Jeudi 13 juin 2013
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Extrait n° 2.(pages 159-161) Kadabideur (alias X) est au bureau avec sa secrétaire Sonia Permanente qui
vient de lui avouer qu’elle l’aime.
« Elle me regarde – sait pas quoi faire. Sale conne. Je lui mate les seins, et ce que je vois de ses jambes – salope. Doit avoir la moule toute
trempée – sûrement. Je me lève, c’est du bois dans mon slip. Elle me regarde avancer – rigide. Je la chope – elle se débat un peu.
Non – elle dit. X, non. Pas là.
Tu m’aimes – je dis. Ou tu m’aimes pas, salope ?
Je plonge la main sous sa robe – bleue. Elle gémit – elle a pas beaucoup de poils. J’aime. C’est tout. Marécageux – comme il
faut pour.
Non – elle dit. X, non, pas là. On. ? N’importe qui peut.
Mais je la tiens – ferme. Je remonte sa robe – elle se débat. Juste ce qu’il faut. Tout juste. Ça m’excite. Puis elle se débat
plus – elle cède. Je l’appuie contre le mur, je baisse sa culotte – jolie moule qui doit aimer le bon jus. La bonne marchandise du capitaine Kadabideur. Je déboutonne ma braguette – et je
m’enfonce. Elle geint – de plaisir.
T’es gros – elle dit, passant au tutoiement comme si une bite ça enlevait toutes les hiérarchies.
Je lime – lentement. Sûr de moi – et de ce qui va couler. Elle se donne.
Défonce-moi – elle demande, tout énamourée. Je t’aime, fous-moi.
Ça brûle, c’est infernal. Le jus veut pas monter – il bouillonne dans mes. Il est là – retenu. Un incendie. Je tape avec ma
queue – dans la cramouillette de Sonia Permanente.
Sonia Sonia Sonia ô Sonia viens avec moua
Je jouis – elle dit. Viens avec moi, viens.
Viens avec MOUA OYAYA
Je me donne à fond – et son fond, je le cogne. Elle gueule. La porte s’ouvre – c’est Henri. Radis-Beurre (l’associé de
Kadabideur). Je lâche en grognant – il est sur le cul. Parole, Henri Radis-Beurre. Il. En – revient pas.
Vous êtes deux porcs – il jappe. Deux dégueulasses.
Il s’en va en claquant la porte. Sonia Permanente se redresse, tout affolée. Mais moi, je ne suis pas soulagé – ça crame
toujours. Je vois le jus – qui coule.
Qu’est-ce qu’on fait – elle pleurniche Sonia.
Elle a pas le temps de baisser – sa robe bleue. Les Trois Suisses. Je le prends par la taille – Je lèche le jus.
Non – elle dit. Tu es fou. Il faut.
Je lèche.
Non – elle répète. On doit aller parler à Henri.
J’arrache les boutons de sa robe – j’arrache son soutien-gorge. Ils sont chauds, je les croque. Elle proteste. Je la bascule sur
le dos – et je rentre. Elle se tait – les yeux révulsés. Ça se voit qu’on l’a jamais gâtée comme ça, Sonia Permanente. Elle repart – elle veut. Le Désir – y a plus que ça. Pour elle – plus que ça
au monde. Se faire baigner le cul – et la chatte. Elle m’attire – m’agrippe. Donne des coups de reins, écrase ses seins contre moi. Je m’active –mon cœur suit plus. Elle crie – son plaisir.
Salope, elle croit que c’est fini. Non mais quoi – je lui mets une tarte. Et je la force, elle lutte. Puis s’ouvre – mais je jouis à sec. Comme quand j’étais –lardon. Je m’écroule – raide comme
la mort. Dans le con – de Sonia Permanente.
C’est merveilleux – elle fait. Je t’aime, x
Ah non – je dis
Je me lève – et je lui pisse dessus.
Tiens, prends ça – je dis. Tu m’aimes toujours ?
Elle s’échappe – je continue de pisser là. Pourquoi pas ?
Elle est –abasourdie. Et puis elle se met à rire.
Arrête – elle dit. Arrête.
J’ai pas d’arêtes – je dis. Et toi, t’as un trou, alors pisse. Toute façon, t’es au chômage dans pas longtemps.
Elle hésite – puis se fout à quatre pattes. Et pisse – ça me plaît bien. Je fous ma queue qui pisse dans son chat qui pisse – on
se poile.
PISSE PISSE ET YOP LA BOUM, Charles.
T’es une chouette fille, Sonia, je savais pas ça.
Tu savais rien – elle répond.
Je me remets à bander – comme en l’an Mille. »
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