ZOOM n° 127, automne 1986
Encore un numéro très pauvre en érotisme
Photo de couverture de L.Dale GORDON
Puis trois photos en noir et blanc de Georges TOURDJMAN
et c’est tout pour aujourd’hui !!!
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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
ZOOM n° 127, automne 1986
Encore un numéro très pauvre en érotisme
Photo de couverture de L.Dale GORDON
Puis trois photos en noir et blanc de Georges TOURDJMAN
et c’est tout pour aujourd’hui !!!
D’origine égyptienne, Joyce Mansour est née en Angleterre en 1928. En 1956, elle quitte l’Egypte pour s’installer en France. Elle est décédée en 1986
Entre tes doigts
Ma bouche
Entre tes dents
Mes yeux
Dans mon ventre
Ton rythme féroce
Me pèle le corps
De sensations crues.
Que mes seins te provoquent
Je veux ta rage.
Je veux voir tes yeux s'épaissir
Tes joues blanchir en se creusant.
Je veux tes frissons.
Que tu éclates entre mes cuisses
Que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile
De ton corps sans pudeur.
© Ed. Seghers
Illustration de Sandokan, toujours excellent
Kelly Green "Le contact", volume 9 de la série, est paru aux Editions Dargaud en 1982. On y retrouve, comme d'habitude, tous les ingrédients du bon polar classique
1 : L'héroïne, Kelly Green, belle rousse à la poitrine généreuse
2 : La victime : une femme mariée et très riche retrouvée assassinée dans la cuisine d'un restaurant minable ( même morte, elle reste très sexy !)
3 : Le monde trouble de la nuit...
4 : Pour mener son enquête, Kelly Green n'hésite pas à payer de sa personne (un peu d'homophobie au passage : le polar est un monde viril ! )
5 : La scène de la douche purificatrice, l'occasion d'admirer une dernière fois la plastique de notre héroîne
6 : Des photos très privées et compromettantes : une des clefs de l'énigme
Il paraît qu'il y a un proverbe français qui dit que "la croix est l'échelle des cieux". Au vu des images qui vont suivre, on pourrait préciser qu'il s'agit plutôt du "septième ciel"...
François BÉGAUDEAU, « Au début » Alma Éditeur, 2012 pages 88-89
Le recueil est composé d’une série de courts récits de maternités racontés le plus souvent par la femme enceinte. Dans la présente histoire, la narratrice est sur le point d’accoucher. Le travail a commencé.
« Le médecin avait des airs de Pierre Arditi et parlait pour me détendre : ils sont sympas vos élèves ? ils ont quel âge, huit-neuf ans non ? hein c’est bien ça en CM1 ? Comme je répondais que je les aimais tous tous tous il a dû se dire que mon cerveau était brouillé pour accepter n’importe quoi. Il s’est penché sur moi et m’a glissé textuellement : vous sentez ms doigts là ? Bon, ils n’ont rien à faire là, on est d’accord ? Alors virez-les, poussez ! J’étais déjà bien trop épuisée pour lui en coller une.
Au moins le processus était enclenché.
Je suais je puais et je me disais : quel démiurge tordu a fait que la nature soit si mal proportionnée ? Dans le meilleur des mondes les bébés naîtraient à un kilo et grossiraient après. Ou alors les vagins seraient plus larges, et les cols de l’utérus beaucoup plus ouverts, oui mais si les vagins sont plus larges il faut des bites énormes qui s’en plaindrait ? énormes mais pas trop quand même, ce bébé est une bite bien trop énorme qui va m’exploser la chatte, oui ce 12 juillet 98 entre 20 heures et 22 heures j’ai dû penser des choses de ce genre et je les rapporte telles quelles puisque c’est l’idée. »
Les hentaï japonais sont quand même les meilleurs
pour les dessins trash
Lorsque j'ai découvert cette série de photos sur internet, j'ai aussitôt eu une érection durable et décisive. Certes il y avait les bas noirs, le large pubis rebondi et confortable, la beauté de la femme mûre et épanouie... Mais il y avait quelque chose de plus profond, de plus secret pour expliquer mon émoi. Il m'a fallu voir et revoir les images pour enfin trouver : tout était dans la bouche, dans son sourire... Un certain sourire, un sourire sexuel.
Et ce sourire, je l'ai enfin reconnu. C'était le même sourire qu'esquissait V* quand je lui proposais de poser pour des photos X, le même sourire quand elle pénétrait dans un sex-shop de la Rue de la Gaieté et s'approchait du rayon des godes, le même sourire quand elle me disait qu'elle avait mis une courgette et une aubergine à tremper dans l'eau chaude ( et ce n'était pas pour cuisiner !), le même sourire quand elle feuilletait une revue porno avec des mecs à poil en train de se branler... Le même sourire qui se dessine sur les lèvres de A* quand elle me dit que Maria et Roger ont téléphoné pour nous inviter à une soirée à quatre le samedi suivant... Un sourire qui est en quelque sorte la promesse à peine voilée d'un orgasme... Et vous, reconnaissez-vous ce sourire, ou avez-vous d'autres signes avant-coureurs du plaisir à venir ?
Jadis et naguère : Joan CRAWFORD
Joan Crawford, de son vrai nom Lucille Fay LE SUEUR, est née en 1905 au Texas et décédée en 1977 à New-York.
Après une enfance difficile, en 1921, elle devient girl danseuse dans une troupe théâtrale. En 1925, elle est repérée par la MGM lors d’un casting et tourne son premier film. C’est à cette époque qu’elle prend le pseudonyme de Joan Crawford.
En quatre ans, elle tourne plus de vingt films muets, puis à partir de 1929, poursuit sa carrière dans le cinéma parlant et enchaîne les grands rôles.
À la fin des années 1930, sa carrière connaît un passage à vide, mais elle rebondit en se faisant engager par la Warner. Sa seconde carrière d’actrice, celle qui lui vaudra un oscar en 1946, durera jusqu’en 1965, année où elle est touchée par la maladie. En 1970, elle met un point final à sa carrière.
ZOOM n° 126, Spécial Image Bank n° 2
Photo de couverture de Georges TOURDJMAN
Hormis un portfolio de photos de charme de Chris THOMSON, rien d’érotique dans ce numéro.
Et peut-être, en quatrième de couverture, cette publicité coquine pour un site de minitel rose.
Le saviez-vous n° 46
Voici, dans les années 60, les conseils du docteur Devay pour remédier au relâchement du vagin, souvent cause selon lui de « l’indifférence du mari »
« Pour prévenir le relâchement du vagin ou y remédier, on conseille des exercices musculaires qui lui rendent de sa tonicité. La valeur de celle-ci peut être évaluée lors de l’examen du gynécologue ; il demande à la patiente de se contracter sur son doigt lors du toucher génital.
Les exercices musculaires consistent surtout à introduire un corps étranger allongé dans la vagin, qui doit se comprimer sur lui au maximum ; un ou deux doigts en
position accroupie, placés à l’intérieur de la filière génitale, peuvent aussi servir. Les exercices se font également à vide ; debout lors de quelque travail, une femme, de multiples fois
au cours de la journée, s’exerce à comprimer son vagin à de nombreuses reprises. Elle peut prendre l’habitude de cet exercice en s’y livrant systématiquement dès qu’elle repasse, coud ou cuisine.
Au cours de l’acte sexuel, les contractions deviendront automatiques ; elles renforceront la puissance maritale qui, à son tour plus dynamique, aidera à leur énergie ; par ce ping-pong
sexuel, l’acte devient beaucoup plus ardent »
Pour résumer, que nous dit à mots couverts ce bon docteur Devay. Pour jouir avec efficacité, il faut vous branler mesdames, avec tout ce qui vous tombe sous la main, avec vos doigts, ou même avec rien… Et ne penser qu’à ça, à longueur de journée… Et ça fera le bonheur de votre compagnon !
Chose promise, chose due : je dédie donc cette première série de photos et dessins d'hommes en train de lire à
Milène...
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