Même question qu'hier, et même réponse.
"Maintenant, souviens-toi... Si tu me jouis dans la bouche, je fais basculer la chaise."
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Même question qu'hier, et même réponse.
"Maintenant, souviens-toi... Si tu me jouis dans la bouche, je fais basculer la chaise."
Charlotte ROCHE, Petites morts (2011)
Flammarion 2013, pour l’édition française (335 pages). Texte traduit de l’allemand par Sophie Andrée Herr.
Pages 287-288 : Elizabeth, la narratrice, se prépare pour une passe à trois dans un bordel en compagnie de Georg, son mari…
« J’ai
souvent le sentiment que les prostituées pinaillent beaucoup sur l’hygiène, le rasage et tout le reste. Elles enlèvent tout sauf une petite moustache à la Hitler au-dessus du clitoris. Ce que je
suis en train de faire moi aussi. Terminé ! Je me passe encore de la crème sur tout le corps, surtout à l’endroit où mes fesses sont marquées par la position assise et sur la peau autour des
grandes lèvres. Je fais comme les prostituées. Tout est souvent une question de peau chez les prostituées. Une peau chaude et douce. Ce qu’il y a de mieux dans cette histoire, c’est de pouvoir
toucher le corps d’une femme. Et de regarder dans le vagin des autres femmes.
J’ai fini de préparer mon corps. Je choisis dans ma garde-robe un porte-jarretelles, un slip tanga et un soutif noir que je tire de mon grand tiroir à sous-vêtements. Parfois, j’ai moi aussi envie d’avoir l’air d’une pute, et parfois je joue à la bonne épouse et mère au foyer en triste petite culotte blanche. C’est selon mon envie. J’oscille toujours entre les deux extrêmes.
Je colle un protège-slip au fond de mon tanga noir pour ne pas le tacher de mucosité en chemin. Rien que de m’habiller et de me
préparer, ça m’excite. Une femme qui mouille autant que moi doit s’en prémunir comme d’une maladie
pour éviter les situations gênantes. Je mets d’abord mon porte-jarretelles avec les bas assortis, puis mon slip par-dessus pour que je puisse ensuite, pendant le sexe, enlever le slip tout en
gardant mon porte-jarretelles. Au-dessus, j’enfile ma robe qui se retire très facilement le moment venu. De toute façon, là-bas, on sera nus la plupart du temps. »
Ce que j’en pense : Comme extrait, je ne vous ai pas choisi les passages les plus chauds afin de vous laisser le plaisir de la découverte. Mais ce roman n’est pas seulement une histoire de cul, c’est aussi un magnifique texte sur l’indicible souffrance du deuil, la quête de l’amour absolu et l’éternel combat pour la vie. Un livre à ne pas manquer
Recto : la façade, l'avant-scène, la proue, la devanture, la vitrine, le côté rue...
Verso : le postérieur, l'arrière-train, le cul, l'abside, l'arrière-boutique, l'envers, la poupe...
Finalement, l'envers vaut-il l'endroit ?
L'enseignement, ce sont d'abord des cours magistraux...
... puis des travaux pratiques, des exercices et des évaluations.
Il est vrai qu'ils ont droit à tout notre respect, et pas seulement le 4 octobre, mais chaque jour...
Jadis et naguère : Jane Russell
Ernestine Jane Geraldine Russell est née dans le Minnesota en 1921 et décédée en Californie en 2011
C’est en 1943 qu’elle fit ses grands débuts comme actrice de cinéma dans le film de Howard Hughes, «The outlaw » ( maladroitement traduit en français par « le banni ») Film culte où elle se révèle très sensuelle et où sa généreuse poitrine très dénudée fait sensation lui attirant les foudres de la censure. Elle devient dès lors une des pin-ups favorites des soldats américains en guerre.
De 1943 à 1975, Jane Russell tourna dans 25 films dont « Les hommes préfèrent les blondes » aux côtés de Marilyn Monroe
Photos extraites du film "The Outlaw" et variations sur le thème de la fameuse scène dans la grange
Autres photos dont pour finir un photomontage très érotique
Le saviez-vous n° 65
vignette de Hugdebert (extraite de l'album : "La compagne du tigre")
Des communautés de femmes homosexuelles ont été mentionnées dès les temps les plus anciens ; le sexologue allemand Magnus Hirschfeld, lors de son séjour en Chine en 1932, signalait dans la province de Canton une coutume qui d’après son gouverneur remontait à une époque très lointaine : des dévideuses de cocons de vers à soie se séparaient de leur famille pour vivre par couple, dans des habitations qu’elles se construisaient. Au début du siècle, dans le Haut-Nil, existaient des ménages de lesbiennes chez le peuple pastoral des Nuers ; selon l’ethnologue anglais W Dodge qui vécut parmi elles, le « mari » de ces ménages consistait en un pénis artificiel fait d’une racine creuse, remplie du sperme obtenu en masturbant un homme et conservé au frais.
D'une pierre deux coups :
1er octobre : Journée Mondiale de l'Allaitement maternel...
... mais aussi Journée Internationale des Personnes Agées
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