Vendredi 3 février 2012
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FATY, Mémoires d’une fouetteuse (récit) Editions J.J. Pauvert, 1991
L’ouvroir
- Tu n’es qu’une putain ! Nous allons t’éduquer en putain, user de toi comme d’une putain ! Mais d’abord, nous allons te
dépuceler vraiment, t’enculer au gode et t’élargir pour que tu aies un gros cul bien ouvert… Désires-tu qu’on t’élargisse ?
- Oui, maîtresse ! Féminisez-moi bien : bas résille, bottines à très hauts talons, guêpière étroite qui me contraigne
sévèrement, me forme, fasse remonter le ventre et les fesses.
Il devra être évident aussi bien par les liens que par la trace des lanières et l’habillement, que je suis une chose dont on se
sert selon son bon plaisir.
Je devrai, j’insiste, être ouverte et élargie afin de devenir facile à pénétrer et à fouiller. Je devrai être aussi dépucelée
sévèrement, c’est encore là une intronisation importante à l’esclavage. Le cul sera bien préparé, massé au poivre de Cayenne ou simplement tracassé au martinet, puis bien graissé afin de prendre
un premier gode d’un diamètre déjà plus épais que la moyenne.
Pour ce faire, je serai strictement attachée, offerte et bâillonnée. Je devrai me sentir bien prise et bien violée ( Il existe,
je le signale, des enculeuses à moteur). Puis, progressivement, pendant mon dressage, je serai pénétrée de godes de plus en plus épais. À vous de décider de la réceptivité que je devrai
atteindre. On lit, dans les revues spécialisées, que certains peuvent recevoir des godes de 6,7,8 voire 9 centimètres de diamètre.
Par michel koppera
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Jeudi 2 février 2012
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/2012 07:19
Ce brave Lucky Luke, tire-t-il vraiment aussi vite que son ombre ?
Par michel koppera
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Mercredi 1 février 2012
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/2012 07:25
Paul ELUARD, L’AMOUREUSE « Mourir pour ne pas mourir », 1924
Elle est debout sous mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens
Elle a la forme de mes mains
Elle a la couleur de mes yeux
Elle s’engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s’évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire.
Par michel koppera
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Mardi 31 janvier 2012
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/2012 07:21
"L'amour est un art, une acrobatie, c'est parfois de l'héroïsme" ( Lya Luft, Pertes et profits)
" Cependant que l'acrobate est en proie à l'équilibre le plus instable, nous faisons un voeu. Et ce voeu est étrangement double
et nul : nous souhaitons qu'il tombe, et nous souhaitons qu'il tienne." ( Paul Valéry)
Par michel koppera
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Lundi 30 janvier 2012
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/2012 07:10
I comme INNOCENCE
I comme INVITATION
I comme INDECENCE
I comme IMPITOYABLE
I comme IMAGINAIRE
Par michel koppera
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Dimanche 29 janvier 2012
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/2012 10:33
ZOOM n° 100 Numéro spécial été 1983
Difficile d’échapper au numéro rétrospective. Donc dans ce numéro beaucoup d’images que vous avez déjà vues sur ce blog. J’ai
néanmoins tenté de vous en dénicher des inédites.
- Couverture de circonstance
- Photomontage publicitaire pour TOSHIBA. C’était le tout début des CD.
- Illustration de André François pour Télérama qui faisait ses débuts
Rétrospective de quelques images intéressantes des numéros 1 à 50
Dessin de Wolinski
Photographie de Georges Tourdjman ( numéro 6 )
Odalisque de Georges Balagny ( numéro 25)
Autoportrait en lingerie noire de Friedl Bondy ( numéro 25 )
Photo de Max Waldman ( 1973)
Jan Saudek ( 1977 )
Par michel koppera
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Samedi 28 janvier 2012
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/2012 11:15
JEAN DE LA FONTAINE. La jument de Compère Pierre (extrait )
Compère Pierre se lamente de sa misère. Messire Jean, curé charlatan, le persuade qu’il peut métamorphoser Magdeleine, la
jeune et charmante épouse de Pierre, en jument, assurant ainsi la fortune de Pierre. Pour que la magie opère, il faut que la femme soit nue et que Pierre ne dise mot. Voici donc Jean « opérant »
sur Magdeleine.
« ...Disant ces mots il ôte la chemise,
Regarde faire, et ses lunettes prend.
Messire Jean par le nombril commence,
Pose dessus une main en disant :
« Que ceci soit beau poitrail de jument. »
Puis cette main dans le pays s’avance.
L’autre s’en va transformer ces deux monts
Qu’en nos climats les gens nomment tétons ;
Car quant à ceux qui que l’autre hémisphère
Sont étendus, plus vastes en leur tour,
Par révérence, on ne les nomme guère ;
Messire jean leur fait aussi la cour,
Disant toujours pour la cérémonie
« Que ceci soit telle ou telle partie,
Ou belle croupe, ou beaux flancs, » tout enfin.
Tant de façons mettaient Pierre en chagrin ;
Et ne voyant nul progrès à la chose,
Il priait Dieu pour la métamorphose.
C’était en vain ; car de l’enchantement
Toute la force et l’accomplissement
Gisait à mettre une queue à la bête :
Tel ornement est chose fort honnête.
Jean ne voulant un tel point oublier
L’attache donc : lors Pierre de crier… »
Ce faisant, Pierre rompt le charme et la belle Magdeleine ne se transformera pas en jument pour le plus grand bonheur de
Pierre, qui finalement préférera sa compagne telle qu’elle est !
Ce conte a inspiré de nombreux illustrateurs. En voici quelques exemples !
Par michel koppera
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Vendredi 27 janvier 2012
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Et ça continue, encore et encore...
Par michel koppera
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Mercredi 25 janvier 2012
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Après Blanche Neige et les Simpsons, je vous propose de découvrir la vie sexuelle assez mouvementée, mais finalement sans
surprise, du Petit Chaperon Rouge.
Par michel koppera
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Mardi 24 janvier 2012
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YVES NAVARRE, Le temps voulu, éditions Flammarion, 1979
Page 63
Souvenir impérissable : lequel d’entre nous n’a pas éprouvé la même émotion, la même fièvre après sa première éjaculation ?
Rappelez-vous, votre première fois, c'était où, quand, comment ?
« Je suis né quand j’ai « juté » pour la première fois. Sur mon lit, dans ma chambre, un dimanche après-midi. Le
lendemain, j’aurais cogné le lycée tout entier. J’avais douze ans. Je pouvais m’envoler, partager, offrir et recevoir. J’étais normalement constitué. La preuve !
Petite larve, tout mon corps répondait. Je n’ai jamais tant frissonné que ces premières fois-là. Je jouissais en claquant des
dents. Je ne rétorquais plus rien à mes sœurs quand elles se moquaient. Je prenais un air supérieur. Je guettais les premiers poils au bas de mon ventre, sur le sternum et sur les jambes. Je
grandissais. J’étais de plus en plus à leur hauteur, à table. Je ne me suis jamais tenu aussi droit. J’avais les yeux battus. J’attendais.»
Par michel koppera
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