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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
ZOOM n° 130, spécial Japon 2
Photo de couverture de Komaro HOSHINO
Paul CUVELIER, dessin extrait de « Corentin et les Chemins du Merveilleux »
Deux compositions de la photographe Sachiko KURU
Dessin de Masao SAITO
Un autre de Sadao SATO
Et pour terminer un dessin de Ikuo TAKEDA
Certes le titre de l'article peut surprendre et mérite quelques explications. Donc, lundi 12 novembre, deux heures de marche hebdomadaire en bord de mer. Sur le sable, au pied d'une dune, un gant de caoutchouc...
... et une centaine de mètres plus loin, le cadavre d'une méduse.
Il n'en faut pas plus pour échafauder un petit scénario macabre. Le gant abandonné est celui du gynécologue obstétricien qui a pratiqué pendant la nuit un avortement clandestin sur la plage, laissant le foetus à la mer qui l'a rejeté à la marée montante. Je sais, vous allez me dire que tout cela n'est pas très glamour, mais c'est tellement bon d'imaginer, même le pire et peut-être surtout le pire !
J'ignore l'identité de l'artiste qui a réalisé ce tableau. Au premier coup d'oeil, sa facture n'est pas sans rappeler les compositions d'Edward Hopper (exposition en cours à Paris, au Grand Palais, jusqu'en janvier : à ne pas rater !) Même décor froid, impersonnel et standardisé, de salle de restauration rapide. On pourrait se croire dans un film américain des années 60. On ne serait pas étonné de voir arriver une serveuse blonde en tablier, passant de table en table pour proposer du café brûlant. C'est le soir, après la fermeture : les employés ont fait le ménage et préparé la salle pour le lendemain matin.
Puis notre regard s'évade par la porte ouverte, au fond de la salle. Et nous voici spectateurs-voyeurs d'une scène d'amour. Ils sont là, tous les deux, seuls au monde, entièrement préoccupés de leur propre plaisir. Le hasard a fait qu'ils se sont retrouvés côté à côte dans l'arrière-salle, si près l'un de l'autre. Les gestes leur sont venus naturellement. Ils n'en sont qu'aux préliminaires et pourtant, déjà, ils n'entendent plus rien, ils ne voient plus rien. Leur désir de l'autre est trop intense, trop urgent, trop vital...
Je suppose que chacun d'entre vous a au moins une fois entendu cette chanson. Mais avec des images, c'est pas mal non plus...
Paroles de Daniela:
Moi, ce que j'aime chez Daniela
C'est que l'on peut y mettre les doigts
Elle est toujours d'accord
Pour me prêter son corps
Moi ce que j'aime chez Daniela
C'est que l'on peut s'y mettre à trois
Elle est toujours d'accord
Pour battre des records
Daniela
Oh Daniela
Oh Daniela
Oh Daniela
Oh Daniela...
Ce que Daniela aime en moi
C'est qu'elle aura toujours le choix
Je ferai tout pour lui plaire
Par devant et par derrière
Daniela...
Et dans la bouche de Daniela
Et dans la bouche de Daniela
Et dans la bouche de Daniela
Il y a toujours de la place
Pour les copains qui passent
Daniela
Oh Daniela
Oh Daniela
Oh Daniela
Oh Daniela...
Elisabeth et les cinq sens.
2 : L’odorat
De tes fesses écartées à deux mains
Montent des senteurs épicées de femelle :
Parfum capiteux de ta vulve charnelle,
Senteur poivrée de son cul souverain.
À pleins poumons j’inhale ton désir ;
J’en découvre les arômes les plus indiscrets.
Et comme un chien errant en quête de plaisir,
Je te flaire la croupe et me branle en secret.
Seconde série de photos spécialement dédiées à Milène qui aime voir des mecs qui lisent la bite à l'air
ZOOM n° 129, Spécial Japon
Photo de couverture de Noriaki YOKOSUKA pour Shiseido
Avant-garde photographique du Japon. "Nu allongé" de NOJIMA Yasuzo, 1931
Deux photos de YOKOSUKA ( né en 1937 à Yokohama )
Photographie de Taishi HIROKAWA ( 36 ans en 1987)
Très beau portfolio de Hideki FUGII dont les œuvres mêlent harmonieusement la tradition des estampes et la photographie
Retour de flammes
Mister MAAG ( Editions Dominique Leroy, 1986)
Le scénario basé sur la rencontre et la confusion entre le passé et le présent des protagonistes est assez confus. Les noms mêmes des acteurs de l’histoire (Herr Poltergeist, sœur Morgane…) les lieux (la lande bretonne, une abbaye abandonnée, un manoir…) les circonstances (scènes nocturnes, brouillard épais…) sont propices à l’apparition de souvenirs et de fantômes tout droit surgis du passé ou de lointaines légendes.
Le dessin est assez déroutant avec pas mal de scènes hard.
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