Aujourd'hui, première épreuve écrite du bac. L'occasion de souhaiter bon courage aux candidat(e)s en espérant qu'ils ont bien révisé.
"Maintenant, c'est la façon de bachoter pour un examen"
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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Aujourd'hui, première épreuve écrite du bac. L'occasion de souhaiter bon courage aux candidat(e)s en espérant qu'ils ont bien révisé.
"Maintenant, c'est la façon de bachoter pour un examen"
On devrait plutôt instituer une Journée mondiale pour le bien-être des personnes âgées. Et même pourquoi pas une Journée internationale du droit à l'orgasme pour les personnes âgées. Avouez que ça aurait de l'allure. Surtout si on décidait que ce serait une journée de solidarité intergénérationnelle et que ce jour-là, les jeunes devraient se mettre au service des séniors !
Voilà pour terminer une jeune fille qui ne paraît pas très solidaire !
MIROIR : 1° Objet constitué d'une surface polie qui sert à réfléchir la lumière, à produire l'image des personnes et des choses.
2° : Ce qui offre à l'esprit l'image, la représentation des personnes, des choses, du monde.
" Est miroir tout ce qui est digne de contemplation" ( Vincent de Beauvais in Speculum majus )
Extrait n° 2.(pages 159-161) Kadabideur (alias X) est au bureau avec sa secrétaire Sonia Permanente qui vient de lui avouer qu’elle l’aime.
« Elle me regarde – sait pas quoi faire. Sale conne. Je lui mate les seins, et ce que je vois de ses jambes – salope. Doit avoir la moule toute
trempée – sûrement. Je me lève, c’est du bois dans mon slip. Elle me regarde avancer – rigide. Je la chope – elle se débat un peu.
Non – elle dit. X, non. Pas là.
Tu m’aimes – je dis. Ou tu m’aimes pas, salope ?
Je plonge la main sous sa robe – bleue. Elle gémit – elle a pas beaucoup de poils. J’aime. C’est tout. Marécageux – comme il faut pour.
Non – elle dit. X, non, pas là. On. ? N’importe qui peut.
Mais je la tiens – ferme. Je remonte sa robe – elle se débat. Juste ce qu’il faut. Tout juste. Ça m’excite. Puis elle se débat plus – elle cède. Je l’appuie contre le mur, je baisse sa culotte – jolie moule qui doit aimer le bon jus. La bonne marchandise du capitaine Kadabideur. Je déboutonne ma braguette – et je m’enfonce. Elle geint – de plaisir.
T’es gros – elle dit, passant au tutoiement comme si une bite ça enlevait toutes les hiérarchies.
Je lime – lentement. Sûr de moi – et de ce qui va couler. Elle se donne.
Défonce-moi – elle demande, tout énamourée. Je t’aime, fous-moi.
Ça brûle, c’est infernal. Le jus veut pas monter – il bouillonne dans mes. Il est là – retenu. Un incendie. Je tape avec ma queue – dans la cramouillette de Sonia Permanente.
Sonia Sonia Sonia ô Sonia viens avec moua
Je jouis – elle dit. Viens avec moi, viens.
Viens avec MOUA OYAYA
Je me donne à fond – et son fond, je le cogne. Elle gueule. La porte s’ouvre – c’est Henri. Radis-Beurre (l’associé de Kadabideur). Je lâche en grognant – il est sur le cul. Parole, Henri Radis-Beurre. Il. En – revient pas.
Vous êtes deux porcs – il jappe. Deux dégueulasses.
Il s’en va en claquant la porte. Sonia Permanente se redresse, tout affolée. Mais moi, je ne suis pas soulagé – ça crame toujours. Je vois le jus – qui coule.
Qu’est-ce qu’on fait – elle pleurniche Sonia.
Elle a pas le temps de baisser – sa robe bleue. Les Trois Suisses. Je le prends par la taille – Je lèche le jus.
Non – elle dit. Tu es fou. Il faut.
Je lèche.
Non – elle répète. On doit aller parler à Henri.
J’arrache les boutons de sa robe – j’arrache son soutien-gorge. Ils sont chauds, je les croque. Elle proteste. Je la bascule sur le dos – et je rentre. Elle se tait – les yeux révulsés. Ça se voit qu’on l’a jamais gâtée comme ça, Sonia Permanente. Elle repart – elle veut. Le Désir – y a plus que ça. Pour elle – plus que ça au monde. Se faire baigner le cul – et la chatte. Elle m’attire – m’agrippe. Donne des coups de reins, écrase ses seins contre moi. Je m’active –mon cœur suit plus. Elle crie – son plaisir. Salope, elle croit que c’est fini. Non mais quoi – je lui mets une tarte. Et je la force, elle lutte. Puis s’ouvre – mais je jouis à sec. Comme quand j’étais –lardon. Je m’écroule – raide comme la mort. Dans le con – de Sonia Permanente.
C’est merveilleux – elle fait. Je t’aime, x
Ah non – je dis
Je me lève – et je lui pisse dessus.
Tiens, prends ça – je dis. Tu m’aimes toujours ?
Elle s’échappe – je continue de pisser là. Pourquoi pas ?
Elle est –abasourdie. Et puis elle se met à rire.
Arrête – elle dit. Arrête.
J’ai pas d’arêtes – je dis. Et toi, t’as un trou, alors pisse. Toute façon, t’es au chômage dans pas longtemps.
Elle hésite – puis se fout à quatre pattes. Et pisse – ça me plaît bien. Je fous ma queue qui pisse dans son chat qui pisse – on se poile.
PISSE PISSE ET YOP LA BOUM, Charles.
T’es une chouette fille, Sonia, je savais pas ça.
Tu savais rien – elle répond.
Je me remets à bander – comme en l’an Mille. »
Richard Morgiève
Sex vox dominam, éditions Calmann-Lévy, 1995
Pocket n° 10278
Richard X, alias Kadabideur, est créateur dans la pub. Sa femme vient de le larguer. Alors commence une vertigineuse descente aux enfers qui va le mener aux tréfonds de l’abjection.
Extrait n° 1 : Kadabideur cherche à combler sa soudaine solitude par des vidéos porno.
« REGARDEZ-MOI CETTE SALOPE DE VIDÉO – cette salope sur ma vidéo. Il y a une heure – sur ma vidéo. Du jus plein la fente.
Beaucoup de salopes qui sont rasées, y compris le trou du cul. Putain, qu’est-ce qui se passe quand les poils repoussent ? On se le demande. C’est beau les poils de chatte des blondes faut dire. Quand y’a juste une ligne de poils sur la motte – la racine un peu plus foncée, acajou, auburn,
chêne foncé. Comme une onde, comme une vague que les lèvres joufflues, gonflées. Dans la gueule, elle a tout bouffé. Pipes et Éjacs, Giclées de sperme à gogo. Des titres qui cartonnent –devraient
bosser dans la pub, les hardeurs. Je me branle, je fais monter la sauce, et j’arrête – grimper la sauce, et j’arrête. Ça me rappelle avant, lorsque j’étais gône. Au lieu de gicler, c’est comme
une décharge électrique que je recevais – je refermais les cuisses, repu. Et je rêvais de ce qui en sortirait un jour de ma tige. Et un jour, c’est sorti, une goutte blanche au bout. J’ai essuyé
ça dans un mouchoir, c’est devenu comme une habitude. Mes mouchoirs étaient raides de foutre – raides, tout durcis. J’avais de l’asthme, les sinus engorgés. Et donc, je me mouchais. Je me
mouchais dans mes mouchoirs dans lesquels je mouchais ma queue. J’ai soigné mon asthme au jus, voilà la vérité vraie et indélébile. Soixante centimètres, je vous jure. Inimaginable. Ce qu’elle
prend, Chantal. Ça gicle avec une force stupéfiante – foutréfiante. Une abondance délirante – le cul de la fille est nappé de gélatine. Ses cuisses aussi, il y en a partout. Moi, je fais ça
en trois mois, et encore. Elle recule, la salope. Elle feint de sourire, effrayée, dégoûtée. Arrêt sur l’image. Je grogne. Je suis heureux, je vote Dunoeud. Elle suce la queue qui a craché. Elle
la tient, la lâche –
elle travaille méthodiquement. Se l’avale tout
entière – innocente, beaux yeux. Mais aime-t-elle ça ? Mais peut-on aimer ça ? Une plutôt vieille, les tétines grasses, flasques, blêmes. On dirait une poule, elle se les tient les
tétines tellement elles tombent. Le mec lance. Elle sourit vers la caméra, une larme blanche sur la galoche – une poule, la femme-poule de la fin de Freaks, voyez ça ? Il pleut encore,
bizarre. Le cul plein de pus blanc – la fille aux beaux yeux clairs. À chaque pipe, ou presque, la pipeuse suce la queue, la nettoie parfaitement. Moi Kadabideur après le truc, je suis bon à
rien. On me touche le gland, je crie pitié – os-cour. La belle brune regarde le mec qui l’a nourrie. Arrête sur l’image. Une femme jeune, du jus sur les seins, sur les lèvres –pourquoi ?
Elle regarde quoi, pense à quoi ? Il lui est arrivé quoi pour faire ce qu’elle fait ? »
Je lance un nouvel appel à identification. L'un(e) d'entre vous connaît-il l'auteur de ces illustrations ? Si oui, qu'il nous fasse partager son savoir, je saurai lui en tenir gré !
Après avoir quitté Lilliput, Gulliver échoue dans le royaume de Brobdingnag peuplé de géants. Il y est considéré comme un jouet et devient le favori de la reine. Cette aventure d'un humain au pays des géants a inspiré de nombreux illlustrateurs
Qui dit océan, dit île perdue dans l'océan. L'occasion de voir de plus près les conditions de vie des naufragé(e)s solitaires sur une île déserte !
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