" La sieste est une espèce de mort savoureuse où le dormeur, à demi éveillé, goûte les voluptés de son anéantissement" Charles Baudelaire
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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
" La sieste est une espèce de mort savoureuse où le dormeur, à demi éveillé, goûte les voluptés de son anéantissement" Charles Baudelaire
" La plus belle heure de la vie, c'est l'heure de la sieste."
Grégoire Lacroix, Les Douze "moi" de Grégoire
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 301 à 304
Je n'aime pas qu'un père après une raclée
Flanque sa fille à poil devant ses trois gamins
La traite de fumier, de vache et d'enculée,
Puis l'encule par terre, à genoux sur les mains.
Je n'aime pas à voir trois sœurs à pleine bouche,
La langue dans la vulve et le cul sur les dents,
Peau sur peau, tous les soirs mouiller la même couche,
S'embarbouiller de foutre et s'endormir dedans.
Je n'aime pas à voir porter le linge en ville
Par une arpète immonde et qui dit : " Je m'en fous.
Trente-six fois par jour on m'encule, on m'enfile.
J'ai pas de poil au cul, mais j'ai toujours deux trous."
Je n'aime pas qu'au bal toute pudeur se perde
Et qu'une vierge dise à l'un de ses danseurs :
" J'aime le foutre, mais je n'aime pas la merde.
Je crains que vous n'ayez enculé mes deux sœurs."
Plus que jamais à la recherche de l'auteur de ces illustrations. Après les femmes seuls, les couples, voici les trios et les quatuors où s'expriment encore les mêmes fantasmes : sexes hypertrophiés, poitrines gonflées et visages stéréotypés
Deux images de mes fantasmes personnels à l'occasion du 14 juillet
1 : le défilé
2: le salut au drapeau
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 297 à 300
Je n'aime pas qu'un homme écrive, même en prose,
" L'art d'enculer sa fille à huit ans comme à vingt
Dressage au casse-noix comme aux feuilles de rose,
Avec l'art d'avaler le foutre, pour la fin."
je n'aime pas qu'un soir une vierge m'assure :
" Tout le monde au château m'encule excepté vous. "
Ni qu'à mes premier mots sur l'Enfer, la Luxure,
Elle crie à mourir de rire : " Je m'en fous !"
Je n'aime pas qu'Eva, gamine pénitente,
Confesse : " On couche à poil. C'est mon petit frangin
Qui l'a toujours en l'air et que j'y sers de tante."
Quand le curé lui demande : " Par le vagin ?"
Je n'aime pas que, nu sur ses deux sœurs obscènes,
Un bel adolescent qui dit avec douceur :
"Retire-toi, maman, tu gueules, tu nous gênes,
J'ai pas besoin de toi pour enculer ma sœur."
C'est vraiment le fruit de l'été,. Il faut les choisir mûrs mais encore fermes, et surtout juteux et sucrés. À consommer sans modération !
Où l'on peut constater de visu qu'il n'y a pas que les vulves et les seins qui sont hypertrophiés. Les bites des hommes aussi. Si on y réfléchit deux secondes, c'est dans la logique des choses. Il n'en reste pas moins que je ne sais toujours pas qui est l'auteur des dessins !!!!
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 293 à 296
Je n'aime pas qu'Irma, petite mijaurée,
Gueule comme un putois qu'on écorche vivant
Que deux nègres l'ont mise nue et déflorée
Ensemble, un par derrière, l'autre par-devant.
Je n'aime pas qu'un môme encule sa maîtresse
Devant ses quatre sœurs qui s'en font faire autant
Et quand sa mère à poil sous une mulâtresse
Semble attendre une queue et n'a pas l'air content.
Je n'aime pas à voir une fillette infâme
Traire un cul de matrice atteint profondément
Pour en faire jaillir le foutre d'une femme.
C'est un jeu défendu, même avec sa maman.
Je n'aime pas à voir loin de tous les villages
Pleurer le long d'un arbre une fille en haillons
Qui bafouille : " Ah ! Jésus ! Dans mes deux pucelages !
La bite et les couillons dans le cul ! Les couillons !"
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