Pour la cinquième fois, je m'adresse à vous pour tenter d'identifier l'auteur de ces illustrations dont la signature est malheureusement illisible.
Rappel de la précédente tentative avec liens :
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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Pour la cinquième fois, je m'adresse à vous pour tenter d'identifier l'auteur de ces illustrations dont la signature est malheureusement illisible.
Rappel de la précédente tentative avec liens :
Alors, on se déplace comment ?
En train ?
En métro ?
à vélo ?
ou tout simplement à pied ?
Le saviez-vous n° 64
Lu dans le Nouvel Observateur n° 2547 du 29-08-2013 cet extrait de dossier, sur la très controversée notion de genre, cosigné de Cécile Deffontaines et Véronique Radier :
« L’évidence du partage de l’humanité en deux sexes, hommes et femmes, cases hermétiques, n’est pas entièrement fondée. En atteste l’existence, certes ultraminoritaire, des intersexués. L’histoire du sport est ainsi jalonnée de ces étonnants parcours d’athlètes qui, soumises à des tests génétiques à l’occasion de compétitions, se sont, à leur grande surprise, découvertes « XY » malgré leur physique de femme ! « Le sexe ne se réduit pas à l’appareil génital apparent, pénis ou vagin, qui peut différer chez un même individu de son appareil reproducteur (ovaires ou testicules) ou de ses chromosomes ( XX ou XY, et leurs variations), voire de son rôle social. Les spécialistes parlent volontiers de cinq sexes », explique Ariane Giacobino, généticienne à Genève."
Alors, c'est le jour où jamais de s'offrir un petit massage !
D'abord le mode d'emploi...
...Ensuite, on laisse faire des spécialistes...
Dans le dictionnaire, il est indiqué qu'au pluriel, les transports amoureux correspondent à "une ivresse sentimentale ou sensuelle". Alors, pourquoi ne pas conjuguer transports en commun et transports amoureux ?
Ysabelle LACAMP, « La Fille du Ciel »
Roman paru aux Editions Albin Michel en 1998. ( Collection J’ai Lu n° 2863 )
Chapitre 16, page 231-232
Après avoir perdu son mari et son enfant mort-né, avoir miraculeusement échappé à des pirates et à un naufrage, la belle Shu-Meï se retrouve captive sur une île perdue dans la mer de Chine. Œil de Baleine, le chef du village, en a fait sa nouvelle épouse.
« Entouré de
ses épouses au grand complet qui chantaient en s’épouillant, Œil de Baleine fit basculer Shu-Meï sur l’immense natte. Elle n’eut même pas le temps de se demander s’il cachait sous son pagne un
bremas aussi effilé que les défenses de narval qui décoraient sa couche. Sans le moindre préambule, l’homme se coucha sur elle et défonça la pulpe nacrée de son petit coquillage.
Sa façon de gigoter lui faisait penser à ces Hakka qui s’escrimaient à produire du feu en frottant un bâton de figuier dans le trou d’un disque d’acacia.
Ici on « pilait le jade sans en dérober le parfum ». Point de positions subtiles du style « le Phénix voltige au-dessus de la Caverne du Cinabre » ou « la Chenille du bombyx trépigne à cloche-pied ». L’Art de la chambre à coucher était des plus rudimentaires.
Le Poisson Glissant de son nouveau maître ne frétilla pas longtemps en elle. Dans un grognement sourd, la vilaine Tortue d’œil de Baleine cracha entre ses cuisses, puis le pêcheur s’effondra sur sa nouvelle épouse comme sur une litière de fougères et ne tarda pas à ronfler pesamment sous les gloussements satisfaits de ses concubines.
Songeuse, Shu-Meï chercha à effacer les arabesques indélébiles qui dansaient sur son ventre curieusement plat. »
Ce que j’en ai pensé : Une intrigue intéressante mais un peu trop cousue de fil (de soie ?) blanc. Une langue surchargée de comparaisons et de métaphores, avec un lexique presque exhaustif des adjectifs de couleur, des objets, des mets et autres curiosités d’extrême orient. On a parfois l’impression de feuilleter un catalogue Ikéa « made in China ». Le tout agrémenté de quelques scènes de cul et d’orgie plutôt bien troussées.
Bernadette Lafont est décédée en juillet 2013, alors qu'elle venait de tourner dans "Les vacances du Petit Nicolas" sur l'île de Noirmoutier. Elle était née en 1938 et je l'avais découverte dans le film de Nelly Kaplan "La fiancée du Pirate" où elle semait le trouble dans une communauté villageoise. Elle était magnifique de sensualité ! En 1979, elle posait très déshabillée aux cotés de ses 2 filles Pauline et Elisabeth dans le numéro 191 de LUI. à l'époque j'avais aussitôt pensé qu'elle aurait pu jouer dans une adapatation du roman de Pierre Louÿs, "Trois filles de leur mère". Alors voici en mémoire à cette belle artiste à qui on a rendu bien peu hommage au moment de sa disparition, quelques photos, vestiges d'un passé pas si lointain
Photographiée en 1965 par Willy Rizzo
Photos extraites du
numéro 191 de LUI, décembre 1979
Dans le film "Une fille belle comme moi" aux côtés de Guy Marchand
Pour terminer, les deux photos d'elle que je trouve les plus sensuelles
Pour cette reprise, je vous propose une mini galerie de tableaux de Georges Delfau, toujours aussi puissants et riches de secrets et de fantasmes....
pour rappel, les galeries précédentes consacrées à Delfau :
Les cours ont repris depuis une semaine, c'est le moment de faire un premier état des lieux.
Les élèves ont découvert de nouveaux profs...
... et ce sont les premiers devoirs à la maison. Et c'est bien connu que c'est mieux de travailler à deux : on s'entraide, on se conseille et on revise ensemble
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