J'en demande par avance pardon à la gent féminine, mais je ne peux résister au plaisir de vous proposer en ce jour quelques images bien machistes de la secrétaire au "travail"
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
J'en demande par avance pardon à la gent féminine, mais je ne peux résister au plaisir de vous proposer en ce jour quelques images bien machistes de la secrétaire au "travail"
Le saviez-vous n° 56
« Des ouvrages de sexologie érotique détaillent les exhalaisons qui peuvent émouvoir le partenaire : l’odeur fauve du mont de Vénus, celle légèrement aigrelette du vagin par l’acide lactique, celle fade ou urinaire du clitoris… Des mâles olfactivement émotionnables recherchent ces émanations dans le cunnilingus ; Steckel témoigne avoir connu un Autrichien qui le pratiquait « pour se réjouir quelques heures de l’odeur vaginale qui demeurait dans ses épaisses moustaches ». Henri IV, coutumier du baiser sexuel selon la chronique galante, écrivait à une de ses maîtresses de demeurer plusieurs jours couchée pour qu’il la trouve embaumée d’odeurs fortes. Edouard Degas, le peintre des tutus d’Opéra, aimait répéter que l’amour n’est pas une question de peau mais d’odeurs ; à un interlocuteur qui exprimait son dégoût du baiser génital, il répliqua : « Quelle triste vieillesse vous vous préparez ! » ( Ibid : La femme révélée, 1969)
ROBOT: Mot d'origine tchèque. En 1924, le nom "Robota" (travail forcé) désignait des ouvriers artificiels dans une pièce de K. Capek.
1. Machine à l'aspect humain capable de se mouvoir et d'agir, pouvant se substituer à l'homme pour effectuer certaines opérations.
2. Nom générique donné à certains appareils ménagers à fonctions multiples.
3.Etre humain réduit à l'état d'automate
Aujourd'hui, pas de soja OGM, pas de maïs transgénique, pas de viande de cheval dans nos lasagnes, pas de vache folle ni de tremblante du mouton... Rien que de l'amour !
Alexandre Jardin, « Le Zèbre » (Gallimard, 1988)
Collection Folio n° 2185
Pages 92-93 : Camille, la quarantaine, professeur de lettres et épouse du Zèbre, a accepté un rendez-vous secret avec un inconnu qui lui a demandé par courrier de l’attendre dans une chambre d’hôtel miteux. Elle est persuadée que l’inconnu n’est autre qu’un de ses élèves prénommé Benjamin.
« Elle s’allongea sur le lit pour reprendre ses esprits et son souffle ; quand tout à coup elle vit la poignée remuer.
L’Inconnu apparut dans l’embrasure, masqué par une cagoule, croyant sans doute maintenir ainsi le mystère de son identité. Cette attention émut Camille. Elle n’en trouva
benjamin que plus troublant. Muet, il avança ses mains gantées et lui noua sur les yeux un épais bandeau noir. Un à un, les boutons-pression de son corsage sautèrent, avec une exquise lenteur.
Frémissante, Camille se laissa dévêtir entièrement. Il ôta ensuite ses gants et frôla ses hanches. Enfin, les belles mains de Benjamin jouaient sur sa peau, arpentant son anatomie du bout des
doigts. Sans un mot, il la couvrit de caresses tremblées, interminables et enveloppantes.
Camille essaya de le déshabiller ; mais il lui fit sentir qu’il pouvait s’acquitter lui-même de cette tâche, et s’exécuta. Il la repoussa à nouveau quand elle tenta à tâtons, de l’attirer contre son sein. Elle comprit alors que Benjamin voulait éviter tout contact susceptible de l’identifier. Conciliante, elle renonça à ses velléités de câlins.
Ils s’aimèrent deux fois, d’une manière peu recommandée par les missionnaires. Au prix d’acrobaties palpitantes et scabreuses, ils atteignirent l’un et l’autre les stratosphères du septième ciel sans que Benjamin eût jamais pesé sur Camille. Le diable dut y prendre du plaisir.
Rassasiée, elle l’entendit remettre ses vêtements et s’éclipser lentement. Après ce corps à corps, elle savait déjà qu’elle succomberait s’il la convoquait à nouveau. Elle était prête à affronter cent fois les clins d’œil vicelards du patron de l’hôtel et la crasse de la chambre 7 pour retrouver la volupté de ces étreintes aveugles. Seule, elle dénoua son bandeau et enfila son chemisier. »
Pendant ma courte absence, le nombre de pages vues du blog a dépassé les deux millions. Quant aux lecteurs, ils ont dépassé la barre des 300 000. Au cours des dernières années, le blog s'est mondialisé et désormais je compte des lecteurs de toutes nationalités, de la Turquie au Japon, en passant par l'Australie ou les USA. Il fallait fêter ça : je vous invite donc à passer à table !
Fruits de mer en entrée
volaille rôtie en plat de résistance
En dessert, au choix : gâteau maison...
ou glace...
Bon appétit !
Comme je dois vous abandonner pour quelques jours, je vous laisse avec une collection de fessiers avenants...
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