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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Last but not least, voici pour terminer cette mini-série de bonus d'été 5 tableaux de Georges Delfau. Les mots me manquent pour exprimer mon admiration pour cet artiste. Peut-être trouverez-vous les formules justes ?
On poursuit notre visite des galeries de l'été avec Dubigeon et ses images S.M chic... Les bas sont de chez Dior, les cravaches de chez Hermès... et ainsi de suite
Voici 5 nouvelles illustrations de Tom Poulton qui n'a pas son pareil pour représenter la sexualité à l'état brut. Le premier dessin est magnifique de réalisme : voyez comme la femme fléchit les jambes, comme ployant sous le poids de son désir... On a l'impression d'avoir soi-même vécu ces situations tant elles sont ancrées dans le réel... Et je ne parle pas des scènes d'amours saphiques empreintes d'une terrible sensualité
Pendant les vacances, je vous propose quelques bonus d'illustrateurs dont je vous ai déjà plusieurs fois présenté des galeries. On commence avec l'incontournable Georges Pichard.
Voilà, c'est la fin
En mars, l’annonce
de l’arrestation et de la garde à vue du Président Alexandre Delorme fit grand bruit. Dans les médias, on parla d’abord de corruption, de trafic d’influence, puis de proxénétisme. Matin et soir,
devant les grilles de l’école, les rumeurs et les commentaires allaient bon train. Odile faisait semblant de partager la consternation générale, mais au fond d’elle-même elle était morte
d’angoisse et savait que l’étau de la justice n’allait pas tarder à refermer sur elle ses mâchoires… À l’issue des deux jours réglementaires de garde à vue, le Président fut mis en examen et
placé en détention préventive.
Comme elle l’avait pressenti, Odile ne tarda pas à être convoquée pour être auditionnée, officiellement en qualité de trésorière de l’Association de parents d’élèves. En réalité, dès le début de l’interrogatoire, elle comprit que l’inspecteur qu’elle avait en face d’elle n’ignorait rien de ses activités clandestines et du contrat qui la liait au Président.
Alors Odile joua le grand numéro de la femme honnête piégée à la suite d’une banale erreur de comptabilité. Elle lui raconta par le détail le chantage à sa réputation, les menaces de scandale… puis comment le Président l’avait amenée à l’idée de se prostituer, en échange de quoi il lui avait promis de garder le silence sur son erreur comptable… Elle pouvait lui fournir les relevés de compte en question, préciser les lieux et les dates. Elle n’avait rien à cacher… Elle pleura beaucoup, parla de ses enfants qu’elle voulait protéger, de son mari qui n’était au courant de rien, de sa honte, de la crainte que lui inspirait le Président…
Au fil de l’interrogatoire, elle apprit qu’elle n’était pas la seule proie à être tombée entre les griffes du Président et à
travailler pour lui. Il y avait trois autres femmes : une Roumaine de 19 ans, sans papiers et menacée d’expulsion ; une jeune femme de 25 ans qu’il avait réussi à faire embaucher
comme femme de service à la cantine de l’école ; une Somalienne, d’âge indéterminé, demandeuse d’asile… Avec chacune d’elles il avait usé des mêmes méthodes : chantage et promesses.
Chantage à l’expulsion, au licenciement, à la séparation, au scandale… Promesses de protection, de coups de pouce administratifs… Après trois heures d’audition, Odile Varney signa le
procès-verbal et quitta le commissariat libre et lavée de tout soupçon de complicité dans cette affaire.
En une après-midi, toute son admiration, toute sa dévotion pour le Président, toute sa soumission à ses volontés s’étaient évaporées. Comment avait-elle pu le croire et lui faire aveuglément confiance ? Le coup de poignard le plus cruel avait été d’apprendre que c’était le Président en personne qui avait élaboré avec des truands complices le traquenard du terrible après-midi avec les menottes et le chien renifleur. Toute cette mise en scène sordide pour mieux la contrôler, en faire une femme définitivement docile et disponible à tous ses caprices.
Son mari ne sut jamais rien de tout ça, tout du moins n’en laissa rien paraître. Odile abandonna ses activités de putain à temps partiel et retourna sagement à la routine de sa vie d’avant. Elle laissa repousser librement sa toison pubienne, dormir les dentelles frivoles dans les tiroirs de sa commode et s’apaiser ses besoins d’amour.
Cependant, Alexandre Delorme ayant de fait renoncé à ses fonctions de Président de l’Association de Parents d’Elèves, il fallut procéder à une nouvelle élection ? Odile en profita pour annoncer qu’elle abandonnait ses activités de trésorière. À sa grande surprise, Odile fut à une large majorité élue Présidente, sans même avoir présenté sa candidature. Elle ressentit cette élection plus comme une manifestation de pitié qu’une réelle reconnaissance de ses compétences. Néanmoins, Odile accepta de prendre la relève du Président et de consacrer une soirée hebdomadaire à ses nouvelles fonctions. Ce même jour, il avait été procédé à l’élection d’un nouveau trésorier. L’heureux élu était un jeune papa de 28 ans, ingénieur en informatique et gardien de buts titulaire dans l’équipe de foot du quartier. L’homme était plutôt bien fait de sa personne, un peu timide, mais avec de beaux yeux verts. Au fil des semaines, Odile se prit d’intérêt pour le ballon rond, accompagnant parfois mari et enfants au stade pour les matches du dimanche après-midi. Sous la douche, il lui arrivait souvent de se branler en évoquant les cuisses musculeuses du trésorier-gardien de buts. Il se prénommait Antoine, comme l’adolescent qu’elle avait déniaisé naguère, et cette homonymie était loin de lui déplaire, tant elle lui rappelait de bons souvenirs.
L’occasion de passer à
l’offensive se présenta lorsque, à la mi-juin, fut évoqué en réunion du bureau de l’association, le départ en retraite de la directrice de l’école. Il faudrait prévoir un cadeau et créer une
ligne budgétaire pour son achat. Il fut donc décidé qu’Odile serait chargée du choix du cadeau – on lui laissait carte blanche - et que le Trésorier l’accompagnerait pour son règlement.
Ainsi, par un samedi après-midi pluvieux de juin, Odile endossa de nouveau sa tenue de putain bourgeoise : bottines de cuir noir, jupe de cuir ultra courte, caraco moulant, bas noirs, porte-jarretelles, culotte et soutien-gorge de dentelle blanche, le tout dissimulé sous un austère imperméable.
Antoine fut ponctuel. Il était exactement quinze heures et dix minutes quand Odile prit place sur le siège passager de l’Audi A4 du trésorier. Elle déboutonna son imperméable qu’elle ouvrit en grand, dévoilant généreusement ses cuisses habillées de nylon noir et un peu écartées…
- On y va ? Moi, je suis prête !
FIN
© Michel Koppera, juillet 2013
Le saviez-vous n° 61
Au fil des siècles, d’innombrables femmes ont témoigné être extrêmement sensibles à un organe mâle « opulent ». Certains cas historiques sont même restés célèbres. Ainsi, selon la chronique scandaleuse, la petite sœur de l’empereur, Pauline Bonaparte (1780-1825) appréciait particulièrement le gigantisme.
Marmontel (1723-1799) était pourvu d’un organe aux dimensions exceptionnelles dont le félicitait Voltaire, lui-même si mal appareillé ; selon Stendhal, cet avantage naturel « fit les succès de Marmontel dans le monde et la plus grande partie de sa réputation en littérature ». Dans ses Mémoires d’un père pour servir à l’éducation de ses enfants, Marmontel évoque de très nombreuses bonnes fortunes directement liées à la taille de son sexe.
On approche de la fin...
Lorsque Odile raconta cet après-midi de cauchemar au Président, celui-ci parut sincèrement désolé de ce qui était arrivé. Il promit de se montrer à l’avenir plus vigilent dans le choix des clients et s’engagea à s’occuper personnellement – il insista bien sur ce mot – des bourreaux d’Odile. La promesse fut sans doute tenue car, dans les semaines et les mois qui suivirent, Odile ne fut plus jamais importunée par des clients trop exigeants ou douteux. Elle en fut reconnaissante au Président pour qui elle éprouva un regain de dévouement et d’admiration.
Cependant,
l’enthousiasme et l’insouciance des premières passes n’étaient plus de mise. Certes, elle n’était pas encore fatiguée de ses activités putassières – les gains substantiels n’y étaient sans doute
pas étrangers – mais elle pressentait que tout ceci était désormais éphémère, et qu’un jour ou l’autre il lui faudrait rentrer dans le rang. Alors, en attendant, elle baisait et se faisait
baiser. Elle éprouvait toujours la même émotion, la même excitation, à ouvrir une braguette, à empoigner une bite, à la faire durcir dans sa bouche, à soupeser une paire de couilles et surtout à
se faire téter les seins, lécher la moule et à se faire enfiler… Il lui semblait qu’il n’y avait rien de meilleur au monde que de sentir une bite pénétrer dans son con, s’y loger tout entière, y
prendre ses quartiers d’hiver, bien au chaud jusqu’à la racine…
À l’image de son propriétaire, chaque bite était différente, chacune avait sa texture, sa rigidité, son parfum, sa taille, son émotivité. Même si elle les préférait plutôt grosses, circoncises et endurantes, elle les aimait toutes.
Pour des raisons d’hygiène et de confort, Odile s’était intégralement épilée, du pubis à l’entrefesses, ce qui eut pour
conséquence inattendue de réveiller la libido de Sébastien qui se montra soudain plus entreprenant. Bien que surprise, Odile n’en fut pas fâchée. Ainsi, deux jours par semaine, elle baisait du
matin au soir !
Et puis, il y avait la bite du Président ! Celle-là, il lui semblait qu’elle ne pourrait jamais s’en passer tant elle était ajustée à ses lèvres, à son vagin, à son cul. La prendre en main, c’était comme s’asseoir au volant d’une berline allemande, sensations étroitement mêlées de puissance et de sécurité. La force tranquille, orgasme garanti ! Elle la connaissait par cœur, du périnée au bout du gland ; les yeux bandés, elle l’aurait reconnue entre mille et le bonheur suprême, c’était quand il lui jouissait dans la bouche et qu’elle se délectait de son sperme.
De nouveau amoureuse, Odile eut même l’audace d’introduire le Président au cœur de son foyer. Sous le couvert d’une visite de courtoisie, elle l’invita un samedi soir à dîner en famille. Le Président y vint avec son fils que connaissaient bien les enfants d’Odile – les gamins étaient copains de jeux sur la cour de récréation. Sébastien fut ravi et flatté de cette visite. Mais la plus émue fut sans aucun doute Odile qui pour la première et dernière fois voyait réunis à la même table son mari et son amant. Elle en avait la chatte trempée de bonheur. Tout en les écoutant parler travail, voitures et autres banalités, elle rêvait à une partie de cul à trois dans son grand lit conjugal, elle prise en sandwich entre ses deux hommes, un dans le con, l’autre dans le cul… Ça aurait de la gueule !
Telle était devenue Odile Varney : mère de famille, experte comptable, épouse adultère et putain à temps partiel sous le nom de Claudia…
Pour Noël, ses enfants lui offrirent une boîte de chocolats fins, son mari un smartphone dernière génération, son amant une guêpière hyper sexy et son meilleur client une montre de prix pour être ponctuelle à leurs prochains rendez-vous… Tout paraissait pour le mieux dans le meilleur des mondes…
© Michel Koppera, juillet 2013
à suivre…
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