Mardi 6 août 2013 2 06 /08 /Août /2013 11:41

Le saviez-vous n° 61

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 Au fil des siècles, d’innombrables femmes ont témoigné être extrêmement sensibles à un organe mâle « opulent ». Certains cas historiques sont même restés célèbres. Ainsi, selon la chronique scandaleuse, la petite sœur de l’empereur, Pauline Bonaparte  (1780-1825) appréciait particulièrement le gigantisme.

savoir61-Pauline BonapartePauline Bonaparte en Vénus


Marmontel (1723-1799) était pourvu d’un organe aux dimensions exceptionnelles dont le félicitait Voltaire, lui-même si mal appareillé ; selon Stendhal, cet avantage naturel « fit les succès de Marmontel dans le monde et la plus grande partie de sa réputation en littérature ». Dans ses Mémoires d’un père pour servir à l’éducation de ses enfants, Marmontel évoque de très nombreuses bonnes fortunes directement liées à la taille de son sexe.

savoir61-marmontelPortrait de Marmontel

Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 5 août 2013 1 05 /08 /Août /2013 08:40

On approche de la fin...

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Lorsque Odile raconta cet après-midi de cauchemar au Président, celui-ci parut sincèrement désolé de ce qui était arrivé. Il promit de se montrer à l’avenir plus vigilent dans le choix des clients et s’engagea à s’occuper personnellement – il insista bien sur ce mot – des bourreaux d’Odile. La promesse fut sans doute tenue car, dans les semaines et les mois qui suivirent, Odile ne fut plus jamais importunée par des clients trop exigeants ou douteux. Elle en fut reconnaissante au Président pour qui elle éprouva un regain de dévouement et d’admiration.

comptable19-1Cependant, l’enthousiasme et l’insouciance des premières passes n’étaient plus de mise. Certes, elle n’était pas encore fatiguée de ses activités putassières – les gains substantiels n’y étaient sans doute pas étrangers – mais elle pressentait que tout ceci était désormais éphémère, et qu’un jour ou l’autre il lui faudrait rentrer dans le rang. Alors, en attendant, elle baisait et se faisait baiser. Elle éprouvait toujours la même émotion, la même excitation, à ouvrir une braguette, à empoigner une bite, à la faire durcir dans sa bouche, à soupeser une paire de couilles et surtout à se faire téter les seins, lécher la moule et à se faire enfiler… Il lui semblait qu’il n’y avait rien de meilleur au monde que de sentir une bite pénétrer dans son con, s’y loger tout entière, y prendre ses quartiers d’hiver, bien au chaud jusqu’à la racine…

À l’image de son propriétaire, chaque bite était différente, chacune avait sa texture, sa rigidité, son parfum, sa taille, son émotivité. Même si elle les préférait plutôt grosses, circoncises et endurantes, elle les aimait toutes.

Pour des raisons d’hygiène et de confort, Odile s’était intégralement épilée, du pubis à l’entrefesses, ce qui eut pour conséquence inattendue de réveiller la libido de Sébastien qui se montra soudain plus entreprenant. Bien que surprise, Odile n’en fut pas fâchée. Ainsi, deux jours par semaine, elle baisait du matin au soir ! comptable19-3

Et puis, il y avait la bite du Président ! Celle-là, il lui semblait qu’elle ne pourrait jamais s’en passer tant elle était ajustée à ses lèvres, à son vagin, à son cul. La prendre en main, c’était comme s’asseoir au volant d’une berline allemande, sensations étroitement mêlées de puissance et de sécurité. La force tranquille, orgasme garanti ! Elle la connaissait par cœur, du périnée au bout du gland ; les yeux bandés, elle l’aurait reconnue entre mille et le bonheur suprême, c’était quand il lui jouissait dans la bouche et qu’elle se délectait de son sperme.

De nouveau amoureuse, Odile eut même l’audace d’introduire le Président au cœur de son foyer. Sous le couvert d’une visite de courtoisie, elle l’invita un samedi soir à dîner en famille. Le Président y vint avec son fils que connaissaient bien les enfants d’Odile – les gamins étaient copains de jeux sur la cour de récréation. Sébastien fut ravi et flatté de cette visite. Mais la plus émue fut sans aucun doute Odile qui pour la première et dernière fois voyait réunis à la même table son mari et son amant. Elle en avait la chatte trempée de bonheur. Tout en les écoutant parler travail, voitures et autres banalités, elle rêvait à une partie de cul à trois dans son grand lit conjugal, elle prise en sandwich entre ses deux hommes, un dans le con, l’autre dans le cul… Ça aurait de la gueule !

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Telle était devenue Odile Varney : mère de famille, experte comptable, épouse adultère et putain à temps partiel sous le nom de Claudia…

Pour Noël, ses enfants lui offrirent une boîte de chocolats fins, son mari un smartphone dernière génération, son amant une guêpière hyper sexy et son meilleur client une montre de prix pour être ponctuelle à leurs prochains rendez-vous… Tout paraissait pour le mieux dans le meilleur des mondes…

 

© Michel Koppera, juillet 2013

à suivre…

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Dimanche 4 août 2013 7 04 /08 /Août /2013 11:54

Suite et fin de la galerie d'illustrations du texte de Roseline Parny, "Les frasques d'une femme infidèle"

Nicole Claveloux, galerie n° 3

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Samedi 3 août 2013 6 03 /08 /Août /2013 09:56

Suite aux deux premièrs articles consacrés aux dessins de Nicole Claveloux, Jean-François Launay, un fidèle lecteur du blog, m'a informé que Nicole Claveloux avait aussi illustré des textes érotiques sous le pseudonyme anagramme de Cécile Vallonoux. Il s'agit des deux ouvrages suivants

1) "Les frasques d'une femme infidèle", texte signé de Roseline Parny, paru aux éditions Sabine Fournier en 2005

2 ) "L'ingénue lubrique", texte de Dimitri Bolyev, paru aux éditions Sabine Fournier en 2007

Je vous propose une première série d'illustrations du texte de Roseline Parny (ces dessins m'ont été adressés par Jean- François que je remercie ici chaleureusement)

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Vendredi 2 août 2013 5 02 /08 /Août /2013 11:23

De son vrai nom Hilda Isabel Sarli Gorrindo Tito, Isabel Sarli, surnommée "La Coca", est née en juillet 1935 en Argentine. Son premier rôle au cinéma date de 1956 dans le film "El trueno entre los hojas" de l'acteur-réalisateur Armando Bo. Elle y tourne les premières scènes de nu du cinéma argentin. Malgré la censure, elle devient une star internationale et tourne des films dans toute l'Amérique du Sud hispanophone.

Ses principaux films sont  La mujer del Zapatero en 1964, Fuego en 1969 et Fiebre en 1971

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La plastique du corps de Isabel Sarli n'est pas sans rappeler celle de Sophia Loren : somptueuse chevelure brune, poitrine plus que généreuse et  visage très sensuel... Je vous laisse juges.

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Mercredi 31 juillet 2013 3 31 /07 /Juil /2013 19:22

Polaroïd ( première commercialisation en 1948, tirage couleur en 1963)

C’était dans les dernières années de la décennie 1970-80, on était encore jeunes et sans le sou. Je me souviens qu'en 1978, pour noël, un oncle nous avait offert un Polaroïd. Bientôt, le cadeau devint l’accessoire indispensable de nos jeux érotiques. Chaque début de mois, quand on avait l’illusion pendant quelques jours d’être riches, nous achetions une cartouche de 10 épreuves. C’était un achat d’importance – ces recharges coûtaient bonbon ! – mais ô combien excitant.

La magie du Polaroïd résidait dans son instantanéité et son absolue confidentialité. Il répondait dans la minute à nos envies et fantasmes du moment. On se prenait en photo avant, pendant, après. Avant, il aiguillonnait notre désir ; pendant, il le décuplait ; après, il le réveillait. On attendait avec fébrilité la sortie de la photo qui surgissait d’un seul coup d’une fente étroite au bas de l’appareil,  encore chaude, un peu collante, petit carré de couleurs et de vie dans son cadre de carton blanc. Souvent, l’image n’était pas de très bonne qualité – le flash avait écrasé toutes les nuances - mais sa spontanéité suffisait à notre bonheur.

Jamais aucun photographe ni aucun technicien de laboratoire de développement, ne verrait ces clichés. Alors, on se permettait des poses audacieuses, des obscénités de salon, on s’inventait une pornographie domestique sans tabou… Ainsi, au fil des mois, on s’était constitué un album de souvenirs très intimes qu’on feuilletait ensemble. On s’y regardait comme dans un miroir, on faisait des commentaires, on se trouvait beaux et intrépides, on s’en aimait davantage.

Le Polaroïd, c’était 6241 millimètres carrés * de liberté sexuelle.

( * format standard de l'image polaroïd : 7,9 X 7,9 cm )

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 31 juillet 2013 3 31 /07 /Juil /2013 10:09

Rappel du chapitre précédent : Odile se croit libre d'agir à sa guise...

 

comptable18-2Au bout d’une année de prostitution occasionnelle, on peut dire que Claudia était devenue une authentique putain, alors que Odile, mariée et mère de deux garçons, jouait à la perfection les épouses modèles. Avec le Président, elle n’avait plus que des contacts épisodiques et très brefs. Cependant, il continuait  de « gérer » à distance ses activités clandestines et de lui assurer une clientèle régulière et inoffensive.

Pourtant, la belle machine finit par s’enrayer. Tout débuta de façon banale par un rendez-vous classique avec un client dans un hôtel Campanile de banlieue. Le Président n’avait pas donné beaucoup d’informations : un homme de 52 ans, sans antécédent judiciaire, divorcé, fonctionnaire. Pas de fantasmes particuliers.

La chambre réservée par le Président était située au premier étage, tout au bout d’une sorte de coursive couverte, avec vue sur la voie express où passaient sans cesse des lourds camions bâchés.

L’homme fut ponctuel et conforme aux renseignements fournis par le Président. La routine : déshabillage, fellation, pénétration, éjaculation. Le tout en vingt minutes chrono. Sauf que le client avait réservé Claudia pour une heure et qu’il en voulait pour son argent. Comme il ne bandait plus, elle lui demanda ce qui pourrait l’exciter.

- J’aimerais bien vous attacher sur le lit, aux poignets et aux chevilles… Et aussi vous mettre un bandeau sur les yeux. Je crois que ça me plairait…comptable18-1

- Pourquoi pas, mais le problème c’est que je n’ai pas le matériel.

- Moi, si ! J’ai tout apporté.

Et ce fut ainsi que Claudia-Odile se retrouva allongée sur le dos, les bras en croix, les jambes écartées, les yeux bandés, entièrement nue…

- Et maintenant ? demanda-t-elle encore insouciante.

- On va s’occuper de vous, répondit la voix très calme du client.

Le « on » fit frissonner Odile. Elle sentit un courant d’air froid courir sur sa peau et comprit que la porte de la chambre venait d’être ouverte.  Le grondement sourd des camions emplit brusquement tout l’espace. Puis, elle perçut des bruits de pas, devina de nouvelles présences. Elle fut saisie de panique, tenta de se libérer, mais il lui fallut vite se rendre à l’évidence : les menottes n’étaient pas de pacotille et surtout bien arrimées aux barreaux du lit. Elle ne fit que se meurtrir inutilement les poignets et les chevilles. La peur lui avait coupé le souffle et la parole.

Soudain, elle sentit le matelas s’affaisser ; quelqu’un venait de s’asseoir à ses côtés. Une main froide et rugueuse courut sur ses seins, son ventre, entre ses cuisses. Puis une autre, plus douce, passa dans ses cheveux. Elle entendit des bruits de ceinturon qu’on déboucle, de fermetures Eclair qu’on ouvre. Et tout cela sans un mot, avec en musique de fond le roulement continu du flot de camions sur la voie rapide.

comptable18Enfin, et ce fut presque un soulagement, elle sentit un homme s’agenouiller entre ses cuisses, lui graisser la vulve avec une sorte de gel épais puis, sans aucun préambule, une queue énorme la pénétra… Sans préservatif ! « Il me baise sans protection ! Le salaud ! » C’était cela qu’elle se répétait mentalement pour tenter d’oublier la bite massive qui lui labourait le vagin avec la constance d’une machine-outil. Heureusement, l’épreuve fut de courte durée car son bourreau lui jouit dans le ventre en grognant. Odile se sentit comme inondée de foutre.

Elle se crut quitte, mais son calvaire ne faisait que commencer. Trois autres baiseurs tout aussi expéditifs se succédèrent. Quand ils la pénétraient ça faisait comme le bruit d’un pied qui s’enfonce dans une boue visqueuse. C’était à peine si elle les sentait, comme si tout le sperme répandu l’avait anesthésiée. Tout ce qu’elle savait, c’était que ça lui coulait dans la raie des fesses et que ça mouillait le drap. Et puis, il y avait l’odeur tenace du foutre qui lui saturait les narines.comptable18-3

De nouveau, l’air frais du dehors courut sur sa peau : ils avaient rouvert la porte ! Et puis, une nouvelle présence accompagnée d’un cliquetis de chaîne et d’une odeur fauve, saugrenue. Un chien ! Ils venaient de faire entrer un chien dans la chambre ! Odile se raidit, s’agita comme une damnée. Elle trouva la force de supplier :

- Non, pas ça ! Je vous en prie… 

Mais déjà la bête était sur le lit à lui renifler la chatte. Sa truffe humide et froide lui effleurait le clitoris. Et voilà qu’il la léchait de sa langue souple et chaude. Il la lapait de bas en haut, du périnée au mont de Vénus, régulièrement, doucement, comme si le con d’Odile était un chiot. Peu à peu, elle se détendit. Alors la langue du chien se fit plus insinueuse, allant chercher le sperme jusque dans son vagin grand ouvert. Ce qu’elle redoutait, c’était que ses tourmenteurs laissent le chien la saillir. Elle avait déjà vu des images de zoophilie et en avait été horrifiée.

Heureusement, il n’en fut rien ! Quand elle fut récurée dans les moindres replis de son intimité, le chien sembla se désintéresser d’elle. Odile devina qu’on l’emmenait dehors. Cependant, elle était toujours là, à leur merci, en croix sur son lit de souffrance.

Toujours sans un mot, deux hommes lui saisirent les jambes, lui relevèrent les genoux de façon à lui dégager les fesses. Un troisième se mit en position pour l’enculer. Elle sentit le bout du gland se poser sur son anus et l’homme se mit à pousser, pousser jusqu’à ce que la rondelle cède et s’ouvre sous la pression. Dans un ultime effort tout rentra, d’un seul coup, jusqu’au fond. Odile poussa un cri, plutôt un râle.

- Salaud ! Tu n’es qu’un salaud, sale ordure ! lança-t-elle comme un anathème.

Mais l’autre n’en avait cure. Il était dans un cul de putain et entendait y prendre du plaisir. Alors pour la première fois, Odile entendit une voix :

comptable18-5- Oui, je suis un salaud et tu es une putain ! Ouvre ton cul, salope ! Je vais t’apprendre moi à jouer perso. Tu croyais t’en tirer comme ça, ni vu ni connu ? Mais t’es rien d’autre qu’une employée, t’es pas la patronne ! Alors que moi j’ai tous les droits… Aujourd’hui, ce n’était qu’un avertissement. Si jamais une envie d’indépendance te reprenait, sache qu’on reviendrait, mais pas avec une chienne comme tout à l’heure, mais avec un doberman monté comme un âne… Tu vois le genre ?

Ces paroles firent à Odile l’effet d’une douche froide. Elle y devina une sourde menace, plus dangereuse que tout ce qu’elle venait de vivre. L’homme n’en dit pas plus et continua de lui pistonner le rectum et, enfin, lui lâcha ses bordées de foutre dans les entrailles. Quand ce fut terminé, elle s’attendait à ce que les deux autres prennent la suite, mais non. Elle les entendit se rhabiller, puis on lui libéra un poignet. Un homme se pencha à son oreille et lui dit tout bas :

- On s’en va. Tu comptes jusqu’à cinquante avant d’enlever son bandeau. Cinquante, c’est compris ? Tu trouveras les clefs des menottes sur la table de chevet. Bonne chance,bébé, et prends garde à toi !

Odile resta longtemps immobile, paralysée par la peur, incapable d’un mouvement. Quand elle se décida à ôter son bandeau, il faisait déjà presque nuit. Sur la voie rapide toute proche grondaient les semi-remorques. Une fois détachée, elle s’enferma dans la salle de bains et trouva refuge sous la douche pour reprendre ses esprits.

 

© Michel Koppera, juillet 2013

à suivre…

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Mardi 30 juillet 2013 2 30 /07 /Juil /2013 10:31

Amitié, comme :

Amitié entre les peuples ?

amitie-peuples

 

Un geste amical ?

amitie-geste

Faire ami ami ?

faire-ami-ami

L'ami de la famille ?

ami-de-la-maison

L'ami d'enfance ?

ami-d-enfanceUne soirée entre amis ?

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Lundi 29 juillet 2013 1 29 /07 /Juil /2013 09:52

Je fais de nouveau appel à vous pour tenter d'identifier l'auteur de ces dessins. La signature est illisible. Les recherches sur la société allemande de vidéo X Silwa pour laquelle cet illustrateur travaillait n'aboutissent à rien. Je m'en remets donc encore une fois à vous pour percer le mystère...

En lien, le rappel des 3 articles précédents

Qui est-ce ?

Qui est-ce ?

Qui est-ce ? (nouvel appel)

silwa-12Avouez que ce serait dommage de ne pas pouvoir mettre un  nom sur ces petits chefs d'oeuvre d'érotisme kitch !



Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 27 juillet 2013 6 27 /07 /Juil /2013 14:03

Suite et fin de la rencontre entre Odile et Séverine

 

comptable17-1Séverine n’en demandait pas tant. Elle s’approcha et posa ses mains tremblantes sur les seins d’Odile. Elle resta très longtemps comme cela, quasiment immobile, avec ses mains qui habillaient tendrement les seins d’Odile. Mais insensiblement, leurs visages se rapprochaient, les yeux dans les yeux… Puis enfin leurs bouches mêlèrent leur souffle, leurs lèvres se frôlèrent d’abord, puis se collèrent pour un long baiser mouillé… Alors seulement les mains de Séverine abandonnèrent les seins d’Odile et descendirent sur ses hanches, ses fesses, son ventre. Odile écarta un peu les jambes pour ouvrir l’accès à son sexe que caressait Séverine à travers sa culotte bientôt humide. Quand elles furent repues de baisers, Odile s’écarta un peu pour glisser sa main dans le peignoir de Séverine qui ne  portait rien en dessous, ni culotte, ni soutien-gorge. La fente de son sexe entièrement épilé était gluante. Odile ouvrit le peignoir en grand et vit les seins lourds aux mamelons dressés, les cuisses dodues sous l’arrondi de son ventre…

- Il faudrait que je perde quelques kilos, soupira Séverine.

- Mais non, vous êtes très belle comme ça !

- Vous trouvez ?

Bras dessus, bras dessous, elles regagnèrent le salon : Odile en petite culotte et porte-jarretelles, Séverine en peignoir débraillé. Elles se vautrèrent sue le canapé. Séverine fit glisser la culotte d’Odile jusqu’aux chevilles, lui écarta les cuisses et vint plaquer la bouche sur sa vulve tuméfiée de désir. Pour la première fois, une femme lui léchait le sexe. Penchant la tête vers son ventre, elle ne voyait que la masse de l’abondante chevelure blonde étalée sur sa peau. La langue de Séverine était chaude et souple. Avec une perfide douceur, elle fouillait son intimité, branlait son clitoris… De toute évidence, ce n’était pas la première fois qu’elle se livrait à cet exercice : sa bouche était experte en caresses.comptable17-2

Odile profita de ce long cunnilingus pour biper discrètement le portable de l’époux aux aguets. Puis, libérée de ses obligations, elle put enfin se laisser aller, elle aussi, au plaisir. Pour rendre la politesse à Séverine, elles se retrouvèrent tête-bêche en travers du canapé à se lécher mutuellement, à se caresser, à se doigter profondément… À ce jeu, Séverine fut la première à jouir : un orgasme glapissant, générateur de flots de liqueur vaginale qui lui inondèrent la vulve en saccades, au rythme des pulsations de son périnée en émoi. Plus tard, elles entrecroisèrent leurs cuisses à la manière de deux paires de ciseaux, de telle sorte que leurs bas-ventres étaient ventousés l’un à l’autre : leurs lèvres vaginales s’embrassaient, leurs mouillures se mêlaient, leurs clitoris s’excitaient mutuellement. Séverine ondulait du bassin pour accentuer le frottement. Elle était en sueur, échevelée et pantelante, le feu aux joues, incapable d’une parole sensée…

C’est ainsi que son mari les découvrit, nues sur le canapé, emboîtées comme les deux pièces maîtresses d’une machinerie infernale. Tout à leur plaisir, elles ne l’avaient pas entendu arriver. Puis soudain, Séverine s’écria :

- Oh, Hubert ! Qu’est-ce que tu fais là ? Ce n’est pas du tout ce que tu crois, laisse-moi t’expliquer !

comptable17-4Elle tenta de se dégager. Ce faisant, elle offrit le spectacle de sa vulve poisseuse, de son vagin béant et gras, de son clitoris en érection. Avant que Séverine ait pu quitter le canapé, Hubert avait déjà pris place aux côtés des deux femmes nues, ouvert son pantalon et sorti sa queue raide. Il bandait ferme !

- C’est un malentendu, répétait désespérément Séverine… Je vais tout t’expliquer.

- Tu m’expliqueras plus tard… Tu auras tout le temps pour ça ! Déclara Hubert en renversant sa femme sur le canapé et en lui écartant les cuisses. Elle se laissa faire. Alors, sans attendre, il lui planta sa queue raide dans le con pendant qu’Odile venait s’agenouiller au-dessus du visage de Séverine. Odile s’abaissa lentement jusqu’à ce que sa vulve écartelée rejoigne la bouche de Séverine. Ainsi alors qu’elle embrassait goulûment Hubert, elle se faisait lécher la moule. Séverine eut vite un nouvel orgasme encore plus glapissant que le premier. Puis ce fut au tour d’Odile de se faire enculer par la grosse queue d’Hubert pendant que, couchée sous elle, la tête entre ses cuisses, Séverine lui suçait le clitoris et massait les couilles velues de son mari. Odile retenait sa jouissance, elle voulait en profiter au maximum. Dans un ultime coup de rein, Hubert lui lâcha tout dans le rectum.

- Oh,  mon dieu , mon dieu ! gémissait Séverine en passant la langue sur les lèvres où tombaient des gouttes de sperme chaud.

Plus tard, quand ils furent tous les trois rhabillés, recoiffés et assagis, Hubert et Odile se livrèrent, devant une Séverine étrangement discrète, à la mascarade d’un entretien d’affaires. Ils discutèrent donc délais de livraison, marges bénéficiaires et clauses de rupture de contrat, puis apposèrent leurs signatures au bas des documents. Hubert raccompagna Odile jusqu’à l’ascenseur et la remercia de sa prestation.

- Je vous tiendrai au courant de la suite, lui dit-il en la quittant. Je vous revois dans un mois…

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comptable17-3En effet, elle le revit un mois plus tard, dans l’hôtel où ils avaient leurs habitudes.

- Séverine ne m’a jamais reparlé de vous, ni de ce que vous aviez fait ensemble. Mais ce qui a changé, c’est que depuis, chaque samedi soir, je loue les services d’une escort-girl. Séverine ne se mêle pas du choix, ne pose aucune question. Nous nous retrouvons vers 21 heures dans un restau. On dîne ensemble tous les trois, puis après le repas on prend une chambre d’hôtel pour faire l’amour à trois. La fille repart vers minuit. La seule chose qu’exige Séverine, c’est de ne jamais la revoir. Chaque soirée doit rester sans lendemain, et c’est sans doute mieux comme ça ! Je la sens plus épanouie, presque sereine.

 

© Michel Koppera, juillet 2013

à suivre…

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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