Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Déviations, # 3
Simon démarre, mais il est tellement troublé par ces frôlements éphémères qu’il cale. Cet incident a le don de détendre l’atmosphère. Madame Gautier se moque gentiment de son chauffeur tout en le guidant dans un dédale de petites routes, de croisements et de ronds points en chantier. Après une demi-heure d’errance, ils finissent par déboucher enfin sur une route plus large, plus droite, plus fréquentée aussi. Simon retrouve avec soulagement les panneaux indicateurs. Encore vingt kilomètres jusqu’à l’autoroute.
- Ma sœur n’habite pas très loin de la bretelle d’accès, dit madame Gautier. Cela ne vous fera qu’un tout petit détour.
Tout en roulant, ils papotent : Simon lui parle de ses week-ends en Bretagne, elle lui raconte sa vie de « bonne du curé » bien loin de l’image un peu grivoise de la chanson.
- Si ça ne vous dérange pas, j’aimerais que vous vous arrêtiez au prochain parking, dit-elle soudain.
- Ne me dites pas que c’est ma conduite qui vous donne mal au cœur !
- Non, pas du tout, juste un besoin naturel et plutôt pressant. Trop de thé sans doute !
Simon stoppe bientôt sur une minuscule aire de stationnement en bordure de route : pas d’arbres, pas de fossé, pas de muret pour s’abriter des regards ! Il éteint les phares et coupe le moteur. Descendue de voiture, madame Gautier ouvre les deux portières du côté droit et s’accroupit. Simon éteint les lumières du plafonnier. Dans l’obscurité profonde, il entend distinctement le jet puissant et presque joyeux de la miction qui éclabousse le bitume. C’est long, tellement long que lorsqu’une voiture débouche du virage, le faisceau de ses phares balaie le bas de caisse de la voiture de Simon, et éclaire en plein le cul nu et sans défense de la gouvernante. Pendant quelques secondes, trop brèves à son goût, Simon voit tout : la chair blanche des cuisses au-dessus des bas noirs, la chatte poilue, la vulve qui bâille, le jet d’urine dorée… Il en a une érection spontanée.
La voiture est passée. Retour aux ténèbres. Madame Gautier reprend place aux côtés de Simon qui ne démarre pas… Il y a un long silence qu’elle brise enfin.
- Vous regardiez ? demande-t-elle de sa voix si douce.
- Oui.
- Je suis vraiment désolée, c’est de ma faute.
- Ne vous excusez pas… Je crois qu’il y a des choses beaucoup plus pénibles à voir que le spectacle que vous m’avez involontairement offert…
- Démarrez, s’il vous plaît. Nous ne sommes plus très loin maintenant, dit-elle en posant délicatement sa main gauche sur la cuisse de Simon, au plus près de son érection persistante.
Tout au long des derniers kilomètres, sans retirer sa main, elle lui parle de sa jeune sœur chez qui elle se rend. Simon apprend ainsi qu’elle se prénomme Myriam, qu’elle est de cinq ans sa cadette, qu’elle est veuve depuis la mort de son mari survenue quelques plus tôt dans un accident de la route, qu’elle est infirmière, qu’elle élève seule ses deux enfants déjà grands et partis étudier à la capitale…
Madame Gautier guide Simon dans les rues de V* jusqu’à un pavillon dans un lotissement récent de la périphérie. Alors qu’il gare sa voiture dans la cour, elle lui dit :
- Vous n’êtes plus à une heure près. J’ai prévenu ma sœur de notre arrivée, elle nous attend pour le dîner. Vous ne pouvez pas refuser…
ça vous plaît ? Oui ? alors à vos fantasmes pour la
suite...
ZOOM n° 89, mai 1982
Photo de couverture réalisée par Georges Tourdjman ( né en 1935 à Casablanca )
- Deux magnifiques et terribles portraits de jeunes femmes algériennes réalisés par Marc Garanger ( né en 1935 ) dans la province du Dirah ( Kabylie) en 1960, dans le cadre d’une campagne de photographies systématiques et obligatoires de la population en vue de la délivrance d’une carte d’identité. Par leur regard, ces femmes pour la première fois dévoilées devant un inconnu (chrétien, colonisateur de surcroît) manifestaient clairement leur résistance et leur haine. Appelé du contingent, Marc Garanger avait ainsi photographié 2000 femmes ( à raison de 200 par jour )
- Deux compositions photographiques très « léchées » de Laurence Robins (originaire de New-York)
La patineuse
La nymphe au clair de lune
- Deux photographies de Peter Pexa ( prises de vues en piscine )
Jayne Mansfield est née en avril 1933 et décédée accidentellement le 29 juin 1967.
De son vrai nom Vera Jane Palmer, elle fut à la fois stéréotype de la blonde platine décervelée, sex-symbol de substitution après la disparition de Marilyn Monroe et accessoirement actrice dans des navets hollywoodiens. Rendue célèbre par sa plastique remarquable (entendez ses seins et son cul !), ses multiples aventures et déboires sentimentaux, ses innombrables toutous de compagnie, son addiction au whisky et aux drogues plus ou moins dures, elle fut comme tant d’autres victime de sa propre image qui était loin de rendre compte de la complexité et de la richesse de son personnage.
En ayant capté les impulsions électriques émises par le pénis, on sait maintenant que l’état de repos chez l’homme, c’est l’érection. Les périodes « molles » viennent de ce que le système nerveux envoie constamment des messages au pénis pour qu’il ne bande pas. Ce qui explique, par exemple, les érections nocturnes aux heures où la conscience se relâche. Etonnant, non ?
La belle et son gode
Sur les sites amateurs et les blogs, voilà un des thèmes qui nourrit les albums photographiques des internautes : l’épouse, l’amante, la copine, la maîtresse en flagrant délit de jouissance avec son gode ! Peu importent la taille de l’instrument, sa couleur, sa forme, sa texture…pourvu qu’il les mène à l’orgasme. Qu’il soit vibrant, tournoyant, vrillant ou simple prothèse manuelle, elles ne lui demandent qu’une seule chose : du plaisir ! Et au vu des photos de leurs vulves grasses, des engins luisants de mouillure, ils sont efficaces. Devant l’objectif, elles se l’enfoncent indifféremment dans le con ou dans le cul. Elles n’éprouvent aucune honte, aucune gêne… Et votre serviteur peut en témoigner, lui qui a, des dizaines de fois, immortalisé dans l’objectif ces instants magiques… Voici donc parmi des milliers d’images quelques moments de pur fantasme masculin…
Déviations, # 2
L’homme qui ouvre la porte est un vieillard maigre, aux cheveux blancs et clairsemés, vêtu d’un costume gris foncé. Malgré son grand âge, il a le regard vif et la voix assurée.
- Que puis-je faire pour vous, jeune homme ? demande-t-il en regardant le visiteur inattendu.
Simon lui conte sa mésaventure que le vieil homme écoute attentivement en hochant la tête.
- Je ne pense pas pouvoir vous être d’un grand secours, dit-il quant Simon a terminé. Je ne suis plus en âge de conduire et je me perds un peu dans toutes ces routes nouvelles. Mais peut-être que ma gouvernante pourra vous tirer de ce mauvais pas…
Il se retourne et appelle :
- Madame Gautier ! Vous pouvez venir, s’il vous plaît ! Il y a là un monsieur qui s’est égaré !
C’est alors seulement que Simon remarque le petit col blanc et surtout la croix au revers de la veste : il est tombé chez un vieux curé ! Mais déjà, madame Gautier arrive. C’est une petite femme brune, toute en rondeurs, portant lunettes et tablier. Elle peut avoir une cinquantaine d’années, même si ses vêtements sombres et stricts la vieillissent davantage. Pendant que Simon expose une nouvelle fois son problème, elle l’examine de la tête aux pieds avec une esquisse de sourire sur les lèvres et une étrange lueur dans les yeux.
- Vous êtes assez loin de l’autoroute, dit-elle d’une voix très douce. Avec tous ces travaux, ce n’est pas évident de vous expliquer…
- Dites-moi Solange, coupe le curé, si je me souviens bien, vous deviez passer le week-end chez votre jeune sœur. Peut-être que vous pourriez partir dès ce soir et remettre ainsi notre brebis égarée sur la bonne voie. Ne vous inquiétez pas pour moi, je peux très bien dîner seul !
Et c’est ainsi qu’un quart d’heure et un coup de fil plus tard, madame Gautier prend place sur le siège passager de la voiture de Simon. Comme elle a quelques difficultés à boucler sa ceinture de sécurité, Simon lui vient en aide. Sa main effleure furtivement un sein, puis plus longuement le ventre de la gouvernante qui retient son souffle…
à vos fantasmes pour le chapitre suivant....
ZOOM n° 88, Spécial PMA
- Photo de couverture signée Nick Melillo.
- 3 photos de Robert Mapplethorpe ( 1946-1989 )
Lisa Lyon
1980
Lisa Lyon
- 3 autres photos de Jim Matusik ( né à Streator dans l’Illinois )
« La moitié en moins » Photo publicitaire retravaillée à l’occasion des soldes de 50 %
Photo d’illustration pour la nouvelle « Pousse au crime », 1979
« Beverly Shores ». test photo dans une station balnéaire dans l’Indiana, sur le lac Michigan , 1977.
-3 affiches de Savignac.(1907-2002) « Garap » ( 1963) ce nom ne renvoyait à aucun produit. L’affiche a seulement servi à tester pendant plusieurs jours à Paris le mécanisme de la communication publicitaire.
- Photomontage de John Heartfield (1891-1968 ) paru dans Regards n° 131, le 7 mai 1936. Dans la version publiée en Allemagne, le personnage de Laval avait été supprimé.
Juin 1946
(les fautes d'orthographe sont d'origine)
Ouvrir au jour sa fenêtre
Et pisser sur les passants
Ça c’est amusant.
S’en aller à la campagne
Se chatouiller, à plat dos
Loin du gars Bidault.
Entreprendre un safari
Et chasser le gonocoque
Du haut Orénoque.
Nager dans l’eau savonneuse
Et souffler avec son culle
Pour y faire des bulles.
Annuler une tantouze
En lui coulant un bouchon
Avec du béton.
Relever des robes bleues
Et glisser une main mâle
Au milieu des poiles.
Sous un chandail opéra
De laine angora.
Monter sur la guillotine
Pour y poser un étron
Gras, fumant et rond.
Dans un chemin de traverse
Manger des fraises des bois
Juste toi et moi.
Et pour servir la patrie
Te baiser toute la vie
C’est ça la vie.
Derniers Commentaires