Mardi 24 janvier 2012
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YVES NAVARRE, Le temps voulu, éditions Flammarion, 1979
Page 63
Souvenir impérissable : lequel d’entre nous n’a pas éprouvé la même émotion, la même fièvre après sa première éjaculation ?
Rappelez-vous, votre première fois, c'était où, quand, comment ?
« Je suis né quand j’ai « juté » pour la première fois. Sur mon lit, dans ma chambre, un dimanche après-midi. Le
lendemain, j’aurais cogné le lycée tout entier. J’avais douze ans. Je pouvais m’envoler, partager, offrir et recevoir. J’étais normalement constitué. La preuve !
Petite larve, tout mon corps répondait. Je n’ai jamais tant frissonné que ces premières fois-là. Je jouissais en claquant des
dents. Je ne rétorquais plus rien à mes sœurs quand elles se moquaient. Je prenais un air supérieur. Je guettais les premiers poils au bas de mon ventre, sur le sternum et sur les jambes. Je
grandissais. J’étais de plus en plus à leur hauteur, à table. Je ne me suis jamais tenu aussi droit. J’avais les yeux battus. J’attendais.»
Par michel koppera
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Lundi 23 janvier 2012
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/2012 07:05
H comme HARAS
H comme HEUREUSE
H comme HAPPY END
H comme HIVER
H comme HÔTESSE
Par michel koppera
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Dimanche 22 janvier 2012
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/2012 09:24
ZOOM n° 99 , Zoom en vacances
C’est ce qui explique sans doute l’extrême pauvreté picturale de ce numéro !
- Couverture alléchante de Chris Thomson ( de loin la plus belle image du numéro )
- Deux photographies en noir et blanc de Claude Nori, prises à Naples en 1982 ( Claude Nori est né en 1949 à
Toulouse)
- Une image conceptuelle de Ernestine Ruben. ( née en 1931 à Detroit –USA) Commentaire de l’article : « Son
œil attentif explore les mystères subtils de l’expérience humaine, et son imagination poétique transcende les limites de notre vision » !!! Un bon exemple de masturbation
intellectuelle…
- Deux photographies de Amyn Nasser
Et puis c’est tout !!!!
Par michel koppera
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Vendredi 20 janvier 2012
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/2012 08:19
SOUBRETTE. n.f. ( 1640, du provençal soubreto, de l’ancien provençal sobrar « être de trop », du latin superare
)
- Suivante ou servante de comédie
- Bonne, femme de chambre aimable et délurée.
« Vous êtes taillée en soubrette ; vous en avez la figure, le propos, le geste, le jeu ; tenez-vous là, et ne songez point
à vous élever davantage. » ( Bachaumont, mémoires secrètes, 1767)
Par michel koppera
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Jeudi 19 janvier 2012
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Régine DEFORGES, 101, avenue Henri Martin, éditions Ramsay , 1983
Fin du chapitre 3 : scène d'un grand classicisme
« Négligeant de lui répondre, François retira la lourde robe de chambre d’un seul geste. Nu, le sexe dressé, les jambes
écartées de chaque côté d’elle, il la dominait de toute sa taille. Léa ne put réprimer un frémissement voluptueux. Il ressemblait au brigand qu’elle rêvait de rencontrer au détour des allées
forestières des landes lorsqu’elle était petite.
Elle porta la main au creux de ses cuisses. François tomba à genoux devant cette petite main crispée, et déplia doucement les doigts et posa ses lèvres à leur place. Sous cette langue
qui la fouillait, elle se cambra pour mieux s’offrir. Le plaisir la surprit avec une violence qui la fit crier et s’agripper aux cheveux de son amant. Comme à regret, il releva le tête,
contemplant ave un bonheur qui marquait son visage, le bouleversant résultat de ses caresses. Puis s’allongeant sur elle, il la pénétra doucement. »
Par michel koppera
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Mercredi 18 janvier 2012
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/2012 07:07
Le saviez-vous ? n° 29
Au 18ème siècle, lorsque Marie-Thérèse, impératrice d’Autriche, consulta son médecin pour accélérer une descendance qui tardait à
venir, celui-ci lui répondit : « Je suis de l’avis que la vulve de Votre très Sainte Majesté devrait être titillée pendant un certain temps avant l’acte. » La patiente dut être conquise par la
technique et son empereur de mari ravi de la conversion inattendue, car le coupe impérial acquit une réputation d’amants passionnés, faisant l’amour par plaisir et non plus par obligation, ce qui
eut pour effet de leur fournir seize enfants (parmi lesquels Marie-Antoinette qui eut elle-même le plus grand mal à procréer avec Louis XVI, celui-ci étant pourvu d’un « bracquemart assez
considérable » alors qu’elle souffrait d’une étroitesse du vagin, selon l’historienne Simone Bertrière). (in Le Secret des Femmes, Editions Odile Jacob, 09/2010 )
Par michel koppera
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Mardi 17 janvier 2012
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/2012 07:12
Une nouvelle petite galerie au couvent consacrée (c'est le mot qui convient) à la pénitence, punition et repentance...
Tout un programme !
Par michel koppera
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Dimanche 15 janvier 2012
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/2012 16:14
G comme GALBE
G comme GÂTERIE (ou comme GOURMANDISE)
G comme GERONTOCRATIE
G comme GICLER
G comme GODE
Par michel koppera
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Dimanche 15 janvier 2012
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/2012 14:52
ZOOM n° 98, Seconde partie
- Quatre photographies de Didier Gaillard. Technique de réalisation : Au départ un tirage en noir et blanc sur
un papier assez dur et légèrement surexposé. Ensuite, virage sépia. Enfin, ajout des couleurs à l’aide de pastels ou de crayons de couleur.
- Portfolio consacré aux illustrateurs français.
Peinture à l’huile de Patricia Lechat
Gouache et crayon de Hélène Majera
Affiche du film « La lune dans le caniveau » de J.J. Beneix réalisée par Pierre Peyrolle ( né en
1945)
(peinture à l’huile)
« Ça ira », couverture de Michel Guiré-Vaka ( encres) né en 1936
Carte postale de Pierre Barraya ( huile) ( né en 1938 )
Pub pour BP réalisée par Pierre Peyrolle ( huile)
Par michel koppera
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Samedi 14 janvier 2012
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/2012 11:36
Sofia Villani Scicolone ( alias Sophia Loren) est née le 20 septembre 1934 à Naples. Montée à Rome avec sa mère, elle figure dès
l’âge de 16 ans dans des romans-photos sous le pseudonyme de Sofia Lazzaro et obtient de petits rôles dans des films où elle apparaît seins nus ( comme dans « Si, si, era lui » en 1951 ou « les
12 nuits de Cléopâtre » en 1953).
Image du film : "Si, si, era lui"
Sophia Loren dans "Les 12 nuits de Cléopâtre"
C’est en 1952 qu’elle prend le pseudonyme de Sophia Loren et entame la carrière cinématographique qu’on lui connaît.

De Sophia Loren, si je ne devais garder qu’un seul souvenir, ce serait celui de son rôle dans le film « Une journée particulière
» d’Ettore Scola en 1977. Elle avait alors 43 ans, mais jamais elle ne m’a paru aussi belle, aussi épanouie, aussi désirable. Je me souviens avoir vu le film plusieurs fois avec érection
spontanée à chacune de ses apparitions sur l’écran.
Après cette abondante galerie de photos glamour de Sophia Loren voici en prime, quelques clichés à l’authenticité contestée de
la star dans des poses plus osées ( ces photos sont censées remonter à ses débuts si l’on en croit les annotations)
Et pour terminer, deux photomontages dont on aimerait tant croire qu’ils soient vrais !
Par michel koppera
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Publié dans : jadis et naguère
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