Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Mes aventures et mésaventures, # 2
Catherine C*
1987.
Soir d’automne, nuit pluvieuse. Au téléphone : « Allo, Michel ? Je te dérange ? Ma bagnole vient de me lâcher, tu peux venir me chercher ? »
Sur place, je lui propose de la raccompagner jusque chez elle :100 km aller-retour. Elle me répond que ce serait plus simple si j’acceptais qu’elle passe la nuit chez moi. Comme ça, elle serait presque sur place le lendemain matin pour s’occuper de la panne.
Catherine a 26 ans, mariée, mère d’un petit garçon de deux ans. Elle a des jambes de rêve, un petit cul serré dans son jean et des seins à peine visibles sous son épais pull de laine. Tard dans la nuit, elle veut dormir près de moi, dans mon lit, pour être au chaud. Sous les draps on se rapproche, on se serre l’un contre l’autre, on s’enlace, on s’embrasse, on s’encastre, par devant et par derrière. On jouit.
L’aventure durera plus d’une année. Soirées rock, nuits shit-tequila. Même pas la gueule de bois. L’essentiel était de baiser, de s’envoyer en l’air sans trop se poser de questions. Elle aimait souffrir mais pas trop, c’est pour ça qu’elle me demandait à chaque fois de l’enculer. Ce qu’elle préférait et qui l’excitait vraiment, c’était de baiser pendant ses règles et que ça mette du sang partout dans les draps et sur nos peaux blanches.
On peut avoir deux lectures des images qui vont suivre. Une lecture disons positive : C'est le prestige de l'uniforme qui a séduit les jeunes femmes.
Une seconde lecture plus sombre serait : abus de pouvoir d'une personne ayant autorité.
Pour cette journée, je vous ai choisi 10 photographies que je trouve belles et émouvantes. Peut-être que certains d'entre vous les trouveront choquantes ou irrespectueuses, mais moi j'y vois avant tout la recherche du bonheur qui souvent passe par l'épanouissement du corps et le plaisir sous toutes ses formes
ACROBATIE : Virtuosité qui se déploie dans la difficulté.
"L'amour est un art, une acrobatie c'est parfois de l'héroïsme" ( Lya Luft, in Pertes et profits)
Bien évidemment, ici nous ne parlerons ni de sous-alimentation, ni de diététique... mais plutôt de l'alimentation vue sous un angle tour à tour érotique, ironique ou franchement amusant.
Rappel. Keepsake. n. m. 1829, de l’anglais, to keep for my sake ( pour l’amour de moi ), sorte de livre-album, généralement illustré de fines gravures, qu’il était de mode d’offrir en cadeau, comme souvenir, à l’époque romantique.
Je vous invite donc à feuilleter ensemble quelques pages de ma vie secrète. Même si quelques noms de lieux et de personnes ont été modifiés (il ne faut pas froisser les susceptibilités) tout ce qui va suivre est authentique, dans les moindres détails… Les faits n’y seront pas racontés dans l’ordre chronologique, mais selon le fil de mes souvenirs
dessin de Manara
Mes aventures et mésaventures # 1
Annick L*
1969. Premiers après-midi de
printemps en tête à tête, en bouche à bouche, en attouchements fébriles. Elle avait 16 ans, elle était myope. Lèvres molles, seins moelleux, chatte mousseuse. Ejaculations précoces. Que de
mouillure vaine, que de foutre répandu ! On écoutait les chansons mièvres de Mélanie et l’album « In-a-gadda-da-vida » de Iron Butterfly. Son ventre ruisselant de désir avant un
arrière-goût de crème Nivéa.
1971. Elle est venue nous rendre visite à C* pour la Nuit de la Chimie à l'Université. La chimie, c’est d’abord l’alchimie de son cul en chaleur quand je lui demande de me lire à voix haute des pages entières de Sexus de Henry Miller. Elle est allongée sur le matelas de la chambre d’amis, le cul nu, les cuisses écartées, la vulve gluante de son jus de jeune femme. Elle se donne du mal pour aller jusqu’au bout du chapitre, pour respecter la ponctuation. Pas facile quand on a des lèvres collées sur la chatte, et une langue qui vous fouille le vagin. Dans sa bouche le mot « con » qui revient comme un leit-motiv est harmonieux, presque chantant.
1974. Elle est de plus en plus belle. Elle a un mec régulier, je suis marié. On se rencontre, on se désire
encore. Alors on baise comme des malades. Le temps nous est compté. Sa chatte est toujours aussi mouillée mais elle ne sent plus la crème Nivéa.
2000. Retrouvailles non programmées. Nuit à l’hôtel. Une erreur ! Les cœurs et les corps n’y sont plus. Restent les souvenirs et les regrets qu’on égrène comme un rosaire.
(désolé, j'ai oublié le nom de l'auteur de ces trois illustrations)
Le conducteur d'un véhicule doit adapter sa conduite aux conditions de circulation.
Page 192 du code Rousseau : " Pour conduire, il est essentiel d'apprendre à regarder loin ! Plus le regard est porté loin, plus il est facile de répondre à une situation conflictuelle, et plus il est mobile, plus il permet de repérer des indices utiles à la sécurité."
Dessin de Serre
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