Dimanche 14 juillet 2013 7 14 /07 /Juil /2013 10:23

En ces jours de forte chaleur, proposition de tenue légère pour le défilé des troupes d'élite sur les Champs-Elysées... Succès populaire garanti !

14-07-13

Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 13 juillet 2013 6 13 /07 /Juil /2013 07:03

Rappel de l'épisode précédent : Odile a demandé au Président de faire surveiller son mari afin de filmer secrètement ses rencontres avec les prostituées

 

Pendant plus de deux semaines, Odile Varney demeura sans nouvelles du Président. Il ne répondit ni à ses mails, ni à ses innombrables appels téléphoniques. Elle alla même jusqu’à frapper à sa porte, en vain. En d’autres temps, ce silence l’aurait rassurée ; désormais, il lui était insupportable. Elle ne pouvait plus se passer de la tutelle d’Alexandre Delorme. En quelques mois, il était devenu son amant, son protecteur, une figure paternelle avec laquelle elle entretenait une relation quasiment incestueuse. Elle avait besoin de son autorité, de lui obéir aveuglément, d’assouvir ses fantasmes, de se soumettre à ses désirs.

comptable12-1Cependant, Odile était aussi passée maître dans l’art du masque, de la dissimulation de ses sentiments les plus intimes. Aussi continuait-elle de donner à son entourage l’image lisse d’une mère de famille modèle, se consacrant essentiellement au bonheur de son époux et de ses enfants, à sa réussite professionnelle, au bien-être de son foyer. Sébastien serait sans soute tombé des nues s’il avait appris que dans ses moments de solitude, sa femme se masturbait aussi régulièrement que frénétiquement. Tout lui était bon pour jouir : poire de douche, flacons de shampoing oblongs, brosse à dents électrique dont les vibrations lui stimulaient diaboliquement le clitoris. Chaque jour, elle s’offrait ainsi plusieurs orgasmes dont l’évocation du Président décuplait l’intensité.

Lorsqu’il lui donna enfin signe de vie, Odile n’en pouvait plus d’attendre. Afin de disposer d’une soirée en tête à tête avec sa trésorière, le Président prétexta une réunion extraordinaire du bureau de l’association, le jeudi suivant, à partir de 21 heures, afin de –courrier de convocation à l’appui- préparer le budget de l’année suivante.

Comme elle le pressentait, Odile était la seule invitée de la réunion. Évidemment, à aucun moment, il ne fut question de comptabilité. Ils s’assirent côte à côte dans le canapé, devant la table basse du salon sur laquelle le Président avait posé son ordinateur portable.

- Dans l’hôtel, mes services ont installé trois caméras très discrètes. Officiellement, il s’agit de surveiller des dealers. La première caméra filme le hall d’entrée devant le guichet automatique qui délivre les cartes magnétiques qui donnent accès aux chambres. Je me suis arrangé pour que, lorsque c’est votre mari qui se présente, ce soit toujours la même chambre qui lui soit attribuée. Dans cette chambre, il y a deux caméras : une face au lit, une autre dans la salle de bains. Au cours des dernières semaines, votre mari est venu deux fois… Vous voulez voir ?

Malgré sa curiosité, Odile avait une boule d’angoisse à l’estomac. Elle avait la gorge tellement sèche qu’elle fut incapable d’articuler le moindre mot et ne put que hocher la tête en signe d’acquiescement. Alors, le président appuya sur la touche « play ».

23 juin. 18h32. Vue plongeante en enfilade sur le corridor d’accueil de l’hôtel. Un couple entre. Sébastien se dirige vers la caisse automatique, y introduit sa carte bancaire. La femme qui l’accompagne se tient en retrait, l’air indifférent. Elle porte une jupe ultra-courte, un débardeur qui contient à grand peine sa poitrine, un sac en bandoulière. Sébastien récupère sa carte bancaire et la clef magnétique de leur chambre. Il se dirige vers le fond du couloir, elle le suit avec nonchalance.comptable12-3

18h40. Vue panoramique sur la chambre et le lit. La première chose que fait la fille, c’est de s’emparer de la télécommande pour allumer la télé, puis elle s’assoit au bord du lit. Sébastien lui tend trois billets qu’elle fourre dans son sac à main. Sans plus attendre, elle ôte son débardeur, relève sa jupe et écarte les cuisses en se soupesant les seins. Il s’approche. La main droite de la fille se pose directement sur la braguette qu’elle ouvre avec dextérité. Avec une étonnante économie de gestes, elle lui baisse le pantalon, saisit sa queue déjà raide et entreprend de le sucer. Il se laisse faire de bonne grâce. Odile ne peut que constater qu’il bande ferme et ça lui fait quand même un petit pincement au cœur de voir le père de ses enfants se faire tailler une pipe par une putain, plutôt belle de surcroît. Ça dure un bon moment. Quand il en a sa dose, il se recule d’un pas. Ses lèvres murmurent quelques mots indistincts, mais on devine qu’il demande à la fille de se mettre en position : elle ôte sa culotte, se met à quatre pattes au bord du lit, les fesses en l’air, les cuisses écartées, de façon à lui présenter sa fente béante. À peine la capote en place, il la saisit par les hanches, l’enfile et se met à la pistonner. Les gros seins de la fille ballottent dans le vide. Elle est totalement passive.

comptable12-2Odile jette un regard en coin au Président assis à ses côtés. Il ne manifeste aucune émotion particulière.

Pendant que la fille se rince la chatte avec la poire de douche, Sébastien se lave la queue à grande eau dans le lavabo. Puis elle se rhabille avec nonchalance et quitte la chambre sans un mot, sans un regard. Fin de l’enregistrement.

- Qu’est-ce que vous en pensez ? demande le Président en posant sa main sur le genou d’Odile.

- Difficile à dire… Un sentiment étrange, entre le dégoût et la pitié.

- Pitié pour qui ? Pour votre mari ?

- Sûrement pas ! Plutôt pour la fille, elle mérite sans doute mieux que ça !

- Avez-vous envie de voir la suite ?

- Oui.

De sa main libre, il appuie de nouveau sur la touche « play » de la télécommande, pendant que l’autre remonte sournoisement entre les cuisses d’Odile.

 

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 12 juillet 2013 5 12 /07 /Juil /2013 14:42

Boris VIAN, « Et on tuera tous les affreux »

Roman Policier paru en 1948 aux Editions du Scorpion sous le pseudonyme de Vernon Sullivan.

Collection le Livre de poche n°14616, 220 pages

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Un polar automobile dans les rues de Los Angeles qui nous parle de jazz, de manipulation génétique ( déjà !) et bien sûr de sexe.

Le narrateur Rock Bailey, 90 kg, 19 ans, a fait vœu de chasteté jusqu’à ses 20 ans. Malgré tous ses efforts, il finira par craquer…

Pages 161 et suivantes.

vian1« Mona claque la porte, se retourne, dégrafe sa robe et ses seins jaillissent à l’air… Evidemment, ça n’a aucun rapport avec ceux de Sundy Love (la précédente conquête de Rocky)… Je sens comme qui dirait des picotements au creux des lombes… Zut, alors, ça va faire la douzième fois depuis ce matin… Il y a un peu d’abus…

- Pas si vite, Mona, proteste Beryl… Laisse-moi le temps de me mettre en tenue…

Mona s’affaire autour de moi… Elle a gardé ses bas et un petit machin en dentelle blonde avec lequel elle les attache… Juste de la même couleur que… enfin, juste de la même couleur, quoi. Elle a chaud et elle sent bon la femme… et le vieux Rocky n’est peut-être pas si crevé qu’il en a l’air… Elle m’enlève ma chemise, me retire mon pantalon…Je me laisse faire… Elle a un peu plus de mal avec mon linge qui accroche…

- Pas de blague, Mona, je vous dis… On va le tirer au sort, glapit Meryl.

Elle non plus n’a plus rien sur le dos… Elle a roulé ses bas aux chevilles… Je fais des comparaisons.

- Enfin, dis-je, je ne suis pas  un coquetier de foire…

- Silence, vous, ordonne Mona. Elle a raison. On va vous tirer au sort…

- Ce n’est pas juste, dis-je. Et s’il y en a une que je préfère…

J’ai du mal à parler. Ces deux filles m’ont mis dans un tel état que je n’ai plus envie que d’une chose… N’importe laquelle des deux, mais tout de suite.

- D’accord, acquiesce Mona. On va vous bander les yeux et puis on vous fera quelque chose et vous direz qui vous préférez.

- Il faut lui attacher les mains aussi, crie Beryl, de plus en plus excitée …

Elle se précipite vers la fenêtre et arrache un des cordons du tirage des rideaux… Je me laisse attacher, sûr de casser la ficelle quand je voudrai… et sitôt que c’est fini, Mona m’empoigne et me fait tomber sur le tapis…

- Votre foulard, Beryl…vian3

Je suis allongé sur le dos… heureusement, sinon, je souffrirais… et je n’y vois plus rien… Deux mains se posent sur ma poitrine, deux longues jambes se collent aux miennes… Je suis prêt à hurler tellement c’est douloureux d’attendre comme ça… Et d’un coup, la première des deux s’allonge sur moi. Je la pénètre de toutes mes forces… presque immédiatement, elle s’écarte et c’est la seconde qui prend la place… Je tire désespérément sur le cordon qui m’attache les mains… Il casse… Elle ne s’est aperçue de rien… Au moment où elle va s’éloigner à son tour, mes bras se referment sur elle… Je la tiens d’une main et de l’autre, je réussis à attraper les jambes de la seconde… je la fais tomber à côté de moi et mes lèvres remontent le long de ses cuisses… jusqu’où je peux aller… J’aime ça… J’aime beaucoup ça… Elles gémissent un peu… tout doucement.

… Le temps passe…

Il passe beaucoup, aujourd’hui… » 

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Jeudi 11 juillet 2013 4 11 /07 /Juil /2013 08:44

Comme je ne sais pas très bien ce que cette journée peut bien signifier, je vous en propose ma vision personnelle en 4 images (énumération à gradation montante ou descendante, c'est selon ce qu'on y comprend !)

Image 1

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Image 2

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Image 3

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Image 4

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Pas très sexy tout ça !!!

Par michel koppera - Publié dans : agenda
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Mercredi 10 juillet 2013 3 10 /07 /Juil /2013 10:28

La mise en abyme — également orthographiée mise en abysme ou plus rarement mise en abîme — est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre du même type, par exemple en incrustant une image en elle-même( source Wikipédia).

L'exemple le plus connu de mise en abyme est celui du couvercle de la "Vache qui rit", avec les boucles d'oreilles. 

Mais voici des images plus explicites de mise en abyme, parfois simple, souvent complexe, avec deux ou trois insertions successives, un peu comme des poupées russes. J'ai déniché ces photos sur le site Newbienudes. Le modèle est de l'Ohio aux USA. J'ai trouvé ces images très intéressantes et représentatives de l'importance d'Internet pour assouvir ses fantasmes. De toute évidence, cette femme aime exhiber son corps et qu'on lui rende hommage. Internet lui permet de se donner virtuellement à des hommes qui lui renvoient les preuves de leur désir ( de leur amour?) par l'intermédiaire des photos arrosées de sperme... Je ne sais pas si je me suis bien fait comprendre, mais le mieux est de vous laisser regarder les images et que vous me donniez votre sentiment 

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Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 9 juillet 2013 2 09 /07 /Juil /2013 14:26

Comme promis, La Trésorière est de retour pour la suite de ses aventures.

Rappel des épisodes précédents : Odile Varney, épouse et mère de famille, est aussi Trésorière de l'Association des Parents d'Elèves de l'école primaire. Une malencontreuse erreur de comptabilité la jette entre les griffes de Alexandre Delorme, Président de l'Association et fonctionnaire de police, qui la fait chanter. Pour tenter d'échapper à des poursuites judiciaires, elle se donne à lui. Au fil des mois, se noue entre eux une  relation intime, faite de chantage, d'attirance et de plaisirs charnels. Mais bientôt, le Président apprend à Odile que son mari la trompe et fréquente régulièrement des putains... Il lui donne même les codes d'accès à l'ordinateur de son mari afin qu'elle vérifie ces informations...


Dès qu’elle en eut l’opportunité, Odile alla fouiner dans les entrailles du PC portable de Sébastien. L’occasion ne tarda pas à se présenter : un soir, alors que Sébastien avait mis sa batterie à recharger pour le lendemain, Odile, comme par mégarde, coupa l’alimentation de la prise commandée où était branchée la batterie, si bien que le lendemain matin, au moment de partir au travail, Sébastien ne put que constater que la batterie était vide. Il s’en alla sans son portable. Une fois les enfants déposés à l’école, Odile ouvrit la session et grâce aux sésames que lui avait donnés le président, elle commença ses recherches

comptable11-1À première vue, rien que du professionnel : des rapports, des tableaux, des devis, des études de chantiers, des comptes-rendus de réunions… Dans le dossier « contacts » elle crut toucher au but, mais ce n’étaient que des coordonnées d’entreprises de sous-traitance. Elle allait  renoncer lorsque, sans un sous-dossier d’études de marché, elle dénicha enfin ce qu’elle cherchait et redoutait. Le fichier qui s’appelait innocemment « maintenance » se présentait sous la forme d’un tableau : dans la colonne de gauche, une liste d’une trentaine de prénoms : Malika, Zohra, Ingrid… En face, les rubriques téléphone, origine, horaires, lieu, tarif, spécialités, note… Elle en lut une au hasard : Déborah, Roumanie, 06-27-43…, mardi-mercredi, 19-20h, parking F1 C, 70 €, pipe-sodo, A+. Cela avait le mérite de la clarté. Après avoir copié le fichier sur une clef USB, Odile reprit ses recherches et ne tarda pas à tomber sur les albums photos, à peine cachés dans le dossier « photos chantiers ». Non content de les baiser, Sébastien les photographiait. Malgré sa rage, Odile devait se rendre à l’évidence : les filles étaient souvent jeunes et plutôt belles. Sébastien avait visiblement un faible pour les gros seins, les sexes glabres, les longues jambes et les bouches épaisses. Les filles posaient le plus souvent les cuisses écartées, le sexe béant, avec parfois du sperme entre les fesses ou au bord des lèvres. Elles souriaient… 

En fin d’album, il y avait quelques photos un peu particulières, classées dans une sous-rubrique que Sébastien avait malicieusement appelée « rénovations ». Effectivement, la dizaine de femmes photographiées dans ce dossier n’étaient plus toutes jeunes : les seins étaient un peu tombants, les hanches lourdes, les pubis poilus, les sexes plus larges… Elles se prénommaient Monique, Solange ou Brigitte…

Malgré sa colère, le spectacle de ces femmes qu’elle aurait pu croiser à la grille de l’école troubla Odile au plus profond. L’idée qu’elle pourrait être l’une de ces femmes lui traversa l’esprit et s’y insinua perfidement. Elle en ressentit même comme une chaleur dans le ventre, si bien qu’elle éteignit rapidement l’ordinateur et quitta sans tarder l’appartement partagée entre son désir de vengeance et sa faim maintenant insatiable de sexe.

 

comptable11-3Dès le lendemain après-midi, Odile se rendit chez le président. Ensemble, ils regardèrent les photos et consultèrent les fichiers qu’Odile avait copiés sur l’ordinateur de Sébastien. Ils étaient nus sur le canapé : pendant qu’Odile branlait nonchalamment la bite d’Alexandre, il lui caressait doucement le clitoris de l’index et du majeur réunis et enduits de cyprine visqueuse ?

- Vous avez remarqué qu’il a ses habitudes dans deux hôtels en particulier ? dit-il en lui glissant le pouce dans le vagin. Pour les jeunes des pays de l’est, c’est un Formule 1, pour les femmes plus âgées, il s’agit souvent d’un Campanile en bordure de zone industrielle.

C’était le flic qui parlait.

- Et alors, c’est important ? demanda Odile.

- Important, non ; disons plutôt intéressant. Elles sont organisées. Elles louent sans doute les chambres à l’année, à tour de rôle pour ne pas éveiller les soupçons. Ce sont des hôtels pratiques pour ce genre d’activité : soit c’est une caisse automatique, soit on n’est pas obligé de passer par le hall de réception pour accéder aux chambres. Idéal pour la discrétion ! Je parie que leurs chambres sont au rez-de-chaussée et donnent sur l’arrière de l’hôtel, à l’abri des regards…

Odile parut soudain s’intéresser aux paroles du président. Elle lui serra plus fort la bite pendant qu’une idée vénéneuse germait dans sa tête.

- Il paraît qu’on peut poser des micros dans les locaux privés pour écouter les conversations, c’est vrai ?

- Bien sûr, c’est un jeu d’enfant ! Il faut juste obtenir une autorisation officielle…

- C’est réservé aux terroristes ?

- Pas uniquement. On peut aussi surveiller les trafiquants de drogue, les braqueurs, les mecs qui sont dans la contrebande… enfin, tout ce qui peut troubler l’ordre public.

- On peut aussi installer des caméras ?

- C’est possible, mais plus compliqué…

Odile se tut, se pencha sur la queue raide du Président, la prit profondément en bouche et la suça avec tendresse. Elle joua avec pendant de longues minutes avant de la reprendre en main, luisante de salive.

- Si je vous le demandais, vous le feriez pour moi ?

- Quoi ?

- Poser des micros et des caméras dans les chambres d’hôtel.

- Pour espionner votre mari ?

- Entre autres…

Elle le sentit ramollir sous ses doigts.

- Je ne sais pas, c’est assez risqué…

- Et si je vous donne mon cul ?comptable11-2

Ce disant, elle se redressa, enjamba le corps nu du Président et, à genoux au-dessus de lui, elle reprit sa queue et présenta sa tête violacée entre ses fesses, aux portes humides de son rectum. Tout en le regardant droit dans les yeux, elle abaissa lentement son bassin. La bite de nouveau raide du Président lui força l’anus et s’enfonça méthodiquement dans son cul dilaté. Au fur et à mesure qu’elle se pénétrait, elle la sentait vibrer de plaisir. Quand elle le devina planté jusqu’aux couilles, elle lui murmura à l’oreille :

- Alors ?

- Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne vous promets rien…

Puis, après un long silence, il ajouta :

- Peut-être que j’aurais besoin de plus d’engagement de votre part.

Ces derniers mots la parcoururent de part en part, semant inquiétude et excitation

- Je ferai tout ce que vous exigerez de moi, s’entendit-elle promettre d’une voix féline qu’elle ne se connaissait pas.

Cette après-midi-là, il lui jouit deux fois dans les entrailles, à grandes bordées de sperme chaud. Odile s’offrit aussi plusieurs orgasmes, mais plus retenus, comme si elle avait la tête ailleurs.

 

  à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 4 juillet 2013 4 04 /07 /Juil /2013 10:33

L'été, on a le temps de lire... Profitez-en !

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J - 5 pour la reprise du roman de l'été, "La Trésorière"

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 3 juillet 2013 3 03 /07 /Juil /2013 08:51

Tom SHARPE, WILT 1 (1976)

Editions du Sorbier, 1982

Collection 10/18, domaine étranger  n°1912 (texte traduit de l’anglais par François Dupuigrenet- Desrousilles)

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Une histoire déjantée et jubilatoire avec comme héros un petit prof sans envergure,  Eva son épouse « Tupperware » hyperactive, une amie américaine « libérée » et nymphomane, une poupée gonflable et autres curiosités…

Page 72 : Wilt vient de participer à une soirée branchée chez des amis américains…Il en parle avec un de ses collègues, Peter Braintee

« - Qu’est-ce qui s’est passé alors ?

- Rien si on appelle fermer la porte à clef, s’allonger sur le lit les jambes ouvertes, me demander de la baiser et me menacer d’une pipe, dit Wilt.

Peter Braintee le regarda d’un air sceptique.

- Mais qu’est-ce que tu as fait au juste ?

- J’ai éludé, dit Wilt.

- Drôle de façon de parler, dit Braintee. Tu montes avec Mrs Pringsheim. Toi tu éludes pendant qu’elle est sur le lit, les cuisses ouvertes et tu veux savoir pourquoi Eva n’est pas revenue ? Mais elle doit être chez un avocat et elle remplit une demande de divorce contre toi !

- Mais je me tue à te dire que je ne l’ai pas baisée, cette ordure, dit Wilt. Je lui ai dit d’aller se faire asperger le persil ailleurs.

- Asperger le persil ? Où as-tu été pêcher cette expression ?"

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page 79. Eva, l’épouse de Wilt est partie en croisière dans les marais avec le couple Pringsheim, Sally et Gaskell..

«  Sally était étendue toute nue sur le pont du cabin-cruiser, ses petits seins nus braqués vers le ciel, les jambes largement écartées. À côté d’elle Eva, allongée sur le ventre, regardait le paysage.

- Mon Dieu, mais c’est divin, murmura Sally. Ah, la campagne profonde…

- Toi, ce serait plutôt gorge profonde, ah ! ah ! dit Gaskell qui dirigeait à l’aveuglette le canot vers une écluse. »

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page 123. Sur le bateau, Sally se confie à Eva

«  Sally s’allongea sur la couchette et alluma un cigare.

- Tu es merveilleuse. Tu ne sais rien. Ton innocence est reposante, délectable. Moi, j’ai perdu la mienne à quatorze ans.

Eva secoua la tête.

- Les hommes… dit-elle avec désapprobation.

- Il était assez vieux pour être mon grand-père, dit Sally. En fait, c’était mon grand-père.

- Oh non ! Mais c’est affreux !

- Non, pas tant que ça, dit Sally en riant de bon cœur. C’était un artiste. Avec une barbe. Sa salopette sentait la peinture. Il avait un grand studio. Il voulait me peindre toute nue. À l’époque, j’étais tellement pure. Il m’a fait allonger sur le divan et il m’a arrangé les jambes. Il passait son temps à m’arranger les jambes, il se reculait, il me regardait et il les peignait. Et puis un jour, il s’est penché sur moi, il m’a embrassée, il s’est allongé, il a baissé sa salopette et….

Eva s’assit, fascinée. Elle pouvait tout imaginer, très clairement, même l’odeur de peinture du studio et les pinceaux. Sally avait eu une vie exaltante, pleine d’aventures, romantique en somme. Eva essaya de se rappeler comment elle était à quatorze ans. Elle ne sortait même pas avec des garçons et, pendant ce temps-là, Sally était sur un divan avec un artiste. »

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Mardi 2 juillet 2013 2 02 /07 /Juil /2013 06:11

Retour aux corps féminins pour cette dernière série

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J - 7 pour la reprise du roman de l'été, "La Trésorière"

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Lundi 1 juillet 2013 1 01 /07 /Juil /2013 06:30

Dans le cadre du Festival-off d'Avignon, la compagnie La maison Brûlée présentera au Théâtre de la Porte Saint Michel un spectacle intitulé Maelström excrémentiel. Ce spectacle est une adaptation du poème érotique de Catherine Gil Alacal, et a été déjà présenté en 2010 à Paris au Théâtre des Déchargeurs.

catherine-gil-alcala

Représentations à Avignon du 8 au 31 Juillet 2013, à 23 heures

Théâtre de la Porte Saint Michel

23 Rue Saint Michel

84000 AVIGNON

 

Extraits du texte original


 

 

Un chanteur d’opéra, à l’inspiration sublime de la pipe d’un bonhomme mamelu, abreuva l’auditoire d’un épilogue vocalisé :
“ Au pavillon des agités

ocellé papillon démantibulé par le jeu cruel d’enfants
et dans la fente de la porte un sexe voyeur
le cadavre incandescent à nouveau s’éveille au stupre
du royaume des morts il transporte folie
psychose psychopompe
scarabée
pétri par toi d’or et d’excréments
pousse sur la dune de l’au-delà ton nauséabond soleil
écholalie à la lie
mon endormie gésir en toi, mon sperme germe de vers. ”

Dans une impression flottante elle le soulevait dans l’air ; elle était devenue une immensité, un glacier avec des circonférences mammaires desquelles giclaient des liqueurs de lait. Et soudain, elle sortait de derrière ses imbrications charnues une gigantesque casserole où elle les jetait, lui et le doberman, dans un élan carnassier...


Redéfaisant un sort comme dans les légendes que lui disait sa mère, elle arrachait la peau du chien qui ressortait transmué blanc et nu, « homme », de la casserole ; il était son amant. Echange et contamination du maléfice, elle se dénudait elle-même, s’harnachait de la fourrure, devenait lycanthrope, femme louve âme-sœur de l’homme canidé. Infante écartelée, lèvres vermeilles, se fit éventrer du zob de l’animal.

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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