Lorsque l'objet est pris en main, et "en bouche", par une femme, alors la connotation sexuelle devient plus qu'une évidence
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Lorsque l'objet est pris en main, et "en bouche", par une femme, alors la connotation sexuelle devient plus qu'une évidence
Article paresseux de fin d'été. Parmi les nombreux clichés pour illustrer le moyen-orient, le narguilé figure en bonne place. Symbole sexuel sans ambiguité (son tuyau figure le serpent du désir, sa forme un sexe en érection, son usage une fellation), voici donc un objet du quotidien à forte valeur érotique
Le saviez-vous n° 62
« La femme ménopausée est volontiers attirée par de jeunes adultes ou adolescents. On a voulu voir là le report de son instinct pouponnier disponible avec ses propres enfants devenus grands et partis au loin. Des femmes mûres rajeunissent d’autant plus leurs amants qu’elles avancent en âge ; parfois leur prestige social ou leur expérience amoureuse les sert. Les amants de Ninon de Lenclos, éblouis par sa renommée, devenaient fort jeunes alors que l’illustre courtisane vieillissait. Madame de Staël, à 44 ans, velue, opulente et rubiconde, provoqua dans toute sa gloire littéraire, une folle passion chez le comte de Rocca dit Caliban : à 22 ans, de moitié plus jeune, il la mit enceinte, à l’étonnement de son médecin qui, à son abdomen proéminent, ne crut d’abord possible qu’une hydropisie. Léonide Leblanc, demi-mondaine fameuse de la Belle Epoque, après avoir été la maîtresse du duc d’Aumale et autres célébrités, fut prise à la quarantaine d’une fringale de jeunes amants ; elle les trouva facilement, flattés par leurs illustres prédécesseurs.
Par commodité, la femme ménopausée peut aussi choisir son jeune amant à proximité et même dans le cercle de famille. Le sexologue M. Eck a relaté comment une mère dont la fille s’était mariée trois fois, devint la maîtresse de ses trois gendres. Certaines mères guident le choix du mari de leur fille comme s’il leur était idéalement destiné » ( Dr Georges Valensin, « La femme révélée », Editions de la Table Ronde, 1969)
Romain de Tirtoff, dit Erté (acronyme de ses initiales, R.T.) est né à Saint-Petersbourg en 1892 et décédé en 1980. Illustrateur français d'origine russe; il est surtout connu pour ses dessins de mode, aux mannequins longilignes, "fatales et sinueuses".
en 2012, la sérigraphie originale de son alphabet a été adjugée à 25000 €.
Voici la première moitié de cet alphabet
Journée classée rouge sur les routes des retours de vacances... Voici de quoi patienter dans les embouteillages
Brad W. Foster est né en 1955 au Texas. Ecrivain, éditeur et dessinateur, il a illustré tous les genres mais surtout la science-fiction. Son oeuvre érotique date de la période 1984-1986, période pendant laquelle il a illustré "The adventures of Olivia". Voici une petite galerie de dessins érotiques de Foster.
VULGARITE : Absence totale de distinction et de délicatesse.
Mais si on creuse un peu, au-delà des banalités et poncifs sur l'inanité du vulgaire, on trouve ici et là quelques points de vue un peu plus nuancés, comme celui de Cioran ( Précis de décomposition, 1949) : "Dans tout homme rien n'est plus existant et véridique que sa propre vulgarité, source de tout de qui est élémentairement vivant" (c'est moi qui souligne) ou encore cette phrase de Maupassant extraite de Pierre et Jean, 1888 : " Les femmes doivent nous apparaître dans un rêve ou dans une auréole de luxe qui poétise leur vulgarité."
Pour moi, la vulgarité est un art et ne doit pas être confondue avec la médiocrité. La médiocrité nous navre, la vulgarité nous
interpelle et nous oblige à une réflexion sur nos propres représentations mentales du beau et du laid, nos intimes conceptions du bien et du mal, du bon ou du mauvais goût... Peut-être alors
regarderez-vous autrement les 5 photos qui suivent...
Jadis et naguère : Tallulah Bankhead
Actrice américaine née en 1902 en Alabama et décédée en 1968 à New-York. Ne cachant pas sa bisexualité, elle fut l’amante de Billie Holiday et de l’actrice Alla Nazimova. C’est en 1936 au cours d’un séjour au « Garden of Alla », propriété de Alla Nazimova, alors qu’elle était nue sur une chaise longue aux côtés de Scott Fitzgerald, Charles Laughton, Humphrey Bogart, qu’elle déclara : « Faire une fellation à un homme, ça m’étrangle. Brouter une fille, ça m’étouffe. Du coup, je lis des histoires d’amour. »
En 1942, sur le tournage de « Lifeboat », le film de Hitchcock qui la rendit vraiment célèbre, Tallulah assise sur un banc, en jupe et les genoux écartés, fit monter la fièvre sur le plateau : elle ne portait pas de culotte et le spectacle était gratuit !!!
Extases
En 2004, Ernest Pignon-Ernest réalisa une série de dessins sur le thème des grandes mystiques Chrétiennes. En 2011, à Saint-Denis, ces dessins ont fait l’objet d’une exposition intitulée « Extases ». Dans l’ouvrage «Face aux murs » paru en novembre 2012 aux Editions Delpire et qui constitue une sorte de rétrospective des travaux de E. Pignon-Ernest, l’écrivaine Lydie Salvayre accompagne la série « Extases » d’un texte puissant dont je vous donne ici le début :
« Des torchons qu’on essore encore pour en voir sourdre l’âme, voici les corps de ces Divines telles que les voit Ernest Pignon-Ernest.
Des Divines qui ont pour nom Thérèse, Ines, Hildegarde, Hadewijch, Angèle, Gertrude, Mechtilde ou Catherine.
Des folles chaudes de Dieu, et toujours prêtes à accueillir l’assaut divin.
Des déchaînées, des nymphomanes, des hystériques qui seraient aujourd’hui expédiées vite fait à l’HP et dont les corps défaits, chiffonnés, sacrifiés, crucifiés, tordus comme les oliviers d’Espagne, hurlent de désir, Prends-moi, mon Dieu, prends-moi !
Des frénétiques, des exaltées, des femmes quoi, qui ne comprennent rien d’autre que ce qui leur passe par le corps, et l’amour de leur Dieu leur passe tellement par le corps, leur entre tellement dedans (Je suis l’Esprit Saint qui entre au-dedans de toi) qu’il les plie, qu’il les broie, qu’il les convulsionne et te les fout en transe, il faut voir comme !
Des jouisseuses, on l’a souvent dit, des Saintes Putes qui se pâment en recevant les verges (j’ai dit les) du Seigneur et ses baisers plus brûlants que la braise. »
En bonus, quelques oeuvres classiques sur le même thème
Pour ceux que ça intéresse, voir l'article du blog déjà
consacré à l'oeuvre de Ernest Pignon-Ernest, dessins
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