Comme promis, La Trésorière est de retour pour la suite de ses aventures.
Rappel des épisodes précédents : Odile Varney, épouse et mère de famille, est aussi Trésorière de
l'Association des Parents d'Elèves de l'école primaire. Une malencontreuse erreur de comptabilité la jette entre les griffes de Alexandre Delorme, Président de l'Association et fonctionnaire de
police, qui la fait chanter. Pour tenter d'échapper à des poursuites judiciaires, elle se donne à lui. Au fil des mois, se noue entre eux une relation intime, faite de chantage, d'attirance
et de plaisirs charnels. Mais bientôt, le Président apprend à Odile que son mari la trompe et fréquente régulièrement des putains... Il lui donne même les codes d'accès à l'ordinateur de son mari
afin qu'elle vérifie ces informations...
Dès qu’elle en eut l’opportunité, Odile alla fouiner dans les entrailles du PC portable de Sébastien. L’occasion ne tarda pas à
se présenter : un soir, alors que Sébastien avait mis sa batterie à recharger pour le lendemain, Odile, comme par mégarde, coupa l’alimentation de la prise commandée où était branchée la
batterie, si bien que le lendemain matin, au moment de partir au travail, Sébastien ne put que constater que la batterie était vide. Il s’en alla sans son portable. Une fois les enfants déposés à
l’école, Odile ouvrit la session et grâce aux sésames que lui avait donnés le président, elle commença ses recherches
À première vue,
rien que du professionnel : des rapports, des tableaux, des devis, des études de chantiers, des comptes-rendus de réunions… Dans le dossier « contacts » elle crut toucher au but,
mais ce n’étaient que des coordonnées d’entreprises de sous-traitance. Elle allait renoncer lorsque, sans un sous-dossier d’études de marché, elle dénicha enfin ce qu’elle cherchait et
redoutait. Le fichier qui s’appelait innocemment « maintenance » se présentait sous la forme d’un tableau : dans la colonne de gauche, une liste d’une trentaine de prénoms :
Malika, Zohra, Ingrid… En face, les rubriques téléphone, origine, horaires, lieu, tarif, spécialités, note… Elle en lut une au hasard : Déborah, Roumanie, 06-27-43…, mardi-mercredi, 19-20h,
parking F1 C, 70 €, pipe-sodo, A+. Cela avait le mérite de la clarté. Après avoir copié le fichier sur une clef USB, Odile reprit ses recherches et ne tarda pas à tomber sur les albums photos, à
peine cachés dans le dossier « photos chantiers ». Non content de les baiser, Sébastien les photographiait. Malgré sa rage, Odile devait se rendre à l’évidence : les filles étaient
souvent jeunes et plutôt belles. Sébastien avait visiblement un faible pour les gros seins, les sexes glabres, les longues jambes et les bouches épaisses. Les filles posaient le plus souvent les
cuisses écartées, le sexe béant, avec parfois du sperme entre les fesses ou au bord des lèvres. Elles souriaient…
En fin d’album, il y avait quelques photos un peu particulières, classées dans une sous-rubrique que Sébastien avait
malicieusement appelée « rénovations ». Effectivement, la dizaine de femmes photographiées dans ce dossier n’étaient plus toutes jeunes : les seins étaient un peu tombants, les
hanches lourdes, les pubis poilus, les sexes plus larges… Elles se prénommaient Monique, Solange ou Brigitte…
Malgré sa colère, le spectacle de ces femmes qu’elle aurait pu croiser à la grille de l’école troubla Odile au plus profond.
L’idée qu’elle pourrait être l’une de ces femmes lui traversa l’esprit et s’y insinua perfidement. Elle en ressentit même comme une chaleur dans le ventre, si bien qu’elle éteignit rapidement
l’ordinateur et quitta sans tarder l’appartement partagée entre son désir de vengeance et sa faim maintenant insatiable de sexe.
Dès le lendemain
après-midi, Odile se rendit chez le président. Ensemble, ils regardèrent les photos et consultèrent les fichiers qu’Odile avait copiés sur l’ordinateur de Sébastien. Ils étaient nus sur le
canapé : pendant qu’Odile branlait nonchalamment la bite d’Alexandre, il lui caressait doucement le clitoris de l’index et du majeur réunis et enduits de cyprine visqueuse ?
- Vous avez remarqué qu’il a ses habitudes dans deux hôtels en particulier ? dit-il en lui glissant le pouce dans le vagin.
Pour les jeunes des pays de l’est, c’est un Formule 1, pour les femmes plus âgées, il s’agit souvent d’un Campanile en bordure de zone industrielle.
C’était le flic qui parlait.
- Et alors, c’est important ? demanda Odile.
- Important, non ; disons plutôt intéressant. Elles sont organisées. Elles louent sans doute les chambres à l’année, à tour
de rôle pour ne pas éveiller les soupçons. Ce sont des hôtels pratiques pour ce genre d’activité : soit c’est une caisse automatique, soit on n’est pas obligé de passer par le hall de
réception pour accéder aux chambres. Idéal pour la discrétion ! Je parie que leurs chambres sont au rez-de-chaussée et donnent sur l’arrière de l’hôtel, à l’abri des regards…
Odile parut soudain s’intéresser aux paroles du président. Elle lui serra plus fort la bite pendant qu’une idée vénéneuse
germait dans sa tête.
- Il paraît qu’on peut poser des micros dans les locaux privés pour écouter les conversations, c’est vrai ?
- Bien sûr, c’est un jeu d’enfant ! Il faut juste obtenir une autorisation officielle…
- C’est réservé aux terroristes ?
- Pas uniquement. On peut aussi surveiller les trafiquants de drogue, les braqueurs, les mecs qui sont dans la contrebande…
enfin, tout ce qui peut troubler l’ordre public.
- On peut aussi installer des caméras ?
- C’est possible, mais plus compliqué…
Odile se tut, se pencha sur la queue raide du Président, la prit profondément en bouche et la suça avec tendresse. Elle joua
avec pendant de longues minutes avant de la reprendre en main, luisante de salive.
- Si je vous le demandais, vous le feriez pour moi ?
- Quoi ?
- Poser des micros et des caméras dans les chambres d’hôtel.
- Pour espionner votre mari ?
- Entre autres…
Elle le sentit ramollir sous ses doigts.
- Je ne sais pas, c’est assez risqué…
- Et si je vous donne mon cul ?
Ce disant, elle se redressa, enjamba le corps nu du Président et, à genoux au-dessus de lui, elle reprit sa queue et présenta sa
tête violacée entre ses fesses, aux portes humides de son rectum. Tout en le regardant droit dans les yeux, elle abaissa lentement son bassin. La bite de nouveau raide du Président lui força
l’anus et s’enfonça méthodiquement dans son cul dilaté. Au fur et à mesure qu’elle se pénétrait, elle la sentait vibrer de plaisir. Quand elle le devina planté jusqu’aux couilles, elle lui
murmura à l’oreille :
- Alors ?
- Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne vous promets rien…
Puis, après un long silence, il ajouta :
- Peut-être que j’aurais besoin de plus d’engagement de votre part.
Ces derniers mots la parcoururent de part en part, semant inquiétude et excitation
- Je ferai tout ce que vous exigerez de moi, s’entendit-elle promettre d’une voix féline qu’elle ne se connaissait pas.
Cette après-midi-là, il lui jouit deux fois dans les entrailles, à grandes bordées de sperme chaud. Odile s’offrit aussi
plusieurs orgasmes, mais plus retenus, comme si elle avait la tête ailleurs.
à suivre…
© Michel Koppera, juillet 2013
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