Aujourd'hui, pas de soja OGM, pas de maïs transgénique, pas de viande de cheval dans nos lasagnes, pas de vache folle ni de tremblante du mouton... Rien que de l'amour !
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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Aujourd'hui, pas de soja OGM, pas de maïs transgénique, pas de viande de cheval dans nos lasagnes, pas de vache folle ni de tremblante du mouton... Rien que de l'amour !
Alexandre Jardin, « Le Zèbre » (Gallimard, 1988)
Collection Folio n° 2185
Pages 92-93 : Camille, la quarantaine, professeur de lettres et épouse du Zèbre, a accepté un rendez-vous secret avec un inconnu qui lui a demandé par courrier de l’attendre dans une chambre d’hôtel miteux. Elle est persuadée que l’inconnu n’est autre qu’un de ses élèves prénommé Benjamin.
« Elle s’allongea sur le lit pour reprendre ses esprits et son souffle ; quand tout à coup elle vit la poignée remuer.
L’Inconnu apparut dans l’embrasure, masqué par une cagoule, croyant sans doute maintenir ainsi le mystère de son identité. Cette attention émut Camille. Elle n’en trouva benjamin que plus troublant. Muet, il avança ses mains gantées et lui noua sur les yeux un épais bandeau noir. Un à un, les boutons-pression de son corsage sautèrent, avec une exquise lenteur. Frémissante, Camille se laissa dévêtir entièrement. Il ôta ensuite ses gants et frôla ses hanches. Enfin, les belles mains de Benjamin jouaient sur sa peau, arpentant son anatomie du bout des doigts. Sans un mot, il la couvrit de caresses tremblées, interminables et enveloppantes.
Camille essaya de le déshabiller ; mais il lui fit sentir qu’il pouvait s’acquitter lui-même de cette tâche, et s’exécuta. Il la repoussa à nouveau quand elle tenta à tâtons, de l’attirer contre son sein. Elle comprit alors que Benjamin voulait éviter tout contact susceptible de l’identifier. Conciliante, elle renonça à ses velléités de câlins.
Ils s’aimèrent deux fois, d’une manière peu recommandée par les missionnaires. Au prix d’acrobaties palpitantes et scabreuses, ils atteignirent l’un et l’autre les stratosphères du septième ciel sans que Benjamin eût jamais pesé sur Camille. Le diable dut y prendre du plaisir.
Rassasiée, elle l’entendit remettre ses vêtements et s’éclipser lentement. Après ce corps à corps, elle savait déjà qu’elle succomberait s’il la convoquait à nouveau. Elle était prête à affronter cent fois les clins d’œil vicelards du patron de l’hôtel et la crasse de la chambre 7 pour retrouver la volupté de ces étreintes aveugles. Seule, elle dénoua son bandeau et enfila son chemisier. »
Pendant ma courte absence, le nombre de pages vues du blog a dépassé les deux millions. Quant aux lecteurs, ils ont dépassé la barre des 300 000. Au cours des dernières années, le blog s'est mondialisé et désormais je compte des lecteurs de toutes nationalités, de la Turquie au Japon, en passant par l'Australie ou les USA. Il fallait fêter ça : je vous invite donc à passer à table !
Fruits de mer en entrée
volaille rôtie en plat de résistance
En dessert, au choix : gâteau maison...
ou glace...
Bon appétit !
Comme je dois vous abandonner pour quelques jours, je vous laisse avec une collection de fessiers avenants...
Anne Fleming est une actrice et modèle américaine qui fut la playmate du magazine Playboy en septembre 1955. D'elle on ne sait pas grand chose : ni date ni lieu de naissance, ni autres infos biographiques. Restent quelques photos où l'on peut constater que les canons de la beauté féminine ont bien peu évolué en plus de 50 ans
Ce thème semble inépuisable et fait l'objet de multiples déclinaisons. En voici 12 nouvelles variantes
Le saviez-vous n° 55
«Le chirurgien militaire français Jacobus Sutor qui vécut longtemps en Afrique du Nord et parcourut l’Asie dans les années 1880, a laissé de nombreuses relations sur leurs mœurs sexuelles. Entre autres, existaient à Marrakech dans le mellah (quartier juif), des établissements de tolérance pour juifs comme l’indiquait le mot «casher» sur la porte ; des fillettes y pratiquaient gratuitement la fellation, pour appâter le client et lui faire louer les services ordinaires d’une prostituée. Cette spécialisation des fillettes à côté de professionnelles chevronnées, s’est retrouvée ailleurs ; au Yoshiwara, le quartier réservé de Tokyo, les prostituées ordinaires et les geishas n’acceptaient que le coït, la fellation étant confiée aux apprenties, rétribuées par un simple pourboire. » (ibidem « la femme révélée », 1969)
Pour la seconde fois, je m'adresse à vous pour connaître le nom de l'artiste qui a réalisé ces illustrations. Il y a bien une signature, mais elle m'est inconnue.
A celui ou celle qui me fournira le précieux renseignement, je m'engage à lui envoyer gracieusement un de mes livres dédicacé... A vos archives !
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