michel-koppera

Marguerite Jeanne Japy, épouse Steinheil est née près de Belfort en avril 1869 et décédée en Angleterre le 17 juillet 1954.

Marguerite Steinheil est passée à la postérité sous le sobriquet de « la pompe funèbre » puisque c’est le 16 février 1899, dans un salon de l’Elysée, après avoir prodigué au Président Félix Faure, une ultime fellation, que celui-ci fut emporté par une hémorragie cérébrale.

Sa vie de demi-mondaine ne prit pas fin avec cet "exploit", et elle continua d’être « conseillère psychologique » d’hommes influents tels que Aristide Briand.

Soupçonnée en 1908 d’avoir collaboré à l’assassinat de son mari et innocentée lors d’un procès à sensation, elle s’exilera en Angleterre où elle résidera jusqu’à sa mort.

Outre les photos et caricatures illustrant la journée du 16 février 1899, on dit qu’elle aurait posé nue pour cette statue de Jean Hugues, « la muse à la source », qui fut exposée au Sénat en 1911.

Pour ce chapitre 6, j'ai repris vos diverses suggestions et voici ce que cela donne. Il y a du nouveau....

Déviations # 6

- Tu peux le sucer, il n’est pas près de débander, dit Myriam à sa sœur en empoignant à pleine main le membre de Simon.

Solange se débarrasse de ses vêtements, grimpe à califourchon sur la table de façon à présenter son con grand ouvert au-dessus du visage de Simon. Vue de près, sa vulve est impressionnante : un vrai chantier de chairs tourmentées, de muqueuses gluantes, le tout au cœur d’un buisson de poils noirs qui poussent en abondance jusque dans la raie culière. L’odeur est forte, puissante, mais très agréable. Solange gobe le gland de Simon et se met à le téter goulûment. Et tout en le suçant avec gourmandise, elle plaque sa fente sur la bouche de Simon qui n’a d’autre choix que de la lécher, de s’abreuver à la source chaude de ce sexe porfond.

Pendant ce temps, de la main gauche lui presse les couilles, et de la main droite lui explore l’entrefesse, lui titille le trou du cul, y glisse un doigt, puis un deuxième, et peut-être trois… Elle l’encule en douceur, lui excite la prostate. Pour Simon, c’est une première et ce traitement spécial ne fait qu’amplifier encore son érection déjà phénoménale. Il n’est pas loin de l‘éjaculation précoce.

Solange tète, suce, aspire… Son con dégouline. Le nez dans les poils, Simon se laisse prendre au jeu. Mais alors qu’il sent venir la jouissance, des bruits venus de la pièce voisine interrompent leurs ébats. On entend des voix. Myriam se retire, Solange relève la tête. La porte s’ouvre…

Le nouvel arrivant n’est autre que le vieux curé en personne. Il contemple le trio.

- Alors, où en êtes-vous ? Vous auriez pu m’attendre… Je vous amène une nouvelle capture : une jeune femme égarée piégée dans les mêmes conditions que ce monsieur ! Elle dit s’appeler Chloé et ne doit pas avoir beaucoup plus de vingt ans. C’est elle qui m’a proposé de m’amener jusqu’ici. J’ai prétexté l’urgence d’un traitement, elle est tombée dans le panneau. Myriam, je vous la confie, elle est en bas dans le salon… Faites le nécessaire.

C’est lorsque Myriam se retourne que Simon découvre que l’infirmière n’est pas tout à fait ce qu’il croyait. Sa blouse ouverte dévoile son corps nu : certes elle a une belle poitrine, mais aussi une grosse bite et une paire de couilles…

A suivre... C'est à vous, j'attends vos propositions

« Au Moyen Ậge, la masturbation des adolescentes était admise et considérée comme bénéfique pour leur future vie sexuelle. Avicenne recommande : « Que les hommes prolongent le jeu avec les femmes. Qu’ils soient attentifs au moment où se manifeste une plus forte adhésion de la femme, où ses yeux commencent à rougir, sa respiration à s’intensifier, et où elle se met à balbutier. » Et si l’homme n’est pas parvenu à provoquer le plaisir de la femme, ce sera à elle à faire les gestes nécessaires. » ( in « Le secret des femmes », Ed. Odile Jacob 2010 )

Le fidèle couple de blogueurs belges m’a adressé une nouvelle série de photos sur lesquelles je me suis permis de poser quelques mots d’accompagnement pour en souligner la beauté et la sensualité…

Femme en saison

C’est jour de grande mouillure, jour de rut. Elle se sent animale, quasiment chienne en chaleur....

Assise sur une table, intégralement nue devant son mâle, elle ouvre en grand le compas de ses cuisses blanches et lui donne à contempler son ventre glabre à la large fente tourmentée...

Elle ruisselle. Sa vulve grasse exhale un parfum capiteux qui nourrit l’érection de son compagnon. Il bande ferme quand elle gémit son manque de bite...

De ses doigts habiles, elle joue dans ses muqueuses huileuses, écarte les pétales de sa fleur de chair....

Il lui caresse les cuisses, s’aventure dans le large sillon fessier, hasarde un doigt curieux dans son cul gourmand. Il pourrait la faire jouir comme ça, rien qu’avec son majeur souple et agile qui la sodomise comme une petite bite...

Elle n’en peut plus de désir. Alors, elle se retourne, s’assoit à califourchon sur une chaise et lui tend sa croupe affamée....

Elle attend d’être montée, défoncée, labourée de fond en comble. Elle supplie :

- Viens, prends-moi ! Baise-moi, encule-moi, que j’en crève d’amour !

Cadeau : une croupe divine

Un couple originaire de Belgique ( je tairai leurs noms afin de protéger leur intimité) m’a envoyé, en guise de cadeau d’anniversaire pour le blog, cette superbe série de cinq croupes destinée à enrichir l’album « Vénus callipyges ». Mais l’ensemble est si harmonieux, si excitant qu’il aurait pu aussi prendre place dans l’album « beautés » et que je ne peux résister au plaisir de lui consacrer un article particulier.

Je l’imagine sans peine, bandant comme un âne, appareil photo en main, tournant autour du fessier royal de sa compagne, à la recherche du bon angle, du point de vue le plus sensuel. Elle se cambre pour ouvrir largement sa raie culière humide – sans doute vient-il de la lécher -  pendant qu’il la photographie en contre-plongée. Les lèvres de sa vulve pendent avec grâce, et quand elle se laisse aller à pisser, comme par inadvertance, son urine claire se mêle à la mouillure onctueuse qui suinte de son con qui bâille de désir.