Jeudi 15 septembre 2016
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"Black, blanc, beur", chapitre 9
J'ai fait quelques pas en avant et je me suis assise face au trio sur le bord de la table basse, les cuisses très
écartées. Ils étaient si proches que je respirais l'odeur forte de leurs virilités en érection. Sans hésiter, j'ai tendu la main droite pour m'emparer de la queue de Touré. Mon dieu, elle était
si grosse que ma main ne pouvait en faire le tour ! Tout en le branlant, je l'imaginais déjà dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon... Non, cela semblait impossible !
- On ne m'a jamais sodomisée, dis-je en baissant les yeux à la manière d'une vierge effarouchée.
- Tu parles comme les profs ! Alors, comme ça t'es encore un peu pucelle. Ton mari ne t'a jamais enculée ?
- Non. Il a bien essayé deux fois, mais j'ai refusé.
- Ça te faisait mal ?
- Je ne sais pas. J'ai refusé, c'est tout, par peur et par principe. Il n'a pas insisté.
Pendant que je répondais à leur interrogatoire, je sentais la bite de Touré devenir de plus en plus dure dans ma
main.
- Enlève ton soutif et ton string et mets-toi à quatre pattes sur la table, a dit Slimane. On va s'occuper
sérieusement de ton cul.
J'ai obéi sans broncher. Je me faisais traiter comme une chienne et ça m'excitait. Venu s'agenouiller derrière moi,
Slimane m'a écarté les fesses et reniflé la grande raie.
- Tu sens bon. Tu te parfumes aussi la touffe ?
- Oui... avec du Chanel n° 5.
- Putain, c'est classe !
Puis il s'est tu, laissant ses lèvres et sa langue s'exprimer à sa place. Il m'a d'abord léché longuement la fente
puis sa bouche est montée plus haut, vers mon anus qu'il a commencé par noyer de salive avant d'y pointer sa langue qui s'est lentement enfoncée dans mon rectum. je ne suis cambrée pour m'ouvrir
davantage. Quelle merveilleuse caresse ! Pourquoi aucun homme ne m'avait fait ça auparavant ?
Pendant ce temps, Kevin s'occupait de mes seins, de mes grosses loches qui pendaient comme des mamelles de vache
laitière. La tête glissée sous mon buste, il me suçait les tétons comme pour me traire. Et puis, juste devant mon visage défait par le plaisir, il y avait la majestueuse bite circoncise de Touré
qui attendait que j'ouvre la bouche pour s'y glisser comme dans un vagin. La vue de ses grosses couilles de taureau andalou m'ont rendue folle de désir. J'ai écarté les lèvres et la colonne de
chair noire, chaude, vibrante, tendue comme un ressort s'est enfoncée dans ma bouche jusqu'à la luette. À partir de ce moment, j'ai totalement perdu le contrôle de mon corps et surtout de mon
esprit.
J'ai pensé que j'étais en tenue de salope intégrale, à quatre pattes dans le salon d'un inconnu, en train de me
faire téter les seins par un jeune de banlieue qui aurait pu être mon fils, de tailler une pipe à un black monté comme un âne en rut et de me faire lécher le cul par un Arabe. Nathalie
Black-blanc-beur ! Plus j'essayais de visualiser la situation, à la manière d'un spectateur extérieur, plus je me dégoûtais moi-même et plus en même temps je désirais aller au bout de mes
fantasmes, convaincue que c'était un moment unique qui ne se représenterait jamais plus. L'image de Bertrand ne traversa aussi l'esprit, le temps de me dire que j'aurais souhaité qu'il soit
présent pour me voir prendre du plaisir, lui le mari modèle avec sa bite molle, sa petite bedaine et ses certitudes chef de famille...
La grosse queue de Touré m'emplissait la bouche au risque de m'étouffer. Je devais de temps en temps la ressortir
pour reprendre haleine, Je lui léchais le gland, caressais la hampe avec la langue, la beurrais de salive et l'avalais de nouveau au plus profond. Entre mes fesses saturées de mouillure épaisse,
la bouche et la langue de Slimane poursuivaient inlassablement leur œuvre pour apprivoiser mon cul, me dilater l'anus que je devinais toujours plus souple et consentant. Quant à la bouche de
Kevin, elle accomplissait des merveilles au bout de mes seins, à mes mamelons que je sentais longs et gonflés comme de trayons de vache. J'aurais tant aimé lui donner la tétée comme à un
nourrisson.
J'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais, cependant une fois encore, c'est Slimane qui a changé le cours des
événements:
- Elle est prête, a-t-il dit en abandonnant mon cul.
à suivre...
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