Dimanche 21 juillet 2013 7 21 /07 /Juil /2013 10:50

L'été, c'est aussi la saison des tournées des plages pour les cirques... Alors, rêvons un peu d'un cirque improbable, avec comme tous les cirques ses numéros d'acrobates, de jongleurs, de funambules, de belles ecuyères, de dompteurs et de clowns, mais avec l'érotisme en plus. Avec un tel spectacle, en matinée comme en nocturne, les gradins des chapiteaux seraient sans aucun doute bien garnis... Sous vos applaudissements !!!

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 20 juillet 2013 6 20 /07 /Juil /2013 10:03

Rappel : Odile, sous la protection du Président, va se faire putain occasionnelle

Sur le site de rencontres discrètes elle proposait ses services sous le nom de Claudia. Il n’y avait aucune photo, rien que ces trois informations : 38 ans, 1m65, mariée. Elle n’était disponible que les mardi et jeudi, de 14 à 18 heures, sur rendez-vous. « Spécialités bourgeoises », c’était une des trouvailles du Président.

comptable14-1Depuis septembre, Odile était passée à temps partiel, officiellement pour consacrer plus de temps à ses enfants et à l’Association de Parents d’Élèves de l’école dont elle était devenue vice-présidente.

Quand elle avait une demande de rencontre, c’était Alexandre Delorme en personne qui la prévenait, lui précisait dans quel hôtel et à quelle heure elle était attendue, ainsi que les préférences du client. C’était lui qui gérait le site, opérait une présélection des clients, s’assurait de leur solidité financière, fixait les tarifs des différentes prestations de Claudia et assurait sa protection. Sous sa tutelle, elle se sentait en sécurité, d’autant plus que ses premiers clients, triés sur le volet, lui parurent totalement inoffensifs.

Il s’agissait surtout de cadres supérieurs, de commerciaux en costume cravate, soucieux de discrétion et plutôt pressés. La plupart arboraient une cinquantaine bien portante, qui sentait bon le parfum Hermès. Les chaussures étaient en cuir souple d’Italie, les cravates en soie, les bites soignées. Pendant qu’elle les déshabillait, ils lui racontaient leur morosité conjugale, leurs interminables réunions de comités d’entreprise, leurs angoisses fiscales… À leurs yeux, elle n’était rien d’autre qu’une employée comme tant d’autres, dont ils attendaient le meilleur rapport qualité-prix. Et s’ils étaient satisfaits de ses services, le petit cadeau qu’ils laissaient en partant n’était pas autre chose qu’une prime de compétitivité. Claudia n’était rien d’autre qu’une ouvrière du sexe, une sorte de robot humain : ses mains étaient des machines à caresser, sa bouche une machine à sucer, son con et son cul des machines à jouir. Odile elle-même se sentait machine nommée Claudia. Claudia ouvrait les cuisses mécaniquement, taillait des pipes comme un aspirateur à foutre, se faisait pistonner le vagin et le rectum où la verge-outil du client allait et venait, accompagnée des petits chuintements huileux de son ventre machine qui s’autolubrifiait et pompait leur sperme jusqu’à la dernière goutte. Deux après-midi par semaine, Odile se glissait dans la peau de Claudia, la machine à baiser.comptable14-3

Claudia portait une jupe de cuir noir qui tombait juste au-dessus du genou, un chemisier de soie mauve et des bottines à talons hauts. Dessous, elle sacrifiait aux fantasmes érotiques de la bourgeoisie de province : bas sombres, porte-jarretelles en dentelle noire, petite culotte et soutien-gorge de marque. Tout était soigné, des ongles manucurés au rouge à lèvres, en passant par le fond de teint et le coup de peigne. Pas de parfum pour ne pas éveiller les soupçons des épouses jalouses. Claudia savait faire bander les hommes en se frottant contre eux tout en leur caressant à pleine paume la bite à travers le pantalon, en les embrassant dans le cou et en leur passant la pointe de la langue derrière le lobe de l’oreille. Claudia avait appris à se déshabiller en ondulant des hanches et en dessinant des arabesques avec ses mains de magicienne ; Claudia était passée maîtresse dans l’art de la turlute, à l’affût des plus subtiles vibrations de la queue du client, afin de retarder ou au contraire précipiter à la demande la montée du foutre salvateur. Grande palpeuse de couilles, gratteuse de scrotum, fouineuse d’anus, branleuse de vit, telle était Claudia, capable de simuler à la perfection toutes les vocalises du coït : le soupir retenu, le râle étouffé, le brame de l’orgasme, le souffle court et rauque du désir déchaîné… Pendant qu’ils la tripotaient, qu’elle les suçait ou qu’ils la baisaient, Claudia se faisait traiter de salope, de chienne, de putain, de garce et autres amabilités. Ils ajoutaient qu’elle était bonne, chaude, vicieuse, affamée de sexe… Claudia ne disait rien de compromettant, juste des formules toutes faites comme «  Vous avez une belle queue », « Venez, baisez-moi, j’en ai trop envie», «Vas-y, plus fort ! » «Oh ! Oui, oui, oui !!! »…

comptable14-2Les «rencontres » avaient lieu dans des hôtels trois étoiles du centre ville. Les chambres y étaient très confortables, avec de grands miroirs muraux, de larges écrans plats, des lits XXL et des salles de bains si spacieuses qu’on avait envie de s’y attarder. Quand ils voyaient Claudia traverser le hall en jupe noire et talons hauts, les employés de la réception n’étaient pas dupes. Elle se sentait déshabillée par leurs regards qui caressaient sans retenue sa croupe qui chaloupait vers l’ascenseur.

 

Depuis qu’elle était devenue putain à temps partiel, Odile ne rencontrait plus le Président que de temps en temps, essentiellement à l’occasion de la réunion mensuelle du bureau de l’Association de Parents d’Élèves. Odile y siégeait à côté du Président et y jouait à merveille son rôle de bras droit sourcilleux des règlements et procédures. À l’issue de l’assemblée, quand les autres s’en étaient allés, Claudia et le Président se penchaient sur les comptes de leur trésorerie personnelle, leur petite « caisse noire » comme ils l’appelaient en plaisantant. Ils se partageaient équitablement les gains du mois. Parfois, le Président manifestait l’envie de baiser, mais depuis qu’Odile était devenue Claudia, leur relation intime avait changé de nature ; entre eux, il n’était plus question d’amour, ni même de désir réciproque. Tout juste pouvait-on parler d’hygiène et parfois de routine. Et désormais, qui suçait la queue du Président : Odile la trésorière ou Claudia la putain ? 

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

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Vendredi 19 juillet 2013 5 19 /07 /Juil /2013 13:57

Encore un jour de grands départs pour les vacances d'été. Mais quel moyen de transport ?

Le train

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La voiture

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L'avion

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L'autocar

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Le bateau

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Jeudi 18 juillet 2013 4 18 /07 /Juil /2013 14:11

Juillet, août, c'est la saison bénie pour les voyeurs du littoral. Le bord de l'eau invite aux exhibitions...

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Mercredi 17 juillet 2013 3 17 /07 /Juil /2013 11:51

Rappel : En compagnie du Président, Odile est en train de visionner les vidéos des passes de son mari avec des prostituées

 

27 juin, 15 heures. Ils pénètrent dans le hall en se tenant par la main, comme un couple aguerri. Pendant que Sébastien paye à la caisse automatique, elle se tient à ses côtés, tout contre lui. Au moment où ils vont s’engager dans le couloir qui mène aux chambres, Odile demande une pause afin de s’imprégner de l’image de cette femme. Vêtue avec élégance (tailleur plutôt strict, chaussures à talons, écharpe de soie), elle est aussi très bien coiffée. Brune, les traits réguliers, la silhouette harmonieuse, elle paraît avoir la quarantaine passée.

comptable13-1- Vous avez des informations sur cette femme ? demande Odile.

Le Président n’a même pas besoin de consulter ses notes comme s’il s’attendait à cette question.

- Oui. C’est une occasionnelle. Elle a quarante-deux ans, mère de deux enfants, en instance de divorce. Elle travaille en intérim comme secrétaire ou standardiste dans des cabinets médicaux. Trois après-midi par semaine, elle se met à son compte.

Tout en lui parlant, le Président caresse l’intérieur des cuisses d’Odile qui a écarté les jambes pour lui ouvrir le chemin de son sexe. Elle ne parvient pas à détacher son regard du visage de la femme qui se tient serrée contre Sébastien. Elle se sent mouiller de l’intérieur.

- On continue, souffle-t-elle.

Une fois dans la chambre, quand Sébastien lui a donné ses billets, elle les pose sur la table de chevet à côté de son sac à main. Mais au lieu de se déshabiller, la voilà qui passe tendrement ses bras au cou de Sébastien, se frotte contre lui comme une chatte en saison, lui caresse la nuque, l’embrasse au creux de l’oreille. Sébastien n’est pas en reste : il la tient par la taille, lui flatte les fesses, épouse du plat de la main la courbe de ses hanches. Odile se sent spectatrice de l’intimité de deux amants, et c’est à peine si elle réalise que le Président lui branle délicieusement le clitoris.comptable13-2

Enfin, ils s’écartent l’un de l’autre, mais c’est pour mieux se regarder. La femme se défait de la veste de son tailleur et attend que Sébastien continue son effeuillage. Chacun déshabille l’autre, lentement, en prenant le temps de se regarder, de se caresser, de se montrer… La femme porte des dessous chics, avec des bas noirs et un porte-jarretelles bien ajusté. Ils se laissent aller sur le lit, tendrement enlacés, chacun se délectant du corps de l’autre. Odile n’en peut plus de jalousie et de désir. Nouvel arrêt sur image, arrêt sur la queue diaboliquement raide de Sébastien, tendue vers la chatte épanouie de la femme alanguie sur le lit, en attente d’amour. Alors, Odile se tourne vers le Président, lui ouvre la braguette et en extrait sa queue bondissante et chaude. Elle en a une envie sans limites, sans aucune retenue. Cette queue, cette bite, ce braquemart, elle le veut dans sa bouche, sous ses aisselles, entre ses seins, entre ses cuisses, dans son con, dans son cul, partout où il pourra se glisser, coulisser, aller et venir, et jouir. Juter jusqu’à lui noyer le vagin, lui beurrer le ventre, lui engluer le rectum…

- S’il vous plaît, arrêtez la vidéo, j’en ai assez vu, dit-elle juste avant de prendre en bouche le sexe du Président.

comptable13-3Plus tard dans la soirée, alors que son vagin suintait de sperme encore tiède, alors qu’il lui agaçait encore distraitement les tétons, Odile se laissa tendrement aller contre le corps de son maître.

- À votre avis, est-ce que je serais à la hauteur ? Répondez-moi  franchement !

- Franchement oui. Il vous faudrait juste apprendre quelques trucs, de la technique de base.

- Vous seriez prêt à m’aider pour ça ?

- C’est possible. Cinquante, cinquante ?

- Ça marche. Mais à ce tarif-là j’aurais droit à quoi ?

- Protection maximum de votre vie privée, impunité et sécurité. Mais nous en reparlerons un autre jour. Pour l’instant, allez faire un brin de toilette avant de vous rhabiller, sinon votre mari et vos enfants vont finir par s’inquiéter.   

 

 à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

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Mardi 16 juillet 2013 2 16 /07 /Juil /2013 16:37

Sur le modèle du champignon "phallus impudicus", nombre d'illustrateurs ont repris l'idée du plallus végétal. Comme toutes les plantes, il peut être sauvage ou cultivé. Pour qu'il atteigne sa maturité, il a parfois besoin d'arrosage. Il pousse parfois en jardins que l'on visite avec admiration et envie... Et puis, il s'étiole et fane d'épuisement... Voici donc en 8 images la vie des phallus-plantes...

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Dimanche 14 juillet 2013 7 14 /07 /Juil /2013 10:23

En ces jours de forte chaleur, proposition de tenue légère pour le défilé des troupes d'élite sur les Champs-Elysées... Succès populaire garanti !

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Samedi 13 juillet 2013 6 13 /07 /Juil /2013 07:03

Rappel de l'épisode précédent : Odile a demandé au Président de faire surveiller son mari afin de filmer secrètement ses rencontres avec les prostituées

 

Pendant plus de deux semaines, Odile Varney demeura sans nouvelles du Président. Il ne répondit ni à ses mails, ni à ses innombrables appels téléphoniques. Elle alla même jusqu’à frapper à sa porte, en vain. En d’autres temps, ce silence l’aurait rassurée ; désormais, il lui était insupportable. Elle ne pouvait plus se passer de la tutelle d’Alexandre Delorme. En quelques mois, il était devenu son amant, son protecteur, une figure paternelle avec laquelle elle entretenait une relation quasiment incestueuse. Elle avait besoin de son autorité, de lui obéir aveuglément, d’assouvir ses fantasmes, de se soumettre à ses désirs.

comptable12-1Cependant, Odile était aussi passée maître dans l’art du masque, de la dissimulation de ses sentiments les plus intimes. Aussi continuait-elle de donner à son entourage l’image lisse d’une mère de famille modèle, se consacrant essentiellement au bonheur de son époux et de ses enfants, à sa réussite professionnelle, au bien-être de son foyer. Sébastien serait sans soute tombé des nues s’il avait appris que dans ses moments de solitude, sa femme se masturbait aussi régulièrement que frénétiquement. Tout lui était bon pour jouir : poire de douche, flacons de shampoing oblongs, brosse à dents électrique dont les vibrations lui stimulaient diaboliquement le clitoris. Chaque jour, elle s’offrait ainsi plusieurs orgasmes dont l’évocation du Président décuplait l’intensité.

Lorsqu’il lui donna enfin signe de vie, Odile n’en pouvait plus d’attendre. Afin de disposer d’une soirée en tête à tête avec sa trésorière, le Président prétexta une réunion extraordinaire du bureau de l’association, le jeudi suivant, à partir de 21 heures, afin de –courrier de convocation à l’appui- préparer le budget de l’année suivante.

Comme elle le pressentait, Odile était la seule invitée de la réunion. Évidemment, à aucun moment, il ne fut question de comptabilité. Ils s’assirent côte à côte dans le canapé, devant la table basse du salon sur laquelle le Président avait posé son ordinateur portable.

- Dans l’hôtel, mes services ont installé trois caméras très discrètes. Officiellement, il s’agit de surveiller des dealers. La première caméra filme le hall d’entrée devant le guichet automatique qui délivre les cartes magnétiques qui donnent accès aux chambres. Je me suis arrangé pour que, lorsque c’est votre mari qui se présente, ce soit toujours la même chambre qui lui soit attribuée. Dans cette chambre, il y a deux caméras : une face au lit, une autre dans la salle de bains. Au cours des dernières semaines, votre mari est venu deux fois… Vous voulez voir ?

Malgré sa curiosité, Odile avait une boule d’angoisse à l’estomac. Elle avait la gorge tellement sèche qu’elle fut incapable d’articuler le moindre mot et ne put que hocher la tête en signe d’acquiescement. Alors, le président appuya sur la touche « play ».

23 juin. 18h32. Vue plongeante en enfilade sur le corridor d’accueil de l’hôtel. Un couple entre. Sébastien se dirige vers la caisse automatique, y introduit sa carte bancaire. La femme qui l’accompagne se tient en retrait, l’air indifférent. Elle porte une jupe ultra-courte, un débardeur qui contient à grand peine sa poitrine, un sac en bandoulière. Sébastien récupère sa carte bancaire et la clef magnétique de leur chambre. Il se dirige vers le fond du couloir, elle le suit avec nonchalance.comptable12-3

18h40. Vue panoramique sur la chambre et le lit. La première chose que fait la fille, c’est de s’emparer de la télécommande pour allumer la télé, puis elle s’assoit au bord du lit. Sébastien lui tend trois billets qu’elle fourre dans son sac à main. Sans plus attendre, elle ôte son débardeur, relève sa jupe et écarte les cuisses en se soupesant les seins. Il s’approche. La main droite de la fille se pose directement sur la braguette qu’elle ouvre avec dextérité. Avec une étonnante économie de gestes, elle lui baisse le pantalon, saisit sa queue déjà raide et entreprend de le sucer. Il se laisse faire de bonne grâce. Odile ne peut que constater qu’il bande ferme et ça lui fait quand même un petit pincement au cœur de voir le père de ses enfants se faire tailler une pipe par une putain, plutôt belle de surcroît. Ça dure un bon moment. Quand il en a sa dose, il se recule d’un pas. Ses lèvres murmurent quelques mots indistincts, mais on devine qu’il demande à la fille de se mettre en position : elle ôte sa culotte, se met à quatre pattes au bord du lit, les fesses en l’air, les cuisses écartées, de façon à lui présenter sa fente béante. À peine la capote en place, il la saisit par les hanches, l’enfile et se met à la pistonner. Les gros seins de la fille ballottent dans le vide. Elle est totalement passive.

comptable12-2Odile jette un regard en coin au Président assis à ses côtés. Il ne manifeste aucune émotion particulière.

Pendant que la fille se rince la chatte avec la poire de douche, Sébastien se lave la queue à grande eau dans le lavabo. Puis elle se rhabille avec nonchalance et quitte la chambre sans un mot, sans un regard. Fin de l’enregistrement.

- Qu’est-ce que vous en pensez ? demande le Président en posant sa main sur le genou d’Odile.

- Difficile à dire… Un sentiment étrange, entre le dégoût et la pitié.

- Pitié pour qui ? Pour votre mari ?

- Sûrement pas ! Plutôt pour la fille, elle mérite sans doute mieux que ça !

- Avez-vous envie de voir la suite ?

- Oui.

De sa main libre, il appuie de nouveau sur la touche « play » de la télécommande, pendant que l’autre remonte sournoisement entre les cuisses d’Odile.

 

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

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Vendredi 12 juillet 2013 5 12 /07 /Juil /2013 14:42

Boris VIAN, « Et on tuera tous les affreux »

Roman Policier paru en 1948 aux Editions du Scorpion sous le pseudonyme de Vernon Sullivan.

Collection le Livre de poche n°14616, 220 pages

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Un polar automobile dans les rues de Los Angeles qui nous parle de jazz, de manipulation génétique ( déjà !) et bien sûr de sexe.

Le narrateur Rock Bailey, 90 kg, 19 ans, a fait vœu de chasteté jusqu’à ses 20 ans. Malgré tous ses efforts, il finira par craquer…

Pages 161 et suivantes.

vian1« Mona claque la porte, se retourne, dégrafe sa robe et ses seins jaillissent à l’air… Evidemment, ça n’a aucun rapport avec ceux de Sundy Love (la précédente conquête de Rocky)… Je sens comme qui dirait des picotements au creux des lombes… Zut, alors, ça va faire la douzième fois depuis ce matin… Il y a un peu d’abus…

- Pas si vite, Mona, proteste Beryl… Laisse-moi le temps de me mettre en tenue…

Mona s’affaire autour de moi… Elle a gardé ses bas et un petit machin en dentelle blonde avec lequel elle les attache… Juste de la même couleur que… enfin, juste de la même couleur, quoi. Elle a chaud et elle sent bon la femme… et le vieux Rocky n’est peut-être pas si crevé qu’il en a l’air… Elle m’enlève ma chemise, me retire mon pantalon…Je me laisse faire… Elle a un peu plus de mal avec mon linge qui accroche…

- Pas de blague, Mona, je vous dis… On va le tirer au sort, glapit Meryl.

Elle non plus n’a plus rien sur le dos… Elle a roulé ses bas aux chevilles… Je fais des comparaisons.

- Enfin, dis-je, je ne suis pas  un coquetier de foire…

- Silence, vous, ordonne Mona. Elle a raison. On va vous tirer au sort…

- Ce n’est pas juste, dis-je. Et s’il y en a une que je préfère…

J’ai du mal à parler. Ces deux filles m’ont mis dans un tel état que je n’ai plus envie que d’une chose… N’importe laquelle des deux, mais tout de suite.

- D’accord, acquiesce Mona. On va vous bander les yeux et puis on vous fera quelque chose et vous direz qui vous préférez.

- Il faut lui attacher les mains aussi, crie Beryl, de plus en plus excitée …

Elle se précipite vers la fenêtre et arrache un des cordons du tirage des rideaux… Je me laisse attacher, sûr de casser la ficelle quand je voudrai… et sitôt que c’est fini, Mona m’empoigne et me fait tomber sur le tapis…

- Votre foulard, Beryl…vian3

Je suis allongé sur le dos… heureusement, sinon, je souffrirais… et je n’y vois plus rien… Deux mains se posent sur ma poitrine, deux longues jambes se collent aux miennes… Je suis prêt à hurler tellement c’est douloureux d’attendre comme ça… Et d’un coup, la première des deux s’allonge sur moi. Je la pénètre de toutes mes forces… presque immédiatement, elle s’écarte et c’est la seconde qui prend la place… Je tire désespérément sur le cordon qui m’attache les mains… Il casse… Elle ne s’est aperçue de rien… Au moment où elle va s’éloigner à son tour, mes bras se referment sur elle… Je la tiens d’une main et de l’autre, je réussis à attraper les jambes de la seconde… je la fais tomber à côté de moi et mes lèvres remontent le long de ses cuisses… jusqu’où je peux aller… J’aime ça… J’aime beaucoup ça… Elles gémissent un peu… tout doucement.

… Le temps passe…

Il passe beaucoup, aujourd’hui… » 

vian2

   

 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 11 juillet 2013 4 11 /07 /Juil /2013 08:44

Comme je ne sais pas très bien ce que cette journée peut bien signifier, je vous en propose ma vision personnelle en 4 images (énumération à gradation montante ou descendante, c'est selon ce qu'on y comprend !)

Image 1

jour-poplation000

Image 2

jour-population2

Image 3

jour-population3

Image 4

jour-population

Pas très sexy tout ça !!!

Par michel koppera - Publié dans : agenda
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