Lundi 13 mai 2013
1
13
/05
/Mai
/2013 12:49
ESPARBEC, « Frotti-frotta », 305 pages. Éditions La Musardine, 2011, collection Lectures
amoureuses.
Extrait n°2, pages 297-298. Deux pensionnaires, Rebecca et Amandine sont au lit et se sont déjà bien branlées
quand Rebecca décide de faire découvrir à sa compagne les plaisirs du « frotti-frotta »
« - Cette chose, ce sont les noces de deux chattes. Et pour que les chattes s’épousent, ma chérie, il faut qu’elles soient bien
mouillées, bien énervées, au bord de la rage… Ça tombe bien, la tienne est aussi mouillée que la mienne, on va donc pouvoir se payer une bonne séance de frotti-frotta…
- Frotti-frotta ?
- Tu vas voir… je vais te mettre le feu aux tripes, tu vas monter jusqu’au septième ciel…Écarte bien les cuisses, viens au bord
du lit, tu vois je pose un pied par terre, l’autre sur le lit, et je m’accroupis, toi tu relèves la cuisse qui se trouve au bord du lit… voilà, comme ça, alors, moi, je me baisse et tu
sens ? Nos deux fentes, l’une sur l’autre, comme deux bouches… deux bouches qui mélangent leurs salives… qui se roulent des pelles… comme si on se léchait là en bas avec quatre langues… Les
langues, ce sont les petites lèvres… Un baiser sur les lèvres…
Tout en parlant, Rebecca se frottait à Amandine sexe à sexe, elle se branlait sur le sexe d’Amandine tout en la branlant par la
même occasion avec le sien.
- C’est pas génial ? On éprouve toutes les deux les mêmes sensations en même temps ! Exactement les mêmes
sensations ! Tu sens, tu sens ? Tu sens comme ça fait ventouse… comme ça se colle bien… on dirait qu’on n’a plus qu’une seule chatte à nous deux… je sens ton bouton dans mon trou et
quand je descends, c’est mon bouton qui entre dans le tien… oui, tu peux crier ma chérie… c’est bon, hein ? L’amant de ta mère ne pouvait pas te faire ça, hein ? Tu sens comme la
mouille coule de nous ? Comme nous adhérons l’une à l’autre… C’est ça, la véritable union des âmes… Le temps s’est arrêté. Il n’y a plus que toi et moi.
- Rébecca… Rébecca…
- Oui, coquine, frotte bien ta moule contre la mienne. Entre filles, frottons-nous bien ! Tu sens… le feu est en train de
prendre… Continue, continue, même si ça brûle, n’arrête pas, plus vite, plus fort, ça va être l’illumination ! »
Derniers Commentaires