Jeudi 5 juillet 2012
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Le saviez-vous ? # 39
Des origines insolites de la jouissance féminine
E. Chesser écrit avoir connu une jeune personne qui éprouvait des spasmes sexuels à l’audition de la grande musique. Féré a
relaté l’histoire d’une Française de 23 ans qui en Espagne lors d’une corrida, ressentit l’orgasme lorsqu’un taureau chargeait ; revenue en France, elle l’éprouva chaque fois qu’un cheval
tombait. On a mentionné chez des nonnes, un véritable orgasme mystique ; lors des fameuses extravagances des religieuses de Loudun (1632-1634), la Supérieure Sainte Marie des Anges,
déclarait ressentir un plaisir extatique à sauter par-dessus un brasier ardent. Madame Guyon (1648-1717), la grande visionnaire, protégée de Fénelon, était souvent visitée par le Christ ; il
fallait alors lui délacer son corset, tellement elle haletait de jouissance. Selon le psychanalyste parisien B. Grunberger, une de ses clientes éprouvait un orgasme chaque fois qu’elle
s’agenouillait
Une variété banale d’orgasme mental est celui ressenti lors des rêves nocturnes, généralement lubriques. Selon le psychiatre G
Winokur, le viol est un sujet fréquent de ces rêves orgasmiques, dont témoignent les sécrétions vulvaires abondantes et les battements vaginaux. Veuves et divorcées y sont particulièrement
sujettes.
Par michel koppera
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Mercredi 4 juillet 2012
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Femme enceinte. Dessin "d'après nature". On notera la légende "mamelles pleines" pour la poitrine : pour Lequeu, la femme
était plus animale qu'humaine
Encore une excentricité architecturale de Lequeu
Femme nue dans
un lit
Femme sur canapé ( en position de levrette pour le moins saugrenue)
Par michel koppera
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Mardi 3 juillet 2012
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/2012 07:22
Sophie Langelot au curé de Saint-Paul
Eté 1879
Sophie Langelot n’est que le pseudonyme féminin d’un homme. Si quelqu’un peut me donner de plus amples informations sur cet auteur, qu’il n’hésite pas à nous
faire part de ses lumières.
Quoi ! lâche suppôt de l'autel !
Tu fis de l'église un bordel ;
Ainsi donc métamorphosée,
Tu vainquis mon âme abusée :
Changeant les ordres du destin,
De moi, tu fis une putain.
Te souviens-tu, monstre infernal,
De ce moment triste et fatal,
Où, succombant à tes caresses,
Je me laissai prendre les fesses,
Et que cédant trop à ta loi,
Mon con tout neuf s'ouvrit pour toi ?
Hélas ! pour prix de tant d'amour,
Ah ! quel affreux triste séjour !
Ainsi donc tu payes l'hommage
Que je te fis d'un pucelage !
Moi, de l'art de foutre entichée,
Je n'ai plus qu'un godemiché !
Ton vit cruel, affreux, ingrat,
A-t-il oublié ce combat ?
Quoi ! moi, d'une religieuse,
Je vais être la manieuse* ?
Quels affreux supplices divers !
Ah ! c'est le tourment des enfers.
Mais je vais renaître au bonheur ;
J'ai le vit de mon directeur.
C'est un brave fouteur de nonne,
Qui n'a jamais raté personne :
Me branlant, je dis à part moi,
Maudit soit tout curé et toi.
* la maquerelle
Par michel koppera
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Lundi 2 juillet 2012
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Mohamed Ben Smala est un artiste tunisien né en 1974. Cette année, une de ses toiles intitulée "Couscous à l'agneau" a été
exposée au palais de la Abdellia de Tunis dans le cadre du Printemps des Arts. Elle a provoqué la colère des salafistes pour "atteinte aux valeurs de la religion", avec manifestations, début
d'émeute et tentatives de détérioration des oeuvres incriminées.
Cette femme nue, sans regard, à la peau très blanche mais à la bouche sensuelle, pose debout, les bras légèrement écartés du
corps, avec un plat de couscous, plutôt appétissant, devant le sexe. L'allusion au ventre nourricier de la femme est évidente et presque universelle. Ce qui est plus dérangeant, ce sont ses
monstrueuses mains gantées de caoutchouc blanc : les doigts en sont rougis, comme ensanglantés. Il y a dans ces mains démesurées beaucoup de violence. Gants de boucher, de chirurgien, de
sage-femme ? Sang animal ou humain ? Sang du sacrifice rituel, du crime ou sang menstruel ?
Et puis,en arrière-plan, il y a six silhouettes noires, aux corps difformes, aux visages barbus, aux yeux inquisiteurs... Les
visages émergent d'une masse de cheveux et de barbes mêlées... Ce sont les multiples visages de la morale rétrograde, de l'intolérance, de la violence faite aux femmes, de l'archaïsme le plus
obtus...
Longue vie à Mohamed Ben Smala !
Par michel koppera
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Dimanche 1 juillet 2012
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ZOOM n° 116, été 1985
Couverture de Patrick BORDES
Portfolio de photographies de Patrick BORDES. L’article au titre annonciateur « Vue imprenable » nous
apprenait qu’avant de se lancer dans la photo de charme, il avait été technicien auprès de réalisateurs comme Boisset, Pialat, Rossif ou Shoëndorfer… Puis il avait débuté dans la photo par le
reportage géographique… Géographie du cul ! Voilà donc 8 images où la mer et le ciel sont trop bleus, le sable trop blanc, les filles trop belles, et les culs sublimes…
Trois oeuvres de Andrzej DUDZINSKI, illustrateur américain d’origine polonaise (on l’aurait
deviné !)
Par michel koppera
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Samedi 30 juin 2012
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Aujourd'hui, ouverture d'un nouvel album entièrement consacré aux dessins du génial Tom POULTON ( 1897-1963). A ce jour, aucun
autre illustrateur n'a su rendre compte avec autant de force et de sensualité de la puissance du désir sexuel.
Quelques exemples pour vous donner envie d'aller consulter l'album :
Par michel koppera
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Vendredi 29 juin 2012
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Les pubs pour le Sanibroyeur SFA, toujours aussi tentantes à détourner....
Par michel koppera
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Jeudi 28 juin 2012
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Par michel koppera
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Mercredi 27 juin 2012
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/2012 14:38
J'ai découvert sur internet cet abécédaire érotique cyrillique (peut-être bulgare ou serbe) dont voici la première partie
Par michel koppera
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Mardi 26 juin 2012
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Il ne faut pas brider l’âne par la queue
Brider l’âne par la queue, c’est faire une chose gauchement, et même à l’encontre de toute logique : « Le
remède du vulgaire, c’est de n’y penser pas ; mais de quelle brutale stupidité lui peut venir un si grossier aveuglement ? Il lui faut brider l’âne par la queue. » (
Montaigne)
Par michel koppera
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