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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Vénération de Priape Dans la mythologie grecque, Priape, fils de Dionysos et Aphrodite, était un dieu ithyphallique (avec phallus en érection), protecteur des jardins et des troupeaux. On l’identifie aisément par son pénis gigantesque constamment en érection. « Ce dieu était le plus lubrique de tous les dieux et son nom seul exprime souvent une obscénité. Les femmes débauchées lui rendaient un culte particulier où la licence était outrée » ( in Encyclopédie méthodique, antiquités, mythologie, Paris, An II de la République)
Le mythe de l'érection phénoménale et permanente a nourri l'imagination de nombreux illustrateurs dont voici quelques exemples :
Le haut... et le bas
Aussi, à l’abri des regards des « grandes personnes », elle a osé un geste d’une grande audace : elle a relevé sa jupe, elle a ouvert les cuisses et, d’une main habile et sûre, elle a écarté sa petite culotte rouge afin de montrer à son cousin son sexe intégralement épilé et aussi lisse que celui d’une enfant.
Cela n’a duré qu’un bref instant, juste le temps de prendre la photo souvenir. L’image est magique, d’une grande beauté : c’est l’image d’une jeune femme libre.
Le haut...
L’image nous dit que nous étions dans le cadre d’une fête. On avait monté un barnum dans la cour de la maison familiale. Des tentures de coton fermaient l’ensemble. Là-dessous, on avait dressé les tables. Peut-être s’agissait-il de célébrer un mariage, une naissance ou une fête religieuse. Les « anciens » occupaient les places d’honneur, les « jeunes » étaient relégués sur les côtés, dans les angles.
Appelons-la Salima, Zaïna ou Yasmine, à votre convenance. Elle doit avoir 19 ou 20 ans. En bonne musulmane, elle porte un ensemble plutôt sage et le hidjab traditionnel. La fête traîne en longueur, elle trouve le temps long, elle s’ennuie. Personne ne lui prête vraiment attention, sauf son voisin de table, un beau et lointain cousin venu de la ville.
à suivre....
Aujourd'hui, lundi 5 septembre, c'est la rentrée des classes. On se dit que cela ressemble plus ou moins à ça :
Mais, imaginez un instant que cela se passe tout autrement ...
ZOOM n° 83, septembre 1981. Spécial mode
- Couverture signée Lane Pederson (photographe américain originaire du Minnesota)
- Photographie de Florence Chevallier, née en 1955 à Casablanca, elle réalisa ses premiers autoportraits photographiques en 1979. Autoportrait photographique, à l’époque exposé au Centre Pompidou, dans le cadre d’une expo sur ce thème.
- Série de photographies de Dominique Issermann. ( née en 1947) Il s’agit de clichés réalisés pour les collections de Sonia Rykiel. La première est sans doute l’une des plus connues de l’artiste.
« Je ne perds pourtant pas le point de vue du portrait et ce n’est pas parce que, dans cette affaire, le mannequin a perdu son visage (sous le chapeau) que ce n’est plus un portrait de femme : la façon dont Anne Rohart penche la tête, plie son poignet, même de dos, le chapeau baissé, ne compose pas une nature morte. »
« Ensuite, dans la deuxième collection, je voulais montrer de plus près le vêtement, mais je restais impressionnée par la puissance de la silhouette ; et cela a donné les vis-à-vis avec leur ombre. D’ailleurs, les vis-à-vis, les doubles, les triples, masculin-féminin ou copies conformes, sont suggérés complètement pas Sonia dans les défilés. »
« Composer, isoler un détail, un trait qui raconte le reste du vêtement, et, surtout dans le cas des cahiers de publicité de Vogue, une image qui doit rendre compte d’une collection entière sur ce qui la rend singulière d’une année sur l’autre en même temps que sur ce qui lie indissociablement une collection à l’autre au fil du temps. »
- Une autre série, en couleur cette fois, de photographies signées Erwin Blumenfeld. (1897-1963), déjà
présenté dans ce magazine. Il s'agit là d'une représentation sublimée de la femme, élevée au statut d'icone. Aujourd'hui cela peut apparaître à certains d'entre nous désuet ou trop
daté.
- Pour terminer deux photos de Steve Hiett ( né en 1940 en Grande-Bretagne )
CHANSON GALANTE
( toujours tirée du recueil "cantilènes en gelée")
Où tu sais
Un pot de Khonfiture
De groseilles de saison
Ma Lison
Bien rouges et bien mûres.
À coups de langue mutins
Le matin
Je prélèverai ma dose
Et tu prendras en retour
Mon amour
Ta ration de gyraldose.
Peter FENDI est un artiste autrichien né en 1796 et décédé en 1842. Son œuvre la plus connue est composée d’aquarelles érotiques ou pornographiques. Les femmes de Fendi arborent des fessiers plus que généreux. Quant aux tableaux licencieux, ils représentent dans un décor très sobre des scènes de genre mêlant caresses, accouplements et amours en groupe. La série présentée ici que j’ai intitulée «acrobates » constitue une suite logique à l’article d’hier : « La piste aux étoiles »
Au cirque
« Le cirque est un petit bout d’arène close, propre à l’oubli. Un temps plus ou moins bref, il nous permet de ne plus penser à nous, de nous dissoudre dans l’émerveillement et la félicité, d’être transportés de mystère » ( Henry Miller in « Le sourire au pied de l’échelle »)
La luxure est dans les sous-bois
« La forêt, c’est encore un peu de paradis perdu. Dieu n’a pas voulu que le premier jardin fût effacé par le premier péché. » ( Marcel Aymé)
« Dieu est grand mais la forêt est encore plus grande. » ( Proverbe brésilien)
« Tu trouveras bien plus dans les forêts que dans les livres » ( Saint-Bernard de Clairvaux)
« Les forêts ont une fonction sacrée » (louis Nucera)
« Rien n’est moins vierge qu’une forêt » (Jacques Prévert)
« Une forêt au fond d’un vallon comme le buisson d’un sexe » ( Sylvain Tesson)
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