Mardi 4 juin 2013
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Ces deux photographies constituent à mes yeux un des sommets de l'érotisme. Tout d'abord, parce que le corps de cette femme est
sublime de beauté, mais surtout parce que le voile, loin d'atténuer cette beauté ne fait que la mettre en valeur. Je pense que, contraiment à ce que l'on dit habituellement, le port du voile n'a
pas pour but de préserver la pudeur des femmes, mais d'exacerber le désir des hommes. Il est connu que l'été, sur les plages, les femmes aux seins nus sont moins draguées que les femmes en
maillot : une femme aux seins nus affirme son indépendance, sa liberté, son refus du conformisme...(c'est sans doute ce qui explique la haine des intégristes de tous poils envers les Femen !) Une
femme libre fait peur à nombre d'hommes en quête de proies dociles... Le port du voile procède du même mécanisme. Il n'en reste pas moins que ces photos sont magnifiques et très
sensuelles.
Par michel koppera
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Lundi 3 juin 2013
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/2013 07:36
3) Helen LEDERER, « Transports en commun »
Karen se souvient d’un jour où elle avait été invitée à une soirée organisée par un club de hockey à
Sidcup.
« Elle se souvint qu’un joueur de Wimbledon, - un vrai joueur de tennis, même s’il venait d’être déclassé – lui avait demandé si ça la tentait
d’aller faire un tour dehors. Elle était plutôt pour et se retrouva donc bientôt en train de le peloter contre un mur. Elle comprit qu’il devenait nécessaire d’aborder le problème de sa
virginité : de son côté, ça devenait plutôt urgent et tout portait à croire que c’était la même chose pour lui. Mais il n’avait pas l’air décidé à entendre quoi que ce soit – il paraissait
bien trop occupé à lui tripoter les seins et à enfiler sa main dans sa petite culotte. Après quelques halètements bruyants, Karen comprit qu’elle devait prendre le contrôle des opérations si elle
voulait éviter d’avoir à le couper dans ses élans et d’essuyer des insultes. Il fallait qu’elle assume son statut de vierge active. Elle se pencha, mit la main dans son pantalon et sortit sa bite
– mais peut-être s’en était-il déjà chargé ? Karen se souvint en effet que les mecs avaient tendance à déballer sans se faire prier, en brandissant leur queue comme pour dire
«Prêt ! ».
Elle avait fait gaffe à bien positionner sa bouche pour ne pas que ça bave. Il valait mieux, étant donné qu’on pratiquait
souvent de genre d’activité dans des endroits publics et qu’on devait souvent recommencer à boire ou à danser peu de temps après. « Ça c’est du travail soigné ! » se dit Karen,
très contente d’elle-même. »
Par michel koppera
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Dimanche 2 juin 2013
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60 000 ! C'était il y a quelques années le nombre estimé de poils qui composaient cette toison pubienne hors-norme, ce
qui faisait quand même une très haute densité. Je suppose qu'on avait compté avec les poils de cul !
Par michel koppera
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Samedi 1 juin 2013
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Voyons ça de plus près...
Par michel koppera
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Vendredi 31 mai 2013
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/2013 12:00
Egon SCHIELE : « Nu avec des bas verts », 1918
Cette œuvre de Egon Schiele (1890-1918) datée de l’année de sa mort n’est pas le tableau le plus connu d’Egon Schiele, mais dans
sa galerie de nus, c’est celui que je préfère. Tout d’abord parce que contrairement à son habitude, Egon représente une femme plutôt ronde, à la poitrine généreuse, aux formes épanouies. Ensuite,
la pose est remarquable de sensualité. Tout concourt à faire naître chez le spectateur le désir charnel de cette femme. Parcourons ensemble le tableau dans le sens classique de la lecture,
c'est-à-dire du haut à gauche vers le bas à droite. Nous avons d’abord une abondante chevelure libre de toute épingle, de barrette, de tout apprêtement, puis le visage pudiquement (le rose aux
joues) tourné sur le côté comme une ultime tentative de se dérober à nos yeux… Ensuite, il y a ses seins en pomme qu’on devine fermes et gonflés de vie, les bas verts et les escarpins qui
suggèrent l’urgence d’une jouissance, les cuisses relevées, le puissant arrondi du fessier et, enfin, son sexe fendu où viennent s’échouer nos regards amoureux. Tout est remarquablement construit
et constitue un splendide hommage à la beauté du corps de la femme.
Par michel koppera
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Jeudi 30 mai 2013
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/2013 12:32
Les voyages de Gulliver ont inspiré de nombreux illustrateurs... Voici donc une nouvelle série de "Gulliver au féminin"
Par michel koppera
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Mercredi 29 mai 2013
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/2013 10:43
Jadis et naguère : Theda Bara
De son vrai nom Theodosia Goodman et fille d’un tailleur juif de Chillicothe dans l’Ohio, Theda Bara (1885-1955) se fit
connaître à Hollywood comme premier « sex symbol» de l’histoire du cinéma. C’est pour elle que fut créé le mot « vamp » (dérivé de vampire). Pour le grand public, elle s’était
inventé des origines franco-arabes et se prétendait née dans le Sahara. Sa gloire sur les écrans fut de courte durée (1914-1919), et la star ne put jamais se défaire de son image sulfureuse de
« reine du sexe » pour passer à des rôles plus dramatiques. De Theda Bara, il ne nous reste aujourd’hui que des photos très suggestives au charme « oriental » un peu
désuet.
Par michel koppera
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Mardi 28 mai 2013
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/2013 10:47
C'est par ce proverbe espagnol que s'ouvre cette série d'images "pieuses". J'aurais pu opter pour son homologue français :
"Le diable sait s'embusquer à l'ombre de la croix". Voici donc une galerie d'images (photos et dessins), où le crucifix, au mur ou au cou des femmes, est omniprésent. Ce qui est
intéressant, c'est le contraste entre la scène hautement érotique, voire carrément pornographique, qui nous est proposée et la présence de ce crucifix censé symboliser la morale chrétienne et le
respect de ses valeurs... Les illustrateurs s'en donnent à coeur joie dans la provocation. Quant à la femme qui pose enceinte un petit crucifix doré au cou tout en baisant, on peut se poser des
questions sur la sincérité de sa foi !
Par michel koppera
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Lundi 27 mai 2013
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2) Jane OWEN, extrait de « Accès toutes zones »
Dans une soirée, la journaliste narratrice rencontre une star du rock. Elle se retrouve avec lui à l’hôtel.
« Puis il m’embrasse. Ouah !!
Ensuite, nos fringues volent à travers la chambre. On passe du lit au balcon, du balcon à la douche, nous tartinant de fruits
rouges et les rinçant avec du champagne, nous attachant au lit avec des bas, penchés au-dessus du canapé, nous roulant sur le tapis et nous voilà de retour sur le lit pour le bouquet final. Sans
l’ombre d’une hésitation, je déclare que jamais de ma vie on ne m’a fait l’amour en me faisant frissonner de la colonne vertébrale, en me titillant les orteils, en me suçant les mamelons, en me
faisant plier le dos, battre le cœur, rougir l’aine, déverser des flots de sueur, en me fessant, en me mordant le cou, en m’arrosant la bouche, en me léchant le visage, en me labourant le dos, en
m’embrassant de cette façon.
Après, il a ouvert une autre bouteille de champagne et on a parlé pendant des heures. Quand le soleil s’est levé sur Londres, on
s’est assis sur le balcon pour finir le champagne. J’arrivais pas à y croire. Ai dû le traîner à nouveau sur le lit pour être bien sûre de ce qui m’arrivait. La deuxième fois, ça a été plus lent.
Beaucoup plus lent. Si lent. Presque immobiles, aines et visages collés, en se regardant toujours dans les yeux. Sexy petit fils de pute. Ai fini par m’endormir tout enchevêtrée dans ses bras et
ses jambes. »
Par michel koppera
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Dimanche 26 mai 2013
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/2013 09:12
Par michel koppera
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