L'été c'est aussi l'occasion pour nombre de citadins de (re)découvrir la vie à la ferme, au contact des animaux domestiques et des agriculteurs...
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L'été c'est aussi l'occasion pour nombre de citadins de (re)découvrir la vie à la ferme, au contact des animaux domestiques et des agriculteurs...
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 313 à 316
Je n'aime pas au temple et vers la fin du prêche
Certains mots : "Oui, ma gousse. À minuit. Dans mon pieu ?
Oui, putain. Qu'on t'encule avant que je te lèche."
Ces frivoles discours me détournent de Dieu.
Je n'aime pas à voir le grand godmiché double
Forcer par les deux trous les nouvelles Saphos.
Jamais fille d'honneur souffrit-elle sans trouble
Deux membres à la fois dans le cul ? Vrais ou faux ?
Je n'aime pas qu'un pâtre encule une bergère
Jusqu'au milieu du corps, à treize ans, dans le foin,
Puis lui décharge dans la bouche. Il exagère.
La sagesse en amour se contente de moins.
Je n'aime pas qu'au "Sept", patronne et sous-maîtresse
Pour gagner trente francs offerts par un miché,
Se laissent enculer trois fois par la négresse,
Et pour cent sous de plus, sucent le godmiché.
"Sol lucet omnibus" (le soleil brille pour tout le monde)
"Donc ce sera par un clair jour d'été ;
Le grand soleil, complice de ma joie,
Fera parmi le satin et la soie,
Plus belle encor votre chère beauté."
Paul Verlaine
"Le soleil donne
De l'or intelligent
Le soleil donne
La même couleur aux gens
Le soleil donne..."
Laurent Voulzy, Le soleil donne (1988)
Qu'elles soient dégustées en cornet, en esquimau, en cône ou en coupe... en sorbet, à l'italienne ou en crème glacée, les glaces sont un incontournable des petits plaisirs de l'été.
" Faire pipi dehors est une des joies de la vie à la campagne, un vrai moment de poésie."
Stephen King, La ligne verte.
" On a toujpurs associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois."
Alexandre Dumas, La Dame aux camélias
" C'est à la campagne qu'on apprend à aimer er servir l'humanité : on n'apprend qu'à la mépriser dans les villes"
Jean-Jacques Rousseau, les Confessions
Douglas Kennedy " La femme du Ve "
Collection Pocket n° 13573. 409 pages
Extrait : chapitre 12, page 197
La scène se passe à Paris dans un bar. Un soir, Harry, le narrateur est passé y boire un verre .
" Elle s'appelait Yanna. Elle était la femme du patron, Nedim, pour l'heure parti en Turquie où il devait assister aux obsèques d'un oncle"...
Elle s'est levée pour aller fermer la porte et tirer une grille intérieure sur la devanture. Revenue près de moi,,
elle m'a adressé un sourire éthylique, m'a fait quitter mon tabouret et, prenant ma main droite, l'a glissée sous sa jupe courte, dans sa petite culotte. Sa fente était déjà mouillée sous mes doigts. Avec un petit gémissement, elle m'a
attrapé par la nuque et a enfoncé sa langue jusque dans ma gorge. Bien que très ivre, j'avais vaguement conscience d'être sur le point de commettre une folie, mais mon index est entré en elle.
Comme il fallait s'y attendre, sa bouche avait un goût de raki et de tabac. L'hémisphère rationnel de mon cerveau a cédé le terrain à l'autre, celui qui appartient à l'imbécile imbibé et guidé
par son pénis en érection. Avant d'avoir pu dire ouf, je me suis retrouvé avec elle dans une arrière-salle nauséaobonde. Il y avait un lit de camp près d'un évier constellé de taches de rouille.
Elle a défait ma ceinture pendant que je descendais sa culotte le long de ses jambes. Elle a envoyé ses chaussures valser et nous nous sommes abattus sur la couverture rêche. Le lit métallique a
bruyamment grincé sous nos contorsions. Comme j'hésitais à la pénétrer, elle a chuchoté dans mon oreille :" Y a pas de risque..." Dès que j'ai été en elle, elle est devenue violente : elle m'a
tiré par les cheveux, lacéré les fesses de ses ongles, elle a agité sa main libre entre nous pour se frotter brutalement le clitoris. Quand elle a joui, elle a dû réveiller les deux
arrondissements voisins par ses cris et ses soupirs. Puis elle a planté ses dents dans ma langue et ne l'a plus lâchée jusqu'à ce que j'explose en elle.
Deux secondes après, elle était debout.
- Il faut que je nettoie la salle, maintenant. "
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