Chose promise, chose due : je dédie donc cette première série de photos et dessins d'hommes en train de lire à
Milène...
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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Chose promise, chose due : je dédie donc cette première série de photos et dessins d'hommes en train de lire à
Milène...
IBERLAND, tome 2. La source de l’âme
Saudelli / De Angelis ( Editions Glénat, 1985)
Difficile de résumer. À dire vrai, je n’y ai pas compris grand-chose. Il y a quand même une longue scène de danse, genre transe et prédication, qui est assez jouissive.
Il paraît que nous sommes dans la "semaine du goût". Voici donc une série d'images pour pimenter l'événement. Ce qui serait bien, c'est que vous m'envoyiez par mail vos propres contributions afin de compléter cette galerie, et que vous donniez ainsi votre vision de cette semaine des saveurs. Je vous rappelle mon adresse mail : mkoppera@orange.fr
Regards
Au gré des navigations sur le net, on tombe parfois par hasard sur des séries d’images tout à fait remarquables.
C’est le cas de ces quatre photos que j’ai intitulées « Regards » ( le pluriel est important, on comprendra vite pourquoi).
Voyons la première photo. Au premier abord, une photo bien classique d’une femme en train de se masturber devant son ordi portable tout en regardant des photos porno. Pas tout à fait ! Si vous zoomez sur les images de l’ordi, vous constaterez que sur celle du bas, c’est elle-même filmée en direct par sa webcam, son reflet en quelque sorte. Sur l’image du haut, il y a un internaute avec qui elle est connectée (peut-être par MSN) et qui regarde son exhibition.
Sur la seconde photo, on la voit qui se tourne vers celui qui la photographie (on peut légitimement supposer que c’est son compagnon). Donc, c’est un jeu de regards à trois : la femme, l’internaute, le compagnon. Voilà qui devient intéressant. Plaisir de s’exhiber, plaisir du voyeur, plaisir caudauliste du compagnon qui assiste à l’échange…
Sur les deux dernières photos, la voici qui pose, les cuisses écartées, la chatte offerte, à côté d’images X de sites porno amateurs où elle nous laisse entendre qu’on peut la retrouver.
Cette série d’images m’est apparue assez représentative des fonctions érotiques du net : échanges, fantasmes en direct, espace de liberté quasiment illimitée…
Aujourd'hui, j'inaugure une nouvelle catégorie que j'ai intitulée "La grande galerie". Je sais que c'est un peu prétentieux (ça fait un peu Galerie des Glaces) mais je n'ai rien trouvé de mieux. Il s'agit de présenter une oeuvre que j'aime et de la commenter.
Jean-Jacques LEQUEU (1757-1824), "Et nous aussi nous serons mères, car..."
Ce tableau, daté de 1794 ( an 2 de la République) est le plus célèbre de Jean-Jacques LEQUEU. Sa notoriété tient autant de sa beauté plastique que de la force de son titre, comme si, avec près de deux siècles d’avance, Lequeu avait mis en œuvre le slogan de Paris Match : « Le poids des mots, le choc des photos ».
Comme souvent chez Lequeu, le visage de la jeune religieuse n’exprime quasiment aucune émotion ; le regard semble absent, comme perdu dans le vide, frôlant le nôtre de quelques centimètres. Visage au demeurant d’une stupéfiante perfection, semblable à un masque de carnaval vénitien (on y retrouve l'obsession de la symétrie de l'architecte qu'était Lequeu). Aucune ride, aucune altération de la peau. De l’arc des sourcils à la fossette du menton, tout est sublimé. Et puis, il y a ce geste pour dévoiler sa gorge ronde, généreuse et le téton coquin. Observez que sa main aux doigts délicats tient le tissu comme un sexe d’homme…
Le titre demande quelques éclaircissements. Il ne prend tout son sens que replacé dans son contexte historique : 1794, c’est la Terreur instaurée par le Comité de Salut Public issu de la Convention Montagnarde, avec par exemple ses tentatives d’imposer le calendrier républicain et de contrôler le clergé qui droit prêter serment d'allégeance à la République.
« Et nous aussi nous serons mères, car… ». « Et nous aussi » : le titre est donc la suite d’une phrase déjà commencée. « nous aussi », comme qui ? Comme les autres femmes, les laïques, celles du dehors. Notez que Lequeu n’écrit pas nous serons femmes, mais nous serons mères, en contrepoint du sein nourricier dévoilé par la novice. « car.. » : le point de suspension laisse la phrase inachevée. Car avec la République, nous allons pouvoir disposer librement de notre corps ?
ZOOM n° 125, Sexe et fantasmes n° 2, ( 2ème partie)
Magnifiques photographies de NAKAGAWA :
Sur la première, l’artiste guide notre œil des lèvres pulpeuses, au téton entraperçu dans un minuscule triangle de tissu, au sexe nu dans la pénombre.
La seconde image est un chef d’œuvre d’érotisme. Suivons le chemin de notre regard : tout part du relief du tendon du cou dont la ligne se prolonge entre les deux seins, s’incurve jusqu’au nombril puis, naturellement, suit son cours jusqu’au sexe entrouvert dont la lèvre indécente semble comme un appel au plaisir… Une image d’une indicible beauté.
La troisième photo est tout aussi sensuelle, mais dans un autre registre : La délicatesse des motifs floraux de la lampe vient en complément de la croupe offerte. L’ensemble baigne dans une lumière ocre propice aux plaisirs de la chair.
Trois photographies peintes à la main de Michael RUSS ( photographe allemand)
Photographies de Bernard CORVAISIER. Extrait de l’article de Catherine Clemenson qui préfaçait le portfolio : « Bâillonnés, étouffés, à demi engloutis, c’est l’insupportable jaillissement de l’être qu’on a voulu discipliner en vous, et vous êtes restés immobiles et dignes, comme à jamais repliés sur vos douleurs. La mort est là, comme un fard indélébile à vos paupières, elle est aux commissures de vos lèvres, elle est sous vos aisselles, entre vos cuisses, elles au creux de vos draps »
Pour en terminer avec ce numéro spécial, quelques clichés en noir et blanc de Tal BOAZ « La nudité matérialise notre vérité. Quand les gens enlèvent leurs vêtements, une part de mensonge part avec eux. »
PASSE-TEMPS : Ce qui fait passer agréablement le temps.
"Je continue de considérer la masturbation comme le meilleur passe-temps possible" (James Lee Curtis)
Passe-temps d'autrefois
Passe-temps d'hier
Passe-temps d'aujourd'hui
Passe-temps de toujours
Administrer un remède de cheval
( ou « Aux grands maux, les grands remèdes »). Quand le mal est grave, il ne faut pas hésiter à employer un traitement énergique et brutal, sans en craindre les effets.
Le saviez-vous n° 45
Dans les années 1930, le chirurgien militaire Jacobus Sutor a rapporté que la plupart des prostituées nord-africaines qu’il avait examinées, reconnaissaient avoir des rapports vaginaux avec deux jeunes mâles simultanément : le diamètre de leur vagin était suffisamment large pour les admettre ensemble. Ce coït simultané n’existe d’une manière normale que dans une certaine espèce d’insectes, où deux mâles pénètrent et fécondent en même temps la femelle. (Ethnologie du sens génital, 1935)
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