière
Et qui ne comprend pas bien ni pourquoi ni comment.
Selon un rapport du HCE (Haut Conseil à l'Égalité entre les hommes et les femmes) 84 % des filles françaises âgées de 13 ans ne savent pas à quoi ressemble leur sexe.
83 % des filles et 68 % des garçons des classes de 3ème et 4ème ignorent tout de la fonction du clitoris !
C'est la pleine saison des cerises ! Personnellement, la variété que je préfère, ce sont les reverchon à la chair ferme, délicatement sucrée et très goûtue. Et vous ?
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 273 à 276
Je n'aime pas qu'un vit monstrueux, large et rude,
Un vit ivre de viol s'engouffre tout entier,
D'un seul coup, dans le saint trou d'une prude
Qui depuis vingt-sept ans n'a pas d'autre métier.
Je n'aime pas la couche ample et familiale
Où trois filles se font enculer à la fois
Par leurs frères, devant leur maman qui chiale
Se masturbe et s'encule avec ses propres doigts.
Je n'aime pas la jeune Anglaise un peu tribade
Qui dit, montrant ses sœurs, sa tante et sa maman :
" Leur coup de langue est bon, mais leur foutre est si fade
Que je préfère la pine de mon amant."
Je n'aime pas à voir, puissamment enculée,
La fille florentine, à poil, creusant les reins,
Ses deux fesses, couleur chair de Sienne brûlée
Et l'anus cramoisi dans le cul noir de crins.
Jorge Amado est l'un de mes auteurs préférés. J'ai récemment lu "Les pâtres de la nuit", roman daté de 1970 et paru aux éditions Stock (nouveau cabinet cosmopolite) en 1982. Comme souvent, le cadre du roman est la ville de Salvador de Bahia.
Page 169, cet adage des vieux marins du port de Salvador de Bahia : "Il n'est pas possible à un seul homme de coucher avec toutes les femmes du monde mais il faut essayer d'y parvenir."
Je reprends, et cette fois avec illustrations
" Il n'est pas possible à un seul homme de coucher avec toutes les femmes du monde...
... mais il faut essayer d'y parvenir."
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 269 à 272
Je n'aime pas qu'une âme innocente se joue
Du bouton qu'elle doit à la bonté de Dieu,
Se branle, des dix doigts, se déflore, se troue
Et pisse soudain le sang. Vraiment, c'est odieux.
Je n'aime pas qu'Yvonne, à l'affût d'une farce,
Publie au jour le jour ce que fut sa maman :
" Ma mère mise à nu par une enfant de garce."
Et pourtant, c'est un fort bon titre de roman.
Je n'aime pas ce 12 en chiffres majuscules
Sur ce bordel d'Alger où la bonne me dit :
" Vingt-deux putains. Ti prends la belle et ti l'encules.
Toutes nikoniko dans le cul, mon pitit."
Je n'aime pas qu'au bal une vierge indiscrète
Toute rouge à l'écart murmure à son danseur :
" Jamais je ne me laisse enculer qu'en levrette,
La posture où jamais tu n'encules ta sœur."
Ce soir, Hélène et moi, dans notre chambre, nous sommes assis face à face sur le tapis de laine. Nos jambes et nos cuisses se chevauchent et nos têtes sont front contre front. Les regards ne quittent pas le ventre de l’autre, nos ventres nus. Hélène, sans visage, avec ses cheveux noirs comme un masque. Elle ressemble à un portrait de Félix Labisse. Un tee-shirt blanc lui couvre le haut du corps, mais elle est nue sous la taille. Les courbes de ses hanches évoquent les veuves lubriques de Clovis Trouille.
Je suis face à Hélène, habillé moi aussi d’un tee-shirt blanc. Je ne sens d’elle que la pesanteur de son front et la chaleur de sa peau dans nos jambes mêlées, cuisses largement ouvertes. Nous nous branlons. Elle a le sexe touffu, noir, épais. Sa vulve est comme un fruit. Elle s’excite parfois de l’index, souvent des quatre doigts réunis. La peau de sa main a des reflets d’huile. Je me branle de la main droite, doucement. J’ai l’impression que ma bite ne cesse de grandir, de gonfler. Je vais jouir. Hélène écarte sa main et mon sperme blanc jaillit et se répand sur la chair nue et humide de sa vulve béante… A-t-elle joui elle aussi ?
- Merci pour les œillets ! me souffle Hélène alors que nous sommes sous la douche.
L’eau qui ruisselle sur ses cheveux noirs coule entre ses seins lourds.
- Et avec Dominique, ça se passe bien ?
Je sens mon cœur qui bat trop vite.
- À quel sujet ?
- Et bien, sa recherche de maison et votre projet d’album.
Je respire profondément.
- Tout en est panne. Ce n’est pas sérieux, je crois que je vais laisser tomber.
Hélène m’enlace de ses bras tendres. L’eau chaude nous enveloppe. Je sens son ventre amoureux qui vibre contre le mien.
- Tu as sans doute raison. Tu sais, j’ai lu qu’il existait des crèmes spéciales pour la sodomie, dit-elle en me caressant les fesses. Avec ça, il paraît que la pénétration est sans douleur et qu’on peut même y prendre plaisir. Je vais en commander un tube… On dit que les hommes aiment ça… Toi aussi, mon chéri ?
FIN
Avec la petite voiture de Rouge-Gorge, nous parcourons la région, décrivant des cercles concentriques de plus en plus éloignés de la ville. Nous sommes sensés être à la recherche d’une maison ancienne à restaurer, mais je doute qu’elle ait ne serait-ce qu’un embryon de capital pour se lancer dans une aventure immobilière.
Aux feux rouges et aux stops, elle me montre ses seins et me supplie de lui pincer les mamelons. On va de notaire en notaire. On demande à visiter. Le plus souvent, un clerc nous accompagne pour la visite, mais parfois, pour les maisons les plus délabrées, celles qu’ils n’espèrent même plus vendre un jour, on nous donne une adresse, un plan et on nous confie la clef.
On baise dans des greniers aux planchers vermoulus, des granges encombrées de machines rouillées, des cuisines aux carrelages couverts de gravats… Les fenêtres n’ont plus de rideaux, quelquefois plus de vitres. Le vent s’infiltre partout. C’est le décor habituel de nos accouplements. Rouge-Gorge – elle rigole que je l’appelle ainsi – s’accoude à une fenêtre et soulève sa jupe. Elle ne porte que des bas. Pas question de s’allonger, il faut baiser debout, alors, le plus simple, c’est que je la prenne par derrière. C’est comme ça que j’ai emprunté le chemin de son petit trou et que je l’ai enculée. Presque naturellement. Pour moi, c’est une grande nouveauté. En effet, sous prétexte d’une hémorroïde douloureuse, Hélène s’est toujours dérobée à mes manœuvres sodomites. Pourtant, malgré mon excitation, je ne parviens toujours pas à éjaculer dans le ventre de Rouge-Gorge. Elle s’en désole.
- Pourquoi tu ne m’aimes pas ? gémit-elle pendant que ma bite va et vient entre ses fesses distendues… Je jouis, mais toi, tu ne m’aimes pas !
Je ne réponds rien. C’est vrai que je ne l’aime pas : je ne fais que bander pour son cul, mais mon désir est rigide et endurant.
Il y a pourtant des instants inoubliables, aussi sublimes que cruels. Comme ce dernier après-midi de novembre, jour de tempête, où nous visitons une maison à Granville. La villa est accrochée au sommet d’une falaise abrupte qui surplombe la mer blanche d’écume. D’énormes vagues viennent se fracasser contre la falaise et, à chaque fois, un choc sourd ébranle la maison. À l’intérieur, les boiseries sont rongées par l’humidité, les huisseries mangées par la rouille, les papiers peints en lambeaux…
Mais, dans la salle de séjour qui s’ouvre sur la mer en furie, les propriétaires ont laissé un canapé hors d’âge dont le cuir des coussins est avachi et les accoudoirs éventrés. Rouge-Gorge s’y laisse tomber et m’entraîne dans sa chute. Malgré le froid humide, nous voilà bientôt nus. On commence par se lécher, tête bêche, à grand renfort de salive. Puis Rouge-Gorge s’assoit sur le canapé. Les mains passées sous les cuisses pour se soulever le bassin, elle me présente sa fente et son cul, aussi luisants et gourmands l’un que l’autre.
Je commence par l’enculer. Je regarde la tête de ma bite forcer doucement le diaphragme de son anus. Les bords s’écartent, je m’enfonce puis, brusquement, la petite bouche de son cul referme ses lèvres humides sur le gland qu’elle vient d’avaler. Je n’ai plus qu’à pousser jusqu’au fond, jusqu’à ce que les poils de mon pubis viennent se frotter contre sa vulve aux chairs tourmentées. Je lui pistonne le rectum. C’est brûlant. Le choc sourd des vagues sur la falaise fait écho à celui de ma bite au fond de son cul… Tant et si bien que Rouge-Gorge a un premier orgasme, puissant et sonore. Me saisissant par les fesses, elle m’attire violemment au plus profond de ses entrailles. Elle rugit. Son sphincter anal se contracte à m’en étrangler la bite…
Plus tard, je la lui mets dans le con. Elle s’ouvre des deux mains pour me dégager le passage et s’aérer le clito. Je la pénètre. Elle est beaucoup plus mouillée que d’habitude. Ses jambes repliées sur mes hanches impriment le rythme de mes coups de queue, le même que celui de la houle qui martèle la falaise. De petits points roses éclosent sur la peau de son buste, puis soudain, tout vire au grenat, de la base du cou au bout des seins… Elle jouit encore. Je sens ma bite comme enduite d’un liquide chaud et abondant. Quand je la ressors, je vois que le gland est couvert de sang : les règles de Rouge-Gorge viennent d’arriver. Ça me rend fou de désir. J’y remets aussitôt la bite pour patauger dans la mixture de sang et de cyprine… En un rien de temps, je sens que ça vient. Je me retire, le gland fumant à l’entrée, sa tête visqueuse calée entre les lèvres charnues du con et je lâche mes bordées de sperme en plein dans le suintement de ses règles. Le blanc et le rouge ne se mélangent pas. Ça coule entre ses fesses, poisse le trou de son cul et tombe, goutte à goutte, sur le cuir craquelé du canapé… On se nettoie comme on peut avec des mouchoirs en papier, sans se regarder, sans se parler.
Pour le retour, elle me confie le volant. La main gauche glissée entre les cuisses, elle s’endort en suçant son pouce. Arrivé en ville, j’arrête chez un fleuriste pour acheter un bouquet. Quand je reviens, elle est réveillée et me regarde d’un air stupéfait.
- C’est pour Hélène ? demande-t-elle d’un ton acide.
- Non, voyons, c’est pour toi.
Elle s’empare du bouquet et le balance sur la banquette arrière.
- Je déteste les œillets ! Ça pue ! ricane-t-elle.
à suivre...
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