"Tu verras, c'est dehors qu'ils sont bien. Il ne faut pas enfermer les hommes." Marguerite Duras (Un barrage contre le Pacifique)
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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
"Tu verras, c'est dehors qu'ils sont bien. Il ne faut pas enfermer les hommes." Marguerite Duras (Un barrage contre le Pacifique)
Encore une fois, je fais appel à mes lecteurs pour tenter de mettre un nom sur l'auteur de ces illustrations. Ce que je sais : les dessins paraissaient le plus souvent dans une maison d'édition de films et revues pornograraphiques allemands nommée Silwa. La plupart des dessins sont accompagnés d'une signature que je n'ai jamais pu décrypter. Les dessins semblent réalisés à partir de photos pornos avec deux constantes : vulves très poilues et seins hypertrophiés.
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 289 à 292
(Notez que le quatrain 289 est une variante du quatrain 288. Voir article précédent)
Je n'aime pas qu'au bal une vierge soupire :
" Je jouis. Je voudrais vous sucer au jardin.
Ah ! Je ne ferais pas l'amour pour un empire,
Mais vous m'enculerez après. C'est anodin."
Je n'aime pas qu'Esther, de sa croupe compacte,
Avale un membre énorme en s'asseyant dessus,
Crispe sur les couillons son muscle, se rétracte
Et réclame cent sous qu'elle n'a pas reçus.
Je n'aime pas Nini qui se désarticule,
Rit, le cul sur la bouche et la langue dedans,
Mordille les couillons du miché qui l'encule
Et lui arrache trois poils d'un fort coup de dents.
Je n'aime pas qu'au bal, Maud me dise :" Je rentre.
Vous m'avez fait jouir autant que vous vouliez
Et je n'ai plus qu'un filet de foutre dans le ventre
Je m'en suis inondé les bas jusqu'aux souliers."
Pour tous ceux qui résident au nord de la Loire et se désespèrent du soleil, je vous propose en attendant des jours meilleurs ces deux webcams d'une même jeune femme brune prénommée Jay qui nous invite à partager quelques minutes de son intimité.
Dans la première vidéo, elle se masturbe en ayant gardé sa petite culotte blanche
Dans la seconde vidéo, elle a ôté sa petite culotte blanche
Vidéo n° 2 : Jay se caresse (sans culotte)
Je vous ai choisi ces deux vidéos essentiellement pour la beauté de Jay, pour la sensualité de son visage, de son regard, de sa bouche mais aussi la blancheur de ses seins et la noirceur de sa chatte touffue.
Voici venue la saison où l'on peut consommer à volonté les fruits et légumes de l'été. Commençons par les hors-d'œuvre avec le concombre. Quelques conseils utiles :
Vous le choisirez de beau calibre et savoureux. N'hésitez pas à en tester le goût !
Vous pourrez le consommer nature...
... ou avec garniture.
Par devant...
ou par derrière.
Seule
ou en dîner à deux...
Pour tous les amateurs des "hommes-sandwichs à vélo" gonflés à l'EPO, à l'auto-transfusion sanguine, aux cocktails à base d'amphétamines et de cocaïne, c'est aujourd'hui le DÉPART DU TOUR !!!
Moi, personnellement, j'aimerais mieux voir ça...
L'arrivée d'internet dans la vie des couples a donné naissance à une nouvelle forme de candaulisme qu'on pourrait appeler "candaulisme virtuel". Le conjoint ou compagnon exhibe lui-même le sexe de sa compagne sur des sites amateurs Et pour bien indiquer qu'il s'agit d'une démarche candauliste, ce n'est pas sa femme qui montre son sexe mais lui, de ses propres mains, qui le fait, se procurant par ce geste du plaisir. Il offre virtuellement le sexe de son épouse ou compagne au désir des hommes (ou femmes). Il est évident que s'il s'agit de blogs ou de sites interactifs, les commentaires ne peuvent que valider la fonction candauliste de la mise en ligne.
Voici donc quelques photographies de "candaulisme virtuel". (notons au passage qu'il ne s'agit en aucun cas de photos volées et que l'humidité des vulves des compagnes atteste de leur complicité active à la séance de pose photo)
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 285 à 288
Je n'aime pas voir la fille aux fesses vierges
Mise à poil devant un client, au bistro,
Sept fois jusqu'au matin fessée à coups de verge
Et sept fois enculée avec fureur. C'est trop.
Je n'aime pas Toinon qui, d'une bouche ovale,
Suce un vit jusqu'aux poils, décharge coup sur coup,
Rugit quand elle pompe et mord quand elle avale,
Puis lève ses yeux bleus vers le ciel. C'est beaucoup.
Je n'aime pas à voir la duchesse économe
Qui cherche tout l'amour avec son étalon
Et qui se fait rater comme par un jeune homme
Aux rires de l'office et du petit salon.
Je n'aime pas qu'au bal une vierge soupire :
" Monsieur, vous sucerai-je ou m'enculerez-vous ?
Car je ne ferais pas l'amour pour un empire,
Mais par la bouche ou par derrière, je m'en fous."
Un internaute m'a donné les informations utiles pour rendre l'illustration à son(ses) auteur(s).
Le dessin a donc servi en 1985 à illustrer la couverture d'un album de BD "Mémoires d'une chanteuse allemande" paru aux Editions Encre. La BD était signée Henri LOWEL et FARID.
"Mémoires d'une chanteuse allemande" étant un des grands classiques de la littérature érotique. Roman épistolaire anonyme de la fin du XIX ème siècle
Dont acte et merci pour le renseignement !
Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 281 à 284
Je n'aime pas au bal la vierge qui murmure :
" Ne sauriez-vous bander sans me foutre en chaleur ?
Zut ! Je vais me branler dans le parc. Je suis mûre.
Venez, si vous voulez me servir d'enculeur."
Je n'aime pas à voir la famille ouvrière
Où quatre sœurs à poil veulent du soir au matin
Avoir le même vit dans le trou du derrière,
C'est prendre trop à cœur le métier de putain.
Je n'aime pas à voir sur le lit d'une vierge
Deux filles s'enculer tour à tour le matin
Avec je ne sais quelle horrible fausse verge
Qui donne à leurs vertus chrétiennes l'air putain.
Je n'aime pas la dame aux paupières de sainte
Qui n'a que ses trois fils pour amants nuit et jour
Et dit :" Je ne sais pas duquel je suis enceinte,
Ma bouche et mes deux trous leur servent tour à tour.
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