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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Bruno, un fidèle lecteur du blog, m'a récemment envoyé cette galerie d'illustrations anonymes extraite de l'ouvrage "Clitoris empourprés, moeurs dionysiaques des années 30" paru aux édtions Astarté en 2007 ( avec une préface de Serge Koster). Je vous laisse admirer la sensualité de ces images troublantes. Les visages des femmes ne sont pas sans rappeler ceux des toiles de Paul Delvaux ( mêmes regards sombres en amande, mêmes bouches larges, même expression un peu absente...)
Germaine BEAUMONT ( 1890-1983), « Silsauve » (1951)
Chapitre 23 : Hiver de fin de XIXème siècle, première nuit de Richard Lorédan, marié et riche héritier insouciant d’une manufacture rouennaise, aux côtés de Rapha, sa nouvelle maîtresse dans une chambre d’hôtel du Havre..
« Il y eut un moment, très tard, où, tandis qu’ils gisaient épuisés mais non dépris, quelqu’un promena une lumière sur la place, à moins qu’une
fenêtre proche s’ouvrant violemment n’éclairât par ricochet les vitrages de guipure entre les rideaux bleus. Un reflet vaguement doré courut sur les longues jambes, le flanc mince, le torse
renversé de Rapha. Son visage rejeté en arrière et caché par son bras demeurait illisible. À demi soulevé, Richard vit ce corps, et sut, par une certitude physique en dehors de toute raison et
même de tout choix délibéré, qu’il le lui faudrait toujours, nu ou vêtu, présent ou absent ; que le reste n’existait plus, qu’il était arrivé à ce port que cherche inconsciemment tout être
humain, d’aventure en aventure, mourant trop souvent avant de l’avoir trouvé. Le reste n’existait plus. Le reste ne serait plus que jeux, passades, rébellions futiles, et remords vains. La vérité
était là. Elle était dans la hanche immobile, mais dont il percevait l’admirable frémissement musculaire ; dans le sein au relief léger, dans le bras rejeté en arrière par une victorieuse
défaite. Bien mieux, une prescience l’avertit que la révélation de lui-même ne se ferait que par cette femme, qu’elle était peut-être sa réalisation, comme un grand poème écrit déjà, une
symphonie géniale déjà composée, un tableau de maître achevé. Pourtant il ne savait rien d’elle, rien, et il n’était pas libre. Le reflet d’or trembla et mourut. Richard saisit ce corps aux
beautés encore perceptibles et le ramena violemment vers lui… »
Commentaire (critique ?) : Silsauve est le premier ouvrage de Germaine Beaumont que j’aie jamais lu, et sera sans doute le dernier. Outre la maigreur de l’intrigue (suite à la mort de sa grand-mère maternelle qui l’avait élevée dans un monde d’innocence, la petite Silsauve se retrouve dans les griffes de sa grand-mère paternelle qui lui préfère sa sœur cadette…) le très long roman ( 700 pages) décrit une fin de siècle rigide et compassé où règne une bourgeoisie de province avare et tyrannique sur des domestiques aux ordres et débordants de bons sentiments. L’écriture de Germaine Beaumont se veut précise et méticuleuse, jusque dans les moindres détails… Ecriture que je qualifierais de maniériste. La lecture nécessite d’avoir un dictionnaire à portée de main et beaucoup de patience en réserve.
Chapitre 2 : Après son "face à face" avec le Président, Odile se retrouve face à elle-même pendant une semaine... Que va-t-elle faire ?
2
Rongée de remords et d’angoisse, Odile passa une semaine épouvantable. Le mardi soir, à peine de retour chez elle avec ses enfants, elle avait commencé à mesurer la portée de ce qui était arrivé. Elle eut beau se dire que ce n’était qu’un accident, un triste moment d’égarement, qu’elle n’était coupable d’aucune infidélité, les images de cette après-midi de malheur ne cessèrent de la hanter. Pas uniquement les images, mais aussi les mots, les odeurs, les saveurs. Ces souvenirs lui faisaient horreur Quoi qu’il puisse arriver, elle était fermement résolue à ne plus jamais remettre les pieds dans l’appartement d’Alexandre Delorme. Elle envisagea même d’abandonner ses fonctions de trésorière de l’association, mais y renonça bien vite en pensant que cette démission pourrait éveiller les soupçons et être par la suite interprétée comme un aveu de culpabilité.
Bien entendu, à son mari, elle ne dit pas un mot de ce qui s’était passé et s’efforça de ne rien laisser paraître de ses tourments. Comme à son habitude, Sébastien ne
s’intéressait que de très loin aux activités d’Odile. Donc, comme il ne posait aucune question gênante, elle n’avait de son côté aucune raison d’éveiller ses soupçons.
Cependant, un soir dans le secret de leur chambre, alors qu’il se déshabillait avant de se mettre au lit, Odile se surprit à regarder à la dérobée le sexe de Sébastien. Comparée à celle de M. Delorme, la queue conjugale lui apparut un peu dérisoire avec son prépuce tout chiffonné et ses modestes proportions. Rien à voir avec le membre du président, plus élégant, plus désirable. Elle chassa ce souvenir obscène et l’enfouit au plus profond de ses pensées.
Il y avait autre chose qui la tourmentait : à chaque fois qu’elle évoquait le souvenir douloureux du lundi précédent, elle
se sentait, malgré son dégoût, comme traversée par une onde de chaleur et, aux toilettes, il lui arriva à plusieurs reprises de découvrir une tache humide sur l’empiècement de sa culotte et son
con tout suintant de mouillure. Elle en aurait pleuré de rage !
Cette excitation la troublait tellement qu’elle reprit l’habitude de se branler, persuadée que cette pratique innocente suffirait à éloigner les démons de l’adultère. Se masturber - comme elle disait avec pudeur - ne lui était plus arrivé depuis sa première maternité. Pourtant, elle retrouva facilement ses gestes de jeune fille avec encore plus de précision et d’efficacité. Le matin, une fois les enfants déposés à l’école et Sébastien parti au travail, elle s’enfermait dans la salle de bains et se branlait sous la douche. Au bureau, elle profitait de ses passages aux toilettes pour se caresser. Assise sur la cuvette, la jupe relevée, la culotte aux chevilles, elle se graissait le clitoris avec l’abondante mouillure de son vagin qui ruisselait de désir puis, avec ardeur, s’astiquait jusqu’à l’orgasme. En quelques minutes, elle s’offrait une petite jouissance express qu’elle devait renouveler au cours de la pause de l’après-midi afin d’apaiser sa fureur utérine.
Le samedi matin, alors que Sébastien était parti accompagner les garçons à leur activités sportives du week-end – tennis pour l’aîné, judo pour le plus jeune – il lui vint l’idée de se mettre nue devant la glace et de se regarder. Elle avait dénoué sa sombre chevelure qui tombait sur ses épaules. Des deux mains en corbeille, elle soupesa ses seins de maman, en caressa légèrement les tétons et ce simple attouchement lui donna le frisson. Ses hanches, quoiqu’un peu alourdies par ses deux maternités, étaient encore presque juvéniles. De profil, elle avait fière allure avec une belle chute de reins et un fessier au galbe plus qu’engageant.
Mais ses yeux revenaient sans cesse se poser sur le buisson noir qui fleurissait au bas de son ventre laiteux. La touffe drue mais soyeuse attirait irrésistiblement son regard.
Assise au pied du lit, les cuisses écartées, Odile posa entre ses jambes ouvertes la petite psyché dont elle se servait pour se maquiller ou traquer les points noirs. Dans l’ovale du miroir
grossissant, sa chatte lui parut celle d’une géante. Séparant des deux mains les lèvres charnues, elle fit bâiller sa vulve humide. Jamais encore elle n’avait osé se regarder ainsi, dans son
intimité la plus secrète. Là-dedans, c’était tellement gras qu’il s’était formé une sorte de filament translucide, épais comme de la morve, qui allait d’une paroi à l’autre du vagin. Dégagée de
sa gaine de chair, la tête tuméfiée du clitoris était bien visible. Lorsqu’elle forçait son con à s’ouvrir en actionnant les muscles de ses sphincters, elle voyait cette bouche sexuelle
s’arrondir, comme surprise, et révéler pendant quelques instants les profondeurs huileuses de sa béance où des sortes de bulbes de chair carminée luisaient comme des œufs de limace. Alors, une
forte odeur de rut inassouvi montait de cette fournaise. En se rhabillant, Odile pensa qu’à la première occasion, et évidemment sans en parler à Sébastien, elle s’achèterait un gros gode
multifonctions pour se calmer le con.
à suivre…
© Michel Koppera, juillet 2012
ZOOM n° 117 ( 2ème partie)
Reprenons avec trois photos de Irina IONESCO qu’on ne présente plus. (de cette galerie, j’ai volontairement omis de présenter les photos mettant en scène sa fille Eva plus ou moins dévêtue, afin de respecter le désir de cette dernière)
Deux photographies de Pascale LEMAIRE
Puis deux autres de Dominique AUERBACHER
Deux très beaux autoportraits réalisés par Alice ODILON (26 ans en 1985). Son visage est d’une beauté tragique, surtout son regard sombre.
Pour terminer trois images de Claude ALEXANDRE. Ces images de popotins sensuels sont d’une grande élégance plastique.
Le saviez-vous ? # 40
Le psychiatre parisien d’enfants C. Koupernik a rapporté dans La semaine des Hôpitaux, le cas d’une fillette de cinq ans affligée, au désespoir de ses parents adoptifs, de l’habitude invétérée d’auto-attouchements. Il s’avéra que sa mère prostituée la gardait dans son lit lors de ses accouplements professionnels et que des clients en profitaient pour masturber la fillette.
Encore quatre images de Jean-Jacques LEQUEU. Cette fois, il n'hésite pas à représenter une femme en pleine menstruation, avec comme toujours, une fascination mêlée de répugnance pour les mystères du corps féminin.
Commentaire de Lequeu : "L'ordinaire des mois de la fille nubile, ou la fille comme immonde" ," Sang des règles qui
coules ou menstrues"
Une fantasmagorie architecturale
Projet de lit ( apparemment commandé par un noble résidant à "Sophia en Bulgarie")
Rappel : Odile est chez le Président de l'Association de Parents d'élèves qui a découvert une erreur dans la comptabilité d'Odile et qui compte tirer profit de cette faute.
Bien qu’horriblement gênée par la situation, Odile se trouva incapable de prononcer une parole de réprobation, et encore moins de détourner son regard de la bite en érection qui se dressait à portée de main. La première chose qu’elle remarqua, c’est que M. Delorme était circoncis et que ça lui allait bien. C’était un beau sexe, bien proportionné, droit comme un i, avec un gland d’apparence ferme. Le relief d’une veine tortueuse qui courait sous la peau fine ajoutait une note attendrissante au membre présidentiel.
De sa
main libre, il prit Odile par la nuque et l’attira à lui. Elle n’opposa aucune résistance, bascula lentement sur le côté jusqu’à poser sa tête sur le ventre de M. Delorme. La bite était là, toute
proche de ses lèvres. Odile en humait déjà l’odeur chaude : elle sentait bon.
La main du président lâcha sa nuque et caressa ses cheveux. Odile avança un peu plus son visage. Maintenant, le gland nu effleurait ses lèvres. Elle y passa le bout de la langue, d’abord sur la petite bouche du méat, puis tout autour, comme elle l’aurait fait d’une glace à une boule pour ne rien perdre de son parfum sucré. La bite du président était chaude, sous pression, tendue comme un arc.
D’un coup de reins, il s’enfonça dans la bouche d’Odile. Alors, elle se mit à le pomper avec méthode, usant de sa langue, de ses
lèvres en fourreau, du voile de son palais aussi doux et souple qu’un vagin. Sa main fouilla dans le pantalon à la recherche des couilles qu’elle saisit et pétrit avec douceur.
Odile sentit la main du président se crisper dans ses cheveux, puis la bite fut saisie d’une sorte de vibration continue. « Oh, putain, ce que vous sucez bien ! » furent les derniers mots du président avant que les giclées de sperme se répandent dans la bouche d’Odile qui avala le tout sans broncher, lui laissant sur la langue un arrière-goût d’amande fraîche…
Chacun remit de l’ordre dans sa tenue : le président réajusta son pantalon, Odile se recoiffa et fit un passage aux toilettes où elle constata avec un peu d’inquiétude qu’elle était si excitée que le fond de sa culotte en était tout mouillé.
Il était presque 16h 30 lorsqu’elle quitta l’appartement du président. Mais au moment de partir, alors que sur le palier elle attendait l’ascenseur, il lui avait dit :
- Je vous attends mardi prochain, dans l’après-midi. On réglera cette affaire. Surtout, n’oubliez pas d’apporter tous les documents nécessaires. Passez une bonne semaine et transmettez mes amitiés à votre mari.
à suivre…
© Michel Koppera, juillet 2012
Sylvia KRISTEL est née en septembre 1952 à Utrecht, aux Pays-Bas. Elle a débuté comme mannequin dès l'âge de 17 ans. Sa première célébrité médiatique fut pour une publicité pour un tampon hygiénique, ce qui donnait déjà le ton de ce que serait sa carrière !
1974 : Succès planétaire du fim Emmanuelle. Ce film (d'une mièvrerie affligeante) contribuera certes à sa gloire, mais aussi à sa chute car elle sera désormais cataloguée une fois pour toutes dans l'inconscient collectif comme actrice de films érotiques. A partir de 1981, son existence est jalonnée d'échecs et de drames ( maladie, addictions, déceptions sentimentales...)
En Juin 2012, elle a été gravement touchée par un AVC qui semble ponctuer cette lente descente aux enfers...
Restent les images du fauteuil en rotin ou de la scène d'amour en Boeing 747...
Syvia Kristel photographiée par Jeanloup SIEFF
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