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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
En attendant d'autres surprises, deux cadeaux en image que vous m'avez adressés pour fêter les 5 ans du blog
1) Philippe de Bruxelles a offert ce beau dessin de fellation très classieux
2) Eric a envoyé "Renoncules"... qui comme on le constate de visu rime avec "cul"
Je vous abandonne pour une semaine... Reprise du blog le samedi 8 décembre. En attendant, vous pouvez toujours
m'adresser vos cadeaux en images à l'adresse habituelle : mkoppera@orange.fr
ZOOM n° 131, Les marges de la mode, 1987
Couverture de Gene FENN (1911-2001) Publicité pour une étole de vison gris, New-York, 1945-49
Portrait de Lauren Bacall en 1943 par Jerry PLUCER-SARNA (1904-1991). Cette photo, parue en couverture du magazine Harpers Bazar et repérée par Howard Hawks, sera le point de départ de la carrière cinématographique de l’actrice et de sa relation avec Humphrey Bogart.
Trois photographies de Bertrand CROUZAT qui accompagnait ses photos de textes que je vous retranscris (Bertrand Crouzat est surtout connu pour avoir réalisé les photos des pochettes de disque de France Gall et Michel Berger)
« La fille au gant ». Youpitou youpitou semblent souffler mes lèvres à tes oreilles. Objectivement tu es voyeur et moi donneuse de quelques angles. Pour le reste tu peux courir encore longtemps.
Devine un peu de ta rétine, cherche l’éclair et zoome avant. Ne prends pas de gants pour m’isoler si tu l’entends mais youpitou déchire-moi franc. Punaise-moi seule sur un mur blanc et passe tes
nuits à contempler mon youpitou comme un grand tout. Youpitou.
« Chou et poireau » Poireau est chou et chou possède un gros poireau. La belle osmose. Derrière ses trente-six
cases climatisées, docteur Pelloche encaisse les poses deux qui osent. Docteur Pelloche fait son marché de comestible nec profilés, sa libido vissée sur un grand pied. Poireau t’es chou tu
manques pas de goût et chou plus haut là où c’est chaud.
Le saviez-vous n° 48
À la fin du XIXème siècle le gynécologue suédois Brandt avait préconisé chez les frigides les massages de l’utérus. Son malaxage entre la main vaginale et l’autre abdominale du spécialiste arrivait bien des fois à procurer l’orgasme, impossible autrement. Le procédé aujourd’hui a été abandonné comme trop scabreux pour les patientes et les gynécologues. Déjà Stekel, l’un des plus fameux en Autriche, y avait renoncé pour ne pas être exposé à la reconnaissance encombrante de ses clientes. L’acupuncture et les attouchements intranasaux ont pu sonner des résultats à certains spécialistes de la frigidité. ( ibid, la femme révélée, 1969)
Troubles de femmes ( Nouvelles érotiques)
Recueil paru aux éditions Spengler en 1994 ( Franck Spengler est aujourd’hui directeur des Editions Blanche)
Edition de poche : Pocket n° 4356
1994, c’était encore la grande époque de la littérature et de la BD érotico-porno. Le présent recueil en est un excellent exemple avec des textes très osés de femmes sans tabous. Je vous ai choisi 6 extraits de ce recueil
Extrait n° 1 : "La sonnette" par Calixthe BEYALA
Résumé : la narratrice, une jeune black sans scrupule ouvrière dans un atelier de confection, a décidé de séduire son directeur, M. Demis. La voici qui pénètre dans son bureau...
« Sans une parole, j’ouvre mon manteau. Je lui apparais alors dans une tenue tellement érotique que le stylo lui échappe des mains, que ses lèvres s’ouvrent comme celles d’une carpe malienne, que ses yeux s’écarquillent comme ceux d’un enfant face à un arbre de Noël alourdi de cadeaux.
Il vient de se dresser du fauteuil. Son grand ventre pend lamentablement. Il a cinquante et un ans. Il grisonne. Et ses yeux de presbyte me regardent comme un fou. La nudité totale de ma poitrine le captive. Le soutien-gorge est presque inutile. Les bonnets sont si petits que mes seins volumineux sont entièrement libres, simplement rehaussés de renfort comme si deux mains d’homme les soutenaient. Les pointes sont droites. J’apprécie ce moment triomphal de ma féminité. Tout ce que je porte est noir. La fermeture Eclair obstruant l’ouverture du slip indique qu’on peut avoir accès à mes parties les plus secrètes avec un peu d’ingéniosité, sans arracher les jarretelles.
Soudain décidé, il ouvre sa braguette. Un pilon jaillit à l’horizontale. Mon visage ne trahit pas ma stupéfaction. Excitée, je le suis bien. La moiteur entre mes cuisses le prouve. J’ai envie de me toucher. Je me contrôle. Salope, je le suis, et l’expérience m’a démontré que le meilleur moyen de soumettre un homme passe forcément par le contrôle de son propre désir. Il s’approche de moi. Il me prend dans ses bras. Il m’embrasse. IL fouille ma bouche d’une langue experte tout en caressant mon intimité sous le slip. Impatient, il s’aide de son avant-bras pour balayer le dessus de la table. Il pousse registre et instruments qui tombent. Je m’assieds moi-même, fesses bien coincées sur le rebord de la table, jambes bien écartées. Des doigts fébriles ouvrent mon ventre. Et tout à coup, il s’abaisse, il s’agrippe aux hanches et s’oublie aux tréfonds des chairs accueillantes. Il m’empale. Il coulisse lentement. Pas bête l’amant. Ça se voit qu’il a une grande habitude de la femme. Les coups de reins s’accélèrent. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir. Je dégage la bête au moment où je sens qu’il va mourir de sa petite mort. Il me regarde, hagard. De mes deux mains appuyées sur les épaules, je l’oblige à se baisser. Il hésite quand le lui tends mes bottines.
« La règle du jeu change », dis-je.
Détective ( Bucquoy-Hernu) Editions Ansaldi, 1984
Aventure fantastique d’Alain Moreau
Résumé : Bruxelles. À la suite de l’assassinat d’un de ses collègues, le commissaire Alain Moreau se trouve au cœur d’événements étranges et inquiétants ( disparition mystérieuse de l’Atomium, prise du contrôle de la ville par des miliciens inconnus, émeutes urbaines et déchaînement de violence…) Le commissaire mène l’enquête…
Il y a quelques jours le blog a atteint ses cinq ans. Peut-être l'âge de la maturité pour un blog... En ces temps de crise, pas de fête à tout casser. Nous allons rester sages avec juste deux images. Je fais confiance à votre perspicacité pour en trouver la clef...
De votre côté, rien ne vous empêche de m'adresser un commentaire d'encouragement ou mieux une image en cadeau. Je vous rappelle l'adresse
mkoppera@orange.fr
Elisabeth et les cinq sens.
3 : L’ouïe
Un de ces trucs vibrants à la mode,
Un sextoy en silicone asiatique
Aux fabuleux pouvoirs érotiques.
Le voilà qui peu à peu t’arrache des soupirs
Des halètements de femme en chaleur,
Des mots sans suite qui disent le bonheur
De se branler librement et de jouir.
ZOOM n° 130, spécial Japon 2
Photo de couverture de Komaro HOSHINO
Paul CUVELIER, dessin extrait de « Corentin et les Chemins du Merveilleux »
Deux compositions de la photographe Sachiko KURU
Dessin de Masao SAITO
Un autre de Sadao SATO
Et pour terminer un dessin de Ikuo TAKEDA
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