Dimanche 16 septembre 2012 7 16 /09 /Sep /2012 15:07

ZOOM n°122, printemps 1986

Photo de couverture de Claude DRAY ( modèle Teresa Morelli, campagne publicitaire pour les jeans Buffalo, Agence Joker) Visiblement, la mode n’était pas encore aux tailles basses, loin s’en faut !

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Juste deux portfolios pour ce numéro

1) H.M. NORTEN

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2) Kean MILLAR LO ( Chinois originaire de Hong-Kong naturalisé Américain )

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 15 septembre 2012 6 15 /09 /Sep /2012 15:33

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La Rivière Noire, adaptation du Gita-Govinda de JAYADEVA par France RENONCE ( Editions Dominique Leroy, Collection Vertiges Bulles, 1986)

L'histoire se déroule au XIIème siècle, à Puri dans l'état de l'Orissa où le poète Jayadeva raconte les aventures de la belle Radha ( une gardienne de vaches) avec Khrisna ( le dieu à la peau bleue). Le style de l'album est tout aussi étrange que l'histoire : les planches très colorées se veulent proches des miniatures hindoues. Cependant, le graphisme reste maladroit. Le tout illustre un texte très imagé, assez difficile d'accès pour notre esprit occidental imprégné de plusieurs siècles de cartésianisme.

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Vendredi 14 septembre 2012 5 14 /09 /Sep /2012 07:13

Tout commentaire serait superflu

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Jeudi 13 septembre 2012 4 13 /09 /Sep /2012 11:16

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Le monomaniaque

 

Il a peigné les chattes permanentées des apprenties coiffeuses,

Aux Jeux Olympiques, il a couru après les chattes véloces des sprinteuses,

Il a fait croustiller la chatte farinée de sa boulangère,

Il a bandé devant l’écran où Catherine Ringer lui ouvrait sa chatte noire,

Il a fanfaronné aux côtés des chattes pubères de majorettes en parade,

Il a scanné les chattes code-barrées des caissières d’hypermarché,

Il a accompagné sur un quai de gare les chattes pressées des voyageuses,

Il a fantasmé sur la chatte magnifiée de sa voisine,

Il a rêvé les chattes interdites de ses belles-sœurs,

Il a pollué la chatte écologique de Cécile Duflot,

Il a interviewé en secret la chatte de jais de Marie Drucker,

À la plage, il a ensablé les chattes des aoûtiennes en maillot,

Il a donné la leçon aux chattes ignorantes de lycéennes studieuses,

Il a dépoussiéré la chatte encaustiquée de la femme de chambre,

Il a guéri les chattes fébriles des infirmières libérales,

Il s’est pourléché aux lèvres saignantes de la chatte de la bouchère,

Sur France 3, il a ensoleillé la chatte pluvieuse de Florence Klein,

Il a sublimé les chattes surannées de ses amours d’antan,

Il a vu et revu la chatte sans culotte de Miou-Miou dans les Valseuses,

Il a épuisé ses yeux sur les chattes béantes des amatrices du WEB,

Puis il a enfoncé son sexe dans la chatte familière de sa compagne et il a joui.

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Mercredi 12 septembre 2012 3 12 /09 /Sep /2012 07:14

Pour la reprise du blog, je vous ai déniché quelques images où l'on voit que notre Lucien la Chance national est aussi un maître de la baise !

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Mardi 4 septembre 2012 2 04 /09 /Sep /2012 11:00

Avouez que ça changerait de l'ordinaire !

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"Hey, le prof, tu veux lécher ma fente humide ?"

 

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Lundi 3 septembre 2012 1 03 /09 /Sep /2012 17:11

Je dispose de très peu d'informations sur l'auteur, Jeanne CHARDON ( peut-être née en 1931). La seule référence que j'ai dénichée se trouve dans un discours prononcé à Dijon en 2004 par François Rebsamen en hommage à un certain Jean racine,(membre fondateur de SNPDES). Voici les paroles du maire de Dijon : "Comme collaboratrice, (dans les années 70) vous avez à vos côtés la poétesse Jeanne CHARDON, épouse du poète Jacques RIVIERE"

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Clitoris


Tes lèvres larges, douces, ta langue
Ta main comme un enfant qui naît
Mais doucement sans faire mal.
Plaisir, troupeau de chèvres et de boucs
Ils grignotent partout de jeunes pousses
Le long de nos veines, profondes artères
A fleur d'épiderme
Capillaires
Leurs fuites, galopades, narines veloutées
Baveuses
Débusquent les serpents dans l'herbe du derme
A travers tout le corps
Je les appelle
Les rassemble
Et les mène à la source
Où ton sperme jaillit.

 

in Piquants, duvet et graines folles (Ed. Breton, 1976)
cité in L'Erotisme dans la Poésie Féminine (Pierre Béarn, Ed. Pauvert, 1993, p. 328)

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Petite annonce

 

Cherche homme tendre
à caresser
Cherche homme caressant.
Cherche homme
pour l'amour.
Pas pour le mariage.
Pas pour la vie commune quotidienne.
Pas pour le bricolage.
Pas pour le fric
Pas pour le soutien moral-social.
Seulement pour
l'amour.

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Dimanche 2 septembre 2012 7 02 /09 /Sep /2012 12:16

Aujourd'hui, ouverture d'un nouvel album entièrement composé d'illustrations de Georges Pichard (1920-2003), le génial père de Paulette et autres créatures tout aussi aguichantes... Quelques images pour vous mettre en appétit.

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Samedi 1 septembre 2012 6 01 /09 /Sep /2012 10:06

ZOOM n° 121, Spécial Brésil 2

Photo de couverture signée Bernard CROUZET ( campagne publicitaire Air France réalisée par Havas. Modèle : Nathalie de l’agence Marylin ; maquillage : Kappauf)

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On commence par un dessin de Robert CRUMB, à l’humour toujours aussi « mordant »

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Trois photographies de charme de Paolo ROCHA , né à Rio de Janeiro en 1947

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Deux compositions photographiques de Sebastão BARBOSA né en 1943 à Manaus en Amazonie.

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Un « tableau » de Alvaro POVOA, né en 1956 à Sao Paulo.

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Pour terminer, deux photos en noir et blanc de Antonio GUERREIRO, né en 1947 à Madrid et installé au Brésil depuis 1952.

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Vendredi 31 août 2012 5 31 /08 /Août /2012 09:17

Rappel de l'épisode précédent. Le Président a invité Odile pour un déjeuner en tête à tête dans une auberge où se rencontrent des couples plus ou moins légitimes. Il vient de lui apprendre que son mari la trompe et de lui donner deux codes confidentiels...

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- Non, pas du tout ! La première série, c’est le code d’accès à l’ordinateur personnel de votre mari. Soit dit en passant, un jeu d’enfant à décrypter : c’est le numéro d’immatriculation de sa voiture de fonction, mais à l’envers. La seconde, c’est le mot de passe de sa messagerie. Ceci dit, je vous laisse explorer vous-même… Vous verrez, c’est assez instructif.

Encore une fois, Odile le dévisagea, à la fois étonnée et inquiète.

- Je ne vois pas où vous voulez en venir…

- La vérité est souvent bonne conseillère. Prenez votre temps, madame Varney. On en reparlera quand vous le souhaiterez. Je crois qu’ensemble nous pourrons réaliser de grandes et belles choses… Vous prenez un apéritif ?

- Oui,… un double Martini rouge.

comptable10-1Ils déjeunèrent en silence, comme un vieux couple routinier. Le président qui conduisait resta sobre, Odile se laissa tenter et griser par un saint-émilion. Au dessert, comme elle était un peu ivre, son regard se tourna de lui-même vers la table où déjeunaient la femme et les deux jeunes gens, puis vers celle des deux couples. L’un des hommes croisa son regard et lui adressa un sourire. Flattée, mais un peu honteuse, Odile baissa la tête. Quand ils quittèrent le restaurant, elle les suivit des yeux et en pensée. Elle les imagina se dénudant dans une vaste chambre aux volets clos, échangeant les premiers baisers et les premières caresses ; les femmes se frottant lubriquement l’une contre l’autre devant leurs maris déjà bandants ; les hommes, bras dessus bras dessous, se tenant la bite. Odile qui s’y voyait déjà sentit sa vulve gonfler dans sa culotte et doucement mouiller. De crainte de trahir son excitation, elle chassa ces images de son esprit, mais aussitôt son regard retourna se poser sur la table où la veuve et ses deux chevaliers servants s’apprêtaient eux aussi à partir. Dans le hall, les deux jeunes mâles se placèrent de chaque côté de la veuve en tailleur Chanel et la prirent par le bras. Elle se laissa entraîner vers l’escalier qui menait à l’étage et à ses chambres. Une onde de chaleur traversa de haut en bas le corps d’Odile, lui durcit les mamelons, lui inonda le vagin, lui écarta les cuisses. Elle était jalouse de cette femme qui allait se faire défoncer par deux queues vigoureuses et encore juvéniles. Elle n’eut besoin d’aucun effort d’imagination pour se représenter les différents tableaux de leur partie à trois : les fellations, les feuilles de rose, les pénétrations simples ou doubles, vaginales ou anales, et sans aucun doute les simultanées, les gerbes de foutre, le repos des guerriers avant un second service plus langoureux, plus sensuel…

- Madame Varney ! Madame Varney ! Votre café va refroidir !comptable10-4

Elle regarda le président et fut un instant tentée de lui demander de la baiser, dès que possible. Comme s’il avait lu dans ses pensées, il se pencha en avant, lui saisit une main et lui dit tout bas :

- Encore un peu de patience… Vous avez vu les deux éphèbes ? Elle les paie et même plus que ça : elle les entretient. Ils sont bi, de telle sorte qu’elle a le plaisir du corps et du spectacle de leurs accouplements. Je ne vous apprendrai rien en vous disant qu’ils sont bien proportionnés, et même surdimensionnés là où il faut. Alors, ils s’enculent devant elle…

De nouveau, Odile se sentit mouiller, tellement qu’elle craignit que son abondante mouillure ne traverse le coton de sa jupe et ne tache le velours de sa chaise.

Après le déjeuner, au lieu de reprendre aussitôt la route du retour, le président suggéra une promenade digestive sur la rive boisée de la rivière. Plus ils s’éloignaient de l’auberge, plus le sentier devenait étroit, plus la végétation reprenait ses droits. Bientôt, il  n’y eut plus que des chants d’oiseaux et le bruissement de leurs pas. L’endroit était désert. Ils quittèrent le sentier pour s’enfoncer plus profond dans le sous-bois. Le président qui ouvrait la voie avait l’air de savoir où il allait. D’ailleurs, au bout de quelques minutes de marche à l’aveugle, ils débouchèrent dans une petite clairière inondée de soleil avec, en son centre une table en bois pour le pique-nique des randonneurs.

- Si vous avez envie de faire pipi, c’est le moment ! dit le président.

Odile comprit que c’était plus qu’une proposition. Sans attendre, le président passa une main sous sa jupe et lui baissa sa culotte dont il respira discrètement le parfum de l’empiècement humide. Il aida Odile à grimper sur la table.

- Accroupissez-vous au bord, comme si vous étiez dans des toilettes à la turque. Ecartez bien  les cuisses !

Un peu ivre, elle obéit. Le président se pencha en avant pour mieux voir son bas-ventre. Odile était trempée, des filaments de cyprine engluaient sa vulve et collaient ses poils de chaque côté des grandes lèvres.

- Forcez un peu, comme si vous alliez chier !

comptable10-6Elle devina son sexe qui s’ouvrait en grand, poussant ses muqueuses intimes en dehors. Son anus se dilata, semblant vouloir éclore comme une anémone de mer. Le président passa son index sur la viande luisante, lui introduisit le pouce dans le vagin. C’en était trop : le jet de pisse jaillit d’un seul coup, puissant, presque à l’horizontale. Odile en poussa un petit cri de surprise. Et cela dura si longtemps que le président eut tout le temps de baisser son pantalon et de sortir sa belle bite. Alors que les dernières gouttes coulaient jusqu’au périnée en se mêlant à la mouillure du con, il resta encore de longs instants à contempler le vagin grand ouvert, les lèvres tuméfiées de désir, le clitoris en érection. Odile ne ressentait aucune honte ; au contraire, elle était heureuse de s’exhiber ainsi. Elle ressentait le regard du président comme un hommage.

Enfin, il se décida. Il s’approcha entre ses cuisses écartées. La tête gonflée de la bite était juste à hauteur de l’entrée du con. Cela se fit la plus simplement du monde : la bite coulissa dans la housse du vagin, doucement, jusqu’au fond. Comblée, saisissant le président par les épaules, Odile eut aussitôt un orgasme qui lui tenailla délicieusement l’anus pendant d’interminables spasmes. Ils s’embrassèrent pour la première fois et la rencontre de leurs bouches, les circonvolutions de leurs langues, le mariage de leurs salives, déclenchèrent dans le ventre d’Odile un nouveau ruissellement huileux. Il se mit à la baiser avec méthode, allant et venant dans la moiteur grasse de son con. Elle jouissait sans compter, sans retenue, comme ventousée à cette bite qu’elle avait tant désirée, et c’était encore meilleur que dans ses rêves les plus excitants.

Le président finit par perdre aussi les pédales. Son rythme se fit plus frénétique, son souffle plus court, ses coups de boutoir plus pénétrants. Odile mouillait de partout : du con, des aisselles, du cul, de la nuque, du creux des reins, des seins… Et voilà que, bloqué tout au fond, il lâchait son foutre à grandes giclées. Odile en tressauta de bonheur et jouit une dernière fois.comptable10-5

Mais ce n’était pas fini : elle resta encore de longues minutes accroupie sur la table, dans la position de la pisseuse. De sa vulve baveuse coulaient des gouttes de sperme, épaisses comme des crachats. Elles pendouillaient un instant, filandreuses et blanchâtres, s’accrochaient à des poils, puis s’écrasaient lourdement sur le plateau de bois. Le président observait tout cela avec délectation et recommençait à bander.

Ils s’apprêtaient à remettre le couvert lorsqu’un jeune chien, éclaireur d’un groupe de randonneurs du dimanche, fit irruption dans la clairière. Odile quitta précipitamment son perchoir, le président remonta son pantalon. Ils quittèrent les lieux sans tarder, laissant sur la table une petite mare visqueuse de sperme et de mouillure…  

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

Fin de la première partie du roman. Reprise début novembre pour la fin de l'histoire. Patience...

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