Mercredi 18 juillet 2012 3 18 /07 /Juil /2012 06:31

Sylvia KRISTEL est née en septembre 1952 à Utrecht, aux Pays-Bas. Elle a débuté comme mannequin dès l'âge de 17 ans. Sa première célébrité médiatique fut pour une publicité pour un tampon hygiénique, ce qui donnait déjà le ton de ce que serait sa carrière !

1974 : Succès planétaire du fim Emmanuelle. Ce film (d'une mièvrerie affligeante) contribuera certes à sa gloire, mais aussi à sa chute car elle sera désormais cataloguée une fois pour toutes dans l'inconscient collectif comme actrice de films érotiques. A partir de 1981, son existence est jalonnée d'échecs et de drames ( maladie, addictions, déceptions sentimentales...)

En Juin 2012, elle a été gravement touchée par un AVC qui semble ponctuer cette lente descente aux enfers...

Restent les images du fauteuil en rotin ou de la scène d'amour en Boeing 747...

s-kristel1s-kristel3s-kristel4s-kristel5s-kristel6s-kristel8s-kristel7-jlsieffSyvia Kristel photographiée par Jeanloup SIEFF

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Mardi 17 juillet 2012 2 17 /07 /Juil /2012 10:10

Comme d'habitude, l'original et son détournement. Cette fois : à table, le repas est servi !

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Lundi 16 juillet 2012 1 16 /07 /Juil /2012 10:05

ZOOM n° 117, été 1985. Sexe et fantasmes vus par la femme (1ère partie )

Dessin de couverture d’Olivia de BERARDINIS

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On commence par un dessin de Claire BRETECHER (j’admire toujours sa façon de dessiner les seins de ses personnages)

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Une petite galerie de dessins de Olivia de BERARDINIS dont un superbe ex-libris.

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Quatre photographies signées Noëlle HOEPPE. La dernière photo du modèle pris en plongée, de dos, projetant son ventre en avant comme pour uriner debout, est d’un érotisme sauvage.

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Trois autres photographies de Barbara RIX (dont Jeanloup SIEFF signait l’article de présentation )

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Samedi 14 juillet 2012 6 14 /07 /Juil /2012 12:40

D'abord la Marseillaise...

14-07-12... puis le bal du 14 juillet

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Vendredi 13 juillet 2012 5 13 /07 /Juil /2012 12:40

Rappel : Odile Varney, mère de famille respectable et trésorière de l'Association  de Parents d'Elèves de l'école, a commis une petite erreur comptable et doit en rendre compte au Président de l'association...

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Malgré elle, Odile se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Elle baissa la tête. Elle se sentait vraiment mal. Alexandre Delorme la fixait avec une telle intensité qu'elle eut l'impression que son regard traversait ses vêtements et parcourait sa peau, comme si elle s'était trouvée entièrement nue devant lui. Autrefois, elle avait éprouvé la même sensation quand, pendant la confession mensuelle, le curé lui demandait si, au cours du mois passé, elle avait péché ou eu des pensées honteuses. Alexandre Delorme avait le même regard inquisiteur qui la déshabillait de la tête aux pieds. Plus tard, au lycée, alors qu'elle était en classe de seconde, ce fut son prof de maths dont elle tomba secrètement amoureuse. À chaque fois qu'il posait les yeux sur elle, Odile était saisie d'un frisson et, s'il l'appelait pour venir résoudre une équation au tableau, elle s'imaginait nue sur l'estrade, en train de tracer des chiffres à la craie, le cul tourné vers la classe... Et le prof qui la regardait avec un sourire d'encouragement en lui disant que c'était très bien... Elle mouillait. Le soir, dans son lit, le manuel de maths posé sur les genoux, tout en révisant sa leçon pour le cours du lendemain, elle se branlait discrètement, la main entre les cuisses, deux doigts dans la fente.

comptable2-3Alexandre Delorme la ramena brutalement à la réalité.

- Vous m'avez entendu ? Je vous demande si vous en portez aujourd'hui !

- Non, souffla-t-elle.

- C’est un peu décevant, marmonna-t-il, je dirais même fâcheux.

Il sembla s’accorder quelques instants de réflexion.

- Prenez place sur le canapé, nous allons parler un peu.

Odile consulta discrètement sa montre : bientôt 16 heures ! Son geste n’échappa point à M. Delorme qui s’empressa de la rassurer.

- Nous n’en aurons pas pour longtemps. Soyez sans inquiétude, vous ne serez pas en retard pour la sortie de l’école !

Il s’assit à ses côtés.

- Je pense que vous avez déjà envisagé les conséquences de votre faute si elle devenait publique. Votre emploi, vos enfants, votre couple… Un vrai désastre. À propos, vous en avez parlé à votre mari ?

- Non, il n’est au courant de rien.

- Tant mieux ! Il faut que cela reste entre nous. Vous savez comment sont les gens, ils parlent souvent à tort et à travers, sans se rendre compte du mal qu’ils peuvent faire ! Ce sera notre petit secret, rien qu’à nous !comptable2-4

Il posa sa main sur le genou d’Odile, d’un geste naturel, presque familier. Elle en fut à peine surprise.

- Vous pouvez compter sur mon entière discrétion. Je ne dirai rien, à personne. Ce n’est pas mon genre.

Odile gardait la tête haute, le regard attaché à un tableau accroché au mur d’en face : un paysage champêtre sous un ciel serein où paressaient des nuages blancs. Mais toute sa pensée était tournée vers cette main étrangère qui caressait doucement son genou. Depuis son mariage, personne d’autre que Sébastien ne l’avait touchée ainsi. Surtout ne pas le regarder, se répétait-elle intérieurement, faire comme si ce n’était qu’une simple illusion ou alors la main très professionnelle d’un médecin en train de m’ausculter.

Cependant, Alexandre Delorme poursuivait sa leçon de morale.

- Evidemment, il va falloir donner quelques explications complémentaires à la banque… Mais soyez sans crainte, je m’en charge personnellement… Vous portez des bas ?

Odile était à l’écoute de la main qui remontait sournoisement le long de sa cuisse.

- Non, j’ai mis des collants… à cause du froid, ajouta-t-elle comme pour s’excuser.

Elle devina l’hésitation de la main qui finalement revint à son genou.

- Il faut aussi espérer que notre trésorier adjoint ou encore notre secrétaire ne viennent pas fourrer leur nez dans nos affaires… A priori, il n’y a aucun risque, mais on n’est jamais trop prudent… Après tout, nous sommes complices maintenant !

Les doigts du président jouèrent encore quelques instants avec l’ourlet de sa robe sombre, avant de lâcher leur proie. Odile se crut libre et ne put se retenir de tourner la tête vers l’homme assis à ses côtés. Leurs regards se croisèrent et il lui sourit avec malice.

- Pour sceller notre toute nouvelle alliance, je vais vous demander un petit service. Pour vous, ce ne sera pas grand-chose et ça ne vous engagera à rien.

comptable2-5 Sans plus attendre, il se laissa aller dans le canapé puis, avec une surprenante dextérité, déboucla la ceinture de son pantalon de velours, déboutonna sa braguette et en sortit sa queue raide qu’il tenait bien droite entre le pouce et l’index.

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

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Mercredi 11 juillet 2012 3 11 /07 /Juil /2012 17:22

Souvenir personnel : Londres, été 1998. Passage incontournable par le temple de la consommation, le magasin Harrod's. Au rayon bijouterie, il y avait trois femmes voilées, tout de noir vêtues, en train de choisir des bagues et des bracelets. Elles ne laissaient voir que leurs yeux et leurs mains nues. Elles paraissaient avoir une trentaine d'années, mais comment savoir ? Et soudain, j'ai croisé le regard de l'une d'entre elles, et ce regard je ne l'ai pas oublié tant il était beau et sensuel : des yeux noirs, intenses, brûlants de vie... C'est ce jour-là que j'ai compris pourquoi autrefois les hommes pouvaient fantasmer sur une cheville entrevue sous une robe un instant soulevée pour monter dans un fiacre..

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Mercredi 11 juillet 2012 3 11 /07 /Juil /2012 12:37

Le festival d'Avignon bat son plein, c'est l'occasion de rendre hommage au théâtre. Alain, le philosophe, écrivait : "Il ne faut pas oublier que le théâtre est un plaisir de société." Il ne croyait pas si bien dire...

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Mardi 10 juillet 2012 2 10 /07 /Juil /2012 11:47

Je vous propose de découvrir tout au long de cet été un roman inédit, "La trésorière", qui relate les aventures et mésaventures d'une brave mère de famille nommée Odile VARNEY qui se trouve, bien malgré elle, embarquée dans une étrange expérience érotique... Bonne lecture.

 

La trésorière

comptable1-3 

 

1

 

 

Ce matin de décembre, alors qu’elle garait sa voiture dans le parking souterrain du centre commercial, Odile Varney n’aurait jamais imaginé que, moins d’une heure plus tard, elle commettrait une petite erreur qui allait bouleverser sa paisible existence.

Odile Varney avait trente-sept ans. Elle était mariée depuis plus de dix ans à Sébastien Varney, chef de chantier dans une grosse entreprise du BTP. Le couple avait deux enfants, deux beaux garçons âgés de huit et six ans. Odile menait une vie simple et harmonieuse, partagée entre l’amour pour son mari et ses enfants, les tâches ménagères et son emploi de comptable dans une entreprise de transport. En tout, Odile était un modèle d’ordre, de rigueur et d’honnêteté. « Ni excès, ni extravagance », telle aurait pu être sa devise.

Dans sa jeunesse, Odile avait été une jeune fille sans histoire, au physique passe-partout. Plus tard, elle était devenue jolie. Ses deux grossesses l’avaient encore embellie, mais elle ne s’en était pas rendu compte. À l’approche de la quarantaine, Odile était une belle femme mûre à la silhouette élégante, au visage harmonieux. Pour parler franchement, elle avait un cul magnifique, une poitrine en conséquence et une bouche à sucer les bites.

comptable1-1Donc, par ce froid matin de décembre, Odile était venue fouiner dans les boutiques de fringues de la galerie marchande du centre commercial.

Question cul, Odile faisait dans le classique. Dépucelée à dix-sept ans par un cousin de passage, premier orgasme à vingt-trois ans dans le lit d’une rencontre d’un soir, coït programmé le samedi soir, corvée trimestrielle de pipe et sodomie conjugales. Elle avait fini par se persuader que le sexe n’était qu’un à-côté de la vie.

 

Compte tenu de son expérience professionnelle, Odile avait été élue trésorière de l’association de parents d’élèves. À ce titre, elle était chargée de collecter les cotisations et de veiller au bon usage des subventions. Le bureau se réunissait quatre fois l’an, au domicile personnel du président. Il s’appelait Alexandre Delorme et occupait, à ce qu’on disait, un poste important dans la police, ce qui inspirait à la fois crainte et respect. C’était un bel homme d’une cinquantaine d’années. Divorcé, il avait obtenu la garde exclusive de son fils unique âgé de huit ans – il se disait aussi que l’épouse infidèle était partie vivre sa vie dans la sud du pays, quelque part au bord de la Méditerranée. Malgré les boissons fraîches et les petits gâteaux, les réunions du bureau n’avaient vraiment rien de réjouissant : une dizaine de personnes sérieuses et compassées qui parlaient financement de voyages scolaires, allégement des cartables, garderie du soir ou actions à entreprendre contre les menaces de fermeture de classes…

On était un mardi de février, dans l’après-midi. Odile venait de présenter le bilan financier de l’année précédente : adopté à l’unanimité. Mais au moment de se séparer, le président avait retenu Odile par le bras.comptable1-2

- Excusez-moi, madame Varney, pouvez-vous m’accorder quelques instants, juste le temps de régler un petit problème…

Dès que les autres membres du bureau eurent quitté l’appartement, il tira le verrou et rejoignit Odile restée au salon.

- Voyez-vous, la semaine dernière, je suis passé à la banque et j’ai demandé à consulter le relevé des opérations bancaires de notre association, commença-t-il en sortant de sa poche une feuille qu’il déplia.

Odile sentit ses jambes fléchir, son cœur s’arrêter, son sang refluer…

- Tout serait parfait si, à la mi-décembre, le compte n’avait été débité d’un montant de 262 €, puis recrédité de la même somme deux semaines plus tard…

- Une erreur de la banque, articula péniblement Odile.

- Je ne crois pas. Il s’agissait en réalité d’un chèque libellé à l’ordre d’une boutique de lingerie haut de gamme, un chèque signé de votre main. En voici une photocopie… Je me trompe ?

Odile avait la bouche sèche. Maladroitement, elle tenta d’expliquer comment, dans la précipitation, au moment de payer, elle avait confondu son propre chéquier avec celui de l’association. À la réception du relevé de fin de mois, elle s’était rendu compte de son erreur qu’elle avait aussitôt réparée…

- Même si ce que vous dites est vrai, il ne faudrait pas que la chose s’ébruite. On pourrait vous soupçonner d’indélicatesse. Surtout si on apprend que c’était pour vous offrir des frivolités ! Cela pourrait vous nuire, à vous personnellement, mais aussi à votre entourage…

Après un long silence, Alexandre Delorme reprit, mais sur un autre ton.

- Vous en portez aujourd’hui ?

Odile parut ne pas comprendre.

- Porter quoi ?

- De la lingerie fine.

à  suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 9 juillet 2012 1 09 /07 /Juil /2012 13:46

Mes récentes pérégrinations sur les routes et autoroutes hexagonales m'ont inspiré ce poème un peu trash. Que les âmes sensibles me pardonnent. (Certes les illustrations ne collent pas vraiment au thème du texte, mais je tenais à rendre hommage à la beauté éternelle des chats)

epitaphe1Epitaphe

 

La gueule ouverte et les tripes à l’air

Je suis le chat crevé sur le bord de la route.

Hier encore, je m’appelais Ulysse ou Slimane,

Naguère libre vagabond des sentiers et des chênes

Chat du voyage au pelage d’arc-en-ciel.

 

Sur les routes des plages fleurissent les cadavres

De mes frères sans nom, sans héritage ni logis ;

Des pies en grand uniforme de parade

Et de vieux corbeaux en soutane d’antan

Veillent nos dépouilles qui saignent au soleil.

 

Les essieux de plomb d’un trente tonnes allemand

M’ont broyé les os et brisé les reins.

C’était aux premières heures d’une nuit d’orage,

Quand miaule le désir des femelles en rut

Et que rôde la mort sur l’asphalte mouillé.

 

                                                © Michel KOPPERA,  Juillet 2012 

epitaphe2

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 6 juillet 2012 5 06 /07 /Juil /2012 08:06

Pour les premiers grands départs en vacances, ouverture ce jour d'un nouvel album dédié à Loïc DUBIGEON ( 1934-2001)

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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